Terma6-Absence De Djaffar Et Mon Premier Black

6- Terma6- Absence de Djaffar et mon premier black :

J’ai quitté Djaffar à 08h pour allez chez moi et changer de vêtements. Puis, comme prévu, je suis allé au rendez vous de Sousou dans un pub connu. Il devait me raconter ses longues expériences de sodomie et, peut-être, accen notre amitié car j’avais des vues sexuelles sur lui. Nous avons pris quelques boissons et convenu d’aller chez lui pour être à l’aise.

Malheureusement, au moment de prendre un taxi, Sousou a reçu un coup de fil sur son portable. C’était Djaffar qui nous demandait de le rejoindre d’urgence. On a pris un taxi et dix minutes plus tard, on était chez lui. Il avait fait ses bagages comme pour partir en voyage.

Il nous a rappelé qu’il était veuf depuis plus de dix ans, mais qu’il avait une fille Zina, qui avait été adoptée par sa grand-mère maternelle, et qui avait, maintenant, vingt cinq ans. Djaffar n’avait jamais eu de bons rapports avec sa belle mère, et depuis la mort de sa femme, il n’a vu sa fille que rarement et ses coups de fil se sont arrêtés il y a un an. Elles vivaient dans une ville de la côte, à quatre cents bornes de là.

Ce matin, surprise, Zina lui a téléphoné pour lui demander de la rejoindre au plus vite, car sa belle mère était mourante. Par ailleurs, Zina devait se marier dans deux mois, alors elle le suppliait de venir pour l’aider, la soutenir et aussi clarifier les papiers d’adoption qui n’ont jamais été régularisés normalement. Djaffar, malgré la distance qui les séparait gardait toujours sa fille au fond de son cœur. Alors, il doit partir pour quelques jours ou plus, cela dépendra de la situation.

C’était une catastrophe pour nous ! Comment allons-nous supporter l’absence de Djaffar et ses prouesses pour nos besoins sexuels, pendant tout ce temps ! Certes, nous comprenions parfaitement le droit et même l’obligation pour Djaffar d’aller soutenir sa fille, mais il fallait trouver une solution pour nous.

Nous sommes restés, un long moment, en silence.
Puis Sousou, comme toujours, a brisé le gène. Il nous a dit, en rigolant :

«Ana sa-hal ! nachri zeb triciti k’bir kima zeb Djaffar bach ihanini ! »(pour moi c’est facile ! je vais acheter un zob électrique aussi gros que la queue de Djaffar pour me satisfaire !) et il ajouta pour moi:
« n’ta thani ! n’jiblik wahad khchiiine bach e’7ouklak teremtek ! » (et pour toi aussi ! je t’apporterais un zob épais pour te frotter teremtek !) Tout cela, dit en rigolant, ça nous a détendus et on a enfin rigolé ensemble. Djaffar, toujours très observateur et surtout très serviable, a clôturé la question, avec gentillesse, en m’invitant à le remplacer dans la terma de Sousou :
« Ya terma albaydha ! hahi termet Sousou leyk ! dir zebek fiha fi blassat zébi ! » ( ô terma la blanche ! voila termet Sousou pour toi ! mets lui ton zob à la place du mien !)

Ses paroles m’ont, évidemment, surpris et je crois que j’ai rougis. Alors, Djaffar a ajouté
« rana koul 3arfi’n en’ta ta3chak termet Sousou ! ma7roug 3’liha ! moudda touiila ! profiti fi locazion ! » (nous savons tous que tu adore la terma de Sousou ! tu brûle pour elle ! depuis longtemps ! profites de l’occasion !). Ainsi donc, ils savaient tous les deux que j’étais amoureux de Sousou et que ce dernier et sa terma attendaient avec impatience et depuis longtemps que je me déclare.

Comme je restais immobile, Sousou m’a pris dans ses bras et m’a embrassé gentiment sur les lèvres et avec sa main, il m’a tripoté le sexe, qui a immédiatement réagi. Les choses paraissaient entendues. Djaffar a remis les clés du logis à Sousou, lui recommandant d’en prendre soin. Il nous a dit :
« hakoum m’fatih e’dar ! t’halaou fiha ! n’toum zoudj faqat ! dirouha ki darkoum ! » (voila les clés du logis ! prenez-en soin ! vous deux seulement ! utilisez la comme votre appartement !).
Puis on est sorti de l’appartement pour accompagner Djaffar à la gare routière.

Deux heures plus tard, on s’est retrouvé, Sousou et moi, seuls sur le parvis de la gare. Moi, en tous cas, je me sentais triste, abandonné, et même un peu gêné à cause, peut-être, de ce qu’on a plaisanté tout à l’heure. Ce n’est pas à cause du problème sexuel avec Sousou, que je désirais vraiment, mais c’est le fait du départ brusque de notre ami. Il nous a donné la permission d’user de son logis et cela peut nous arranger puisque Sousou n’aime pas faire l’amour chez lui. Alors, nous sommes retournés au logis de Djaffar.

Je pense que notre intention était d’y passer le reste de la journée et, peut-être faire l’amour. En route, Sousou m’a dit:
« haya ! e’nrouhou n’taybou l’ftour ! min ba3ad n’dirou wach ya3ajbek ! ya habibi ! » (viens ! nous allons préparer notre diner ! après on fera ce qui te plaira ! mon ami !). Je ne sais pas si Sousou avait du courage ou de l’inconscience ou un cœur dur ! Comment penser à manger alors que notre aimé était loin de nous. J’étais déprimé mais je l’ai suivi.

Mais dès que nous avons passé la porte du logis, immédiatement, la présence de Djaffar s’est manifestée dans notre esprit et notre cœur. Notre amant commun était présent partout, sans y être physiquement. Je ne pouvais plus faire l’amour avec Sousou dans le lit de Djaffar sans oublier sa présence, son odeur et le souvenir de tant de plaisirs, tans de sodomies. Sousou, toujours conciliant, m’a bien compris, et avec son eternel sourire complice, m’a dit :
« maâlih ya habibi ! ousbour khamssa w’setta ayem ! 7atta n’walfou b’fraag habibna Djaffar ! w’t’nikni kima t’7eb ! » (ça fait rien ô mon ami ! patiente cinq ou six jours ! on s’habia à l’absence de notre ami Djaffar ! et tu pourra me sodomiser comme tu veux !).

Je me sentais faible et indécis, et j’ai accepté la proposition. Sousou m’a rappelé son numéro de portable, et je pourrais, ainsi, l’appeler à mon aise, pour nous retrouver, ici, dans l’heure qui suit.
Alors, tristement, je l’ai quitté, sans un mot et c’est seulement dans le bus que j’ai un peu repris mes esprits. Comment avais je pu accepter de me séparer de Sousou, alors que je brulais pour lui ! Le choc du départ de Djaffar a été certainement la cause de ma faiblesse. Et finalement, j’ai du accepter la réalité. Ce sera une nouvelle expérience pour moi, une épreuve de quelques jours, un petit carême sexuel.

Mais dès le lendemain, j’ai appelé Sousou sur son portable. Il m’a informé qu’il était parti visiter un parent malade dans une autre ville, car il croyait que j’allais patienter au moins cinq jours, mais il fera tout son possible pour revenir dans deux ou trois jours. Quelle malchance ! Voila que tout l’univers se ligue contre moi ! contre teremti et ses exigences. J’ai passé une journée difficile. Je me suis masturbé tout en me triturant le cul avec deux et trois doigts. Quant j’ai éjaculé, j’ai pris un peu de mon sperme pour me le fourrer dans ma terma. Je voulais qu’elle goute, au moins, mon jus à défaut de celui de Djaffar ou un autre !

Le deuxième jour, j’ai encore appelé Sousou car j’étais très nerveux. La nuit précédente, j’ai rêvé du gros zob de Djaffar dans ma terma, et j’ai eu du plaisir dans mon sommeil, à tel point que j’ai moi-même éjaculé dans mon lit sans m’en rendre compte. Sousou a réussi encore de me calmer avec sa gentillesse habituelle. Je me suis aussi masturbé et doigté le cul, puis j’ai pris un long bain chaud pour calmer mes nerfs. J’ai pensé au gode électrique de Sousou, mais je n’ai pas, encore, l’habitude de ce genre de magasins.
Ma terma a patienté ces deux jours, mais au troisième, elle commençait vraiment à me gêner et je devenais plus que nerveux, au risque de faire des bêtises. Au téléphone, Sousou l’a remarqué et m’a demandé de patienter encore. Je lui ai répondu avec une sorte de gémissement:
« ya Sousou ! teremti raha ta’koul fya ! raha chahia zob ghlidh ! kh’chiine ! toug’3oud 3aleih ! » ( ô Sousou ! ma terma me démange ! elle a envie d’un gros zob ! épais ! pour m’assoir dessus) .
Je voyais déjà, en pensée brumeuse, ce zob qui m’ouvre l’anus :
« ya Sousou 7’bibi ! zouki chahi zob i7élou ! » (ô Sousou mon ami ! mon cul a envie d’un zob pour l’ouvrir!)
« zeb m’tii’n i7oukli teremti mine daakhal ! » (un zob dur pour me frotter teremti de l’intérieur!)
« teremti t’moussou ! yag’3arha ! 7ata el’klaoui ! » (pour qu’elle le suce ! et qu’il l’explose ! jusqu’aux couilles!).
Sousou m’a dit que je délirais et qu’il fallait me calmer pour trouver une solution. Lui n’a pas de problèmes de ce genre car il connait pas mal d’amants ici et la bas, et qu’il peut les joindre à tout moment, il n’avait que le choix. Mais moi, je n’ai que Djaffar ! et il est absent ! Ma terma est orpheline et je n’ai personne pour éteindre le feu qui nous consume, tous les deux.

Au quatrième jour, Sousou m’a conseillé de trouver quelqu’un pour me camer les sens et les besoins de mon cul qui continuait à me chatouiller, à me démanger et exiger de l’action. Malheureusement, je n’avais pas l’habitude de draguer dans la rue. Sousou, qui écoutait mes plaintes, a trouvé la solution.
« 7abibi ! rani l’gueit’ha ! arja3 lil WC n’ta3ek lawal ! w’akhtaar zob li ya3ajbek ! » (mon ami ! j’ai trouvé ! retourne au WC de tes débuts ! et choisis le zob qui te plait !).

Et oui ! c’est la solution ! Il m’a rappelé mes débuts dans les WC publics. Encore une fois, Sousou s’avère être un vrai copain, un ami qui me donnera certainement, plus tard sa belle terma ! Pour le moment, c’est la mienne qui est à jeun et en feu !
Ma seule issue est donc de retourner aux WC publics, et j’y suis allé, avec une sorte d’allégresse mais aussi un peu de peur et même de gêne. J’avais pris l’habitude de baiser sur un vrai lit et en sécurité dans un appartement. Revenir à des sodomies, presque en public et dans l’étroitesse d’un cabinet de WC, c’est enrageant, mais à défaut de merle … !

J’ai retrouvé facilement ma cabine habituelle avec son trou au mur, permettant d’observer le contenu de la cabine voisine. Je me suis déculotté et l’œil au trou, j’attendais un client potentiel. Les deux premiers, pas très alléchants n’ont pas été retenus par les désirs de ma terma, mais le troisième a été le bon ! Quoique spécial, ma terma m’a répondu par l’affirmative car elle a commencé à mouiller de son suc sexuel ! Le gars m’a secoué les fondements. C’était un beau noir, certainement africain, avec un zob énorme, long et semblant lourd de puissance. Il avait aussi une belle toison de poils drus au pubis, qui donnait envie de se frotter les fesses avec.

J’ai tilté sur le gars et j’ai joué ma comédie, de gémissements de plaisir. Dès que j’ai vu qu’il regardait par le trou, j’ai caressé mes fesses et je me suis doigté l’anus, en l’écartant au maximum et en poussant des soupirs de jouissance. J’exposais ainsi, devant son œil, ma belle terma et je savais qu’elle va le harponner comme un poisson. Puis j’ai fait semblant de découvrir, avec surprise, son œil au trou. Je me suis alors arrêté une seconde, on s’est regardé, puis je lui ai souris.

Une minute plus tard, il était dans ma cabine, la braguette toujours ouverte. Il a sorti son pénis au complet et qui commençait à s’allonger de désir. Sans hésiter, j’ai descendu son pantalon, il n’avait pas de slip, et j’ai saisi à pleines mains son énorme queue. Je l’ai sucé, léché et branlé comme à mon habitude. Il s’est rapidement gonflé à bloc. Je lui ai aussi caressé et malaxé les grosses couilles qui pendaient entre ses cuisses.

Dès le début, je m’étais penché légèrement et tourné sur le coté pour qu’il puisse avoir accès, avec ses mains, à mon derrière. Et il a bien compris mon désir. Enfin ! mon derrière a retrouvé des mains amies pour le caresser, le peloter, le violenter ! tout cela pour mon plaisir, celui de mes sens et celui, le plus concret, de ma belle terma chérie !

Il m’a peloté avec violence les hanches et les fesses et m’a mis un doigt dans le cul. Il soufflait fort et son zob était devenu un vrai barreau de fer. Alors, j’ai lâché son pénis et je lui ai carrément tourné le dos. On était pressé tous les deux ! je lui ai soufflé d’une voix rauque :
« layh ! layh ! dakhal zebek fissa3 ! raha teremti ta’koul fya ! raba3 ayaam ! bezzaf !» (vas-y ! vas-y ! vite enfonce ton zob ! ma terma me démange ! quatre jours ! c’est trop !)

Puis je me suis courbé sur le bidet pour lui exposer ma belle terma. Il a foncé comme un taureau. J’ai tout de suite senti son zob qui poussait mon anus pour l’ouvrir avec force. Ça m’a fait un peu mal, vu le calibre de sa queue, mais ça m’a fait plaisir, me rappelant mes débuts quant mon anus était encore vierge.

En somme, avec ce black, ça va être un autre dépucelage. Il m’a agrippé les hanches, mon anus et pénétré jusqu’au fond de ma terma, enfin satisfaite. Malgré la légère douleur du début, cette violence m’a agréablement affolé les sens. J’ai, tout de suite, senti mon cul inondé de son suc sexuel et ce zob qui m’écartait à fond les parois du sphincter glissait à son aise. Le gars m’a sodomisé pendant, je crois, plus de quinze minutes avec des coups de reins rageurs. Chaque fois qu’il replongeait son gros zob dans mes entrailles, le gars soufflait un ah ! rauque de plaisir et je l’imitais par des gémissements de jouissance.

Heureux et jouissant par tout, je murmurais à voix étouffée par le désir :
« Ah ! ya teremti ! ch’7aal 7’lou hadha zeb lékbiir ! lékhchiine kima li chouftou fi a7’laami ! » (ô ! ma terma ! comme il est doux ce gros zob ! épais comme celui que je voyais dans mes fantasmes !) . et je continuais :

« Ya Sousou ! law tchouf hadha e’zeb ! tmout 3’leih ! » ( ô ! Sousou ! si tu voyais ce zob ! tu meurs pour lui !). J’étais un peu dans les vapeurs et j’ajoutais comme si Sousou était avec moi :
« Walakine hadha e’zeb laya ! li teremti la7biba ! en’ta na3tik zébi ! hadha zeb lak’hal rani 3atiih li teremti ! » ( mais ce zob est pour moi ! pour ma terma chéri ! toi ! je te donne mon zob ! ce zobe noir, je l’ai donné à teremti !) et pour celui qui me sodomisait avec rage :
« ya moul e’zeb lassouad ! niike bezzef ! niike teremti la 7’biba ! » ( ô celui au zob noir ! nique fort ! nique ma terma chérie !)
« ah ! ch‘7aal zebek em’tiine ! hadha malzam é7’diide ! » (ô combien ton zob est dur ! c’est un barreau de fer !).
« doukkou ! doukkou fi qari! taffili naari ! ya habibi !» (enfonce le ! défonce moi le cul ! éteint mon feu ! ô mon ami!).
C’etait pendant ces premières minutes que je murmurais ces paroles de joie et de jouissance. Je chantais ma joie et mon plaisir ! Un hymne au gros zob qui me donnait tant de jouissance ! Mon amant doit, certainement être étonné mais il faisait bien son travail. Certes, au début, j’avais un peu mal à cause de son rush violent sur mon anus, je commençais, rapidement à aimer ses gestes. Je fus, pendant quelques instants, observateur, mais vite acteur, jouisseur de plaisir.

Avec cet homme de couleur, c’était une nouvelle expérience. J’avais lu et entendu beaucoup sur les zobs des noirs et la taille de mon amant confirme la règle. Et il a tellement bien confirmé ses capacités que je me suis totalement laissé aller pour gouter amplement mon plaisir. Je balançais du derrière en liaison avec ses coups de reins et je soufflais fort de plaisir.

Enfin, il s’est collé plus fortement à mon derrière et son zob pulsait dans mes fondements ses rafales de sperme, me remplissant avec satisfaction de ma terma. Une quantité énorme, à la mesure du zob qui m’a niqué et de ce que mes yeux et ma bouche ont gouté auparavant. Lorsqu’il s’est retiré de mon cul, je me suis vite retourné pour le voir, l’admirer de nouveau. Il était encore plus énorme qu’auparavant et effrayant par le sperme qui le rendait luisant et éblouissant. Je l’ai saisi pour le lécher, le gober et le nettoyer.
En réalité, je le voulais dans ma bouche comme dans ma terma. Le fait même de l’avaler jusqu’au fond de ma gorge était un plaisir. Même en dehors de mon cul, ce zob me donnait de la jouissance. Peut-être parce que j’étais à jeun ces derniers jours ! Mais, sincèrement il valait le coup d’œil, plusieurs lapements de lèvres, quelques bonnes sussions de bouche et une bonne dose de coulées de jus chaud dans une terma affamée, comme la mienne chérie !

J’étais heureux, satisfait d’avoir été sodomisé par un tel engin. Dans ma terma, j’étais sûr qu’il s’est allongé à une profondeur qu’aucun autre zob n’avait atteint auparavant. Ma terma s’est sentie, certainement, dépucelée dans ces zones internes, frottées et excitées pour la première fois. De reconnaissance, j’ai immédiatement désiré une seconde sodomie, toujours par derrière, en levrette.

Pourtant, j’avais commencé, depuis quelques temps, à préférer les sodomies par devant, face à face. Mais avec ce zob et cet homme puissant, je voulais, encore une fois, sentir qu’il me niquait comme un viol. Je veux qu’il me secoue le corps en me pilonnant de ses coups de reins et que je sente son zob se glisser avec toute sa virilité, tout au fond de mon cul ! de teremti !

Et on a fait ce que j’ai voulu pour le plaisir de ma terma et de mes fantasmes :
« aya ! ya sa7bi ! 3awadli neika b’zebek lemtiine mazaal m’ ta’nn’nane ! » (viens mon aimé ! refais moi une autre baise avec ton zob si dur et encore gonflé à fond !). Le gars a suivi tout ce que j’ai désiré qu’il fasse. Il me pilonnait quant je lui criais de le faire, il ralentissait quant je me sentais étouffé de jouissance.

Il sortait son zob, quant je le lui demandais, pour le replonger de nouveau avec violence à travers ma rondelle et l’enfoncer dans mes entrailles, jusqu’aux couilles, comme on dit.
« Adhrab b’zebek ! adhrab ! dakhlou 7ata el’klaoui ! rani n’siil b’chahoua ! » ( cognes avec ton zob ! cognes ! enfonces le jusqu’aux couilles ! je coule de désir !) .
Ce fut une chevauchée endiablée, une vengeance de ces jours de jeun. J’étais presque complètement sonné et pour libérer mon homme qui souriait de toutes ses dents, je terminais :
« achtaar farrak ! e’s’guini b’zantek es’khouna ! » (dépêche toi de te vider ! arroses moi avec ton sperme si chaud !). Alors, il s’est déversé dans mes entrailles des fleuves de jus brulant, chatouillant, jouissif et il en a fallu beaucoup pour éteindre le feu de désirs qui dévorait ma terma chérie.

Il m’a remercié dans un dialecte africain puis il est parti. Je sentais bien qu’il était africain et pourtant il avait compris toutes mes demandes, dans ma langue, lorsque j’exprimais mes désirs de jouissance, lorsqu’il jouait avec son merveilleux zob, dans ma terma. Je pense, plutôt, que ce sont les gestes et les postures qui lui avaient permis de comprendre ce que je voulais. Le langage de l’amour est vraiment universel. Les organes, zob et terma, se comprennent sans mot, je viens d’en faire l’expérience.
« ah ! ya teremti ! 3’rafti tahadri m’3a e’zeb lassouad ! » (ô ! ma terma ! tu a su parler avec ce zob noir).

« 3am’rak ! b’za’n’tou s’khouna ! mazaal e’n’jiblek okh’rayn b’7aalou ! mazaal ! » (il t’a rempli ! avec sa sauce chaude ! bientôt je t’amènerais d’autres comme lui ! Bientôt !)

J’ai été largement satisfait pour aujourd’hui et j’ai décidé de revenir à ma cabine chaque fois que je serais en manque d’amant ou de choix d’amant. Cette expérience avec un africain au gros zob, m’a ouvert d’autres horizons, je l’a retiens et j’en voudrais certainement d’autres identiques, à l’avenir… ! pour mon éducation ! Merci Sousou et Djaffar pour la solution. Un grand merci de la part ma belle terma chérie, éternellement !

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