Sexe Indéterminé.

(suite de « Défonce-moi » et de « Une soirée hard »).

Quelques semaines après avoir fait une partie à trois dans une des love room d’un sex-shop situé dans le quartier de Halles à Paris, j’y suis retourné seul car ma copine était de nouveau en stage en province pour deux semaines.
Je sortais du boulot et j’avais envie de trainer un peu dans ce quartier chaud à mater les filles qui racolaient outrageusement.

En entrant, je repensais à cette séance à trois au cours de laquelle ma copine Mélissa s’était fait prendre en levrette par ce black qui s’était invité pendant qu’elle était en train de me sucer la queue et à la séance à quatre avec mon pote Kévin et les deux filles levées au cinéma..

Après avoir fait rapidement le tour des divers étages, je suis redescendu près des caisses où j’ai entrepris une des vendeuses qu’il m‘était déjà arrivé de sauter vite fait pendant une de ses pauses. Mais là, mon baratin ne semblait pas lui faire d’effet…

Quelque peu déçu, je m’apprêtais à ressortir lorsque deux nanas sont entrées. Comme c’était assez rare de voir deux filles ensemble, cela a attiré mon attention. En effet, il est plus courant de croiser des hommes seuls et des couples…

Je les ai suivies du regard puis je me suis planqué à l’angle d’une vitrine lorsqu’elles se sont arrêtées devant le rayon des sextoys. Je voulais les mater et me rincer l’œil car elles étaient fichtrement appétissantes. Pas très grandes, environ 1.60m, habillées d’une robe légère qui laissait deviner leurs cuisse fuselées par transparence, elles étaient très brunes de peau avec des cheveux très noirs tombant sur les épaules. Je ne sais pas pourquoi j’étais attiré par ces deux femmes car contrairement à mes goûts pour des poitrines bien rondes, ces deux là n’avaient qu’un relief à peine prononcé…

Ensuite, elles se sont dirigées vers le rayon de lingerie et avec l’aide d’une vendeuse, elles ont choisi quelques tenues pour aller les essayer dans une des grandes cabines situées à proximité.

Je me suis glissé dans celle d’à côté en espérant le mater à moitié nues entre les rideaux mais je n’ai pu que les entendre parler dans une langue étrangère : c’étaient deux touristes…

Je pensai immédiatement que j’avais peu de chance de les emballer car je ne parle que quelques bribes d’anglais assez rudimentaires et là, il me semblait reconnaitre la langue de Cervantès… Je quittai ma cachette et je retournai au rayon de la lingerie coquine. Lorsqu’elles sont ressorties, la vendeuse a récupéré les parures choisies et entrepris de ranger les autres. Quelle n’a pas été ma surprise de les entendre, cette fois, parler français certes avec un accent prononcé, mais en FRANÇAIS !

J’ai tenté ma chance en leur disant qu’elles avaient bien choisi et que cela devait très bien leur aller. Surprise : celle qui m’a semblée la plus délurée m’a répondu :
• Si tu veux on les essaie pour toi !

Je leur ai expliqué que nous serions plus à l’aise dans une des love room de l’étage supérieur en leur expliquant ce qu’étaient ces petites chambres vers lesquelles je les ai guidées en les prenant pas la taille. Je sentais avec bonheur nos hanches se frôler en montant les escaliers et dans le couloir assez étroit qui dessert les chambres d’amour. Lorsque j’avais passé mes mains autour des leur taille, elles n’avaient rien dit, bien au contraire, elles s’étaient littéralement collées contre moi…

Dès que nous sommes entrés, elles ont fait passer leur robe par-dessus la tête pour apparaitre toutes les deux en soutif et tanga de dentelle blanche qui tranchaient sur leur peau mate : Un joli spectacle qui a achevé de me faire bander dans mon boxer. J’en avais la queue douloureuse tellement j’étais excité par ces deux belles garces qui en moins de dix minutes ont accepté de me suivre dans cette aventure…

Elles avaient effectivement une poitrine plutôt menue, dans le genre de celle d’une adolescente à peine pubère, qui n’aurait même pas eu besoin d’être soutenue… Elles ont ôté leur soutif pour enfiler une guêpière en satin blanc rene destinée à resserrer la taille pour faire ressortir la poitrine et le galbe des hanches.
Elles ont entrepris le laçage mutuel avant de me faire face en disant en chœur :
• Dis-nous si nous avons bien choisi ?

Je les complimentai sur ce choix très excitant ! J’étais de plus en plus chaud et lorsque Monica (celle qui m’avait proposé l’essayage) s’est approchée de moi et s’est mise à palper mon entre jambes, j’ai failli tout lâcher dans mon boxer. Elle a dit :
• Viens Carmela, nous allons soulager ce beau français !

En même temps, elle faisait descendre mon jean et mon boxer. Ma queue, bandée à l’extrême a jailli comme un ressort en face de deux bouches larges aux lèvres ourlées qui se sont partagées dans une pipe à deux bouches comme j’en avais rarement bénéficié…Quelles suceuses et que c’était bon ! J’ai basculé sur le lit en entrainant Monica qui ne m’avait pas lâché… Ma queue pleine de salive allait et venait entre ses lèvres charnues…

Carmela a enlevé mon jean et mon boxer et a fait descendre le Tanga de sa copine. Oh surprise ! J’étais tombé sur un travesti bien joli certes mais aussitôt Carmela m’a dit :
• Ne sois pas surpris, nous sommes pareilles : deux hermaphrodites. La nature nous a gâtées, nous avons une petite poitrine et un sexe de garçon !

Pendant ce temps Monica s’était placée en 6 9 au dessus de moi et elle continuait à me pomper la queue comme une affamée. À quelques centimètres de mon visage, j’avais son bas ventre légèrement poilu et cette jolie petite bite à moitié bandée. Je n’avais jamais sucé de garçon mais là, je n’ai pas pu résister ! Je voulais rendre à Monica le plaisir qu’elle me donnait… sans compter ! J’ai embouché son sexe, léchant le gland pour l’humecter comme les filles savent si bien le faire et je l’ai englouti jusqu’au plus profond de ma bouche, allant et venant pour faire monter son excitation.

Carmela avait également fait glisser son Tanga pour l’enlever et j’ai découvert avec stupéfaction le sexe qui ornait le bas de son ventre… Jusqu’à présent, il avait été glissé entre les cuisses, replié vers l’arrière et maintenu en place par le vêtement.
Il était presque aussi gros que le mien… avec un gland en forme de tête de champignon, bien rond et un peu de liquide suintait dans le méat, preuve qu’elle était également excitée.

Elle est venue se placer au dessus de mon visage et en se baissant elle a embrassé l’anus de sa copine. J’avais deux bites en face de moi, une dans ma bouche et l’autre qui se balançait doucement sous mes yeux. C’était chaud d’autant que Carmela pelotait les seins de sa copine tout en frottant sa queue dans la fente culière qui s’offrait à elle. Je me retenais de jouir dans la bouche de Monica, appréciant sa fellation : du grand art !

Monica qui semblait depuis le début prendre les décisions pour sa copine s’est dégagée et nous a dit :
• Carmela va me sodomiser et toi, tu en feras autant ! L’une et l’autre, nous allons avoir une queue de bonne taille dans notre cul !

Elle s’est mise en levrette en nous tendant des préservatifs, offrant son sphincter qui palpitait d’envie. Dès qu’elle a été couverte, Carmela s’est placée derrière elle et s’est enfoncée dans l’anus de sa copine avec une facilité qui m’a surpris puis elle s’est plus ou moins allongée sur le dos de Monica de façon à ce que j’accède moi aussi à son cul ! Nous formions un sacré trio lubrique, emmanchés l’un dans l’autre de cette manière.

Il ne m’a pas fallu longtemps pour accorder mes mouvements à ceux de Carmela. En fait quand elle sentait que j’allais en arrière, elle en faisait autant et quand je poussais, elle allait jusqu’au fond du sphincter de Monica ! Les guêpières qu’elles n’avaient pas quitté leur faisaient une taille étroite tant elles avaient serré le laçage et cela faisait ressortir le galbe de leurs petits culs ! Elles étaient vraiment bandantes !

Après la fellation savante de Monica et l’excitation du moment, je n’ai pas tardé à jouir en lâchant au fond de la capote une abondante giclée de sperme. Je suis resté abouté à Carmela qui allait et venait de plus en plus vite dans l’anus de sa copine jusqu’au moment où elles ont joui toutes les deux… Quand elles se sont désunies, j’ai vu la queue de Monica toujours bandée ! J’y avais déjà goûté quelques temps plus tôt aussi c’est sans rechigner que je l’ai reprise en bouche, aidée dans ma fellation par Carmela qui lui massait doucement les bourses.
Lorsqu’elle a giclé à son tour, Monica s’est retirée pour donner son sperme à Carmela…

Nous sommes restés à bavarder quelques minutes puis nous nous sommes rhabillés. Je leur ai lancé une invitation pour le soir suivant dans mon studio :
• Ok çà marche mais trouve nous un second mec !

Aussitôt, j’ai pensé à mon pote James qui est bisexuel : Tout comme moi, cela ne le gênerait pas de prendre le cul des ces gonzesses !

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