Collection Sm. La Faute À Internet (1/1)

COLLECTION SM. La faute à Internet (1/1)


Comment peut-on laisser passer des images si dégradantes sans les censurer, j’ai toujours été fidèle au précepte que notre curé et nos bonnes soeurs m’ont inculqué dès mon plus jeune âge ?
Pas de main sous ma couverture au collège catholique ou mes parents m’avait enfermé pour que je sois éduqué de la meilleure des manières afin que je devienne une honorable mère de famille très fidèle à son mari.
Le châtiment corporel était de rigueur mais je craignais tellement les simples coups de règle sur mes doigts qu’elles nous administraient pour la moindre peccadille que j’étais rarement une jeune fille désobéissante.
Quand cela arrivait sur le coup j’avais mal mais sentant une certaine chaleur descendre le long de mon corps, à cet âge-là j’évitais de pousser plus loin l’analyse de cette sensation.
J’en ai parlé une fois à confesse et le long moment où j’ai été obligé de rester à genoux sur une pierre froide m’a dissuadé de reparler des sensations qui se faisaient jour dans mon corps à mesure de ma transformation en femme.
J’ai entendu dire que les plus dévergondés recevaient des coups de cravache par la directrice les fesses à l’air, mais ce sont des on-dit n’ayant moi-même jamais subi ce traitement extrême.

Quelque temps après avoir quitté ce pensionnat, papa et maman ont invité un couple de nos amis qui sont venus avec leur fils et j’ignore comment cela s’est fait mais je me suis retrouvée la bague aux doigts un polichinelle dans le ventre sans pouvoir dire que j’avais pris le moindre plaisir.
Il y a presque vingt ans de cela femme complètement frustrée alors qu’à ce moment je l’ignorais.
Mon mari était avocat et sillonnait la France pour défendre des types pleins de fric qu’il arrivait à faire acquitter alors que la moitié aurait dû être en prison mais pourquoi m’en plaindre je pouvais vivre dans le luxe grâce à eux.
Mon fils est parti en Amérique pour faire de hautes études à Harvard, me laissant seule des journées entières.



Un jour ma belle-mère est venue et m’a initié à Internet souhaitant m’envoyer des photos d’un voyage qu’elle allait faire aux États-Unis ou elle allait rencontrer son petit-fils alors que jusqu’à ce jour j’étais juste arrivée à appuyer sur le bouton marche arrêt.
Elle m’a donné des cours pour que je puisse surfer comme elles le disaient.
Pas plus bête qu’une autre j’ai compris comment fonctionnait un E-mail et un moteur de recherche.
Une fois seule j’ai découvert les possibilités de ce que surfer sur la toile nous proposait, j’ai trouvé plein de site intéressant surtout pour de petits achats hors les boutiques de luxe où je pouvais choisir et essayer.

Un jour j’ai regardé si un site qui parlait du collège où j’avais été, c’était le cas mais il avait été fermé pour cause de sévice sur les élèves les traumatisant à vie.
Ils parlaient des règles sur les doigts, je suis allée dans la chambre de mon fils sachant qu’il avait une règle en fer identique à celui que j’avais subie.
J’ai longtemps hésité et j’ai fini par m’en mettre un coup sur mes doigts repliés comme la directrice nous demandait de le faire nous regardant d’un air sadique.
J’ai crié un grand coup mais comme je m’en suis souvenue la douleur s’estompant j’ai senti un certain bien être cheminé en moi jusqu’à mon intimité.
J’ai cherché douleur et plaisir, la plupart des textes parlant du bien et du mal pour finir par découvrir les quatre lettres B.D.S.M.
B. comme Bondage, D. comme Domination, S. comme Sadisme, M. comme Masochisme.

Je découvre un monde dont j’ignorais l’existence mais je veux en savoir plus car Domination et Sadisme je comprends ce que cela veut dire et c’est ainsi que je découvre que le Bondage est l’art de la soumission et de la domination mais les explications que je trouve sont assez ambigu.
Masochisme m’intéresse plus particulièrement car il est dit que c’est la recherche du plaisir passant par la douleur, je vois des vidéos d'hommes ou de femmes faisant souffrir des hommes ou des femmes.

Sur l’une d’elles la femme est suspendue à un crochet les bras complètement retournés derrière elle les pieds reposant à peine au sol.
Elle a une boule dans sa bouche attachée par des sangles, l’exécutant pinçant fortement les fraises de ses seins.
Suis-je maso ?
Je prends ma pointe de sein en forme de poire, le sortant de mon déshabillé et je le pince le plus fortement possible, je tiens le plus longtemps possible avant de lâcher et un grand cri sort de ma bouche.
Je comprends pourquoi la femme a une boule dans la bouche, j’ai peur qu’un voisin ne m'ait entendu et vienne voir ce qui m’arrive.
La douleur est là s’estompant pour faire place à une certaine langueur qui envahit mon corps, pour la première fois une envie irrésistible de mettre mes doigts dans ma chatte me prend.
Je devrais résister comme j’ai appris à le faire au pensionnat mais quand je touche la partie de mon corps que les bonnes sœurs comparaient au mal, certaines même à Satan j’ai un grand frisson, pour la première fois de ma vie je pense que je viens de jouir et qu’est-ce que s’est bon.
Je cherche et je trouve le nom sur un dessin, on parle de clitoris, je me rends compte que j’ai déjà entendu ce nom sans pour autant y avoir prêté attention.
Je regarde plusieurs vidéos et profitant que mon employée de maison est partie pour aller dans la lingerie prendre quelques pinces à linge.
De retour devant mon ordinateur je regarde où ces femmes supposées Masochiste les places, c'est sûr ma poire droite que je la place la prenant comme cobaye manquant de pousser un cri tellement la douleur est forte, j’attends quelques secondes une étrange impression me montre que je suis sensible à ce traitement extrême.
Deuxième pince, poire gauche cette fois, je sens que mon intimité après la douleur semble apprécier.
J’ai peur d’aller plus loin et de m’apercevoir que toutes ces années ma libido a été spoliée par des préceptes iniques qui m’ont été inculqués dans ce collège et à la maison.

Il faut que je continue pour voir s’il faut encore que j’augmente la douleur ou si elle va rester étale comme elle l’est en ce moment.
Je pose mes pieds sur la table de l’ordinateur prenant une position impudique pour une femme ayant reçu mon éducation, mais qu’importe je veux savoir ce que je suis réellement, soit une frustrée du cul qui entend parler de la petite mort sans jamais l’avoir ressenti ou une salope prête à tous pour connaître le plaisir, son plaisir.

Je prends une de mes grandes lèvres sentant que ma chatte est mouillée alors que la plupart du temps elle est presque sèche, je la place, je suis folle, je hurle de douleur quand je la relâche me faisant voir qu’il faut que je fasse quelque chose si je décide de continuer.
Je prends mon chemisier en soie naturel que j’ai posé au sol au moment où je me suis dévêtue et pendant que la douleur s’aplanit je mords la manche avant de me placer le pendant à la première sur mon autre grande lèvre.
J’en mets cinq et m’apprête à me placer la sixième quand je deviens folle, je hurle à cris ininterrompus quand la jouissance monte en moi et je me retrouve au sol sans savoir comment je suis tombé quand j’ai certainement perdu conscience.
Je me traîne à quatre pattes jusqu’à ma salle de bain où je fais couler un bain incapable d’enlever les trois pinces à linge qui sont restées sur ma chatte et celles sur mon sein droit.
L’eau adoucit ma douleur, je mets mes doigts dans ma chatte me faisant une nouvelle fois jouir sans pour autant atteindre l’orgasme et la petite mort que j’ai ressentis quelques instants plus tôt.
Reprenant mes esprits je m’aperçois que je mordais toujours mon chemisier au moment de rentrer dans mon bain et que celui-ci est tombé à moitié trempé au sol, quand je me penche pour le ramasser la dernière pince placée sur mon sein saute en frottant sur le bord de la baignoire je pousse un nouveau cri de plaisir.
La manche que je mords et sur laquelle j’ai dû tirer est à moitié arrachée, je viens de massacrer un vêtement hors de prix acheté dans la plus belle boutique de ma ville mais la découverte que je suis une salope masochiste vaut bien cette grosse dépense.


Je me sèche, vide la baignoire pour récupérer toutes les pinces afin de les remettre à leur place pour éviter que demain des questions dont j’aurais du mal à m’expliquer quand ma technicienne de surface fera son travail me soient posées.

J’ai vu sur Internet des sites qui vendent le nécessaire pour les personnes qui sont adeptes des mêmes plaisirs que moi.
Pendant les cinq jours avant que ma concierge me signale que j’avais un colis je me contente des pinces à linge sentant pourtant que je dois tirer de mon corps par la douleur encore plus de plaisir.
J’aurais bien placé une carotte dans mon anus comme je l’ai vu faire par une soumise mais j’ai peur qu’elle ne se coince et que j’ai des difficultés à l’enlever.

Le colis arrive je l’ouvre et j’ai acheté un kit pour martyriser mes seins, il y a deux pinces dites crocodile avec un anneau pour suspendre des poids, depuis deux jours je les mets en place mettant préalablement la boule dans ma bouche après avoir réglé les sangles.
J’ai besoin de me voir me faire mal aussi je vais chercher ma psyché pour voir et les images sur l’ordi et la vision de ce que je me fais, j’ai une jolie poitrine bien ferme et sans aucun scrupule que je place la première pince croco.
La douleur avec la pince à linge a été insoutenable sur le coup mais les petites mâchoires dentées qui éclatent la poire au bout de mon aréole faisant sortir un peu de sang me procurent une douleur sublime bien plus fort.
Je suis capable de supporter bien plus de douleur alors je place les poids maxi qui sont de 200 grammes, je les fixe ayant enlevé les autres et je retrouve la jouissance qui m’a fait chuter hier.
Je me vois telle que je suis devenue, une salope car parce que je me fais ma chatte coule sans interruption, ce que je m’inflige est si doux bien qu’extrême aux points qu’à un moment il faut que j’aille prendre un bain.

Pendant deux jours chaque fois que je suis seule je suis nue et je me martyrise, dans ma boîte je trouve les aiguilles que j’ai commandé une femme se les faisant enfoncer dans les seins.
Je les désinfecte comme il est prescrit mais dès que j’enfonce la première dans le lobe de mon sein droit je pousse d’un centimètre, il faut que je sois franche 0,5, impossible d’aller plus loin la première fois mais finissant par me transpercer avec délice

Je cherche les bonnes choses que je pourrais me faire pour aller encore plus loin dans mon masochisme, je tombe sur un site d’Histoire de sexe où des auteurs écrivent de belles histoires sur les dominants et dominées.
Dans un texte un Maître propose à ceux qui le désir de le contacter pour se faire dominer hélas sans me donner le moindre E-Mail pour le faire, je cherche sur mon moteur de recherche et je trouve des adresses Mail me proposant ce que je cherche.
Nous correspondant et comme j’ai la chance d’en trouver un dans la ville voisine je m’habile prend un taxi et arrive chez cet homme.

J’ignore depuis combien de temps je suis chez lui, j’ai trouvé le cadre que je cherchais, je vis la plupart du temps dans une cage où je peux à peine bouger, il va sans dire que j’ai dans les seins des piercings permanents où il me met des poids dont je suis incapable de dire combien ils pèsent.
La seule chose que je peux dire c’est lorsque je suis suspendu à un crocher saucissonné par des cordes qui sont serrées au maximum ils pendent faisant bander mon Maître.
Il m’a percé le clito et cousu la chatte avec des anneaux qu’il peut me mettre ou m’enlever à volonté, il me place souvent sur une croix où je suis fouetté m’apportant une jouissance extraordinaire.
J’ignore si mon mari sait où je suis passé mais je m’en fiche, la cave où je vis correspond à la maso que je suis certainement de naissance.

Je vous écris mon histoire sur l’ordinateur portable qu’il m’a apporté sur la table où je suis attaché au pied par une chaîne fixée sur un collier qu’il m’a placé sur mon cou avec des rivets qui m’empêchent de l’enlever.
J’ai passé un contrat avec mon Maître, j’écris cette histoire qu’il va envoyer au site HDS, Internet ne passant pas dans sa cave, contre un mois de punitions en contrepartie, je vais être gagnante j’en suis certaine.
Vous êtes les seules à savoir que je suis dans ma cave à prendre un plaisir extrême grâce à Internet et sûrement pas de « la faute d’Internet » comme je l’ai écrit dans le titre.

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