Chacun Son Tour... 2/2
- Chérie ?
- Que veux-tu ?
- Houlà doucement ! je veux seulement parler avec toi
- De la plage ?
- Exactement
- Ne me casse pas les couilles avec ta nana
- Dabord ce nest pas ma nana , si je lai sautée cest parce que tu las voulus, bon, javoue y avoir pris un peu de plaisir
- Un peu ? salaud ! tu ne débandais pas !
- Faisons la paix mon amour, je veux te proposer un deal
- De quel genre ?
- Tu te souviens de son mari ?
- Vaguement
- Je suis certain que tu te souviens de son sexe, même sil était au repos il doit être bien monté, en tout cas bien plus gros que le mien
- Peut-être, où veut-tu en venir ?
- Demain il va te sauter
- Quoi ? imbécile ! tu délire ?
- Demain à midi et demi tu as rendez-vous sur le chantier de la gare
- Et ?
- Et ? le chef de chantier, son mari, va te faire entrer pour te baiser dans son bureau
- Et toi ?
- Je tattendrais ici
- Tu ne seras pas jaloux ?
- Alors tu acceptes ?
- Uniquement par curiosité
tu es sûr quil sera seul ? parce quavec tous ces ouvriers étrangers en manque
- Rassure-moi ? tu ne te laisserais pas faire sils étaient plusieurs hein ?
- Qui sait ? !!!! mais non voyons je te fais marcher !
- Je te récupère à quatorze heures pétantes
- A moins quil ne soit du genre endurant ?
- Je compte sur toi pour tout me raconter dans les moindres détails
- Ma chatte parlera pour moi chéri
Les rôles sont inversés, à présent cest moi qui ai mal au ventre et elle parait très décontractée, je lai laissée devant le grillage, aussitôt un gros quatre-quatre noir est venu la récupérer pour lemmener discrètement devant un cabanon
je suis reparti la boule au ventre
a quatorze heure ça fait déjà un quart dheure que je piaffe devant la grille, quatorze heures trente la porte du cabanon souvre enfin, le gars soutient Ingrid pour laider grimper dans le véhicule
elle a dût prendre son compte de pénétrations
, elle est défigurée, décoiffée, le rimmel lui fait un masque de clown, dans sa main un bout de chiffon rouge
le slip quelle portait pour aller à ce rendez-vous, elle sassoie en douceur ,je suppose que son anus est boursouflé
- Alors ?
- Ramène moi vite à la maison jai besoin dun bon bain
- Pas avant que tu maie raconté pourquoi tu es sortie si tard
- Si tu y tiens
avant de pénétrer dans le bungalow Bruno ma bandé les yeux
- Bruno ? vous êtes intimes à ce point ?
- Haaaaaa cest une façon de parler, dès que je suis entrée une odeur de sueur et de chaussettes sales ma suffoquée, bizarrement ça ma plutôt excitée, les bras en avant je ne savais pas quoi faire, il ma guidée pour que je massoie sur un coin de bureau, il me semblait entendre des respirations, plusieurs respirations ainsi que des réflexions étouffées dont je ne comprenais rien, Bruno ma demandé de relever ma robe et décarter les jambes, javais les fesses posées sur du papier, il ma dit que cétait des plans , sa main a caressée mon entrecuisses en insistant sur ma motte, je sentais que mon slip était mouillé, en riant il men a fait la réflexion
- - Tu aimes ça hein ? cest excitant de ne rien voir, de ne pas savoir ce qui va tarriver ?
- Cest vrai jai la trouille
- Tu es venue pour te faire baiser nest-ce pas ?
- OUI !
- Tu penses que jai une grosse pine ?
- Oui ?
- Cest vrai mais hélas je suis un cérébral, je narrive pas à tenir une érection convenable, cest pour cela que je vous ai confié Diana, je me doutais que ton mari la baiserait, elle a vraiment apprécié
- Alors pourquoi mavez-vous faite venir ?
- Pour te baiser
tu vas te déshabiller lentement
- Pour vous exciter ? à quoi bon ?
- Pour exciter Orest et Erkan !
- Qui cest ?
- Mes ouvriers, Orest, un polonais et Erkan, un turc tous deux montés comme des ânes et sevrés depuis des semaines, ça va les changer des filles douteuses ramassées dans des bistrots louches qui leur pompe largent du mois en une heure avec une bonne cuite !
- Je veux partir !
- Tu mouille trop pour repartir sans te faire sauter, je suis certain que tu as envie de sentir leurs grosses paluches sur ton corps de rêve
- Ils seront doux ?
- Ça dépend de toi, tu peux enlever ton bandeau quand tu le désire, si jétais toi je garderais le suspense entier car ce ne sont pas des jeunes premiers ! leurs queues te feront oublier la beauté
- Je suis prête
.
- Erkan ? Orest ? allez y elle est à vous pour une heure, pas de brutalité regardez ce grain de peau satiné à lintérieur de ses cuisses et ce joli cur dessiné sur son pubis, sans parler de ses nichons !
Des mots en français écorché approuvent ce paroles, une odeur de sueur se fait plus précise, les hommes approchent de leur proie, des mains empoignent mes chevilles pour les écarter, deux autres pèsent délicatement sur mes épaules afin de me faire basculer en arrière, trop excitée pour revenir sur ma décision je ne cherche pas à résister, ni à retirer mon bandeau leffet psychologique est immense, donnée en pâture a deux mâles virils quelle femme normalement constituée na pas rêvé de ce moment de folie ?
Un souffle chaud effleure les lèvres de ma vulve, même les yeux bandés je reconnais une odeur de bite prés de ma bouche, son propriétaire me fait tourner légèrement la tête afin que je puisse emboucher son énorme gland, décalottée ou circoncise ? ma salive efface vite le parfum durine et me permet de pratiquer une fellation appliquée, plus bas ma chatte sollicitée par des doigts épais et une langue lippue finissent douvrir mes entrailles pour une relation hypersexuée, au loin la voix de Bruno me parvient il commente graveleusement ce quil voit
- Vous voyez les gars ? je ne vous ai pas menti elle est bonne cette bourgeoise, défoncez lui la moule
- Oui chef ! je vais la baiser tout de suite
- Moi je vais lui faire avaler un litre de foutre !
- Ensuite une bonne double vaginale !
- Hooooo yeeeees chef !
- Vous pourrez mamener un jeune polonaise un de ces jours ?
- Une jeune turque aussi chef, cest possible !
- Aussi ! pour linstant tringler moi cette salope
Un torrent envahit ma gorge, je suffoque, je tousse ce qui a pour effet dexpédier une vague de cyprine en plein visage de mon bouffeur de chatte qui se redresse en pestant
- Chienne ! tu veux me noyer ? attend, je vais tenfiler mon gourdin entre les jambes
Dun geste brusque je fais voler mon bandeau
au-dessus de moi une tête affreuse me sourit montrant des dents noires, a mes pieds un type bedonnant sapprête à enfiler une matraque recourbée et noueuse comme un cep de vigne, dinstinct je relève mes jambe et les posent sur ses épaules carrées, après avoir craché sur son nud il le pointe entre mes babines gorgées de sang, son copain maide à me relever afin que jassiste à la pénétration laborieuse, centimètres par centimètres le manche entre dans mon ventre faisant leffet dun accouchement à lenvers, entré aux trois quarts il se retire pour donner un coup de rein brutal , jai cru déchirer lorsque sa toison pubienne hirsute sest mêlée à mes quelque poils, je sens sa bite battre la mesure comme si un être vivant de débattait dans mon ventre
- Maintenant
BAISONS !!
- AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHNNNNNOOOOONNNNNN !! encore ! encore !
Mon amant sest laissé couler sur le sol mentrainant totalement empalée sur son ventre, lautre qui nattendait que ça vient se poster derrière mes fesses offertes dans une position obscène
impossible pour sa verge imposante de me prendre le vagin en double.
- Quelle bande de salauds ! ils tont laissée partir ensuite ?
- Après que Bruno mait limée durant vingt minutes... ça la fait bander de me voir vigoureusement prise par ses ouvriers !
- Tu y reviendrais ?
- Jsais pas
- Allons a la maison je veux ma part
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