La Mode

Je vous parle "d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître",(pour être pus exacte il vaudrait mieux écrire les moins de 30 voire 40), celui où les femmes ne s'épilaient pas le pubis, contrairement à la mode actuelle.

Période pour moi merveilleuse qui me permettait dans des soirées "très privées" de délecter mes yeux de ces toisons aux couleurs, formes et coupes très variées. La seule concession faite à la nudité du pubis était d'avoir le bord des lèvres bien rasées pour éviter aux messieurs de croire qu'il faisaient un baiser à un amant moustachu.

Mais quels délices de passer mes doigts dans un gazon dont la longueur des poils évoquait une prairie printanière ou bien taillée très court semblable à un green de golf et dans lequel se cachait un trou qui recevait avec plus de félicités une langue, un doigt, voire un sexe pour les adeptes inconditionnelles des relations hétéro.

J'aimais et aime toujours contempler ces nuances de couleur et de formes dont les caches vendus dans les boutiques spécialisées permettent de faire varier la forme de la forme d'un cœur à celle d'un trèfle à quatre feuilles. Ces toisons permettaient aussi de savoir si le blond des blés murs de la crinière était ou non naturel ou si le roux flamboyant était identique à celle des cheveux cascadant jusqu'à la pointes des seins.

Qu'il était plaisant pour moi de regarder ce duvet au milieu duquel mes doigts allaient chercher un clitoris fièrement dressé comme le cèpe caché sous les bruyères, si l'on est un peu mychologiste. De le faire se dresser sous mon index avant que ma langue ne le transforme en fontaine dont les gouttes suaves viendraient se perdre dans ses tiges les rendant brillantes comme la rosée aux petits matins brumeux.

Bref bien des plaisirs que les hommes et les femmes ne connaissent plus ave ces sexes glabres dont la fente, telle une cicatrice, n'est plus dissimulée sauf si certains ou certaines n'ont des désirs pédophiles refoulés, leurs partenaires n'ayant plus rien à envier à leurs consœurs pré-pubères mais fort vicieuses, j'ai d'autant moins de honte à l'écrire que j'en ai fait partie.



Ces réflexions n'engagent que moi et j'avoue que sucer une chatte épilée ou non reste pour moi un plaisir ineffable !!!

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