Alice (5) : Le Club Libertin

Vincent a quitté la région parisienne pour un nouveau job en province. On se retrouve donc de nouveaux seuls pour nos ébats avec Fabien. Un soir, après une séance de baise très hot, mon mari me lance :
-Alice, en fin de semaine, je suis en déplacement. Et si tu appelais ce « Nico » et que vous sortiez ensemble un soir où je serai absent ? J’ai l’impression qu’il réussira à débloquer certains barrages en toi que moi je n’arrive pas à enlever car je suis ton mari, justement.
Je reste interdite quelques instants. L’idée me plaît, c’est indéniable. Mais je trompe Fabien en l’acceptant…
- Mais non, tu ne me trahis pas puisque je suis ok. C’est même moi qui t’y pousse ! C’est justement l’un de tes barrages : la morale ! Au diable la morale ! La seule chose que je te demande c’est que ça ne reste que du sexe et rien de plus. Ne tombe pas amoureuse. Tu es à moi, ajoute-t-il en m’embrassant et me pinçant les tétons jusqu’à me faire crier.

J’appelle donc ce fameux Nico pour voir s’il serait dispo et d’accord. Contre toute attente, il se souvient même de moi ! Rien que de l’entendre au téléphone m’a fait mouiller comme une dingue. Je suis fière d’avoir su attirer l’attention d’un homme tel que lui. A la fin de l’appel, il me donne rendez-vous dans un café. Il a une voix hyper sexy et d’avoir raccroché, je reste pantelante, pleine de désir et d’envie !
Je me jette alors sur Fabien pour faire retomber la pression. On baise comme des fous. Moi assise sur un tabouret, lui debout, les mains sur l’assise pour me pénétrer au plus profond.

Le jour fatidique arrive. Je ne sais pas trop comment m’habiller. Comme une allumeuse ou plus sage ? Alors que je tergiverse devant ma penderie, je reçois un message de Nico. « Habille-toi comme la dernière fois, jupe tailleur, chemisier, bas, talons. Mets un soutif et un string en dentelle transparente. Le must, c’est si tu les as en bleu. » J’ai justement un ensemble bleu marine avec surpiqûre bleu plus clair sur le haut.

Le tissu est tellement transparent, qu’on voit mes tétons à travers et le triangle de poils à mon pubis.
Au bar, je sens le regard des hommes et des femmes aux alentours posés sur moi et lui. Comme de la jalousie. On dirait qu’ils se demandent comment une nana comme moi, j’ai pu ferrer un aussi gros poisson. Je me sens rougir jusqu’aux oreilles bien malgré moi.
-Alice, tu es très jolie. J'ai envie de t'emmener dans un endroit qui assouvira un fantasme que je sens en toi: l'exhibition. Accepte tu que je t'emmène dans un club libertin?
-...
- tu n'as rien à craindre. Les femmes sont les reines et avec moi à côté, personne ne tentera rien. Je te garantis que tu vas faire sensation et que tu vas prendre ton pied.

Je réfléchis très vite et écoute mon corps. Est-ce que j'ai envie de le suivre? Oui. Je mouille et mes tétons commencent à pointer. Je croise instinctivement les cuisses pour atténuer l'odeur de ma chatte qui m'arrive aux narines. Que je le sente, moi, pourquoi pas, mais que d'autres aux alentours apprennent que je suis une chienne en chaleur, non merci. Je suis et veux rester une salope... cachée.
Quoique. Comme il vient de le préciser, Nico dégage un grand charisme autour de lui. Aucun homme n'oserait s'aventurer près de moi avec lui dans les parages.
Rassérénée par cette idée, je décroise mes jambes et j’accepte son offre.

On monte dans un taxi qui nous emmène devant le …, un club où Nico a ses habitudes. On se déshabille dès l’entrée pour ne rien garder et se dr dans un paréo pour moi et une serviette pour lui. Avant d’enlever mes dessous, Nico m’arrête et me détaille de la tête aux pieds
- Tu es très désirable Alice dans cet ensemble. Regarde à quel point tu me fais de l’effet.
En joignant le geste à la parole, il prend ma main et la place sur sa bite énorme qui enfle de plus en plus. Son gland dépasse maintenant du boxer et commence à avoir une vie propre. Je caresse du pouce cette peau si douce et recueille une petite goutte qui vient de perler que j’avale aussitôt avec gourmandise.


On passe ensuite au bar et Nico commande une bouteille de champagne.
- Lui c'est Yass. C'est un habitué comme moi. Il est financier et très apprécié des femmes et des couples.
Je me retourne et découvre un très bel orientale, très séduisant, bien bâti, barbe de trois jours, un peu plus jeune que Nico. Il sourit à un couple très beau, la soixantaine et va les rejoindre pour bavarder avec eux.

On passe au jacuzzi et Nico emmène les flûtes et le champagne de grand renom dans son seau de glace. On sirote tranquillement une coupe avant de continuer au hammam. Là, nous pouvons commencer à nous peloter. Nico joue avec les glaçons et le champagne aussi. Il en fait couler sur mon ventre et le liquide glisse directement à l’entrejambe. Ce bougre sait y faire : il écarte mes grosses lèvres pour que le champagne touche les petites. Sentir les bulles pétiller sur mes chairs roses, ce contact froid dans le hammam brûlant est un pur délice. Il fouille mes entrailles sans n’oublier aucun pli. Il me prodigue un cunnilingus d’enfer et me somme de ne pas jouir tout de suite. Alors que je suis au paroxysme, juste avant que je ne bascule, il arrête tout, me pince fort les tétons, le regard luisant et la bouche couverte de ma mouille. Je l’embrasse et lui lèche la bouche et le menton pour le nettoyer de mon jus.
Je suis frustrée, j’en veux plus ! Il s’assoit et me place à genoux entre ses jambes. A moi de jouer avec son corps. Je prends un glaçon dans la bouche et passe et repasse ma langue et le glaçon sur ses couilles. Alors que je continue de le caresser de ma main, je glisse ma langue entre ses fesses. Il écarte plus les cuisses pour me laisser l’accès à son œillet, que je lèche goulument.
-je ne sais pas comment tu fais mais tu devances mes envies. Tu es vraiment douée et tu apprends très vite.

Il m'entraine à sa suite dans les coins câlins. J'observe le regard envieux des hommes et femmes. Nico a raison, je suis exhibitionniste et voir ces regards lubriques d’envie me conforte dans ma position de salope, me donne confiance en moi.

Le bruit qui s’échappe des alcôves voisines m’excite. Bruit de fesses qui claquent le corps vaillant des amants. Bruit des soupirs de plaisir, des cris « Oh oui, baise moi comme ça », etc.

Nico m’amène dans une chambre dont il ferme le verrou à l’intérieur. Il ouvre en grand la fenêtre que d’autres puissent nous voir. La cyprine dégouline sur mes cuisses.
-Mets-toi à quatre pattes, les fesses relevés vers moi et les épaules au sol. Ecarte les jambes… C’est bien ma chienne, tu as un cul magnifique. Tu mouilles et tu es couverte de cyprine ma salope ! humidifie deux doigts dans ta bouche, passe-les dans ta chatte. C’est bien, tu es une bonne chienne. Maintenant, mets-le dans ta chatte, branle toi. Frappe ton clito et tes petites lèvres. Allez, mets-toi des claques ! Oui, tu sens comme ça te fais du bien ? Tu es plus sensible, hein ma salope ?!! maintenant, mets un doigt dans ton cul. Oui comme ça. Continue ! Mets un deuxième doigt !
Je pousse des cris de plus en plus audibles. J’éprouve beaucoup de plaisir surtout que je vois que je suis observée. Des mecs se branlent à côté.

- Arrête-toi ! Mets-toi à quatre patte et cambre le dos.
Je le sens s’approcher, se glisser entre mes jambes. Déchirer le paquet d’une capote, mettre un peu de lubrifiant sur son dard si gros et veineux. Malgré le lubrifiant, il me crache sur la rondelle. Je trouve ça pervers. Ça m’excite encore plus si c’est possible. Je sens le gland pousser sur mon sphincter. Oh oui il est en moi !! Hummmm Je me lèche les babines en même temps et me cambre encore plus pour l’accueillir.
Alors qu’il accélère le mouvement et me pilonne sans ménagement, une de mes mains se tend vers mon clito pour le branler. Nico m’en empêche alors en me maintenant les deux bras à l’arrière du dos. Je couine de frustration et de plaisir.
- Non, ma belle, c’est moi qui contrôle ton plaisir et ta jouissance…. Tu es vraiment bonne, tu sais. Une vraie pute qui aime la bite, la grosse.

Il change un peu de position pour se libérer une main qui att mes cheveux.
- ouvre les yeux Alice ! Regarde ces voyeurs qui profitent du spectacle que nous leur offrons !

Il me pince les tétons très fort et me libère une main qui vient se placer instinctivement sur mon clito.
- Que veux-tu Alice ?
-Je veux jouir !!
- Attends encore un peu, ma chienne, je veux t’entendre me supplier !
-Oui Nico, c’est trop bon, laisse-moi jouir stp !!!
-Dis encore des mots crus ma salope !
-Je suis un garage à bites qui aime qu’on lui casse le cul. Ta queue me défonce la rondelle. C’est trop bon !! Stp Nico, laisse-moi jouir !
-vas-y !
Dès que le mot salvateur est énoncé, je me lâche et une jouissance infinie me transporte au 7ème ciel. C’est long, puissant, ravageur. Je me laisse aller contre lui pour reprendre ma respiration

Il se retire de moi. Je me sens vide sans lui et sa bite entre mes fesses ! Il retire sa capote et approche sa queue à la peau si douce près de ma bouche. Instinctivement je lui laisse le passage.
-Tiens ton dessert bien mérité, salope !
Alors je le pompe avec tout mon savoir-faire et rapidement il jouit en longs jets puissants au fond de ma gorge.
-Tu es vraiment une bonne salope ! Non reste comme ça, toute nue. Tu es très belle, ajoute-t-il alors que j’allais remettre mon paréo.
Je me sens très désirable et bien dans mon corps qu’il ose ainsi m’exhiber devant tous.
on passe au jacuzzi pour se détendre.
-Ce n'est que le début, on n'a pas fini! Me précise Nico
Je me pelote contre lui et je me laisse bercer
Alors que nous retournons au coin câlin, nous voyons dans la « salle commune » Yass en train d’enculer la femme avec qui il parlait tout l’heure. Leurs corps sont beaux. Voir ce contraste dans la couleur de leur peau : elle très blanche et lui très mat. Voir ses couilles claquer contre ses jambes. La voir se cambrer elle sous ses assauts et refuser de céder au plaisir en se mordant les lèvres. Je recommence à mouiller alors que je viens de jouir moins de 15 min plus tôt
Je suis bien contre le corps de Nico, lui une main possessive autour de ma taille et son autre main sur son vit qui se dresse encore avec fierté entre ses jambes
Il me glisse dans l'oreille:
- va, je sais que tu es son type et que tu lui as tapé dans l'oeil. Va lui lécher les couilles et la rondelle.
Rien que l'idée m'électrise. Je m'approche donc de ce couple magnifique en train de copuler. Je passe devant eux pour qu'ils me voient, caresse leur corps luisant de transpiration et des vapeurs du hammam et m'accroupie derrière Yass. J'approche avec timidité ma bouche de ses couilles bien pleines. Un soupir de contentement de la part de Yass me rassure et me donne du courage. Je lui gobe une par une ses couilles. Je sens que deviens plus sensuelle. Ma bouche est plus chaude encore. Mais j'ai envie de plus et j'approche maintenant ma langue de sa rondelle. Ma bouche est une véritable ventouse et je m'accroche à son oeillet et ne décolle pas. Je me laisse porter et fais corps avec lui. Je suis avec exactitude ses va-et-vient tellement je me sens en symbiose. Plus rien n'existe en dehors de nous.
Yass doit encore bander plus dure si c'est possible. Madame a l'air d'encore plus apprécier la culbute et ne peut se retenir de pousser des soupirs de plus en plus fréquents et sonores. Je pousse encore plus loin l’investigation de son anus avec ma langue et mes doigts. Je lui touche ses belles grosses couilles d’oriental.
Il change de position et me guide. Je comprends à demi-mot ce qu’il veut de moi. Je vais lécher la chatte de madame pendant qu’il continue de la ramoner. C’est la première fois que je touche une femme. Mais elle tellement belle avec une petit chatte si divine que je ne réfléchis pas et lui aspire le clito. Elle se met à couiner
- Oh oui ! quel pied ! continue salope ! Ouiii ! Je vous aime, Yass ! Je suis à vous ! Lâche-t-elle au moment de jouir.
Puis elle s’agenouille à côté de moi et m’embrasse avant de sucer la queue de son amant. Elle m’en laisse un peu et, nous deux, deux belles salopes avides de foutre, nous attendons notre dû. Il lâche une bonne quantité sur nous et nous nous léchons mutuellement pour ne pas en perdre une goutte.
Au moment de se séparer, Nico vient m’aider à me relever et me susurre à l’oreille :
- c’est bien ma chienne. Je suis fière de toi.
Nous repartons tous les quatre vers le hammam. Madame repart vers d’autres horizons et les deux hommes discutent de tout et de rien. J’ai plus de loisir d’observer Yass. Il est bien bâti. Il est très sûr de lui, très confiant et chaleureux aussi. Une confiance communicative.
J’ai encore envie et je touche avec nonchalance le sexe toujours dressé de Nico. Ce dernier interroge Yass du regard qui hoche la tête. Je n’ai rien perdu de cet échange silencieux. Ça va être ma fête et je mouille encore comme une folle.
Alors que nous nous dirigeons vers les coins câlins, Yass me glisse à l’oreille : « je vais te casser le cul, salope et tu vas adorer avec nos deux belles queues ! ». Je glousse comme une andouille. Je veux sentir le stupre.
Il ne ment pas et j’en prends pour mon grade. Ils me prennent en double pénétration, Yass dans mon cul et Nico dans ma chatte. Nico jouit une première fois au fond de mon vagin. Je laisse couler le jus sur sa queue avant de la lécher avidement pour recueillir son offrande. Yass est toujours au fond de mon cul. La bite de Nico reprend de la vigueur après ce traitement. Et il préfère me baiser la bouche après m’avoir craché dedans. C’est pervers et je mouille encore plus. Je sens la bête au fond de moi monter monter ! Nico s’en aperçoit et me pince les nichons.
-« Non pas encore, petite pute ! Attends mon autorisation ! »
Yass me ramone le fion à une cadence infernale. Je crie comme une demeurée quand Nico me libère la bouche. Il se replace au fond de ma cavité et leurs deux queues me bourrinent en cadence. Nous sommes debout tous les trois, moi en l’air entre eux deux.
-« Vas-y, tu peux y aller, lâche-toi salope ! »
En moi, le plaisir monte de plus en plus. Je suis remplie de leur deux queues énormes, veineuses et tellement dures. Je sens les regards des spectateurs et leur envie. Ils se baisent en nous regardant, se branlent. Je bascule et libère la bête. Ma jouissance est énorme ! J’hurle de plaisir !
Les deux mecs me reposent doucement par terre et à genoux, j’attends la langue pendante le fruit de mon labeur. Ils crachent l’un après l’autre. D’abord Yass en jets épais puis Nico.
Quand on sort du club, je suis vannée mais repue et heureuse. On nous accoste: "Nico, tu as le chic pour dégoter des perles rares mais je crois que là, elle est encore plus exceptionnelle! Revenez quand vous voulez » ajoute le mec à mon égard. Il n’y a pas à dire, je suis une chienne et j’aime ça !

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