Laureen Et Moi

Laureen et moi

Je tiens tout d’abord à vous remercier pour vos messages sympathiques suite à ma série de récits « Karine et moi pendant le stage ». Beaucoup d’entres vous m’ont demandé une suite mais mon stage a pris fin sans qu’il ne se passe plus de choses ou du moins, des choses qui n’ont pas déjà été plus ou moins racontées. Mais comme vous avez aimé le thème du sexe au travail, je vais vous raconter ce qui m’est arrivé lors de mon précédant emploi. Suite à mon stage, j’ai trouvé un emploi dans le bureau d’études d’une entreprise assez connue, que j’ai depuis quitté depuis pour plusieurs raisons.

Lorsque je suis arrivé dans l’entreprise, j’ai vite constaté qu’il n’y avait pas beaucoup de femmes, en particulier au BE. Mais l’une d’entre elles a attiré mon attention. Elle s’appelle Laureen, elle a 35 ans. Elle mesure environ 1m75. Elle n’est ni grosse ni fine. Le plus simple est de dire qu’elle est entre les deux ! Elle n’a pas de poitrine mais elle a un joli cul bien généreux et rebondi. Elle est brune et elle a les yeux marron. Rapidement, j’ai remarqué qu’elle est assez réservée. J’ai aussi appris qu’elle est mariée et qu’elle a deux s. Pendant les premières semaines, je n’ai pas trop eu l’occasion de collaborer avec elle et comme elle n’est pas la plus bavarde du groupe, j’ai passé plus de temps à mater son cul lorsqu’elle passait près de mon bureau qu’à lui parler. Mais un jour, pour un nouveau projet, nous avons du travailler ensemble. La première fois qu’elle est venue me voir à mon bureau, elle était toute timide et cela lui donnait un air encore plus excitant. J’ai tenté de me rapprocher d’elle mais je n’ai pas réussi car elle ne parlait que de boulot.

Mais un jour, j’ai réussi à faire bouger les choses. Lors d’une réunion de début de semaine où nous étions nombreux dans une salle assez petite, je me suis retrouvé assis à coté d’elle. Comme nous étions serrés, nos chaises se touchaient et nous étions collés à la table.

De plus, nous étions au bout de la table, dans l’angle de la pièce. Alors que tout le monde prêtait attention au rétroprojecteur et au discours du directeur, j’ai commencé à regarder Laureen. J’ai alors posé ma main sur sa cuisse, sous la table. Elle m’a immédiatement regardé avec un air surpris et elle a tenté de se dégager. Mais j’ai insisté et comme elle n’est pas du genre à vouloir attirer l’attention sur elle, elle n’a pas fait de scandale. A cet instant, je savais que j’avais gagné. J’ai donc continué à caresser sa cuisse. Pour que personne ne se doute de rien, elle a continué à regarder en direction du directeur. J’ai remonté sa jupe et j’ai parcouru son collant. J’ai remonté jusqu’à sa culotte. Elle me jetait des coups d’œil comme pour me demander d’arrêter mais lorsque mon doigt est entré en contact avec sa culotte, j’ai constaté que celle-ci était détrempée ! Il faut croire que la petite timide aime se faire tripoter en publique. J’ai voulu commencé à la doigter mais j’ai vite vu qu’elle serait incapable de dissimuler ses émotions. A la pause, elle part directement aux toilettes.

Je prends moi aussi la direction des toilettes quelques mètres derrière elle. J’entre dans les toilettes des femmes et j’attends qu’elle fasse son affaire. Lorsque la porte de la cabine où elle est s’ouvre, je l’empêche de sortir et j’entre à mon tour. Je pose mes mains sur ses hanches et je lui dis qu’elle à l’air bien excitée de se faire toucher en publique. Elle ne répond pas mais elle ne tente pas de fuir et ne se débat pas. Elle est toute rouge et tremblante. Je lui dis :
«
- Ca t’excite de te faire tripoter en publique !
- Non je suis mariée.
- Peut être mais tu es en manque.
- Non, j’aime mon mari et je ne veux pas le tromper.
- Menteuse, tu as trop envie de baiser.
- Non il m’apporte toute la tendresse dont j’ai besoin.
- Alors dit que tu n’es pas excitée et que tu ne veux pas que je te baise. (Comme elle ne répond pas, je tente d’insérer un doigt dans sa culotte mais elle se débat et dit :)
- Non je ne suis pas porté sur le sexe et je reçois assez de tendresse.

- Alors pars ! (Elle ne bouge pas). Tu as toute la douceur dont tu as besoin mais il semble qu’il te manque quelques choses puisque tu ne bouges pas. Je crois que tu veux te faire baiser ! »

Je la retourne et je la plaque contre le mur. Comme elle ne dit rien et qu’elle reste plantée là à ne rien faire, je vais me servir de son corps pour me vider les couilles et soulager ma bite qui est bien dure depuis la réunion. Je baisse mon pantalon et mon boxer puis je soulève sa jupe. Je baisse son collant que je déchire un peu puis sa culotte. Je reprends ses hanches généreuses dans mes mains et d’un coup sec, j’enfonce ma bite dans sa chatte. Elle pousse un gémissement avant de se reprendre et de ne plus faire un seul bruit. Je la culbute comme une brute et elle semble aimer ça puisqu’entre des gémissements étouffés, elle murmure un : « Oh qu’est ce que c’est bon ». Je la baise encore plus fort et je me colle contre elle. Je sens son odeur délicate et je suce son cou. Elle reste incroyablement silencieuse malgré la violence de ma pénétration. Seuls quelques couinements font un peu plus de bruit que le claquement de mon corps contre ses fesses. Même si elle tente de faire bonne figure, elle ne peut s’empêcher d’exprimer son plaisir et finalement, elle atteint l’orgasme. Ses jambes fléchissent et elle se laisse glisser le long du mur. Je la fait pivoter et elle est maintenant à genoux devant moi. Je place une main derrière sa tête et je baise sa bouche. Elle manque à plusieurs reprises de vomir à cause des violents va et viens que fait ma bite entre ses lèvres fines. Finalement, je fini par inonder sa bouche. Pour l’empêcher de recracher, je laisse ma bite dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle avale. Puis je remonte mon pantalon et je sors. Laureen a remis sa jupe en place et elle me suit. Elle fait comme si de rien n’était mais j’ai bien vu qu’elle a pris son pied. Surtout, j’ai compris qu’elle m’est maintenant totalement soumise et je compte bien en profiter !

Le lendemain, lorsque Laureen arrive, elle semble assez gênée de venir me faire la bise.
Comme à son habitude, elle ne dit pas un mot et va directement à son poste. Elle porte un jean qui moule parfaitement son cul généreux. La matinée se passe normalement. Nous allons manger à la cantine de l’entreprise. En revenant vers le bureau, Laureen marche en queue de peloton. Je me laisse volontairement décrocher pour me retrouver à coté d’elle. Je pose une main sur son cul puis je lui agrippe le bras et je l’entraine vers les toilettes des hommes. Je la pousse dans une cabine et je referme la porte. Elle ne bouge pas et me regarde. Je remarque qu’elle tremble légèrement et que sa respiration s’est accélérée. Je lui ordonne de me sucer. Mais elle reste immobile tout en rougissant. Comme elle n’est pas bavarde et qu’elle a besoin d’être guidée, je ne perds pas mon temps à lui parler ou à lui demander de me faire des choses. Je pose donc mes mains sur ses épaules et je la force à s’accroupir.

Je sors ma bite et je la mets devant son visage. Elle est toujours sans réaction. Je frotte ma bite sur ses joues puis sur ses lèvres. Puis je prends sa main pour la poser sur ma bite. Je tiens son poigné et je la fait me branler. Finalement elle commence à agir et elle agrippe ma bite de sa main gauche. Elle me branle doucement. Je plaque son visage sur mes couilles et elle les lèche. Finalement elle me taille une pipe. Elle fait sa timide mais elle suce assez bien. Lorsque ma bite est bien dure, je la pousse au sol. Comme les cabines des toilettes sont assez longues, elle peut se mettre à quatre pattes. Je descends son pantalon et sa culotte. Elle est donc par terre, le cul bien en l’air avec son jean et sa culotte sur le haut des genoux. Je me place derrière elle et je commence à la sauter. La vision de son gros cul m’excite mais sentir la chaleur de sa chatte me rend fou. Je la saute violement. Comme hier, elle étouffe ses gémissements même si elle laisse parfois échapper quelques couinements qui sont les seules « paroles » qu’elle prononce. Je lui mets des fessées qui arrivent parfois à lui arracher un couinement un peu plus fort.
Son cul est tout rouge et je le caresse en même temps que je fourre sa chatte. D’un coup, j’enfonce mon doigt dans son cul ce qui lui arrache un vrai hurlement. Elle est vierge de ce coté ! J’ai très envie de la dépuceler dans la foulée mais il est déjà l’heure de reprendre le travail. Je gicle dans sa chatte. De son coté, je crois que mon excursion dans son cul lui à couper tout plaisir. Elle se redresse et remonte son pantalon mais elle semble incapable de bouger. Avant de sortir, je dépose un bisou sur sa joue et je lui dis : « Ne soit pas si triste, demain je vais te rebaiser et je ne vais pas mettre que mon doigt dans ton cul. Tu seras plus vierge du cul !

La matinée du lendemain se passe comme d’habitude. Plus l’heure du déjeuner approche et plus je suis excité à l’idée de baiser le cul de Laureen que je vois plusieurs fois passer devant moi. A midi, je la vois partir et je réalise que nous sommes mercredi. Or elle ne bosse pas le mercredi après midi. Je vais devoir attendre un jour de plus. Tant pis pour elle, elle va prendre cher demain. Je planifie une réunion avec elle demain matin juste après l’embauche. Je cherche à réserver la salle qui est la plus isolée et surtout la plus discrète possible (par exemple, j’évite la grande salle vitrée en plein milieu de l’open space). Finalement, je trouve une salle qui me convient et qui est justement faite pour un nombre réduit de personnes qui doivent travailler sur des sujets sensibles. Cette salle fera l’affaire.

Jeudi matin, j’attends Laureen à mon bureau. Lorsqu’elle arrive, je lui dis que j’ai planifié une réunion. Je vois à ses yeux qu’elle a compris ce qui va lui arriver. Nous prenons donc nos ordinateurs et nous nous dirigeons vers la salle. Nous y entrons et je bloque la porte à l’aide d’une chaise. Laureen est debout devant la table. Elle a posé son PC et me fait face. Je pose mon PC puis je m’approche d’elle.
«
- C’est le grand jour pour ton gros cul ma coquine !
- Non s’il te plait.
- Arrête de faire la petite fille timide. J’ai compris que tu aimes ma bite plus que tu ne le voudrais. »

Je la plaque sur la table. J’ouvre un peu son chemisier. Je lui glisse quelques bisous dans le cou et je lèche la partie de sa poitrine qui dépasse de son soutien gorge. J’ai envie de lui démonter le cul violement mais je sais aussi que si je le fais directement, elle va tellement souffrir que même avec son caractère de soumise, elle ne sera peut être plus à ma merci. Je décide donc de faire glisser sa jupe le long de ses jambes. Puis c’est au tour de ses collants et enfin de sa culotte. Sa chatte toute lisse est face à moi et je constate qu’elle est très humide. Je la tire sur le rebord de la table et je m’assois sur une chaise en face d’elle. Je suis entre ses jambes que je caresse avec mes doigts. Puis je pose ma bouche sur sa chatte. Elle pousse un gémissement et son corps se raidi. Sa mouille a bon goût. Je la broute un long moment puis j’insère tout d’abord un doigt puis rapidement trois en même temps. Elle est très excitée et c’est le moment de passer aux choses sérieuses. Je lui ordonne de se retourner. Elle s’exécute et c’est maintenant son cul qui me fait fasse. Je le caresse doucement puis de manière plus violente. Je lui mets quelques fessés et je plonge ma langue entre ses deux globes généreux. Ma langue commence à jouer avec son petit trou. Elle ne semble d’abord pas vraiment apprécier mais dans un second temps, elle fini par se détendre. C’est à ce moment là que j’insère un premier doigt dans son cul. Elle tente de me repousser mais je bloque son bras et je continue de forcer l’entrée de son cul avec mon doigt. Elle se détend un peu et son cul commence à s’ouvrir.

Je ne peux plus attendre et c’est le moment que je choisi pour y insérer ma bite. Je baisse mon pantalon et je frotte ma bite déjà toute dure entre ses fesses. Je me branle un moment contre elle tout en continuant de la doigter avec maintenant deux doigts. Elle pousse des petits gémissements de douleurs mais ce n’est rien comparé au cri qu’elle pousse au moment ou je commence à m’enfoncer en elle. Elle hurle tellement fort que j’ai peur que nous soyons grillés. Je fais donc juste quelques va et viens avec mon gland tout en écoutant ce qui se passe autour de nous. Mais comme rien ne se passe, je décide d’y aller très fort. Je lui bourre sa culotte dans la bouche pour ses cris puis j’agrippe ses hanches et je m’enfonce assez lentement mais d’un seul coup jusqu’au fond de son cul. Lorsque j’arrive au bout, je ressors puis je la pénètre à nouveau de cette façon. Son cul est très serré mais il commence à céder. Je la saute alors sans aucune retenue. Je la bourre très vite et très violement. Elle pousse des gémissements de douleurs et je vois des larmes couler le long de ses joues. Mais à force de se faire défoncer, son cul commence à s’ouvrir et ses cris de douleurs deviennent des couinements de plaisir. Mais cela fait un bon moment que je la bourre à fond et son cul est tellement étroit que je sens l’orgasme arriver. Finalement, je remplis son cul avec mon sperme. Lorsque je sors ma bite de son cul, un filet de sperme reste collé entre ma bite et son cul. Je prends sa main pour nettoyer tout ça et je lui fais lécher ses doigts. Je lui mets une tape sur les fesses et je lui dis :
«
- Ca y est coquine tu es une vraie femme maintenant. Avoue que tu as aimé. (Elle devient toute rouge et répond du bout des lèvres).
- Oui.
- Quoi j’ai pas entendu ?
- Oui.
- Quoi oui ?
- J’ai aimé.
- Qu’est ce que tu as aimé ?
- Et bah ce que tu viens de me faire.
- Dis le ce que tu as aimé que je te fasse.
- Que tu me sodomises.
- Tu veux dire que je te bourre le cul comme une grosse salope bien soumise ?
- Oui.
- Quoi oui ?
- J’ai aimé que tu me … Que tu me bourre le cul.
- Que je te bourre le cul comme quoi ?
- Comme une, une grosse salope.
- Une grosse salope bien soumise ! Alors tu es la mienne ?
- Euh, je, je, je ne sais pas.
- Tu viens de le dire que tu aimes te faire bourrer le cul. Et je vois bien que sous ta timidité, tu aimes te faire dominer. Ca te change de ton blaireau de mari. Alors tu es la mienne ?
- Oui je suis ta grosse salope bien soumise.
- Tu vois quand tu veux ! Tu as fini par comprendre ce que tu es : ma grosse salope bien soumise. Alors maintenant ton cul m’appartient. En fait tout ton corps m’appartient. Tu m’appartiens, tu es ma salope à moi. Ok ?
- Oui.
- Je vais bien m’amuser avec toi ! Surtout avec ton gros cul même si je connais des filles de 16 ans qui sont moins serrés que toi. Et tu vas prendre du plaisir toi aussi crois moi. Au fait à partir de maintenant, tu ne porteras plus de culotte et tu mettras des bas plutôt que des collants. Je veux que tu sois tout le temps en jupe avec des bottes. Tu m’excites tellement comme ça.
- D’accord.
- Aller vient m’embrasser pour me montrer que tu es d’accord. »

Elle s’approche de moi et pose ses lèvres sur les miennes. Elle commence à reculer mais je prends son visage dans mes mains pour l’en empêcher. Puis je sors ma langue et après un petit temps d’hésitation, elle ouvre sa bouche et nos langues entrent en contact. Je lui roule une bonne pelle puis je la libère de mon emprise. Elle se rhabille. Elle commence à remettre sa culotte lorsque je lui att le bras. Elle me regarde et comprend tout de suite. Je lui prends sa culotte des mains et je la mets dans ma poche. Puis je lui mets une tape sur les fesses pour lui faire quitter la salle. Il est seulement 10h et la journée est loin d’être terminée.

Je marche derrière elle dans le couloir qui mène au BE. Je ne peux m’empêcher de regarder son cul qui se dandine devant moi, ce cul généreux que je viens de fourrer. Je remarque que la démarche de Laureen est différente de tout à l’heure. Elle doit avoir mal au cul ! Le reste de la matinée se déroule normalement. A midi, nous allons manger et après le repas, je croise le regard de Laureen et je lui fais un signe de la tête. Elle comprend immédiatement et elle prend la direction des toilettes. Je la rejoins quelques instants plus tard. J’entre dans les toilettes et je vois une porte entre-ouverte. J’entre et je vois Laureen qui est à quatre pattes en appui sur la cuvette, le cul bien en l’air avec sa jupe sur les hanches. Je verrouille la porte et je me place derrière elle. Je peux voir le sperme que j’ai déposé dans son cul tout à l’heure qui a coulé et qui à séché le long de ses fesses et de ses cuisses.

Je positionne ma bite devant sa chatte et je commence à la fourrer. Je caresse ses cuisses puis ses fesses avant de m’accrocher à son cul. Je la saute plus violement et je claque son gros cul. Cela me donne envie de la sodomiser. Je sors de sa chatte et je lui tire les cheveux pour qu’elle se cambre bien. Comme elle s’est redressée, j’en profite pour remonter la lunette des toilettes puis je fais passer sa tête dedans avant d’appuyer sur la lunette pour l’obliger à se pencher bien en avant. Elle est totalement coincée et offerte. J’entre alors pour la seconde fois de la journée dans son cul. Je la baise sans retenu. Comme à son habitude, elle étouffe ses gémissements du mieux qu’elle peut même si cette fois ci, elle est plus bruyante que d’habitude. Après de longues minutes de bourrage intensif, Laureen a son premier orgasme anal. Comme je lui ai bien ouvert le cul ce matin, elle est moins étroite et je n’ai pas encore jouis. Comme elle est toujours coincée par la cuvette, je ne peux pas accéder à sa bouche mais la voir dans cette position m’excite beaucoup. Je frotte donc ma bite contre son cul avant de lui attr le bras gauche et de lui tordre dans le dos. Je pose ma bite dans sa main et elle me branle frénétiquement jusqu’à ce que je gicle sur son dos. Je me rhabille et je laisse Laureen a quatre pattes dans les toilettes avec du sperme plein le dos et la tête dans la cuvette.

Le lendemain, je n’ai pas l’occasion de la baiser durant la matinée car elle enchaine les réunions. Mais je remarque qu’elle respecte mes consignes puisqu’elle porte une jupe et des bottes comme je lui avais ordonné. Je dois recevoir un client en tout début d’après midi et je n’ai donc pas le temps d’aller la sauter après manger car je dois décaler l’heure de mon déjeuner. Finalement, c’est vers 15h30 que je me débarrasse enfin de ce client. Je retourne à mon bureau et j’attends avec impatience qu’il soit 16h. D’une part car c’est l’heure à laquelle nous terminons le vendredi et surtout parce que je vais enfin pouvoir sauter Laureen. D’ailleurs je la surveille du coin de l’œil et lorsqu’elle éteint son PC, je fais de même. Elle sort et je lui emboite le pas. Nous arrivons sur le parking. Nous sommes presque garés cote à cote. Je lui dis de me suivre. Elle commence à vouloir parler mais je lui dis de ce taire et de me suivre. Je monte dans ma voiture et je sors du parking de l’entreprise. Laureen me suit. Je connais un endroit isolé derrière un entrepôt à l’abandon dans la zone industrielle où nous sommes. Je me gare et je me dirige vers la Clio de Laureen. Je lui dis de passer à l’arrière et j’y monte moi-même. J’aurais aimé me la faire sur le capot mais le temps ne s’y prête pas vraiment.

Je monte donc dans la voiture et je tire Laureen vers moi pour l’embrasser. Je peux sentir sa délicieuse odeur et apprécier le goût de ses fines lèvres. Je passe ma main sous sa jupe pour caresser ses cuisses et sa chatte. Je lui ordonne ensuite de me sucer. Elle veut me dire quelque chose mais je pousse sa tête vers ma bite avec mes mains. Mais aux regardes qu’elle me lance, je vois que ce qu’elle veut me dire semble important. Je la libère et elle me dit :
«
- Je dois aller chercher mes s à l’école.
- Non ton rôle c’est de me vider les couilles !
- Il faut au moins que je dise à mon mari d’y aller.
- Ok, envoyons le cocu alors. Donne ton portable je lui dis par sms pendant que tu me suces. »

J’appui sur sa tête pour que ma bite pénètre sa bouche. Puis elle me suce d’elle-même. Je prends alors son portable et j’écris à son mari : « Désole, j’ai une réunion hyper importante qui était pas prévue. Faut que tu ailles chercher les petits à l’école ». Pendant ce temps, ma salope n’a pas perdu de temps et elle caresse mes couilles tout en me suçant. Je lâche son portable et je la doigte rapidement. J’ai maintenant envie de la prendre mais comme nous sommes tout les deux assez grand, nous n’avons pas beaucoup de place à l’arrière d’une Clio. Elle place son dos sur la banquette et ses jambes sont en l’air. Naturellement, sa jupe glisse le long de ses cuisses et j’aide la gravité pour les derniers centimètres qu’il reste à découvrir. Je me place entre ses cuisses en la tenant par ses bottes et je fourre ma bite dans sa chatte. Je la prends comme la salope qu’elle est. Elle fait en sorte de faire le moins de bruit possible mais comme personne ne pourra nous entendre, je lui ordonne de se lâcher tout en accélérant mes coups de bites. Elle se met alors à hurler comme jamais. Cela m’excite et je décide alors de la prendre par son cul qui était encore vierge en début de semaine. Je tire d’avantage sur ses jambes pour que son cul soit accessible puis j’y mets ma bite. Je la bourre le plus violement possible. Ses cris de douleurs mélangés à des cris de plaisirs sont encore plus puissants que lorsque je prenais sa chatte. Ses jambes sont calées sur mes épaules et je passe mes mains sous son chemisier pour caresser ses petits seins. C’est la première fois que je les touche autant. Ils sont vraiment très petits mais ils pointent beaucoup. Finalement je vois Laureen se raidir et jouir. Je sors de son cul et je m’approche de son visage sur lequel je gicle de longs jets de spermes.

Elle est encore plus excitante avec son petit air timide et du sperme plein le visage. Je lèche ce dernier et j’embrasse Laureen afin de lui mettre mon sperme dans la bouche. Elle semble d’abord surprise mais elle comprend qu’elle doit tout avaler. Je dépose un dernier baisé sur ses lèvres puis je retourne à ma voiture. Nous repartons chacun de notre coté. Je viens de passer la meilleure semaine depuis que je travaille dans cette boite. Laureen est à moi et chaque jour, je vais pouvoir me servir de son corps pour me vider les couilles. Comme toujours, vous pouvez me contacter par mail à l’adresse suivante : Mcfps@hotmail.fr ou rejoindre le groupe Facebook : Fan des histoires de Jerinak.

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