Initiation D'Une Jeune Fille De 20 Ans Par Une Sexagénaire Épanouie

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

A peine après avoir fêté ses soixante ans, Roselyne et son mari Philippe avaient expérimenté une nouvelle manière de vivre sexuellement (lire "une sexygénaire"). Sous l'influence d'un couple rencontré pendant les vacances, ils étaient devenus libertins assumés, au grand dam de leur fille Charlotte que ces pratiques révoltaient. En revanche, sa fille Diane, âgée de vingt ans, une blonde filiforme au visage angélique, trouvait "sympa" que ses grands-parents empruntent une voie non conforme aux usages en matière sexuelle, à la fois par opposition à ses parents et aussi par curiosité. Son expérience était certes limitée mais elle était dépucelée depuis quatre ans et s'envoyait en l'air assez régulièrement avec des garçons de son âge. Elle y prenait goût sans s'attacher particulièrement à l'un d'entre eux. Elle se confiait plus facilement à sa grand-mère qu'à sa mère, confiante dans son jugement et consciente qu'elle serait davantage tolérante envers ses écarts de conduite, du moins si l'on s'en tient à la morale traditionnelle. Roselyne, malgré son âge, était un peu son modèle. Avec ses cheveux auburn coupés court, ses yeux émeraude, son corps charnu mais bien proportionné, la sexagénaire pouvait encore faire envie aux hommes et c'est ce qui épatait la jeune fille.

Un après-midi qu'elles bronzaient toutes les deux dans le plus simple appareil au bord de la piscine de Roselyne, Diane se confia à sa grand-mère :
- Tu sais, mamy, je trouve que les garçons ne sont pas si doués qu'ils le croient pour donner du plaisir à une fille. J'aime pourtant faire l'amour mais j'ai du mal à jouir.
- C'est normal, ma chérie. A 20 ans, la plupart des garçons cherchent d'abord leur propre plaisir. Ils ne connaissent pas vraiment le corps de la femme.
- Et toi, tu as attendu combien de temps avant d'éprouver vraiment du plaisir ?
- Il a fallu que je connaisse ton grand-père.

Auparavant, ce n'étaient que des passades, un peu comme toi. Ton grand-père, c'était différent. Il était attentif à mon plaisir. Nous nous sommes merveilleusement entendus sexuellement et encore plus aujourd'hui.
- C'est ça qui m'épate. Maman, elle a l'air de ne pas aimer ça alors que toi, tu es de plus en plus coquine...
- Que veux-tu, c'est mon tempérament. Comme dit l'autre, j'aime la bite...
- Moi aussi mais parfois, j'ai l'impression que c'est la bite qui ne m'aime pas. Qu'est-ce que je peux faire, d'après toi, pour que ça change ?
- Déjà, prendre un amant, un vrai. Un homme d'expérience, bien cochon !
- Pas un vieux, quand même ?
- Tout dépend ce que tu appelles vieux. Tu sais, un homme en bonne forme est viril longtemps.
- Et qu'est-ce qu'il pourrait me faire de si cochon que ça pour me donner vraiment du plaisir ?
- Tu veux que je rentre dans les détails ? Cela risque de heurter tes chastes oreilles...
- Mais non ! Je ne suis quand même pas une oie blanche. Je sais ce que c'est que sucer, par exemple.
- Sucer, c'est le B.A BA du sexe et encore, tout dépend comment on suce. Tu as déjà avalé du sperme ?
- Euh, non.
- Tu vois. Une bonne suceuse avale. As-tu déjà léché les couilles de ton partenaire ? Lui as-tu mis le doigt dans le petit trou pour aller taquiner sa prostate ?
- Ah non, pas du tout. Je ne savais même pas que ça se faisait.
- Et si pourtant. Comme de lécher l'anus. La plupart des hommes adorent ça.
- Ce n'est pas très propre dis donc...
- La notion de propre et de sale n'intervient pas dans le sexe. On cherche avant tout à donner du plaisir et si possible à en prendre aussi. Moi, j'aime lécher l'homme, partout partout...
- Je ne pensais pas qu'on pouvait faire l'amour comme ça. Avec papy, tu fais ça aussi ?
- Bien sûr et même davantage. On est de vrais cochons tous les deux. On ne fais plus l'amour, comme tu dis. On baise. Comme lorsqu'on rencontre un autre couple.
On adore baiser devant un miroir. J'aime voir sa queue entrer et sortir de ma chatte, voir son cul remuer, me voir jouir... On aime aussi se chauffer en se parlant, en se disant des mots crus. Je lui parle de sa queue. Les hommes adorent qu'on leur parle de leur queue. On baise, quoi.
- C'est quoi, la différence, entre baiser et faire l'amour ?
- Faire l'amour, c'est l'acte sexuel dans sa pureté et sa tendresse. Baiser, c'est le sexe pour le sexe. Quand je baise, même avec ton grand-père, je laisse s'exprimer la bête qui est en moi, profondément. Ce qui n'exclut évidemment pas les sentiments... une fois que j'ai remis ma culotte !
- Tu es vraiment une sacrée cochonne, mamy.
- Tu peux dire salope, ça ne me gêne pas. Je suis devenue salope avec l'âge. Je ne regrette qu'une chose, c'est de ne pas l'être devenue plus tôt, quand j'étais vraiment désirable. Qu'est-ce que je me serais éclatée ! Mais j'avais encore des préventions, comme ta mère.
- Mais tu es encore belle ! Tu crois que je peux devenir salope, moi aussi ?
- On ne le devient pas sur commande. C'est le corps qui parle. Déjà, il faut vaincre ses tabous.
- Et c'était quoi, tes tabous ?
- Eh bien, par exemple, j'avais des réticences envers la sodomie. Quand j'ai commencé à me faire prendre par derrière, j'avais déjà 40 ans. Avec ton grand-père, on a essayé après avoir vu un film porno. Au début, ça m'a fait un peu mal, mais j'ai fini par y prendre goût, et maintenant, je ne peux plus baiser sans me faire enculer... (elle glousse).
- Moi, je n'ai jamais essayé. Tu crois que je devrais ?
- Je te le conseille vivement, à condition de trouver un partenaire d'expérience, qui te prépare bien avant.
- On en revient toujours là. Et tu as eu d'autres tabous ?
- J'avais du mal à baiser en dehors du lit conjugal. Puis on a fini par faire ça partout : dans toutes les pièces de la maison, en pleine nature, même dans les toilettes d'un restaurant... Mais c'est surtout baiser autrement qu'en couple qui m'a fait franchir un cap.
Se faire prendre par deux ou trois hommes à la fois, quel pied !
- C'est choquant, ce que tu dis, mamy.
- Je t'avais prévenue. Tu es encore bourrée de tabous, ma chérie, mais ça changera, je le sens. Bon, viens, on va se baigner, cette discussion m'a échauffé les sangs, j'ai besoin de me rafraichir. Tu vois, là, si ton grand-père était là, ou un autre homme, je lui sauterais dessus. Je suis à point...
- Moi aussi, mamy. J'ai envie de... baiser, comme tu dis.
- On pourrait peut-être se faire un plan Q, toutes les deux ? Qu'en dis-tu ?
- Mais... et papy ?
- Laisse ton grand-père tranquille. Il est parti à la pêche pour la journée et d'ailleurs, il me laisse vivre ma vie, du moment que je lui raconte tout.
- Il est drôlement tolérant !
- C'est pour ça que je l'aime...

**********

Après concertation, elles décidèrent de se rendre le soir même dans un bar connu pour comporter une piste de danse. Roselyne savait qu'elle y rencontrerait des connaissances, en particulier masculines. De fait, leur arrivée fut fêtée par diverses personnes, des couples mais aussi des hommes seuls. La belle Diane fut l'objet d'attentions pressantes et elle ne tarda pas à être invitée à danser. En particulier par deux quadragénaires, que Roselyne savaient divorcés et en chasse. Roselyne avait prévenu Diane : "ici, les hommes et les femmes qui ne sont pas en couple viennent pour baiser et les couples cherchent d'autres couples pour baiser aussi. Ce n'est pas dit mais c'est tacite. Si tu veux garder ta culotte ce soir, pas la peine de venir". Diane répondit qu'elle n'avait pas l'intention de garder sa culotte mais qu'elle espérait ne pas l'enlever pour rien.
- D'ailleurs, je n'ai pas de culotte, j'ai un string, précisa-t-elle.
- Et moi, rien du tout ! répondit Roselyne en riant et en relevant sa robe pour montrer ses fesses nues.
Les deux quadras, prénommés Gildas (un brun trapu) et Martin (plus longiligne mais chauve) étaient visiblement en compétition pour passer la nuit avec Diane.
Mais celle-ci les prévint d'emblée :
- Je suis avec ma copine et hors de question de la laisser en plan ce soir.
Ainsi, Roselyne n'était plus la grand-mère mais la copine... Subterfuge habile qui abusa les deux hommes. Le profond décolleté de Roselyne et ses formes pleines, il est vrai, n'avaient rien de repoussant.
Après s'être défoulés sur la piste de danse, les quatre décidèrent, à l'invitation de Roselyne, de finir la soirée chez elle, sachant Philippe absent jusqu'au lendemain. Avant de quitter le dancing, la sexagénaire avait prévenu sa petite fille :
- A partir de maintenant, tu fais exactement la même chose que moi.
Dans la voiture, conduite par le grand chauve prénommé Martin, Roselyne et l'autre homme, Gildas, commencèrent à se peloter sans vergogne sur le siège arrière. Quelques minutes plus tard, en se retournant, Diane s'aperçut que Roselyne était en train de tailler une pipe au dénommé Gildas, le pantalon ouvert sur une bite courte mais très épaisse. Diane n'oublia pas la consigne. Se penchant sur le conducteur, elle lui ouvrit le pantalon et en sortit une queue longue et fine qui ne tarda pas à raidir sous sa caresse manuelle puis buccale. Ses longs cheveux blonds entourèrent en corolle le giron du conducteur qui tentait vaille que vaille de maintenir sa concentration et de suivre les consignes du parcours que Roselyne lui donnait entre deux succions.
Lorsque les deux couples arrivèrent sur les lieux, ils étaient chauds bouillants. Les vêtements volèrent jusqu'au lit géant qui attendait leurs ébats. Martin avait une furieuse envie d'enfiler ce morceau de roi qui lui était offert en la personne de cette superbe blonde de vingt ans qui, il le devinait, allait se révéler comme une petite salope de grande envergure. Quant à Gildas, il ne se formalisait pas trop d'avoir à honorer cette mature à gros cul et gros nichons à côté de la sylphide de son pote : il se faisait fort d'aller prendre son tour de jeunesse au cours de la soirée après s'être gavé de cette grandiose cochonne.
Diane remarqua d'emblée les deux grands miroirs qui flanquaient le lit. Ainsi donc, grâce à sa grand-mère, elle allait se regarder baiser. Une première.
- Allez, on commence par un 69, c'est le meilleur moyen de faire connaissance, lança Roselyne, joignant le geste (ou plutôt la position) à la parole en se plaçant sur Gildas. A côté, Martin couché attendait Diane en se paluchant. Celle-ci n'avait qu'à relever la tête pour se voir dans le miroir en train de pomper son amant et Roselyne faire de même. Cette vision l'excita au plus haut point. Il lui venait maintenant dans le bas-ventre un besoin fort qu'une langue, aussi habile fut-elle, ne pourrait totalement satisfaire. Elle croisa le regard de sa grand-mère qui interrompit sa succion :
- Alors ma chérie, tu la sens maintenant, cette envie de baiser ? De baiser vraiment, totalement ?
- Oh oui mamy !
- Alors, fais comme moi.
Roselyne se releva, attrapa deux préservatifs qu'elle avait préalablement posé sur le lit, en tendit un à Diane pour qu'elle coiffe son partenaire. Une fois l'opération réalisée, elle se positionna au dessus du pénis de Gildas et invita Diane à faire de même :
- Allez, empale-toi maintenant, doucement, comme ça, mmmmh c'est bon hein ? Regarde-toi dans la glace. Regarde la queue entrer en toi. Oui, c'est ça, ondule d'avant en arrière, comme je le fais. Tu la sens la bite, hein ? Tu la sens ? Dis-moi .
- Oui oui je la sens.
- Et tu la vois bien rentrer, hein ? Mets la bien à fond, comme moi, regarde.
Et Roselyne entama une série de mouvements du bassin consistant à se relever légèrement et à se laisser tomber lourdement sur le pénis de Gildas dans un bruit de chairs claquantes, ce qui faisait remuer ses seins lourds. Diane l'imita de manière un peu plus souple et légère mais tout aussi productrice de sensations. Elle regardait alternativement la chair en mouvement de Roselyne et la sienne, plus dense mais brûlante de l'intérieur sous l'action de la bite longue et rigide de Martin, lequel accompagnait ses mouvements ondulatoires par une pression des mains sur ses hanches.
- Tu vois, là, on baise toutes les deux, ensemble, souffla Roselyne entre deux halètements.
- Oh oui, c'est bon !
Puis Roselyne éprouva le besoin de respirer et se détacha de son amant dans un bruit mouillé, accompagnant des mains comme Martin le mouvement de hanches de sa petite-fille qui se découvrit dans le miroir criant de plaisir.
- Allez, maintenant, on change de position, finit par dire la sexagénaire. On va se mettre à quatre pattes devant la glace et ces messieurs vont nous prendre par derrière, on appelle ça la levrette.
Et joignant le geste à la parole, Roselyne se positionna face au miroir, seins ballants et cul offert. Une nouvelle fois, Diane limita, exposant son corps mince à côté des rondeurs épanouies de sa grand-mère. Elle avait vue panoramique sur les deux hommes à genoux derrière elles, concentrés, mains posées sur leurs hanches et ressentit le bienfait de la pénétration en même temps que Roselyne. Elles gémirent à l'unisson, s'observant tout en observant leur partenaire. Roselyne glissa une main entre ses jambes à la recherche des couilles de Gildas et Diane fit de même. Les deux hommes grognèrent de satisfaction. De sentir les lourdes glandes balloter dans sa main pendant qu'elle se faisait besogner mit Diane dans un état d'excitation extrême. Cela dut se voir sur son visage car Roselyne s'exclama :
- Bien ma chérie, tu baises, tu baises vraiment maintenant.
Sa réflexion eut pour effet de déclencher une rafale de coups de bite des deux hommes et les deux femmes poussèrent une série de cris, la voix pointue de Diane se mêlant à celle plus grave de Roselyne dont les seins plantureux dansaient une samba effrénée. Diane ne savait plus ce qu'elle devait regarder dans le miroir : elle-même, le visage contracté de plaisir, sa grand-mère, agitée d'un véritable délire érotique ou son amant, tendu comme un arc. A chaque fois que le gland survitaminé de Martin frottait une paroi hypersensible de son vagin trempé, elle poussait un petit cri de joie.

Roselyne modifia sa position en se mettant de profil aux miroirs, toujours en levrette. Diane l'imita. Les deux hommes se remirent à les besogner avec ardeur.
- Regarde-toi, regarde la bite entrer et sortir, interpella la sexagénaire, qui s'observait dans le miroir. Devant la vision de la longue queue de Martin qui la fouillait tel un métronome de chair tendue, et celle des couilles de Gildas qui ballotaient contre les fesses dodues de sa grand-mère, Diane sentit monter en elle un violent orgasme. Elle cria et s'effondra à plat ventre en frissonnant, la peau constellée de chair de poule.
- Oh quel pied ! lâcha-t-elle en haletant.
Par un contrôle quasi héroïque, le grand chauve qui la besognait avait réussi à conserver son sperme. Un coup pareil, on se le garde au maximum, se disait-il.

Mais Roselyne allait quelque peu modifier son plan. Fraiche comme une rose alors que sa petite fille commençait tout juste à refaire surface, elle l'interpella en ces termes :
- Allez maintenant, on change. Tu vas avec Gildas, moi avec Martin.
Diane resta bouche bée. Changer de partenaire aussi rapidement, elle n'avait jamais fait ça non plus. Elle n'eut pas le temps de se poser des questions. Gildas, enthousiaste et raide comme la justice, la retournait sur le lit pour lui lécher la vulve alors que Roselyne et Martin, tout contre l'autre couple, entamaient un 69. Diane avait une vue imprenable sur la bouche vorace de sa grand-mère allongée et les couilles plantureuses de Martin sur son visage. Mais Gildas avait une furieuse envie de l'enfiler et se précipita sur un préservatif avant de se positionner entre ses cuisses fines largement ouvertes. Diane adhérait, c'était déjà ça. De fait, son envie de pénétration était loin d'être assouvie par son premier rapport sexuel avec Martin. Quand Gildas la pénétra, bras et jambes tendus, l'entrée du plantureux pénis dans son antre lui fit ressentir aussitôt la différence. Elle était totalement "occupée". Instinctivement, elle roula les hanches pour faciliter l'introduction mais elle était tellement bien lubrifiée que l'homme n'avait pas besoin d'aide. Sidéré par sa bonne fortune, il se mit à la mitrailler de coups de bite, faisant ainsi beugler la jeune blonde. Roselyne interrompit sa méthodique succion et se retourna vers la petite-fille :
- Et maintenant, tu sais ce que c'est que baiser, hein ? C'est autre chose que tes jolis coeur, hein ? Allez Gildas, vas-y, défonce là, montre lui ce que c'est qu'un mec.
Celui-ci ne se fit pas prier. Prenant les deux longues jambes de Diane dans ses mains, il les leva à hauteur de ses épaules et les plia de manière à lui faire relever le cul et se mit à vriller son dard dans la chatte brûlante de la jeune fille.
- Regarde-toi dans la glace, intima Roselyne.

Diane tourna son visage cramoisi vers le miroir et se découvrit pliée, écartelée, malmenée par ce gros baiseur aux cuisses et au cul poilu dont la queue épaisse clapotait dans son déduit. A quatre pattes derrière lui, Roselyne lui caressait les couilles tout en se faisant prendre par derrière par Martin. Ce spectacle, conjugué avec les mitraillades de Gildas, bouleversa Diane qui connut un nouvel orgasme qu'elle manifesta par un cri strident. Survolté, Gildas sentit la montée irrésistible de son plaisir, arracha sa capote et éjacula à longs traits sur le ventre cannelle de Diane.
- Goûte le, goûte son jus, ordonna Roselyne avant de s'abandonner elle aussi au plaisir. Martin la fouillait profondément avec sa pine fine et elle adorait ça. Elle avait envie de se faire sodomiser par cette tige de chair taillée sur mesure pour l'exercice. Et d'en faire profiter Diane par la même occasion. Elle se releva, courut chercher un flacon de gel sans la salle de bains, et s'en revint nichons en bataille, prête pour l'ultime séquence. Elle expliqua les choses à sa petite-fille :
- Tu n'en as pas encore fini, petite coquine. Je vais me faire enculer par Martin et il va t'enculer aussi. Cela fait partie de ton enseignement.
Diane, encore toute retournée par l'orgasme qu'elle venait de vivre avec Gildas, resta interdite. Que voulait dire sa grand-mère ? Qu'elle allait se faire sodomiser ? Elle n'eut pas trop à attendre la suite des événements. Martin était déjà en train de graisser l'anus de Roselyne, cul en l'air face au miroir, qui interpella Gildas :
-Prépare la, lèche la.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Gildas retourna Diane, écarta ses fesses et fourra sa langue dans son petit trou. Elle ressentit un agréable chatouillis qui repoussa son sentiment de révolte initiale. Ainsi donc, cet endroit était très sensible, autant que d'autres parties intimes. Une révélation. Pendant ce temps, Martin s'avançait pine en avant en visant la raie profonde de Roselyne et s'y enfonçait à petit coups précis. Lorsqu'il y fut totalement engagé, la sexagénaire poussa un râle accompagné de propos salaces que Diane préféra ne pas identifier. Les peaux des deux amants claquèrent sous l'effet du coït anal et Diane fut frappée par le visage radieux de sa grand-mère que lui renvoyait le miroir. La langue de Gildas excitait de plus en plus la jeune fille qui commençait à ressentir une forte envie de pénétration. Puis Roselyne cria et ordonna à Martin après ce bref orgasme :
- Arrête toi, encule la maintenant.
La queue parfaitement lubrifiée, fine et pointue comme un stylet, le grand chauve se déplaça vers Diane, lui releva le bassin après avoir repoussé Gildas, l'installa face au miroir et entreprit une pénétration lente, plus lente qu'avec Roselyne, déjà rompue à l'exercice. Dès l'entrée du gland dans son anus, Diane gémit de douleur :
- Aie, ça fait mal !
- Détends-toi, ça va aller tout seul, lui dit Roselyne.

Diane se concentra sur son anus, ou plutôt sur la barrière des sphincters qui faisaient de la résistance, jusqu'au moment où, à force de patience, Martin parvint à ouvrir le sas. Alors, son dard s'enfonça profondément, procurant à Diane une sensation étrange, pas vraiment vaginale mais pas désagréable non plus. Envahie jusqu'au plus profond d'elle-même, elle ne résista pas à l'envie de remuer son arrière train et une harmonie se manifesta dans le couple. Plus la pine s'activait en elle, plus Diane éprouvait du plaisir. Le battement régulier des deux grosses couilles sur sa chatte lui délivra très vite un plaisir inouï. Le miroir lui renvoya l'image de son visage, bouche ouverte, yeux écarquillés, et celui de son amant, mâchoires crispées, yeux fixés sur sa croupe en mouvement. Elle vit Roselyne aussi qui la regardait avec attention en se caressant le clitoris et Gildas qui recommençait à bander. Diane se surprit à lâcher à l'endroit de son amant :
- Encore, encore, ne t'arrête pas, c'est trop bon !
Elle ferma longuement les yeux et quand elle les ouvrit, le miroir lui renvoya l'image du cul poilu qui s'agitait entre les cuisses dodues de Roselyne, baisée une deuxième fois. La sexagénaire se prit les chevilles dans les mains pour s'écarteler et profiter des assauts du poilu. Quelle santé ! se dit Diane fugitivement à propos de sa grand-mère. Mais le moment n'était pas à la contemplation. Elle était au plaisir qui commençait à déferler en elle. Martin était de plus en plus pointu, de plus en plus percutant. Il allait jouir et elle voulait l'accompagner. Sentant qu'elle s'abandonnait, l'homme jeta ses dernières forces dans la bataille et laissa enfin son sperme jaillir dans le préservatif en poussant un cri rauque, aussitôt accompagné de celui, strident, de Diane. Le couple bascula sur le côté et observa la fin des ébats de l'autre. Roselyne talonnait les reins de Gildas en hurlant "viens viens viens". Visiblement à bout de forces, la sexagénaire stimulait son partenaire pour qu'il éjacule une seconde fois ce qui fut fait après de multiples coups de reins qui vidèrent le mâle de toute sa substance. Sur le lit, l'épuisement était général. Fouillée dans ses entrailles, Diane ressentit un besoin soudain d'aller aux toilettes pour se vider, ce qui fit sourire Roselyne :
- C'est normal la première fois mais tu t'y feras et c'est mieux qu'un laxatif.
Eclats de rire sur le lit. Puis tout le monde prit le chemin de la douche. Les deux hommes s'en retournèrent chez eux, laissant Roselyne et Diane seules et nues sur le lit à évoquer l'épisode érotique qu'elles venaient de vivre ensemble.
- Merci mamy, franchement, ça valait le coup, lâcha Diane.
- N'en parle pas à ta mère surtout, que ça reste entre nous.
- Bien sûr. Mais j'ai envie de recommencer. Avec toi.
- On verra. Tu es jeune, pas moi. Il va falloir que je récupère un peu. D'autant que ton grand-père va vouloir sa part à son retour.
- Tu vas tout lui raconter ?
- Bien sûr et ça va tellement l'exciter que je vais encore passer à la casserole. Heureusement, ce sera plus calme qu'avec nos deux lascars.
- Il te sodomise aussi ?
- Régulièrement. C'est son pêché mignon. Il adore mon cul.
- Et le miroir ? C'est son idée ?
- Oui.
- Quel pied j'ai pris en nous regardant baiser. Ces fesses d'homme qui s'agitent, mmmmhhh...
- Eh bien voilà, tu sais ce que c'est que le sexe maintenant. A toi d'en faire ton profit.
Et les deux femmes finirent pas s'endormir, repues, apaisées...

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