Une Brocante Positive

Une braderie positive

Nous sommes fréquemment sur les braderies, soit en client soit en exposant, ce qui était le cas le week-end dernier. En raison de notre stand, nous nous trouvons souvent côté des professionnels (ce n’est pas notre cas), et cela à l’avantage de retrouver parfois des connaissances. L’ambiance est souvent festive, ce qui est très agréable.
La matinée est assez calme, peu de chaland, peu de contact, ce qui nous laisse le temps de parler avec nos voisins ; particulièrement avec un ; la trentaine, un fort accent du sud, un bagout extraordinaire qui nous amuse beaucoup et nous ravis car il sait faire venir les passants et nous en profitons aussi.
En principe le midi, nous mangeons sur place, surveillant parfois à leur demande les stands voisins partis déjeuner ; alors que mon homme sort la glacière, notre voisin nous demande gentiment de jeter un coup d’œil pour lui, car il va manger avec ses copains et voyant que nous allons manger des sandwichs, il lui propose que je vienne avec eux. Un moment d’hésitation de la part de jean, puis s’installant entre les deux stands, il reconnait que ce sera mieux pour moi ; et me voilà partie. Le repas est joyeux et je passe un bon moment car leurs plaisanteries parfois très coquines restent toujours dans la limite de la courtoisie. Par contre Romuald, sans doute pour se faire mousser auprès de ses copains, n’arrête pas de me drague peu discrètement, me complimentant sur mon physique et ma tenue.
Juste une petite présentation ; j’ai 55 ans, bien conservée par le sport, 170 m et une jolie poitrine (90b) qui malgré mes deux s est toujours arrogante, ce qui me permet, très souvent de me dispenser de soutien-gorge. Ce que j’aime particulièrement, car très coquine et assez exhibitionniste, je ne porte pas souvent de sous-vétements y compris quand je suis en jupe. Aujourd’hui, un chemisier, laissant facilement découvrir la pointe de mes seins et une jupe assez sage, mais pour une fois un string.


Alors que nous sommes tous les deux sur le retour, Romuald me serre de près, trouvant tous les prétextes pour que sa main se promène‘ ‘’innocemment’’ sur moi. Je vois où il veut en venir et finalement cela me plait bien ; c’est un bel homme , charpenté, avec à priori un beau paquet sous le jean et quand il se détourne du chemin pour s’abriter derrière une baraque, je le laisse faire ; ses lèvres se posent rapidement sur les miennes et sa langue se faufile , pour un baiser fougueux ; je le lui rend bien et quand sa main s’infiltre sous mon corsage et vient me ploter les seins, je me colle contre lui ; sur mon ventre, le paquet grossit et une douce chaleur m’envahie ; je sais que je vais me faire baiser et cela me plait beaucoup. Ayant compris mes envies, il m’entraine vers son fourgon stationné à l’écart et me disant « vient, j’ai envie de toi » et ma réponse est claire « moi aussi, mais avant je dois prévenir Jean, passe-moi ton téléphone » un peu étonné, il s’exécute et cela me permet de joindre mon homme et comme à mon habitude et nos accords de lui dire qu’il allait être cocu.si
La situation , si elle l’étonne , l’excite aussi car à peine la porte refermée, je me retrouve allongée sur un tas de cartons et relevant ma jupe et écartant les bords de mon string, ses doigts viennent me fouiller la chatte, déjà bien humide ; je dois reconnaitre qu’il sait s’y prendre car en peu de temps, ses doigts me dilatent me fouillant complétement et sa main me fiste , m’amenant à une première jouissance ; alors que je récupère, il a ouvert son pantalon et une sexe bandé, assez court, épais avec un gland énorme en jaillit ; j’essaie de le sucer, mais il se recule , me prenant les jambes et les posant sur ses épaules, il se positionne à l’entrée de la grotte béante, il me percute, s’enfonçant d’une seule traite ; même si je suis ouverte, mon conduit est dévasté par le gland turgescent et je ne peux retenir un cri, de douleur ou de plaisir car aussitôt emprisonnée dans mon vagin, sa queue commence un infernal pilonnage ; à grand coup, il me possède, me défense, me laboure le ventre ; ma cyprine coule autour de son sexe favorisant la saillie, car s’en es une ; il compris que j’aime me faire prendre et comme de plus je l’encourage à perforer la coquille, il en profite , me traitant de petite salope .
Son coté bestial ne me déplait pas bien au contraire et quand je lui dis « vas-y baise moi bien, j’aime faire cocu mon homme et lui aime savoir que je me fais défoncer » il accentue les coups de butoirs ; à chaque fois ses couilles frappent mon fessier, et c’est à deux reprises qu’il me fait jouir et quand je le sens éjaculer, ses jets de spermes me percutant la paroi et remplissant ma cramouille je ne peux retenir un long feulement de plaisir. Quand il se retire, de ma chatte s’écoulent des filets de cyprine mais aussi de beaucoup de sperme.
A notre retour, sous le regard amusé de nos voisins jean nous accueille, me prenant dans ses bras, tendant de l’argent à Romuald «à voir ses yeux pétillants , je suppose que tu as su la faire bien jouir ; pendant ce temps j’ai fait deux ventes pour toi, ,nous sommes tous les deux gagnants » ; étonné de la réaction de Jean, Romuald a éclaté de rire et s’est promis de renouveler ce chaud moment.
Et il allait le prouver le soir même. Nicole





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