Cherche Locataire ...Homme
Depuis que jai été dépucelée par un oncle a dix-sept ans je ne peux concentrer mon amour sur un seul homme, pourtant mariée jadore affoler les gars, mais pas nimporte quels gars, pas celui propre sur lui, gominé, imbu de sa personne, qui croit que la femme est un objet lui appartenant et na quà claquer des doigts pour se faire sucer, baisser la culotte juste ce quil faut pour quil puisse se soulager et repartir la tête et les couilles vides !
Non, je cherche un homme pas spécialement beau, effacé, timide, qui na pas de chance avec la gente féminine, celui qui nen croira pas ses yeux lorsque je lui dévoilerais par inadvertance un décolleté vertigineux ou mon fond de string et qui hésitera à me baiser malgré mes encouragements discrets, je sais que celui-là me donnera tout ce que jattends pour laisser éclater une jouissance sans égale avec celle que la modeste queue de mon mari me procure, il en est conscient et se doute que je comble mes désirs à lextérieur , du moment que je tiens la maison correctement et que je ne refuse pas à lui ça lui suffit !
Rien que den parler des bouffées de chaleurs irradient mon bas-ventre, ça fait un mois que je ne suis pas sortie des clous, mon terrain de chasse favorite ? très banal, cest en travaillant que je débusque celui qui me fera vibrer le temps dune visite dappartement, effectivement je travaille dans une agence immobilière, je me suis spécialisée dans la location-vente dappart et studios meublés
La plupart de mes clients sont des célibataires qui suivent leur boulot ou en instance de divorce et cherchent un deux pièces au maximum, lors du premier entretient au bureau ma chatte sait reconnaitre celui qui pourra le mieux la fourrer, elle me le fait savoir en évacuant une bulle liquide au fond de ma petite culotte, aussi pour le rendez-vous de visite je mets toutes les chances de mon côté, jarrive en avance au studio et commence par ôter le soutien-gorge qui comprime mes seins, justement aujourdhui jattends un homme de quarante-six ans Julien D.
Le studio en question est composé dune grande pièce comprenant un petit lit de cent-vingt, cependant équipé dun très bon matelas, coin cuisine, table fixée au mur, deux chaises et dun cabinet de toilette douche- WC, une fenêtre amène seulement de la lumière mais pas de panorama a couper le souffle car a quatre mètres cest un mur dusine gris, pas de quoi vous remonter le moral ! seule consolation, le prix est raisonnable
Jattends fébrilement, un peu comme une fille de joie attend son client ! le tissu de mon corsage qui frotte sur ma poitrine fait dresser mes tétons, immanquablement un il exercé devine la liberté de mes seins, ha, enfin le voilà, je vais ouvrir
- Bonjour monsieur D. entrez je vous en prie
- Bonjour madame, alors cest le fameux studio ?
- Oui..., un vrai petit nid damour, il est très fonctionnel !
- Cest vrai, du lit je pourrais presque éteindre le gaz ! je plaisante, de toute façon je nai pas le choix ?
- Je nai que celui-ci pour linstant
- On peut ouvrir la fenêtre ?
Quand il me parle il sadresse à mon décolleté pour le moins généreux, il faut que je trouve très vite le moyen de laccaparer, jouvre la fenêtre et me penche à lextérieur faisant ainsi ressortir mon postérieur, il sapproche pour voir dans la rue, intentionnellement je ne lui laisse pas la place il est obligé de venir de côté se coller à moi, je peux vous dire que le paquet, encore au repos, qui sécrase sur ma hanche cest du lourd ,prometteur dune bonne partie de cul, il est conscient de sa proximité et ne se prive pas de se frotter sur moi
- Bon, je me contenterais de cette vue
Je ne sais pas sil parlait de la rue ou de mes seins, il est temps de porter lestocade
- Dans tout ça il faut retenir le meilleur, vous pouvez vous balader en petite tenue chez vous sans risquer de choquer les voisins !
- Cest vrai vu que ça marrive souvent
mais excusez-moi madame je vous écrase !
- Ce nest pas désagréable
houlà ! jai une soudaine envie pressante, je vais aux WC et je reviens
- Faites
Ce nest pas lépaisseur de la cloison en carton et celle de la porte qui masque le chuintement caractéristique de lurine au passage de mes lèvres pour vite se transformer en chute du Niagara directement dans leau de la cuvette, je me surprend à penser que jaurais aimé quil soit genoux devant moi et tende sa main entre mes cuisses afin que je pisse entre ses doigts fourrés dans ma fente
jai beau tourner la tête autour de moi, pas de papier hygiénique
il ny a plus quune solution qui en fait marrange, je quitte ma petite culotte pour essuyer ma touffe garnie de gouttelettes iodées et mes lèvres maculées de mouille, volontairement je laisse mon sou vêtement au pied de la cuvette et rajuste ma jupe, jouvre la porte sans la refermer ,mon client juste en face regarde incrédule ce petit chiffon bleu électrique qui git sur le carrelage, son regard va de ma culotte à mon ventre, il doit penser : elle est vraiment à poil ? un peu rouge je tente de me justifier
- Excusez-moi mais il ny a pas de papier alors jai paré au plus pressé, je la prendrais en partant, avez-vous testé le matelas ?
- Non, je vous attendais
- Regardez-moi cette souplesse à la fois moelleuse et dure, juste comme il faut pour passer de bonnes nuits torrides avec une petite copine
Je me laisse tomber assise sur le bord du lit, le matelas accuse à peine mes cinquante kilos !
- Venez tester vous aussi !
- Daccord
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Lorsque ses quatre-vingt-dix kilos atterrissent je perds léquilibre et fais un bond, je me retrouve sur le dos jambes pendantes, les pieds écartés de cinquante centimètres, ma jupe a mis cuisses, la pomme dAdam de lhomme remonte à trois reprises, je nose et surtout ne veux plus bouger
ses yeux regardent mon entre jambe il se dit sans doute que sil se penchait il pourrait voir ma chatte, puis il rive ses yeux perçant dans les miens, je ne peux soutenir ce test alors je les ferme
une main enfonce le matelas prés de ma tête, un genoux frôle le mien, une autre main se pose sur ma cuisse et remonte entrainant ma jupe vers le haut ,je soupire daise, je vais enfin me faire baiser !
- Ne bouge pas, je vais te satisfaire puisque cest ça que tu veux
- Mmmmuuuuuummmmmmm
- Ta moule est trempée, tu me fais bander
- Mmmmuuuuuummmmmmm
- Ouvre-toi davantage
- Mmmmmuuuuummmmmm
- Tas raison, ne dit rien popaul va te perforer les entrailles
- Bouffe-moi avant
- OK mais pas de frais dentrée ?
- Accordé
Il se laisse glisser au sol, ses grosses paluches écartent mes cuisses autant que ma souplesse le permet, sa barbe naissante de mec viril gratte lintimité de mes lèvres entrebâillées, heureusement sa langue agile fait vite oublier cet inconvénient, mes cuisses serrées sur ses oreilles et mon bas-ventre accompagne le cuni bienfaiteur, il boit à ma source comme sil sortait du désert, un cri spontané et ultime coup de bassin lui signale ma jouissance, il se retire le visage barbouillé ne sachant quelle suite à donner, reconnaissante je me rassois et men prend à sa ceinture de pantalon, il maide autant quil le peut afin de libérer sa monstrueuse érection, un dard décalotté bat nerveusement la mesure juste devant mes yeux , pour le maitriser il me faut les deux mains !
Javale goulument un bout de ce trophée suintant quil accompagne de légers coups de reins, mes mains font rouler les testicules poilus, un de mes doigts va même jusqu'à saventurer vers son anus, surpris ? excité par cette caresse inattendue ou inconnue ? jai à peine enfoncé une phalange quil décharge dans ma gorge en grommelant des mots obscènes, je relevé les yeux vers lui et me laisse retomber jambes largement ouvertes, le message est passé, en catastrophe il se débarrasse de ses vêtements et viens me recouvrir de son corps imposant prenant soin de ne pas mécraser, près de ma matrice sa verge raide bat la chamade, habilement je me positionne essayant de membrocher moi-même sur cet ergot qui rebique vers le haut
- Baise-moi julien
perfore mon con jusquaux couilles
- Ma bite va te ressortir par la bouche espèce dallumeuse
Son membre entre en moi lentement dune poussée que rien ne pourrait arrêter, mes organes bousculés font place à cette épée de chair brulante, littéralement décollée du matelas, bras et jambes noués je maccroche à lui comme à une bouée de sauvetage, le puissant mouvement de balancier produit mécrase la chatte sur son pubis, il me ramone divinement le vagin, un orgasme puissant éclate, assouvie je me laisse tomber sur le lit mais tenace il continue à me baiser afin d obtenir sa jouissance et libérer au plus vite sa semence en moi, ce quil fait en ahanant me croyant libérée je me tourne pour me lever mais une main puissante men empêche
- Fout-toi à quatre pattes, jen ai pas fini avec toi
- Pas le cul ! Pas le cul !
- Non, pas le cul ! jai simplement envie de voir ma bite coulisser dans ta fourrure, le cul ce sera pour le mois prochain lorsque tu viendras chercher le loyer
- Mais ça doit se faire par virement ?
- Pas question de banque, tu viendras tous les mois sans culotte te faire payer le loyer
- Cest daccord, je viendrais, tu me fais trop de bien
- Si tu voyais ma queue glisser entre tes poils tous collés par la mouille, une bague de mousse sest formée à la base de mon membre
- Fourre-moi le pouce dans lanus
- Deux doigts cest plus long !
- Je veux encore jooooooouuuuuuuiiiiiiirrrrrrr !!!!!! tape fort dans ma cramouille !
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