Une Poupée

Vincent et moi nous connaissons depuis 16 mois. Au moment où nous nous sommes rencontré nous avions 28 et 23 ans.

Nous nous sommes rencontré via un messenger. Il avait dû aimer mon portrait qui invitait aux rêveries champêtres: nous aimons tout deux la nature.

Très vite nous échangeâmes nos photos. Il était vaiment beau garçon, un peu minet sans trop en faire.

Quand il découvrit ma photo, il resta un moment hébêté:

-Mais on dirait que tu as 15 ans! On dirait un visage de poupée!

J'étais flattée!

Il se décréta mon grand frère ureux, initiateur à voluptée, à sa voluptée. Il avait beaucoup de fantasmes; moi, j'étais non pas prude, mais timide et réservée. Nos contrastes attisaient ses désirs.

Ainsi nos rencontres internet ne devenaient plus que des rencontres sexuelle où il contait ses fantasmes qui devenaient les miens.

J'étais devenue sa poupée, il était devenu mon maître. J'étais sa possession, ne lui refusais rien pour le plaire. Mon seul but avec lui était de plaire à ce beau jeune homme.

Il m'appelait "Petite" , m'ordonnait des choses, surtout de pendre des photos de moi, nue et terriblement poussées, et lorsqu'il me trouvait récitente, il insistait:

-Mais si, tu oses! Tu as bien osé les prendre! Tu ne me refuse rien, non?

Et je le faisais; je lui demandais:

-Pourquoi est ce que je ne peux jamais rien te refuser?!

Il répliquait:

-Parce que tu es une poupée soumise et obeïssante!

Parfois, il voulait que je me touche en me dictant ce que je devais faire. Mes doigts devenaient sien, un dans mon anus, un autre titillant mon clitoris, je jouissais très vite, et devait lui signaler le moment "fatidique".


Il m'envoya une perle en verre, à mettre dans mon anus, et l'imaginer en moi éveillaient ses fantasmes les plus crus, les plus dominants.

Nous rêvions de nous voir.

Ce jour là arriva lorsque pour mes études j'habitais dans sa ville.

Avant de réaliser nos fantasmes et ne devenir que le dominant et la dominée, nous voulions nous rencontrer.

Je l'invitais un après-midi , mon colocataire étant sorti pour la journée.

Je le savais, mais le contraste était saisissant, il était terriblement timide. Quelqu'un de très gentil, très cultivé, et aussi très beau! Bien plus beau que les photos que j'avais vues.

Il devait lui aussi me trouver à son goût puisqu'il ne me quittait pas des yeux. Nous étions indéniablement attiré l'un par l'autre.

Notre complicité nous rapprocha, je posais tranquillement ma tête sur son épaule, il en profita alors pour m'embrasser voluptueusement. Nous étions comme pris au piège dans la tourmente du désir.

Mes mains parcouraient son thorse sur son vêtement. Enhardi, il m'allongea sur le canapé, affolant mon corps de mille caresses sur le tissus. Mes soupirs devenient plus profonds, régulier. Il me déshabilla, me faisant reposer sur lui encore vétû.

Ses longs doigts chercherent mon anus. Il me pénétra d'un doigt, puis de deux. Il était très étroit et Vincent était ravi de cela puisqu'il n'y avait que lui qui avait été visité ce trou, même d'un simple doigt.

Ce fût la seule fois jusqu'à présent où nous fîmmes l'amour. Nos prochains rendez-vous étant la concrétisations de nos fantasmes.


Pour notre prochain rendez-vous, je lui avais donné le double de mes clef, puisque nous avions décidés d'installé une sorte de rituel, je devais l'attendre nue, dans mon lit, les yeux bandés, la bouche baîllonée, les oreilles bouchées, et la petite perle en verre dans mon anus.

Je le sentai approcher de moi, ses mains écartaient prestement mes fesses pour la retirer avec sa bouche. Il me lêchait l'anus de sa langue gourmande et un peu use. Mettait un doigt à la place, le retirait si vivement que j'en tressaillis.


Il me fit mettre à genoux, bien cambrée, prenant ma main, pour que je mette un de mes propres doigts. Pour conciderer à quel point, j'étais humide, il plaça sa main entre mes cuisses. Sans doute satisfait, il me fit replacer de sorte que je puisse introduire un de mes doigts dans mon trou en réalité déjà innondé, sans que l'autre doigt de quittât mon anus.

Je devais me toucher devant lui, écarter mes jambes du mieux que je pouvais et être à la merci de son regard. Ne rien voir, ne rien enttendre était opressant, mais comme une poupée bien sage, je ne faisais cas de rien et me touchait comme il me l'avait si souvent demandé sur internet.

Je sentis soudainement sa bouche humide contre mon baîllon. Je gémissais. Il ôta le baîllon pour m'embrasser à pleine bouche, et doucement je pus entendre, il ôta mon bandeau des yeux.

Il me tira par le bras pour me mettre droite et à genoux. A ce moment là, je découvris qu'il n'était pas seul. Il avait ammené un homme avec lui. Il me regardait, debout sans rien dire.

Vincent était nu aussi. Il me mit un collier d'esclave, en cuir, large, avec des anneaux, qu'il serra fortement, une laisse, il attira la chaîne vers lui.

-Maître, fais de moi ce que tu veux.

Il me guisa vers son pénis tendu, ma bouche grande ouverte. Il tirait de plus en plus vers lui, s'enfonçant de plus en plus profondemment. Ses coups de bassins devenaient réguliers, je gôbais son pénis entièrement jusqu'à ce qu'il touche ma gorge, j'avais des hauts le coeur, mais ne disais rien; il baisait ma gueule de poupée salope. Avant qu'il ne jouisse il s'ôta avec violence de ma bouche.

Il s'installa sur le canapé et m'ordonna de grimper sur ses genoux. Le ventre posé sur ses genoux, il commença à me punir en me donnant des fessées. Doucement, régulièrement, puis de plus en plus fort. Sa main claquait alors que je poussais des gémissements plaintifs. Il voyait que ça m'exitait.


Il écarta mes fesses pour que l'homme qui était jusque là inactif vienne comptempler de plus pres "mon délicieux anus" selon Vincent.

L'homme ne s'en tint pas qu'au regard et toucha. Il enfonça un doigt, puis deux, et encore un autre. J'avais mal, mais ne s'en préocupa pas. Qui se souciait d'une esclave? Cependant Vincent tenait à garder un droit de cuissage exclusif, il jetta sur mon lit.

Je savais ce que je devais faire. D'une petite voix éffarouchée, je lui demandai si je pouvais lui lêcher l'anus. Il s'agenouilla, les avant bras reposé sur le lit. Il n'attendait que cela. Je le lêchais, pénétrait presque ma langue son anus, aux muscles sérrés mais décontractés.

Je lui mis ma perle de verre, l'enfonçant le plus profondemment possible. Il soupirait de plus en fort.

Tandis que je le lêchais, une main caressait ses testicules, sa queue.

N'en pouvant plus, il se retourna, m'allongea, écarta mes cuisses de ses puissantes mains. Il embrassa mes mes seins, aspira leur pointe, descendit, joua avec mon nombril, descendit encore pour rencontrer mon pubis imberbe, comme il le souhaitait. Il donna de grands coups de langue ainsi que sur ma fente sans l'écarter d'abbord.

-je vais te sucer, ma petite salope.

Je frémis à cette phrase, il savait que j'aimais le mot "sucer" et qu'il en jouait.

Ses doigts écarterent mes lêvres. Sa langue pointa sur mon clitoris gonflé. Il hochâ un peu la tête pour mettre sa tête mieux entre mes cuisses. Il chatouilla mon trou, me pénétra de sa langue, tandis que toujours un de ses doigts sortait et entrait dans mon anus. Sa langue se concentra sur mon clitoris alors que ses doigts pénétraient mon trou trempé, écartaient ma fente humide elle aussi.

Je jouïs, il me força à exprimer mon orgasme en criant, il aimait que je criais si c'était sincère.

Enfin, il remonta vers ma bouche pour m'embrasser, lecher ma langue.

Il appela enfin son ami.


-Il faut que la poupée soit remplit de partout..!

Alors l'inconnu me donna sa queue, bien bandée, à sucer.

Vincent mit deux doigts encore entre mes fesses et me pénétra. Mes cris de plaisir, le poussait à toujours aller plus violemment en moi, sans me ménager.

Je jouïs encore, la queue de l'autre dans ma bouche, je m'etouffai presque. Il jouït dans ma bouche. Vincent, alors, m'embrassa, et nous jouâmes avec le liquide tiède et gluant.

Soudain, Vincent se retira pour jouïr sur lui-même. J'étalai sa semence sur son corps, le lêchant goulûment.

Un sourire béat se dessina sur son visage. Il était fier de moi. J'avais été à la hauteur de ses espérances.


Maintenant, je suis sa colocataire, ce qui stimule bien plus encore notre libibo et nos fantasmes de possession, nous sommes devenus les esclaves de l'un l'autre.

Août 2004

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