Passion Innocente ( Chapitre 2)

Chapitre 2: Gabriel entre en jeu

Je sortais de la salle de bains sec et nu en me dirigeant vers mon dressing, pour enfin choisir la tenue que je porterais ce soir. Je savais pertinemment comment cela finirait, direction le bar puis la boîte de nuit d'à côté avec la bande. La première idée qui me vint était de mettre un Jock strap à la place d'un simple boxer, plus flexible, plus à l'aise pour mon cul, c'est le bonheur. Pour suivre, j'avais décidé de prendre un tee-shirt blanc à col V, avec un slim noir qui me moulait les jambes parfaitement. Avec l'ensemble, une veste en cuir noire accompagnée de chaussures noires classe, et pour les accessoires, ma bague en acier sur mon annuaire avec un bracelet en argent. J'étais presque prêt, il ne me manquait qu'une touche de parfum, et un coup de peigne dans les cheveux. Anna m'avait envoyé un message entre-temps, elle arrivait bientôt chez moi, vu que nous avions décidé que je serais Sam pour la soirée, nous ne prendrions que ma voiture. J'avais fini de me préparer, j'entendais sonner à la porte et Anna entrait dans l’appartement comme chez elle. Elle était la seule à avoir le double des clés en cas de problème.

Anna R. - Mon chou, tu es prêt à te déhancher auprès de mâles en chaleur à ce que je vois ! Disait-elle en sifflant sur ma tenue.
Je sens que ce soir c'est pour toi.
Elle avait raison, je me trouvais magnifique, loin de, ces tenues chics et serrées, je pouvais enfin respirer un peu. Anna était habillée féminine, un bustier blanc ample, slim court noir et des escarpins noirs. Elle était magnifique comme d'habitude, sauf que là, je savais que c'était pour trouver un bon coup. Je pris mes affaires avant de partir, mon téléphone affichait encore des appels manqués de ma sœur Kate, elle voulait que je vienne à la demeure familiale pour dîner, mais j'avais d'autre obligation en tête. Nous étions partis, Anna commença à débiter son plan pour la soirée pendant tout le trajet, j'avais retenu qu'une seule chose, elle voulait baiser.

Je m’étais garé dans le parc de stationnement de la boîte de nuit, c'était beaucoup plus pratique. Nous nous dirigeâmes à pied vers Les Cabaretiers, un des meilleurs bars de mojito de la ville. Jane et Marc, nos deux nouveaux amis allaient goûter au paradis, cela étant la première fois qu'ils y mettaient les pieds.
Anna et moi étions arrivés sur le lieu de rassemblement, nous étions les premiers arrivés et comme nous connaissions bien le propriétaire du bar, nous allâmes le saluer avec entrain.

Patron du bar - Hey cela faisait longtemps les jeunes.
Moi - Salut Éric, toujours en forme à ce que je vois.
Éric - On fait de son mieux. Si vous voulez une table, dépêchez-vous, avant que la horde n'arrive.
Anna - On te prend une petite table de six, on te ramène aussi de nouvelles têtes, qui n'ont jamais goûté à ton œuvre !
Prépare-nous donc notre commande habituelle pour moi, Enes, mais aussi Natasha et Claude, pour les deux nouveaux, met leurs deux mojitos à la menthe pour commencer.
Éric - Bien madame.
Moi - Merci Éric.
Nous allâmes nous installer à notre table, lorsque Natasha et Claude arrivèrent suivis de Jane et Marc. La soirée pouvait commencer, les mojitos étaient servis et les têtes de surprise de Jane et Marc face à leur premier mojito, nous fîmes rire aux éclats. Nous passâmes un excellent moment ensemble à parler de tout et de rien, jusqu'à que Jane lance un sujet que j'aurais préféré éviter.Jane - Parlons un peu d'un sujet important, je vous pris. Maintenant que nous avons quitté les couches-culottes,il est temps de parler de couple.
On pouvait voir les yeux de Jane brûler de désir à faire peur.
Jane - Commençons par le principal intéressé, Enes, dis-nous un peu sur lequel tu as flanché.
Moi - Saloperie va en enfer.
Jane - Je sais, moi aussi, je t'aime, mais il te faut répondre maintenant.
Toute la bande me fixait attendant patiemment ma réponse, et je ne pouvais malheureusement pas éviter la question.

Moi - Eh bien... c'est que...
Anna - Si, tu veux, je peux t'aider, il est grand, beau, musclé, et roux.
Jane - Il est aussi un peu le capitaine de l'équipe de rugby.
Moi - C'est pas vraie, c'est un complot ma parole.
Natasha - On a bien vu que ce mec te dévorait du regard, en partant, son regard s'est vite posé sur ton cul.
Moi - Il ne m’intéresse pas, il ressemble à un gorille en rut.
Anna - A mon avis ton gorille doit en avoir dans le paquet, un capitaine au rugby, ça se choisit sûrement par la longueur de sa queue.
Moi - Pourquoi ne le prends-tu pas alors, toi qui aimes les grosses queues ?
Anna - J'ai déjà flashé sur son meilleur pote, je ne vais pas prendre les deux en même temps, je pense que ça ne rentrerait pas.
Moi - Ah oui ton bel Andrew, tu ne l'as pas encore pêché ?
Anna - C'est en cours de préparation, mais j'ai un excellent plan d'attaque ?
Je n'avais pas compris où elle voulait en venir, mais je n'y fis pas attention pour le reste la soirée. Nous finissions nos verres avant de partir pour la boîte du coin, Anna commençait déjà à faire la folle dans les rues, il ne faut pas grand-chose pour qu'elle soit pompette. Nous arrivâmes par la suite sur le parc de stationnement de la boîte, où Anna reprit vite conscience et son sérieux par je ne sais quel miracle.
Anna - Ils ne devraient plus tarder, je pense.
Jane - de qui tu parles Anna ?
Anna - De deux amis qui devaient nous rejoindre en boîte.
La bande sauf Anna me regardait avec interrogation, je haussai les épaules, qui sait qui Anna avait pu inviter pour la soirée, je l'ignorais, moi aussi. Nous vîmes quelques minutes plus tard, une très belle voiture noire arrivée. On ne pouvait distinguer personne derrière les vitres teintées. Une fois la voiture garée, on pouvait voir un homme de grande taille sortir de la place du conducteur, je pouvais reconnaître Andrew, le futur mec d'Anna, elle avait bien manigancé son coup.
Ce que je n'avais pas prévu, c'est que la personne qui accompagnait Andrew était autre que Gabriel. Les deux beautés, nous vîmes rapidement, et se dirigèrent vers nous. Andrew avait une peau métisse, des cheveux bruns et une musculature identique au beau roux, mais il avait par contre un fessier plus bombé que Gabriel. Ils étaient habillés comme des dieux, Andrew portais une chemise et un slack noir qui lui donnait une aura de dominateur exotique, son regard avec ses yeux noisette pourrait vous faire tomber amoureux en deux secondes. Gabriel lui était habillé d'un beau pull à col V bordeaux et d'un magnifique slim blanc, cette tenue lui allait comme un gant, on pouvait voir ses pectoraux développés, ses puissantes jambes et un beau paquet, difficile de résister à ce spécimen.
Moi - Anna … tu es diabolique.
Anna - Je sais.
Les deux beautés arrivèrent devant nous, Gabriel avait un sourire au coins des lèvres lorsqu'il s'approchait de moi, ses yeux vert bleu étaient ancrés dans les miens. Je ne savais pas comment réagir, j'étais soumis à un prédateur.
Gabriel R. - Salut, je m'appelle Gabriel.
Il me tendait sa main, je ne pouvais pas décrocher mon regard de son visage, ses lèvres tortueuses, ses yeux d’Éden, sa peau blanche avec quelques taches de rousseur sur nez. J'avais du mal à résister à sa présence masculine, je pense que l'on pouvait le voir sur mon visage, et les mots avaient du mal à sortir de ma bouche.
Moi - je...je m'appelle Enes...
Une fois les présentations étant faites, nous faisions la queue pour rentrer dans la boîte, il y avait du monde comme d'habitude, mais c'était assez fluide. J'étais encore perturbé par Gabriel, j'avais peur de tomber sur un obsédé sexuel ou un truc du genre. Andrew et Anna étaient en pleine séduction, à leur façon, il mettait un peu d'ambiance dans le groupe. Jane, elle déprimait et en voulait à Anna de ne pas avoir ramené un troisième dieu du stade pour elle, Marc commença à me demander des conseils en sport, j’aurais pu prévoir sa réaction à dix kilomètres.
Gabriel avait rejoint la discussion et commença, lui aussi, à donner des conseils, il avait réussi à capturer l’attention de Marc, je commençais à ressentir une pointe de jalousie.
Gabriel R. - Si tu veux prendre vite de la masse musculaire, je te conseille de manger plus et pratiquer une activité physique régulière, d’ici quelques mois, tu verras les résultats, mais, à mon avis, tu pourrais aller plus vite en te déclarant.
Gabriel avait toute suite vue ce qu’il ressentait pour Jane, Marc en était devenu rouge ce qui nous amusa beaucoup. Nous pourrions, peut-être, réussir à les mettre en couple, une idée diabolique m’avait traversé l’esprit, et Gabriel pourrait peut-être me venir en aide. J’allais chuchoter dans l’oreille du beau roux, un sourire aux lèvres.
Moi - Gabriel, tu vas m’aider à mettre ces deux là en couple.
Je voyais un magnifique sourire se former sur le visage de Gabriel, ses yeux brillaient de complicité. J’avais trouvé un plan pour les réunir pour que Marc puisse se déclarer. Jane avait beau être folle, c’est une femme extrêmement intelligente d’après ce que j’avais su, et je pense qu’elle n’est pas indifférente à Marc, même si ce n’est pas un athlète, il a un gros cœur et un ventre douillet. Nous étions entrés dans la boîte, nos affaires étaient déposées dans deux casiers que nous avions loués. Je dus laisser ma magnifique veste en cuir, mais je restais séduisant avec mon tee-shirt blanc au col V, et mon slim noir qui moulait mes fesses à la perfection. J’ai bien vu le regard de mon beau roux descendre avec son petit sourire arrogant, il ferait presque exprès. Nous nous dirigeâmes vers la grande salle, bombée de monde, mais nous avions prévu le coup, enfin Anna avait prévu le coup, elle avait réservé un coin tranquille dans la boîte. Nous étions installés, Anna et Andrew étaient déjà sur la piste de danse, moi et Gabriel étions au bar, nous attendions notre commande de boisson.
Gabriel R. - Ta copine est vraiment stupéfiante, elle est venue nous chercher dès le premier jour, pour nous inviter pour la soirée.
Ce n’est vraiment pas commun comme fille.
Moi - Oui, elle est une amie précieuse pour moi, donc si ton pote lui fait du mal crois moi, il va en baver.
Gabriel R. - T’inquiète, Andrew est un vrai ange et un parfait gentleman.
Moi - Ah… s'il est si pur, on ne devrait pas le laisser auprès d’Anna.
Gabriel R. - C’est un grand garçon, crois-moi, elle va abdiquer face à ses atouts.
Moi - Quel genre d’atouts ?
Gabriel R. - Je te le dirai un jour.
Les verres apparurent devant nous, toujours avec son sourire arrogant, Gabriel parti avec quelque verre en main, j’avais pris le reste, et nous sommes retournés à la table. Natasha et Claude étaient partis sur la piste de danse, rejoignant Andrew et Anna en pleine danse nuptiale. Il ne restait plus que Jane et Marc encore à la table en train de siroter leur boisson. Il fallait qu’ils se parlent, qu’ils se comprennent, ils étaient déjà amis d’enfance, il est temps pour Marc de sortir de la friendzone.
Moi - Lance-toi ! Disais-je à l’oreille de Marc. Gabriel, viens danser avec moi !
Gabriel R. - OK, j’arrive.
On laissait nos deux victimes seules, je venais à peine de réaliser que j’avais invité un mec à danser avec moi, mais bon, il faut s’adapter, et pour une première, je suis content de le faire avec Gabriel. Je commençais à me déhancher sur la piste, mon corps se balançait au rythme de la musique de façon sexy, j’appréciais danser auprès d’un mec comme Gabriel. Il dansait, lui aussi, tout en me fixant du regard. Il y avait du monde sur la piste, Gabriel et moi commencions à être de plus en plus proches, il me dominait de sa grande et imposante présence, j’étais pris dans le piège de ce prédateur. Nous étions un peu dans notre monde, j’avais oublié même le but de notre présence sur la piste. Il commença à se rapprocher, me prit par la taille avec ses grandes mains, nos visage s’approchaient, au milieu de la foule personne ne faisait attention. Il rapprocha son visage vers mon oreille pour me susurrer quelques mots.
Gabriel R. - Enes, tu crois que je n’avais pas vu, comment tu me matais au rugby ? Je dois dire que toi aussi, tu ne me laisses pas indifférent.
Tu me fais bander avec ton petit cul et ta gueule d’ange, je ne vais plus tenir si tu te déhanches ainsi devant moi.
J’étais rouge, sa main sur mes reins qui descendait sur mes fesses empirait mon embarras et mon excitation. Je sentais ma queue grossir dans l’espace restreint de mon slim. Gabriel avait rapproché son corps, nous étions collés, torse contre torse, et je pouvais sentir son bas-ventre.
J’étais au comble de l’excitation, ma respiration avait accéléré et j’étais piégé dans la puissante étreinte du beau roux.
Gabriel R. - Ne cherche pas à fuir, tu es à moi pour la nuit.
Il avait retrouvé ce sourire arrogant que je détestais, puis ses lèvres s’approchaient jusqu’à atteindre les miennes. Le contact de nos lèvres me fit un électrochoc, je ne pouvais résister à ce plaisir immense qui m’envahissait. C’était un baiser langoureux, nos langues étaient en symbiose complète, il malaxait mes fesses par la même occasion. Notre contact a malheureusement dû prendre fin, lorsqu'il retira ses lèvres. Il me prit la main, et nous sortîmes de la piste. J’essayais de me remettre, mais tout mon être était en ébullition, je bandais comme un taureau, et mes fesses me brûlaient de son contact qui avait disparu. Il me lâcha pour aller voir Andrew qui lui fit passer un trousseau de clés. Puis il m’emmena vers sa voiture noire, où il me posa sur le capot en m’embrassant de nouveau.
Gabriel R. - Tu crois que tu peux tenir jusque chez-moi.
Il me regardait, fier de son emprise, je ne pouvais que hocher la tête comme réponse. Nous nous installâmes sur les sièges en cuir, la voiture était spacieuse. En route chez lui, je venais de remarquer l’énorme bosse de son slim blanc accompagné d’une tâche, il devait sûrement mouiller par l’excitation, et je pouvais parler, j’étais dans le même cas le sien. Nous étions arrivés dans un état de rut après une dizaine de minutes de route, nous nous désirions tous les deux. On était rentré comme des sauvages dans son appartement, collé par nos lèvres, nos caresses. Il m’avait posé sur une grande table, commença de petits baisés dans le cou, pour ensuite mordiller mon oreille, pour finir par me mordre langoureusement ma lèvre inférieure. Nos respirations étaient saccadées. Il finit par retirer son magnifique pull bordeaux, laissant place à son imposante musculature, des abdominaux dessinés encore plus secs que les miens, des pectoraux développés, et l’immense V de ses abdominaux visaient son énorme paquet, qui déformait son slim blanc. J’avais, moi aussi, retiré mon haut blanc laissant apparaître mon torse musclé, plus sec, mais moins massique que lui.
Gabriel R. - Ouah… tu es aussi bien gaulé que je l’avais imaginé sous tes jolis vêtements.
Moi - Je peux te retourner le compliment.
Gabriel commença par me lécher goulûment les tétons, qui finit par m’arracher des couinements, dont je ne me savais pas capable. Je pouvais sentir sa langue descendre sur mes abdominaux, passant à de petits baisers. Sa grande main entreprit de déboutonner mon slim, laissant place à mon Jock strap à moitié retiré par mon importante érection. Je n’eus le temps de réfléchir qu’il baissa mon sous-vêtement pour admirer ma bite fièrement levée.
Gabriel R. - Je vois que tu n’avais pas que ton physique et ta gueule d’ange comme atout.
Tout avec ce sourire arrogant, il prit ma bite à la base avant de lécher mon gland humide, je ne pouvais pas résister face à ces nouvelles sensations, j’avais une partie de moi qui voulait en finir face au supplice de ce plaisir, une autre en demandait plus. Il continua par gober toute ma queue en faisait des gorges profondes, j’étais aux anges, il pompait ma bite de 18 centimètres en changeant de rythme de façon à me r, je ne pouvais pas tenir, mais il m’empêchait d’éjaculer. Il meregardait avec ses magnifiques yeux, m’excitant de plus en plus de sa dominance.
Moi - Ar…Arrête Gabriel… Je vais jouir. Disais-je en haletant de plaisir.
Il accélérait, me suçait de plus en vite, serra plus fort ma queue, qu’elle était au point d'exploser. Mon corps ce tendait, Gabriel finis par arrêter de sucer ma queue au bord de la jouissance. Il finit par me masturber de façon frénétique, je ne pouvais plus rien faire, j’éjaculais sept longs jets de toute ma semence sur son torse musclé. Je n’eus le temps de récupérer que Gabriel me releva avec force.
Gabriel R. - On va pouvoir passer à la deuxième étape.
Il commença déboutonner son slim blanc laissant paraître sont énorme boxe qui déformait son boxer.
Il me regarda droit dans les yeux avec son sourire charmeur.
Gabriel R. - Vas-y, nettoie moi bien, et je veux être nickel pour te baiser ton petit cul.
Je me devais faire mon mieux pour lui donner le plus de plaisir possible, je lui entrepris de lécher son torse avec gourmandise, je goûtais par la même occasion à ma propre semence. Ma langue se posa dans son cou, je léchais ses tétons, ses abdominaux secs et sexy. Mon mâle était déjà en train de lâcher des râles de plaisir, ma main se posa d’elle-même sur sa grosse queue en rut sous son boxer. J’allais enfin découvrir un autre sexe que le mien, pouvoir explorer de nouveaux domaines. Je posais de petits baisers sur sa queue encore emballée. J’avais enfin libéré ce monstre en cage, lorsque je lui enlevais son boxer, sa longue queue pointait vers le ciel, elle était bien plus grosse que la mienne, et pour mon plus grand fantasme, j’avais enfin devant moi une magnifique bite non circoncise. J’en bavais presque, ce chef d’œuvre naturel avait au-dessus une belle toison rousse. Je n'avais qu’une envie, la prendre en bouche.
Gabriel R. - Allé bébé, prend mes vingt-trois centimètres dans ta petite bouche.
Je commençais à examiner l’objet de mes désirs, je malaxais ses lourdes boules pleines à être vidé, je décalottais sa longue bite, commençais des va-et-viens, j’étais subjugué par cela, son magnifique gland rose lubrifié recouvert de peau qui ne s'ouvrait qu'à moi. J’approchais mes lèvres de son gland gonflé, léchais le liquide séminal, et sans m’en rendre compte, je bandais de nouveau.
Mon beau mâle râlait plus fort, mon baiser sur son gland lui avait fait un choc de plaisir. Je commençais à sucer, prenant centimètre par centimètre dans ma bouche, j’avais l’impression de me déboîter la mâchoire, mais j’accélérais mes va-et-viens, comme si ma vie en dépendait. Je touchais par la même occasion ses fesses volumineuses. Je sentais mon mâle commencer des coups de bassin dans ma bouche, sans me faire mal avec une certaine tendresse. Nous sommes restés ainsi pendant une dizaine de minutes, puis mon mâle dans des râles de plaisir, éjacula de longs filets de sa semence sur mon visage de sa grosse queue. J’étais excité comme jamais. Le comble, il ne débandait pas, sa queue était toujours en piquet, et il me regardait avec son regard dominateur et ses yeux vert bleu. Il me prit le menton avec une de ses mains.
Gabriel R. - Je vais te baiser avec ma grosse queue salope, et tu vas devenir ma femelle.
L’excitation était au maximum, je bandai comme un cheval et lui comme un taureau. Gabriel m'a porté jusque son lit où nous nous sommes déshabillés en entier, nous étions nus comme deux amants à fleur de peau. Je me mis à quatre pattes montrant mon fondement à mon mâle, il ne me fit pas attendre, et commença à me lécher mon trou de fond en comble, j’étais aux anges, meilleur que la pipe qu’il m’avait prodigué.
Gabriel R. - Pour m’avoir bien nettoyé, tu vas recevoir ta récompense. Je vais te faire devenir ma femme, et tu seras à moi.
Gabriel continua à nettoyer mon trou, puis il sortit d’un tiroir une capote, et du lubrifiant.
Moi - Attends Gabriel, c’est ma premiè…
Je ne pus finir ma phrase que Gabriel m’embrassait à pleine bouche, il frotta sa grosse queue le long de mon fondement.
Gabriel R. - T’inquiète bébé, je vais prendre ta virginité et ce cul n’appartiendra qu’à moi.
Il commença par mettre du lubrifiant sur ses doigts, il en introduit un dans mon être, je râlais de plaisir, cela faisait mal, mais j’étais excité comme jamais.
Gabriel R. - Eh bien, tu es sensible bébé, tu vas aimer ma grosse queue dans ton cul, chérie.
Il entra deux, puis trois doigts. Il faisait des va-et-viens dans mon trou serré, je ne pouvais émettre aucune résistance.
Gabriel R. - Voilà, tu es prête ma femelle, je vais pouvoir t’engrosser.
Il avait fait sortir la capote de l’emballage avant de la mettre sur sa queue tendue. Il finissait par mettre du lubrifiant sur sa queue, et à entrer dans mon être, il força l’entrée et je pouvais sentir son gland entré en moi. Je lâchais des râles de douleur.
Moi - Gabriel… ça fait mal…
Gabriel R. - détend toi chérie, respire, ça rentrera tout seul.
Ma respiration était saccadée, sa queue rentrait centimètre par centimètre. Gabriel venait ce collé au-dessus de moi, me tira la tête doucement avant de m’embrasser à pleine bouche. Je sentais enfin toute sa queue en moi, il me susurra des mots doux à mes oreilles pour me faire oublier la douleur. J’étais en symbiose avec mon beau mâle. Il commença des va-et-viens en moi, je râlais des cris de plaisir intense.
Moi - Plus vite…va plus vite.
Gabriel eut un petit rictus aux lèvres, et commença à me pilonner de plus en plus vite, je hurlais de plaisir, je sentais ses vingt-trois centimètres entrer et ressortir en moi. Il changeait le rythme de ses coups de reins pour me donner plus de plaisir, j’entendais aussi mon mâle exprimer sa satisfaction.
Gabriel R. - Bébé, ton cul est vachement serré, tu es vraiment une bonne femelle.
Il changea notre position, j’étais au-dessus de lui, lui allongé sur le lit, j’enfourchais sa queue du mieux que je pouvais, j’accélérais et je sentais qu’il ne pouvait plus tenir très longtemps, moi aussi, je sentais ma queue au bord de l’explosion pour la deuxième fois.
Gabriel R. - Chérie, je ne vais pas tarder à venir.
Il me prit en missionnaire, ses coup de reins était puissants digne d’un rugbyman, je sentais sa queue grossir en moi au point culminant. Face à la férocité du mouvement, ma queue se tendit, et j’éjaculais de nouveau de longs filets sur mon torse musclé. Gabriel dans un dernier effort surhumain baisa mon trou jusque exploser dans un grand râle plaisir de bête en rut. Mon beau mâle s’affala sur moi, nos deux corps fatigués et enlacés à fleur de peau.
Gabriel R. - Tu es désormais mien, tu es ma femelle.
Ma fierté d'homme avait été dominé, pourtant j'étais aux paradis. Il resta en moi, et nous tombions tous les deux dans les rêves de Morphée.

A suivre dans le Chapitre 3 : La déclaration

Je sentais les draps coulisser sur ma peau, les premiers rayons du soleil apparurent et éclairaient la Chambre, j’étais allongé sur le ventre, je sentais mon mâle poser de doux petits baisers le long de mon dos, avant de quitter le grand lit...

Message de l'auteur:

Cher lecteur,
Je ne pouvais pas te laisser, rester sur ta faim avec le premier chapitre, car celui-ci n'était qu'une mise en bouche, à ce que je vais te faire découvrir. L'histoire d'Enes et Gabriel va devenir beaucoup plus intéressante, enfin je l'espère pour toi.


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