J'Ai Jouis Quatre Fois (Ii)

Après cela, elle courut, sous l’effet de l’excitation, vers la salle de bain et je mis ses ordres à exécution. Affichant un sourire béat, je marchais dans la maison, montais les escaliers afin de me rendre dans cet antre tant convoité. C’est ici même que dormais la belle Alina. C’est dans cet endroit sûrement qu’elle avait conçu son fils et qu’elle avait pris son pied seule ou avec des hommes. C’est ici même que son plaisir s’exprimait. Je me couchai lentement dans le lit. J’attendais, et plus le temps passait, plus mon pénis grossissait à la perspective de voir cette femme nue. Alina apparut par l‘entrebâillement de la porte quelques minutes plus tard durant lesquelles je m’étais amusé à malaxer mon sexe à travers mon pantalon. Elle s’était fait plus belle encore (si telle chose est possible) qu’elle ne l’était lorsque nous mangions ensemble. Elle avait vêtu une robe d’un rouge flamboyant qui traversait la pièce. Sa robe lui serrait le corps et était tellement proche de sa peau que ses formes ressortaient avec plus d’intensité. Le tissu tendu sur ses fesses peinait à ne pas craquer et même la forme de ses petits tétons étaient clairement perceptible au sommet de seins à la rondeur harmonieuse écrasés, compressés par cette robe qui semblait avoir été cousue pour son corps. Alina, certaine de l’effet qu’elle avait sur moi, se mit à danser sous mes yeux ébahis. Son corps, ses formes, ses courbes ondulaient et ma vision semblait trop peu puissante pour transmettre à mon cerveau la beauté de l’instant. Elle dansait, simplement, et l’excitation était extrême. Ses bras évoluaient dans l’espace et ses jambes, fines, sensuelles, bougeaient au rythme de la musique qui s’entendait également dans la chambre. Ses seins ballotaient à m’en donner des vertiges et ses fesses, qu’elle se plaisait de me montrer, vibraient. Toujours en bougeant son corps, Alina s’approcha de moi, se pencha et m’offrit une vue magnifique sur ses ronds, ses deux collines dont les traits étaient mis en avant par la robe.

Elle effleura de ses doigts mon torse, saisit da mâchoire et m’embrasse à pleine bouche, longuement, dans un râle qui trahissait son excitation. Son genou entre mes cuisses, ma verge se retrouva en contact avec sa jambe à travers mon pantalon. Elle continuait de me pénétrer la bouche et de faire voyager nos salives à l’aide sa langue. Elle continuait ces doux baisers en les déplaçant tantôt sur ma lèvre inférieure, parfois dans mon cou, puis sur mon torse dont elle avait sauvagement dégagé le T-shirt. Sa tête désormais en dessous de la mienne, je ne percevais pas les infimes détails de ses gestes mais je sentais leurs effets sur mon corps et mon esprit. Elle s’attardai un petit peu sur mes tétons, ce qui eut pour effet de m’exciter davantage. Elle descendait dangereusement vers mon bas ventre et la chaufferie que devenait mon boxer était à peine supportable. A contrario, ses baisers humides le long de mon corps m’offraient de la fraîcheur. Avant qu’elle n’aille plus bas, je prononçai la phrase tant redoutée :
-Tu sais Alina, je n’ai jamais fait ça.
Mon cœur battait la chamade, j’étais sous l’effet de l’excitation qui agissait comme une véritable explosion en moi puisque je n’étais jamais allé aussi loin avec qui que ce soit, mais aussi sous le stress d’avoir avoué ce secret que je tentais de cacher à tout prix à cette femme de trente-neuf ans.
-Ne t’inquiète pas, je m’occupe de tout, me dit-elle simplement.
Elle m’embrasse à nouveau et retourna aussitôt vers mon entre jambe. Elle défit ma ceinture et déboutonna mon jeans. Le feu qui sévissait dans mon boxer était de plus en plus violent. Elle fit glisser mon pantalon le long de mes jambes et saisit d’un geste déterminé mon boxer avec ses deux mains. Elle le souleva délicatement pour révéler mon membre qui n’avait jamais été aussi gros. L’excitation était telle que mes veines se dessinaient sur mon pénis telles des routes sur une carte. Apparemment surprise par l’allure de ma verge, Alina la saisit d’une main forte pour la malaxer, jouer avec, faire courir ses doigts le long de mon pénis.
Elle commença à me masturber d’un geste lent, et, moi qui n’avait jamais connu cela avant sentis mon sexe vibrer sous ses doigts. Bientôt, ma semence coulait le long de mon pénis, et au lieu d’atteindre ma main, elle fut recueillie par les doigts de mon amante. Je jouis une première fois. Alina jouait avec mon liquide blanc qui retombait sur sa main ou mon pubis au rythme des tremblements de mon sexe. Elle continua à me masturber, son mouvement lubrifié par mon sperme. Mon gland se faisait sensible et tremblait sous les allers retours d’Alina le long de ma tige. Lorsque celle-ci fut un petit peu molle après mon éjaculation, Alina la masturba d’un geste plus déterminé, décis. Pour me redonner ma vigueur, elle passa aux choses sérieuses. Elle garda sa main à la base de ma verge et ouvrit grand et bien rond la bouche en inclinant la tête en direction de celui-ci. Toujours couché, je croyais à peine en ce que je voyais en regardant son habitacle humide s’approcher de mon pénis pour bientôt l’engouffrer. Mon sexe se trouvait maintenant dans la bouche d’Alina et je sentais ses lèvres pulpeuses écraser mon engin et effec des mouvements de va et vient lubrifiés par sa salive. De son autre main, elle recommença à me masturber pendant que son visage apparaissait et disparaissait au fur et à mesure qu’elle avalait mon sexe devenu dur et solide comme de la roche. Sa salive s’accumulait le long de mon pénis et formait une cumulation à l’entrée de ses lèvres. Elle me masturbait sans vergogne en accélérant le mouvement et la sensation que me procurait sa bouche, ses lèvres et sa salive fit monter ma sève le long de ma verge et jaillir au sommet de mon gland, dans la bouche d’Alina. Je jouis une deuxième fois. Un peu honteux, mon regarde croisa le sien qui affichait une satisfaction du travail bien fait. Un peu de sperme coulait de sa lèvre le long de son menton. Elle engloutit de nouveau mon sexe avec ce nouveau liquide qui facilitait le travail de ses lèvres. Les mouvements d’aller retour durait et, pour gagner la dureté de mon pénis, elle s’arrêta pour me fixer dans les yeux, en ôtant ses vêtements.
Elle commença par la robe, dont elle eut du mal de se débarrasser, tant elle serrait son corps. Lorsqu’elle y parvenu, elle se retrouva en sous-vêtements, moi nu. Je pouvais alors admirer son corps de folie en tout impunité. En plus de son visage qui exprimait la beauté et l’excitation un ventre musclé, ferme, qui menait tout droit vers les paradis de l’homme. En se déshabillant, elle se caressait, elle semblait frémir sous ses doigts et ses gestes sensuels. Lorsqu’elle ôta son soutien gorge, il m’a été donné de contempler un chef d’œuvre de la nature tant convoité. S’offraient à moi deux gros seins d’une rondeur parfaite et d’une fermeté indestructible, décorés de petits tétons pointus. Elle caressait son corps, s’attardait sur ses tétons, en les serrant délicatement entre ses doigts, en appliquant dessus sa main enduite de salive. Elle dirigea une de ses mains vers son entre jambe et glissa deux doigts dans son entre jambe. Je pouvais apercevoir de petits gestes rapides et circulaires, j’en déduis qu’elle titillait son clitoris. Elle frémissait et sa respiration devenait vraiment haletante. Je voyais son ventre se plier, ses abdominaux se contracter au gré de sa masturbation. Elle poussait des légers cris qui eurent pour conséquence de lever mon pénis vers le ciel. Voyant cela, elle prit ma main et la posa sur son sexe gonflé par l’excitation. C’était la première fois que je touchais un vagin. Je sentais une fine couche de poils le long de son pubis, qui s’écrasait sous ma main qui passait pour aller à la rencontre d’un clitoris. Je passai ma main par-dessus et m’arrêtai à son niveau, pour le secouer, le sentir sous mes doigts, le saisir délicatement. Au fur et à mesure que ma main vibrait sous sa culotte, Alina gémissait. Sa cyprine dégoulinait le long de mes doigts et son odeur excitante éveillait en moi des envies sauvages. Elle en profita pour me saisir la verge et la masturber pendant que je faisais de même pour elle. Ses cris étaient de moins en moins espacés et de plus en plus aigus.
Sa voix qui subissait les effets de l’excitation fit monter de plus belle le plaisir en moi. À Force que sa main évoluait sur mon engin, je sentais le summum de l’excitation grimper le long de mon sexe pour s’étaler à nouveau sur les doigts d’Alina. Je jouis une troisième fois. Celle-ci ne se découragea pas et continua à me masturber jusqu’à ce que ma verge retrouve sa vigueur. Lorsqu’elle fut bien dure, Alina se débarrassa d’un geste vif de la petite culotte qu’elle portait depuis maintenant trop longtemps pour écarter totalement les cuisses et m’enjamba. Son sexe en contact avec mon torse, Alina prit à pleine main mon pénis pour le diriger le mieux possible vers son sexe. Lorsqu’elle trouva enfin l’entrée de son antre, Alina s’empala sur mon engin. Le contact établis était d’autant plus excitant qu’il se faisait sans préservatif : nos corps étaient liés, nos peaux se frottaient, ondulaient, mon pénis se trouvait à l’intérieur d’Alina. Sur moi, cette femme magnifique sautait sur mon engin afin d’en ressentir les effets jusqu’au plus profond de ses sens. Je la voyais, haletante, les cheveux sautillant au rythme de notre excitation. Quelques minutes plus tard, ne pouvant plus me retenir, je sentis mon pénis turgescent vrombir à l’intérieur d’Alina. Mon engin cracha encore sa semence dans le corps de ma belle. Je vis le sperme couler de son vagin sur ma verge. Je jouis une quatrième fois.

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