Les Routiers 1

Les routiers 1

Je viens de passer un moment très agréable avec un routier et une soirée est revenue dans mes souvenirs.
Je pense que j'avais 23 ou 24 ans cette année là; un corps galbé mais sans excès, lisse, pas crevette mais style jeune adulte, décontracté, petit air viril, brun aux cheveux ras, 1.75m pour 70 /75kg .


Je m'arrête sur cette aire d'autoroute. Il y a bien quelques camions mais, vu l'heure tardive, les routiers doivent dormir.
Je me gare et vais directement vers les toilettes, pour me donner une assurance et un air normal. J'ai chaud, transpire un peu, nullement rassuré dans cet endroit. Personne à trainer. Pourtant, j'ai vu 2 voitures stationnées plus loin.
Je pisse, je réfléchis. Soudain j'entends marcher…..

Un homme arrive pour pisser et s'installe à côté de moi, directement, sans la moindre hésitation. Il me toise et je sens sa main me tâter les fesses. Un balèze mal rasé et ventru. Le mec, pas loin de 1.90m et de corpulence conséquente, la trentaine. J'imagine la bite qu'il doit avoir. J'ai tellement envie de me faire baiser que je le laisse faire.
Devant mon manque de réaction, il a compris que j'étais open pour continuer.

Il me retourne comme une crêpe et me roule une pelle…..Une pelle baveuse, virile, intense. Il a un physique pas terrible mais, putain, qu'est ce qu'il embrasse bien. Il me serre contre lui , m'obligeant à mettre mes mains sur sa nuque …une bête, le mec. Avec sa barbe de 3/4 jours, il pique, me gratte le visage mais il embrasse tellement bien que je le laisse faire.

" On va aller plus loin, on sera plus tranquille.

Je suis ok, en espérant qu'il me tringle. Putain, je vais dérouiller avec ce mec balèze. Il me rappelle un autre mec costaud lui aussi qui m'avait enculé bien profond.

" Attends, je vais récupérer une couverture dans mon camion.

Il se dépêche de rejoindre son camion et revient aussitôt.

Je suis content qu'un routier ai envie de me baiser. C'est le fantasme de beaucoup de mecs. Dans l'obscurité, nous nous dirigeons assez loin des toilettes et il trouve un endroit qui lui convient.

" Allonge toi.
Et nous voilà tous les deux allongés sur sa couverture posée sur l'herbe, dans ce coin tranquille.
Ravi d'avoir trouvé un petit jeune à baiser, il ne perd pas de temps. Il reprend ses câlins et me roule une pelle, ce qui n'est pas pour me déplaire. J'adore si le mec y met les formes. Baiser direct, c'est pas trop mon truc. Il ne m'a pas traité de pédé ou autre saloperies, c'est déjà bon signe.

" Tu piques, avec ta barbe.
" Excuse moi, mon bébé.

Poli en plus….quel homme! et aussi doux, prévenant. Ses paluches caressent mon visage pour se faire pardonner et il me fait des bisous très humides à présent.

" Laisses moi faire.

Ca, j'ai bien compris. Depuis le début, il mène la séance d'une main de maître. C'est pas le mec indécis du tout. Vu le gabarit, on ne doit pas souvent le contrarier.

Je suis sur le dos et il entreprend de me déshabiller…on va y arriver. Je suis venu là pour ça. Il se met à poil lui aussi. Dans la nuit noire, je ne voie presque rien mais je distingue un peu sa silhouette. Passé cette étape, il me caresse partout et se régale de mon corps.
Quand il commence à me sucer le gland, je suis en plein bonheur. Savoir qu'un routier, bâti comme un vigile et mal rasé comme lui, me suce, quel délice.

J'aurais même pas osé lui demander de me sucer, de peur de recevoir une baffe. Et là, il le fait, avec plaisir, avec gourmandise.
Il sent bien que je bande trop et passe alors sur mes couilles sa langue râpeuse, absolument délicieuse. Quand il me lève les jambes pour s'attaquer à mon petit trou, alors là… alors là…le nirvana.

Je n'ai jamais eu un mec à me lécher aussi bien le cul, me rentrer le bout de sa langue dans la rosette, me saliver autant le trou.
Je sens sa barbe dure me gratter la peau tendre des fesses et tout l'entourage de mon œillet….quel délice.
Je lui demande d'arrêter car il va me faire jouir rien qu'en me léchant le cul. Trop content de son effet, il ne s'arrête pas et prend ma tige en bouche. Je sens mon gland tout au fond toucher ses amygdales, ses lèvres bloquées contre mes couilles. Et il force encore, me montrant son envie, sa rage de sexe. Sa barbe dure me râpe les couilles, c'est trop bon. Il arrive à prendre toute la longueur de ma bite, le salaud.
Lorsqu'il reprend à me coulisser mon sexe dans sa bouche humide, chaude comme l'enfer, il est trop tard, je sais que je vais jouir…
Puisqu'il veut ma bite, il va déguster. Je ne me contrôle plus, mes mains appuient sur sa tête presque chauve, le forcent à récolter ce qui arrive…
Je gémis, lui donne un coup de reins pour lui envoyer ma bite le plus loin possible en bouche. Je suis pourtant assez bien monté mais il la prend bien, ne lâche pas le morceau. Je jouis, me libère, crache plusieurs giclées de sperme avec force et énergie jusqu'à me relâcher dans un grand soupir de satisfaction.
Il n'a pas bougé. Malgré mes soubresauts, il a gardé précieusement mon bambou en bouche et, sans le lâcher, s'attarde maintenant à en extraire les dernières gouttes. Ce n'est qu'une fois ramolli qu'il le relâche et viens me lécher les tétons pour finir par me rouler une pelle aussi savoureuse que les autres.
J'adore ce routier. En quelques instant ma queue est passée de l'enfer tout chaud de sa bouche au paradis de sa dégustation. Rien que de l'écrire, je bande et j'ai envie de jouir.

Je lui caresse le visage en signe de remerciement pour cette gâterie. Moi qui était venu ici pour me faire enculer, voilà que j'ai jouis en me faisant sucer.

" C'était bon, mon bébé?
" Oui, trop bon. Tu m'as bien fait cracher. Attends, je vais te faire pareil.

Il se met alors sur le côté et me présente son corps.
Sur le dos, vu son gabarit, ce serait pas pratique. Ses tétons sont absolument magnifiques. Il doit se fait sucer tous les jours, vu ses magnifiques tétons. Au moins un centimètre chacun, noyés dans des poils raides. J'adore ce genre de mecs. De plus, il a un piercing sur un des tétons, j'avais jamais vu ça. Quel homme! Putain, quelle virilité, il a dû avoir mal….quelle endurance pour se mettre ça.
Il ronronne sous mes suçotements et mes caresses dans ses poils.

Lorsque ma main atteint son sexe, c'est le choc de ma vie. Son sexe est petit, absolument tout petit.
Je suis malheureux pour lui mais ne lui fais pas de commentaire. Seul son gland est à peu près présentable niveau taille mais il manque la longueur.
Comme je suis bien élevé et qu'il m'a admirablement sucé, je me met au devoir de lui rendre la politesse. Je le suce sans problème. Il ne risque pas de m' en me l'envoyant au fond de la gorge.
Il ne dit rien lui aussi mais, avec la meilleure volonté, son sexe ne prend pas de volume ni de longueur. Il semble quand même apprécier ma petite gâterie et me caresse les cheveux.
Voulant faire une pause, il ne s'en émeut pas et me serre dans ses bras, fou de bonheur et avide de me faire plaisir.
Je pense que beaucoup de mecs ne doivent pas prendre la peine de le sucer alors il a apprécié.

" Attends, laisses moi faire, mon bébé.

Il avait un sac de sport avec lui lorsqu'il a récupéré sa couverture. J'ai pensé au début que c'était pour mettre une serviette de toilette. Dans la nuit, difficile de savoir ce qu'il en sort.

" J'ai ce qu'il faut pour ton petit cul. Mets toi sur le ventre, mon bébé.

C'est tellement bien demandé que j'obéis. Je suis avide de découvrir…avec une légère appréhension quand même. Je comprends qu'il va me mettre un gode dans le cul.

Il commence par me mettre du gel pour faire passer son engin de plaisir. Il ne lésine pas sur la quantité et me procure des caresses sur toutes les fesses, le dos.
Il est presque couché sur moi et se délecte de la situation. Ses doigts épais me rentrent dans le cul et me procurent des sensations des plus érotiques. Habitué à me faire enculer, je lui offre mon petit trou. Au départ, je suis venu ici pour me faire baiser. Si je peux avoir du plaisir comme ça, pourquoi pas.
Il est doux, habile de ses mains et surtout de ses doigts, qui me fouillent , me dilatent le petit trou. Il décide que je suis prêt pour passer à une étape qui lui tient à cœur.

Lorsque son gode m'ouvre l'anus, je sens quand même qu'il n'a pas pris la taille S, la plus petite …s'il existe des tailles sur les godes. Je suppose que oui.
Il respire près de ma bouche et s'étourdi de mes gémissements. Sa barbe me frôle. Il m'écoute, se réjouis du plaisir qu'il me procure.
Il me balance des " mon bébé " à volonté, m'encourage à accepter ce gode énorme, sans doute la taille qu'il aimerait avoir.
Il me fait changer de position pour me plaquer contre lui de son bras puissant et continue à m'empaler de son engin avec son autre main. Sa langue envahit ma bouche, sa salive me pénètre. Je suis à lui, sa chose, son bébé, comme il dit. Je lui caresse les tétons et le ventre pendant qu'il m'ouvre.
Dans le silence de la nuit, mes gémissements doivent être pour lui un véritable bonheur. Le gode fini par rentrer en totalité et sa main large s'assure d'en plaquer la base.

" J'ai mal, il est gros.
" Détends toi, ça va passer, mon bébé.
Et il appuie encore plus fort sur son gode pour être sûr de l'avoir mis à fond.
Mon cul est dilaté à l'extrême et je suis prisonnier de ses bras, de sa force. Son corps chaud et viril contre moi est un véritable plaisir. C'est comme si un autre mec m'enculait, plaqué contre lui.

On entend soudain un craquement de bois mort. Il y a quelqu'un qui nous épie ou essaie de nous voir. Le mec s'est approché et tente de venir participer. C'est sûr que, dans l'obscurité, il ne doit pas distinguer grand-chose.

"Putain, tu voies pas que je suis en train de le baiser! Laisses moi finir!

Vu le ton autoritaire qu'il a employé, le mec n'insiste pas et recule. Je suppose qu'il attend.

Le routier coulisse alors son gode dans mon cul, m'arrachant des plaintes délicieuses. Plus je gémis et me tortille, plus il me câline, me bave sur le corps. L'excitation monte en lui. Il me relève les jambes pour plus facilement harponner en moi son phallus artificiel, c'est trop bon.
Il fait durer le plaisir. Collé à moi, l'illusion est parfaite d'une réelle saillie. Pour ce qui me concerne, le plaisir est au rendez vous et mes mains s'accrochent à sa nuque, à ses épaules. Je m'offre à lui, lui donnant le plus large accès à mon cul.

"Ouuuiiiii…..Heeeeiiiiiinnnn……Ouuuiiiii

Heureux, ne tenant plus, il retire subitement son gode et vient positionner sa bite contre mon trou sûrement bien ouvert.
Il pousse un grand râle de plaisir, qui sort de son coffre puissant , libérateur…

" HHHHHHAAAAAHHHHHH…..Putain

Je sens sa semence chaude gicler contre mon petit trou, peut être y renter. Peut être m'a-t-il pénétré, c'est possible.

" Tu m'as fais juter, mon bébé. Oh, putain, le pied.

Et il s'allonge, me prend dans ses bras, me bascule sur lui, satisfait d'un si bon coup, d'avoir juté.
Je suis allongé sur lui, le cul à l'air.
L'autre mec est toujours là. Il a bien sûr entendu sa jouissance sans voir le détail.

" Tu peux le baiser, il a envie.

L'autre mec ne se prive pas d'une si bonne occasion et me touche déjà les fesses, cherchant mon cul. Sa main trouve facilement l'ouverture.

" Putain, tu lui as ouvert la chatte, mon salaud. T'es monté comme un âne.

Excité, il se positionne derrière moi. Il m'encule avec une étonnante facilité et me pistonne comme un mec qui se prépare à juter.
Je pense que c'est un autre routier qui profite de la situation. Putain, celui là, il est bien équipé et je sens son braquemart me pistonner et me ramoner le conduit.

" T'aimes bien ça, salope…
"Ouuuiiii……Heeeiiiinnnn
" T'as un vrai cul de salope
"Ouuuiiii……Heeeiiiinnnn
" Ta gueule, salope.

Et il me bourrine, me fait gémir, pour le plus grand plaisir du balèze qui prend son pied lui aussi.

Mon cul largement ouvert excite le mec qui ne tarde pas à se vider dans un râle bruyant. Il se retire aussitôt, me traite de salope et disparaît.

" C'était bon, mon bébé?
" Oui, très bon….Avec toi aussi, c'était très bon.
" Mon bébé, reste un peu avec moi, je vais reprendre ton jus.
Sa grosse main vient tâter mon cul ouvert et ses doigts larges s'introduisent en moi facilement grâce au gel et au foutre laissé là par l'autre routier.

Sans doute très satisfait de ma rencontre, il m'a couvert de caresses, de baisers, dans cette nuit sans lune. Il n'a pas manqué à sa parole et m'a sucé avec douceur, passion jusqu'à obtenir mon éjaculation qu'il a encore avalé sans rien perdre.

Nous sommes restés encore un petit moment ensemble, l'un contre l'autre, jusqu'à ce que la fraîcheur du matin nous oblige à partir. Il a regagné son camion et moi ma voiture. Chacun a continué son chemin.

Malgré sa petite bite, il a su me procurer du plaisir et aussi en prendre. Tout est donc possible.

Bon, certains chauffeurs routiers sont aussi super bien montés, j'en ai fais l'expérience. Du moins, mon cul l'a constaté.


caramel
mail caramel35@orange.fr

Soyez prudents, protégez vous.



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