Initiation Sexuelle De Paula Par Maître André. Premier Chapitre

INITIATION SEXUELLE DE PAULA PAR MAÎTRE ANDRÉ.
PREMIER CHAPITRE

Maître André prépare une surprise à Paula et lui a demandé de la rejoindre à Vientiane.
Elle doit prendre l’avion à Paris. Il lui a ordonné de ne se refuser à aucun homme qui voudrait profiter de son corps pendant le trajet.

L’hôtesse la mène à sa place de première, elle est contre le hublot, l’avion d’une compagnie du Golfe a le luxe des avions d’antan.
Dans le siège d’à coté vient de prendre place un homme d’une trentaine d’années, il fait dans les 1m70 bien proportionné, on dirait un athlète.
Il n’y a pas grand monde en première séparée par un rideau des classes de secondes. Une dizaine de personne dont un couple avec leurs jeunes s et des hommes d’affaires.
Paula a repéré un bel homme très grand et très musclé, elle se dit que c’est vraiment son type et qu’elle ne se refuserait pas à lui s’il le désirait.

Paula est vêtue d’une étroite jupe bleue et d’un chemisier blanc bien échancré gonflé par sa poitrine opulente qui laisse entrevoir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge selon les recommandations du Maître.
Des rideaux peuvent être tirés entre chaque rangée de fauteuils pour rendre plus intimes les places.

Elle est partie pour de longues heures de vol et observe les deux s de douze ou treize ans, un garçon et une fille qui s’adressent à l’hôtesse comme à une bonne. Deux petits morveux qui lui font même des grimaces.

Ça fait maintenant plusieurs heures qu’ils sont partis de Paris et son voisin a engagé la conversation avec elle, il a l’air assez sympa et les sujets de discussions s’enchaînent, ils ne voient pas le temps passer.
Son bagage à main la gène et son voisin lui propose de le mettre dans le casier au dessus de sa tête.
Elle accepte volontiers, sa jupe ultra courte risquant de trop remonter quand elle lèvera les bras.
Il s’exécute, se collant contre ses jambes pour se rapprocher des casiers et une fois le bagage déposé baisse les yeux et a une vue plongeante sur son chemisier qui ne cache plus grand-chose de sa merveilleuse poitrine.


Les heures passent. La cabine s’assombrit et les hôtesses passent pour aider les passagers à préparer la nuit. Paula a maintenant les jambes étendues sur le siège en position couchette. Elle a un peu glissée et sa jupe est remontée sur ses cuisses, elle devine le regard de l’homme.
Elle a conscience d’être un peu impudique mais ne fait rien pour y remédier.

Ses paupières se ferment et Paula se voit comme dans un rêve, complètement nue, sans défense, son corps livrée à la tentation de son voisin qui ne pourra pas réfréner ses pulsions.

Des fantasmes peuplent ses rêves, des lèvres explorent son corps, des phallus se frottent contre elle essayant d’explorer son corps, forçant ses cuisses pour s’enfoncer dans cette grotte inconnue, faisant une longue course en elle avant de se vider de leurs sucs.

Il est 23 heurs. Son voisin vient d’éteindre son plafonnier plongeant dans la pénombre leurs deux sièges.
Elle s’abandonne à sa rêverie et sa main droite se glisse sous sa jupe qu’elle a recouverte d’une couverture pour atteindre son pubis bombée.
Elle explore de ses doigts son sexe mais la jupe trop serrée la gène et elle descend la fermeture éclair.
Ses doigts frôlent le bouton de chair en érection avec tendresse.
Sans s’en rendre compte, une plainte étouffée s’échappe de ses lèvres quand sous ses doigts agiles elle sent poindre l’orgasme.
Soudain une main vient de se poser sur la sienne, elle ne sait que faire vu sa conduite et n’interromps pas son geste.

Ses rêves s’envolent dans les nuages et elle attend la suite, la main appuie sur la sienne mais ne bouge pas, exerçant une pression supplémentaire sur son clitoris dardé.
Au bout d’un moment assez long, une deuxième main vient de se glisser sous la couverture, se pose un instant sur son genou avant de glisser le long de la cuisse et atteindre la fourche de son corps.
Paula a un sursaut et veut échapper à la main baladeuse mais se souvient des ordres du Maître.

Elle se tourne sur le coté pour faciliter les caresses de l’inconnu mais il retire soudain ses mains, elle n’a pas le temps de réagir qu’elle sent sa jupe glisser le long de ses cuisses jusqu’à ses genoux.
Les mains remontent et l’une d’elles caresse son ventre plat, se glisse dans sa culotte, la force à écarter les cuisses pour prendre enfin son sexe gonflé, la main ouverte s’anime et à chaque caresses, plonge dans le sillon des lèvres charnues toujours de plus en plus loin.

Paula se mord les lèvres, le corps arqué, sentant le spasme libérateur pour ne pas crier.
Il joue avec son corps la rapprochant de l’extase sans jamais la laisser l’atteindre, ne s’occupant d’aucune autre partie de son corps.
Paula le supplie du regard, des larmes brillent dans ses yeux.
L’inconnu saisit de sa main libre la main de Paula et l’attire sur son pantalon qu’il avait préalablement ouvert.
Il la force à la refermer sur sa verge dressée et guide ses mouvements de haut en bas le long de son phallus. Les accélérant ou les ralentissant à son gré.
Rassuré par sa docilité à ses désirs, il la laisse continuer seule, elle s’est rapprochée pour faciliter la manœuvre et il appuie soudain sur la tête de Paula sentant sourdre dans des bourses l’explosion libératrice.

Leurs ébats ont réveillé l’un des s qui s’empresse de réveiller sa sœur. Le rideau de séparation n’a pas été entièrement tiré et ils ne manquent rien du spectacle pourtant interdit aux mineurs.
Pas un mot ne sort de leurs bouches en cul de poule.

Longtemps, il arrive à se contenir mais les doigts de Paula ont pris de l’assurance et branlent avec vigueur ce chibre majestueux, glissent le long de la grosse veine gonflée jusqu’aux testicules, remontant en torsadant la verge cambrée pour finir sur la pointe hyper sensible du membre qu’elle ne semble jamais atteindre tellement celui-ci semble encore s’allonger.
Puis la main repart encore et encore, étranglant la chair turgescente quand soudain le gland doublant de volume, s’embrase et ne peut plus retenir la montée de la semence libératrice.


Paula a beau si attendre mais elle reçoit avec exaltation les longs jets blanchâtres, ses bras, son visage, sa bouche, ses cheveux sont couverts du sperme odorant que dégorge sans cesse la lance victorieuse. Il semble à Paula sous l’abondance des éjaculations qu’il ne va jamais se tarir.

Quand enfin elle retire sa main de son pieu dressé, son voisin saisit du bout de ses doigts son clitoris et en quelques instants l’amène à la jouissance.
Elle lui susurre à l’oreille en s’essuyant avec la couverture:
-J’ai du sperme partout, il va falloir que je me change.

Soudain la lumière revient et l’hôtesse annonce la prochaine escale de deux heures avant de reprendre leur vol. Les passagers peuvent descendre à l’escale s’ils le désirent.
Paula en profite pour prendre une douche et se changer, elle n’a sous la main qu’un sweet léger pour remplacer son chemisier taché. Mais il est si moulant que les pointes de ses seins forment deux bosses proéminentes dans le tissue moulant.
Un appel a demandé de rejoindre le bord.

Paula a regagné sa place, enjambant son voisin, elle se demande si ce qui s’est passé avec lui est réel ou imaginaire.
Le vol a reprit, l’avion a été nettoyé, une couverture propre remplace celle tachée de sperme.
Paula remet son siège en position couchette mais cette fois s’étend et prend ses aises sans aucune pudeur, repliant ses jambes, remontant sa jupe en tirant sur le tissu pour être plus à l’aise.
L’éclairage se tamise à nouveau jusqu’à se qu’il ne reste que des veilleuses, l’avion est à nouveau plongé dans l’obscurité.
Elle tourne sa tête et observe son voisin, elle devine son regard posé sur elle qui semble attendre.
Soudain l’homme se penche sur elle et essaie de l’embrasser, elle se laisse faire et répond en collant ses lèvres aux siennes.
Il pose ses deux mains sur son sweet, elle lève les bras pour lui faciliter la tâche, ses seins ronds et volumineux jaillissent libres de toutes entrave.
Il cherche la fermeture de la jupe, tire dessus, elle se soulève pour l’aider et la jupe se retrouve au sol.

Les mains de l’homme ont vite fait de la débarrasser de son minuscule slip, la voilà maintenant entièrement nue.
Il l’attire contre elle, l’embrasse à pleine bouche et commence à la caresser d’une main sur tout le corps pendant que la deuxième se glisse entre ses fesses et un doigt fureteur s’engloutit dans la crevasse humide.

De petites plaintes échappent à Paula, le souvenir de la longue hampe rigide attise ses envies.
Son voisin prend pitié d’elle quand enfin elle sent le membre nu qu’il vient de libérer de sa prison de tissu et qui se dresse entre leurs deux corps.
Il la soulève dans ses bras et la fait passer par-dessus lui pour l’assoir sur ses cuisses. D’une poussée rectiligne, il s’introduit en elle, la rigidité absolue de son phallus et le vagin lubrifié des secrétions intimes de Paula facilitent la pénétration. Il s’enfonce au plus profond de sa grotte d’amour et commence à grands coups réguliers à faire aller son membre en elle.

Paula a le regard attiré par un mouvement du rideau de séparation. Les deux garnements ont soulevé un coin et les épient, les pupilles dilatées en voyant le rostre dur disparaître entre les lèvres intimes de Paula, ses seins sont animés d’une vie propre à chaque coups de boutoir.
Elle éprouve un vertige en pensant au tableau vivant qui fascinent les gamins.
Elle est pantelante sous les ruées de cette verge infatigable, de ce bélier dans son ventre, il la fore sans ressentir la fatigue, depuis combien de temps déjà ?

Elle essaie de réfréner son orgasme pour prolonger son plaisir.
Elle regarde les s qui ont vu qu’ils étaient démasqués, que doit-il se passer dans leurs têtes ? Elle essaie d’imaginer leurs pensées.
Mais une accélération de son partenaire et une brusque enflure de la colonne de chair qui la déchire lui fait comprendre que l’instant libérateur est imminent.
Elle ressent dans son corps l’orgasme quand un fouet de sperme s’échappe du méat abuté au col de sa matrice, son utérus aspire avec gourmandise les coulées crémeuses que dégorge sans discontinuer l’engin reproducteur masculin.

Il achève son orgasme restant fiché en elle, puis la redépose sur son siège et étend la couverture sur son corps dénudé.
En un instant elle sombre dans un sommeil plein de rêves merveilleux.

L’avion a rattr le soleil et Paula se réveille, regardant le ciel par le hublot.
La couverture a glissée et elle prend conscience qu’elle est étendue nue à coté de son voisin encore endormi.
Elle veut se recouvrir mais son geste reste en suspend, un homme, debout dans le couloir la regarde, c’est l’inconnu qu’elle avait trouvé si attirant quelques heures auparavant.
Elle le voit encore plus grand dans sa position, il est si beau qu’elle en oublie sa nudité.

Le regard de Paula l’examine de haut en bas, ses yeux, son nez, sa bouche charnue qui n’attend que des baisers, ses pectoraux saillants. Elle poursuit son étude, une saillie démesurée tend son pantalon.
L’inconnu se penche, ramasse prestement les vêtements de Paula et ne dit qu’un mot.
-Venez.

Elle se d dans la couverture et le suit, heureusement que les rideaux tirés des autres passagers la cache à leur vue s’ils se sont réveillés.
L’inconnu la fait entrer dans le cabinet de toilette et referme la porte derrière lui.
Il lui retire la couverture et l’adosse au lavabo. Elle laisse échapper un petit cri quand elle voit le reptile herculéen sortir de son pantalon.

Le contraste est saisissant avec l’homme de grande taille, elle n’est pas très grande et le gland dardé au bout de cette tige pharaonique atteint presque jusqu’entre ses seins.
Il met ses mains sur les hanches de Paula et la soulève comme une plume, elle passe ses bras derrière la nuque noueuse au muscles saillants. Elle écarte au maximum ses jambes pour faciliter la pénétration de cette formidable verge qui touche pratiquement le ventre de l’homme.
Il la laisse redescendre progressivement sur son rostre, des larmes coulent sur les joues de Paula quand l’organe démesuré de l’inconnu entre en elle la déchirant.
Elle essaie de s’appuyer à la cloison pour aider de son mieux son partenaire à faire glisser en elle ce jonc vigoureux qui entre au plus profond de son sexe.
Elle se tord sous l’accouplement hors-norme, râle, halète, le déchire de ses ongles plantés dans ses épaules du dieu grec.
Il la soutient pour ne pas la blesser par une pénétration trop profonde et en quelques instants, son sperme vient rejoindre la semence encore présente en elle de son précédent amant.
Il se retire, la repose au sol et lui demande.
-Tu as aimé ? Tu en veux encore ?
Paula ne répond rien mais son regard gourmand sur le serpent fabuleux encore dressé veut tout dire.

L’inconnu la retourne, elle prend appui des deux mains sur le lavabo, il lui saisit les jambes dans ses grosses mains et les soulèvent, les écartent le long de son corps et introduit son épée tendue dans le fourreau étroit de Paula. Elle manque défaillir sous les assauts sauvages qui semblent vouloir la déchirer pour pouvoir introduire en totalité la verge démesurée.

La joute dure plus longtemps que la première fois avant qu’il ne se vide de nouveau en elle.
Il se rhabille et lui dit.
J’espère qu’on se reverra, je te laisse ma carte. Habille-toi maintenant, je regagne ma place. Attend un moment avant de faire de même.

Paula a regagné sa place, son voisin de siège la regarde bizarrement après avoir vu passer quelques instants avant l’inconnu dans le couloir de l’avion.

Le vol est terminé, Maître André est venu l’accueillir et lui demande dans le taxi qui les mène à l’hôtel.
-Alors, ton vol c’est bien passé ? As-tu fait des rencontres ? Racontes-moi tout, je veux tout savoir !

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