Question De Taille

Question de taille
Dialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.

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— Dis, réponds franchement : est-ce que la taille compte autant ?
—Tu complexes ?
— Comme beaucoup de mecs. Et comme là tu as ma bite sous le nez…
— Hum ! Très cher, tu as un avantage et un désavantage.
— Je ne dépasse pas les quinze et c’est tout fin, le voilà mon désavantage.
— C'est dans la moyenne ! Peut-être même un peu plus.
— Tu évoques les statistiques nationales. Pas des tiennes.
— Oui évidemment, je me paye souvent le luxe de viser plus haut.
— Volontairement ?
— Bien entendu.
— Donc tu croises un mec et t’es capable de lui donner une fourchette en centimètres.
— Plus ou moins.
— Comment tu devines ?
— Dans les gestes, le regard... Je me trompe rarement. D'année en année je suis devenue un vrai détecteur.
— …Un détecteur à grosses bites !
— Bah oui.
— Il était en panne quand je t’ai accosté ?
— Non ! Tu me plaisais. Tout n'est pas question de taille.
— Et mon avantage alors ?
— Quand tu me baises tu peux aller le plus loin possible, aussi fort que tu veux sans risquer de m’esquinter. Et rien ne me freine avec la bouche : tu es super facile à gérer. Ça me plaît encore plus qu’avec les grosses.
— D’ailleurs tu fais souvent des sons quand tu me suces. J’adore !
— ment, vu que c’est pas trop grand ça s’entend bien.
— Plus la taille est conséquente plus ça donne des sons étouffés ?
— Un dix-huit centimètres au fond de la gorge assorti d'une circonférence conséquente laisse peu de place dans les joues.
— Alors qu’avec moi ça résonne et ça fait écho.


— N’exagérons rien non plus. Entre filles, on dit qu’il y a un test à faire. Sans retirer la bite, on dit « Le rhododendron s’est caché dans un champ de blé ». Plus l’instrument est gros, plus on a du mal à comprendre. Si ça donne « hohohenhon hest hé han han hé » et qu’il faut répéter au moins trois fois avant d’être comprise, c’est bon signe. Si même en répétant vingt fois ça reste incompréhensible, c’est encore mieux. Par contre, si on comprend la phrase du premier coup, ce n’est pas très flatteur pour le propriétaire de l’engin.
— Et tu as vraiment essayé ?
— Deux copines m’ont dit qu’elles avaient testé, au cours d’un plan à cinq. J’ignore si elles l’ont vraiment fait ou non. Bon, parler de tout ça m'a excitée. Je sens que je vais reprendre...
— Vas-y je t’en prie. Le rhododendron…

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