Le Chantier (78)

Deux de plus dans la tribu, Nadia a conduit Aurélie jusqu’à nous, jeune femme qu’Alexandra a refusée à son fils Antonin, étant enceinte d’un autre garçon même si lui l’aimant était près de reconnaître l’.
Ce refus a entraîné la jeune fille à tomber sous le joug d’un proxénète, je devrais dire d’une proxénète dans le car qui l’amenait à Bruxelles cette dernière ayant profité de sa faiblesse.
Tout est bien qui finit bien après son arrivée chez nous, mais le plus dur reste à faire dans le cas où Angélina la repousse, nous serions dans l'obligation de choisir entre elle et elle, mais la deuxième était déjà bien installée dans la ville après son rapprochement avec les apôtres.
Mon bon cœur me perdrait si je n’avais pas un peu calculé ce risque préalablement pouvant compter sur mes louves pour m’aider à faire basculer la décision de l’une ou de l’autre.
Ne me suis-je pas sortie de situation bien plus difficile, ma cave pourra-t-elle m’aider avec mes filles pour caresser l’arrière-train de l’une ou de l’autre voire les deux pour les faire avancer vers une solution acceptable pour tous.
Je considère que nous sommes une famille et qu’elle prime sur les convictions personnelles.

Le soir je vois que le problème est réglé à court terme quand la maman et sa fille sont installées dans la chambre et le petit cagibi où Christian et Petrov ont installé un petit lit bien confortable tout de même.

Au jour et à l’heure prévue je suis devant l’église où le père Jean attend la venue du corps de la doyenne de la ville, la place est noire de monde, ce qui fait chaud au cœur, dans son homélie notre jeune curé parle d’une vie qui finit alors qu’une autre commence faisant, lui aussi certainement allusion à ma grossesse.
Hilda est-elle passée par là, ce qui me rassure, c’est que c’est avec Baudoin qu’elle passait la soirée et j’espère la nuit, la connaissant ayant loupé son ami aux habits violets elle est capable de se contenter d’un petit curé même de campagne.


Il finit ses dernières phrases par les deux âmes qui malgré l’espace-temps énorme à l’échelle du monde viennent de se retrouver par-delà les vicissitudes de la vie.
Les apôtres s’approchent de moi.

• Valérie, après avoir accompagné madame Clémence à sa dernière demeure près de son mari, j’aimerais que l’on se retrouve à l’étude, tu es concernée dans le testament comme maire de la ville.

Je suis rassurée, je me voyais encore personnellement héritière de cette femme quand ils ont commencé à me convoquer.
C’est Angélina qui à son tour s’approche.

• Valérie, tu vas à l'étude de Mathieu et Luc, ils doivent aller faire une course et j’ai à parler avec toi.
• On y va à pied, cela nous dégourdira, c’est beau pour cette femme d’être parti par cette belle journée de janvier.

Nous arrivons devant l’étude, ce que je présentais est réel Angélina a les clefs, elle entre et semble comme chez-elle.

• Je t’offre un thé.
• Tu sais, j’ai du mal à garder quelque chose dans mon estomac, puisque Hilda a vendu la mèche, je peux te dire que j’ai de fortes chances d’être enceinte de Christian.
• Comme je suis heureuse, ce que j’avais à te demander est très futile en rapport de cette énorme et magnifique nouvelle.

Elle va en cuisine et revient avec deux tasses et une théière.

• Je voulais te dire, moi aussi une nouvelle et surtout te demander un conseil.
• Je suis tout ouïe.
• J’étais dans ta cave, ou tu m’avais lâchement abandonné nue sur le banc avec ce gros gode entrant et sortant de moi, me faisant jouir un nombre incalculable de fois quand j’ai vu nos amis descendre les marches.
Je leur ai demandé de me libérer ce qu’ils ont fait, du moins du gode, Mathieu a approché sa main et m’a flatté la chatte, il a dit à Luc qu’ils avaient affaire à une vraie salope, car j’avais mouillé le banc et le sol de mes sécrétions.
Ils m’ont mis chacun à leur tour leur main dans mon vagin et j’ai beaucoup aimé.

• Ils t’ont fisté !
• Fister, peux-tu me dire ce que cela veut dire !
• T’ont-ils rentré leur main entièrement jusqu’au poignet dans ton vagin ?
• Quelle horreur, mais dit moi c’est possible de le faire ?
• Je l’ai déjà fait.
• Tu m’ouvres des perspectives avec mes deux mecs.
• Tu es devenue leur maîtresse.
• Mieux leur femme.
• Il est impossible d’épouser deux hommes en même temps en France.
• C’est là l’un de nos problèmes, mais c’est une autre de nos façons de faire dont je voulais te parler.
Voilà après la cave ils m’ont détaché et m’ont proposé de venir chez eux, bref ici, ils m’ont fait l’amour chacun leur tour, mais la nuit dernière il est arrivé une chose aussi spéciale que s’emble l’être ton fistage.
• Je sais ce qu’ils t’ont fait et tu veux savoir si c’est normal, l’un te baisait alors que tu étais sur lui et l’autre est venu derrière toi et t'a enfilé sa verge dans l’anus.
• Y étais-tu ?
• Pourquoi y être, ils t’ont fait une double pénétration, je l’ai souvent fait avec Christian et Petrov quand nous étions amant l’été dernier !
• Moi qui me demandais si je devais aller en parler au père Jean tu me rassures, mais tu es une belle cochonne.
• Et toi, qu’est-ce que tu aies, si je comprends bien ils veulent t’épouser tous les deux.
• Oui, et me faire un .
• L’ regarde-moi, nous serions mère à quelques semaines d’intervalle.
• Ils voudraient que nous trouvions un moyen d’avoir cet en sachant que ce serait les deux, le père.
• Doutent-ils de toi ?
• Non.
• Alors le seul moyen que tu as c’est que chacun d’eux déverse leur semence chaque fois que vous faîte l’amour l’un après l’autre ainsi ils seront père de ton au même titre.
• Malin Valérie et je prendrai deux fois plus de plaisir.
• Tu as tout compris, il y a une autre solution, car tu risques de t’épuiser à te faire baiser par l’un puis par l’autre.

• Laquelle ?
• Le double vaginal !
• Arrête Valérie dit moi qu’il est possible qu’une femme fasse entrer deux verges dans sa chatte, vous êtes vraiment des dépravés.
• Et vivre avec des jumeaux je pense moi que c’est toi la dépravée, mais si tu aimes avoir deux verges à ta disposition, je te fais confiance pour assumer, mais laisse le père Jean hors de ces moments d’intimité qui te sont propres.
• J’ai un autre souci, que va penser Antonin, il va me prendre pour une catin, une roulure et il aura honte de moi.

Je vois dans cette demande la main que le destin me tend.

• Connais-tu Aurélie ?
• La pute de Bruxelles qui a essayé d’embobiner mon fils et se faire épouser alors qu’un autre l’avait engrossé !
• Angélina, tu t’es retrouvé une partie de ta vie dans la même situation que cette jeune femme, comment peux-tu la juger sans appel, c’est parce que c’est ton fils réfléchi un peu, si tu es heureuse avec tes deux mecs, avec mes amis nous pourrons dire que nous y sommes un peu pour quelque chose.
• Je suis obligé de reconnaître que tu as raison comme toujours Valérie, toi tu réfléchis, je suis impulsive.
• Et après ces pulsions tu te trouves obligée d’allée voire le père Jean pour que ton bon dieu te pardonne.
• En gros, c’est ça.
• Crois-tu que toute ta vie tu pourras t’en sortir avec quelques prières pour te faire pardonner.
• Je comprends, mais pourquoi me parles-tu d’elle ?
• Je l’ai fait venir, Nadia l'a ramené de Bruxelles grâce à Hilda qui l’a retrouvé, elle est chez moi avec sa fille Macha jolie petite blonde comme sa maman en attendant, Christian s’occupe d’elles.
• Tu laisses ton mec avec une pute, pardon Valérie, mais je vois ou tu veux en venir.
• Bien, j’ai parlé avec Antonin et m’ai dit regretté de t’avoir laissé le convaincre que c’était une fille facile parce qu’elle avait fauté et que si c'était à refaire, il l’aurait épousé quand même malgré ton ressentiment pour cette jeune fille à cette époque.

Tu as brisé deux vies voir trois peut être, la tienne car tu serais peut-être deux voir trois fois grand-mère alors que moi je le serais que dans quelques jours.

Elle vient se jeter dans mes bras.

• Que veux-tu que je fasse, j’ai une entière confiance en toi.
• J’appelle Nadia, il faut qu’elle m’aide, je suis obligé d’attendre tes hommes ils veulent me voir.

Nadia est à la mairie, elle arrive avec sa voiture bien pratique depuis que je lui ai offerte.

• Angélina appel Antonin qu’il te dise où il est.

C’est chez-eux qu’on le trouve.

• Nadia, allez le chercher et emmène ces deux couillons chez moi ou Aurélie s’y trouve avec Macha, je te donne l’autorisation si notre amie a des velléités envers ton amie de la prendre par ses abattis avec Christian ou Petrov voir les deux pour la clouer au pilori dans ma cave.
• Valérie, même si ton pilori peut-être tentant, fait moi confiance, je vais me comporter en femme adulte, tu m’as donnée une belle leçon de compassion.
• Non, d’amour des autres avants soit même.
• Filé et soit heureuse ma biche, tu le mérite.
• Arrêté vous allé me faire chialer.

Je les vois démarrer au moment ou les propriétaires des lieux arrivent, nous rigolons qu’Angélina soit partie me laissant l’étude et la maison ouverte.

• Notre femme de ménage t’a fait patientée en t’offrant un thé, c’est bien.

A mon regard ils comprennent mon incompréhension.

• Excuse d’avoir essayé de te prendre pour une imbécile, elle t’a tout dit sur notre relation à trois, nous avions échafaudé un plan en cas de questions scabreuses entre nous, elle a bien fait, mentir est source de problème, on se fichent des cons.
Nous t’avons fait venir car Clémence nous avait demander d’ouvrir son testament devant un huissier pour éviter toute ambiguïté, nous l’avons fait et elle donne tout ses biens à la ville, maison sur terrain de presque 5 000 mètres carrées, ainsi qu’une somme de presque 1,5 millions d’euros.
Elle pose seulement une condition, il faut que tout aille aux s de notre ville…

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