Locataires Et Colocataires

Pour ceux qui connaissent les conditions actuelles, il savent les difficultés de trouver un logement décent pour un prix aussi décent. Avec ma nouvelle copine nous trouvons ce qui pourrait être notre nid. Une belle villa, à 2 minutes du centre, avec jardin de 800 M², piscine et des pièces grandes, lumineuses, avec chauffage central. Le prix en est prohibitif pour nous deux seules. Nous demandons deux jours pour avancer sur le loyer pour ne pas perdre cette perle.
Reste le principal : trouver des colocataires solvables et sympa. C’est Laurence qui tombe sur les perles : deux autre filles de notre âge, comme nous étudiantes. Elles viennent le soir même pour que nous nous mettions d’accord. Laura et Charlotte sont cousines et franchement elles donnent une impression de sérieux.
Nous pouvons aménager sans problème, quatre filles c’est du sérieux pour l’agence. Nous passons le weekend en aménagements divers. Nous sacrifions notre peu de temps libre pour aller nous baigner dans la piscine au fond du jardin, bien isolée de tout le voisinage. L’eau y est chaude, surtout en fin d’après midi grâce au soleil généreux de la région. C’est Charlotte qui la première se jette à l’eau, elle est devenue une sirène avec son allure très féminine et sa façon de nager. Elle va au fond du bassin pour en remontrer totalement conquise. Sans se soucier des autres, elle enlève son soutien gorge et repart dans la nage. Nous sommes toutes admiratives de ses façons de nager. Encore une fois une vrai sirène, surtout les seins nues. Quand elle revient encore, cette fois elle enlève le string pour être plus à l’aise. Sa cousine Laurence nous rassure : Charlotte vit souvent nue, même dans la maison, c’est sa façon d’être elle-même. Elle nous renseigne également sur les mœurs, elle n’aime que les filles comme elle d’ailleurs.
Cela ne nous gène pas du tout, au contraire, avec Martine, si nous ne nous promenons pas nues, nous nous aimons toutes les deux.

Charlotte entend que nous sommes ensemble avec Martine. Elle ne perd pas le nord :
- Puisque vous aimez les filles, vite venez nues avec moi.
- Pourquoi nues, nous avons de jolis maillots.
- C’est pas une raison, j’aime connaitre les filles toutes nues, comme moi, en plus ça n’engage à rien.
Elle a raison, nous sommes cachées de tout, nous pouvons être nues sans gêner les autres.
Je donne l’exemple et me montre comme la nature m’a faite. Les autres suivent, nous formons une bonne bande de beautés bien fichues. Nous allons dans la piscine rapidement. La copine de Charlotte est prude. Il n’empêche que quand Charlotte la prend dans ses bras pour l’embrasser elle ne dit pas non. Elles se mettent dans un angle pour s’aimer.
Elles nous donnent envie de nous masturber avec Martine. Nous allons dans le coin opposé pour nous câliner un peu, nos lèvres se touchent pendant que nos langues visitent la bouche de l’autre. Je sens des mains sur mes seins. Martine adore me tripoter la poitrine. Son tripotage me met dans tous mes états, elle me ferai faire trois fois le tour de la terre pour qu’elle me caresse ainsi, elle a réussit une fois à me faire jouir rien qu’avec mes seins. Je me contente de lui passer ma main sur sa fente, je peut tout lui caresser, surtout son joli petit con. Normalement cet endroit est réservé à ma langue.
Nous entendons les soupirs de Laurence, elle doit avoir un orgasme. Nous nous tournons vers ce couple pour voir que Charlotte est assise sur le bord, les jambes bien ouvertes et la tête de son amante entre elles. Elle me donne envie d’être sucée. Toujours prête pour ce genre de caresse Laurence, à cause du goût de ma cyprine m’aide à m’assoir. J’écarte mes cuisses en large pour qu’elle puisse bien venir dans tout mon sexe. Je lui laisse choix, de toutes façons, quoi qu’elle fasse je jouirai. Laurence en est déçue.
Je me laisse pencher en arrière, me tenant par les bras. Je ne vois plus que le ciel bleu à travers mes paupières fermées.
Par contre je sens bien la tête aimée monter lentement vers ma chatte. J’adore attendre sa langue ainsi. Je la reçoit comme souvent sur l’anus. Justement là où j’aime quand elle entre sa langue, pas beaucoup, juste ce qu’il faut pour m’exciter. Je lève un peu mes jambes pour les passer sur ses épaules, elle le préfère pour mieux me sucer. Bien sur je ne tarde pas à jouir avec sa langue plantée de peut être 3 centimètres dans le cul.
Pour le moment ça me suffit largement, je suis assez fatiguée par notre déménagement. Je lui propose de la branler si elle le désire. Laurence refuse ma caresse pour prendre ma place sur le bord, je pense qu’elle veut que je la suce mais pas du tout, elle ne veut qu’une seule chose, se faire du bien toute seule devant nous trois. Elle appelle les autres pour qu’elles participent avec leurs yeux à son plaisir à elle. Nous sommes donc trois spectatrices pour la regarder : elle passe ses deux mains à l’intérieur des cuisses, caresse légèrement l’anus, sans hésiter elle met deux doigts dans son con. Elle se fait jouir ainsi une fois pour recommencer aussitôt après en se grattant le bouton.
Elle ose demander aux autre ce qu’elles pensent de sa masturbation. Je la trouve excitante, je me garde bien de le dire de peur qu’elle me demande de baiser encore une fois. Charlotte est prête à la caresser si Laurence le veut. Bien sur Laurence accepte une baise même légère avec l’amie de notre colocataire. Par contre elle ne veut pas baiser près de la piscine, elle préfère le confort d’un lit.
Toujours nues, les deux filles traverse le jardin pour aller dans une chambre. Charlotte commence à prendre la tête de notre groupe. Elle l’emmène donc dans sa nouvelle chambre. Avec Laurence nous sommes curieuses de voir la suite.
La suite est simple : elles commencent par un baiser prolongé, leur premier. Laurence caresse les seins de sa future amante, elle ne le fait pas aussi bien qu’avec moi. Elle accepte la main de Charlotte sur son clitoris.
Sans complexe, elle se laisse caresser par une autre que son amante qui la regarde sans se cacher. Laurence jouit rapidement avant de branler Charlotte. Elles se laissent tomber sur le lit, se pelotent à peine avant de se mettre la tête aux pieds. Charlotte écarte ses jambes pour donner sa fente à Laurence qui ne manque pas l’occasion de lécher un autre sexe.
Je les regarde en devenant de plus en plus excitée, surtout qu’elles tournent sur elle-même, les langues toujours dans le sexe de l’autre, sans jamais se séparer. Je reste à leur coté, comme Laura. Je ne sais comment j’ai osé mettre ma main sur le sexe de Laura. Elle me laisse la masturber quand j’ai mis 2 doigts sur son clitoris. Je reçois moi aussi sa main sur mon con. Elle branle très bien, j’ai l’impression que c’est Laurence qui me fait du bien. Elle me donne envie de la sucer également. Je murmure à son oreille :
- Tu veux que nous fassions comme elle en 69 ?
- Oui, elles me donnent envie.
Pas de problème de couple, nous baisons uniquement pour le plaisir de baiser. L’amour du cœur n’a plus rien à voir avec nos étreintes.
Ainsi deux couples de lesbiennes sur le même lit se font jouir en 69. Le temps passe assez vite, nous échangeons de partenaires. Je me retrouve donc avec l’amante de celle que je viens de baiser. Je profite de sa grande expérience : il me semble que de toutes les fille ici présente, elle est la plus douée.
Nous arrêtons après cet après midi entière de baise. Nos sexes sont fatigués à cause des nombreux orgasmes.
Dans le courant de la soirée, comme à son habitude Charlotte se promène toute nue, elle s’approche pour embrasser Laura, elle profite de l’occasion pour lui demander la langue sur son bouton. Charlotte reste debout, les jambes ouvertes se faisant sucer. Mon amante Laurence se lève pour aller chercher dans notre chambre ce que nous appelons notre amant : il s’agit d’un double gode avec deux glands suffisamment long pour ce à qui nous le destinons.

Revenue, elle me demande de m’allonger, vient très près de moi, ses fesses près des miennes, met dans son vagin un des deux bouts, l’enfonce assez pour me le mettre dans le mien. Elle le fait aller et venir, comme une bite dans nos cons. Je peux me masturber à la fois. C’est pour moi un instant de plénitude totale : une bite, même fausse dans le ventre et mes doigts sur mon clitoris. Je jouis comme rarement. Quand nous en avons terminé, c’est Charlotte qui nous demande de le lui prêter.
Elle commence par le mettre dans son cul avant de le mettre dans celui de Laura. Laurence, en bonne hôtesse propose de manier le gode. Les deux gouines sont d’accord. Laurence sait bien le manier, elle en a l’habitude avec moi.
Elle s’accroupie juste à coté des paires de fesses et commence une bonne série de vas et viens. Les deux filles sont complètements déboussolées par ce plaisir. Sur mes recommandations elles se masturbent à tel point que je ne peux pas échapper moi-même à l’envie d’en faire autant.
Ainsi passent les années à nous aimer entre filles. Charlotte n’a pas perdu ses envies de rester toute nue à la maison.

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