Beau-Père 5

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Après cette séance épuisante, nous sommes rentrés à la maison. Hassan m’avait donné un protège slip pour mettre dans ma culotte afin que le sperme de Walid ne coule pas trop sur le siège de la voiture. Cet énorme zob, large, dur, veiné, m’avait transpercé la chatte. Ces couilles, pendantes et velues, semblaient se remplir aussi vite qu’elles se vidaient.
Jamais je n’aurais pensé auparavant que des hommes puissent posséder de tels organes entre les jambes, même dans mes fantasmes les plus fous, même sur les quelques sites gays que j’avais pu regarder en cachette.
J’avais vraiment la sensation d’avoir une vraie chatte entre les jambes, remplie de foutre et ma culotte portait une protection de femme… de femme réglée ou de femme baisée où du liquide s’écoulait.
Arrivés à la maison, Rachid était là et il a commencé à parler en arabe avec son frère.
Je me suis rué à la salle de bain et l’eau coulant sur moi m’a délassé de cette fatigue, nettoyé mon corps du sperme séché et j’ai enfin pu vider ma chatte pleine de cette liqueur de mâle…
J’étais heureux de cette nouvelle vie, et au fond de moi, je remerciais Rachid de m’avoir révélé ma vraie nature… Je prenais conscience que j’étais une vraie femelle et que je devais assouvir le plaisir des hommes. Que j’étais faite pour ça. Que mon vrai sexe n’était pas cet appendice ridicule qui ne me servait qu’à pisser, mais plutôt l’orifice que j’avais entre les jambes qui accueillait les vrais membres des vrais hommes. J’avais eu super mal, mais au fond, j’étais contente d’avoir été dépucelée par un aussi gros calibre.
Je suis redescendue au salon, toute fraiche, propre et dispo pour mes hommes.
Rachid et Hassan étaient assis sur le canapé, toujours en pleine discussion en arabe, et sur un regard d’eux, je suis allé à la cuisine pour leur apporter leurs bières accompagnées de tout ce qu’il fallait pour leur apéro.


Docilement, après les avoir servis, je me suis assise en face d’eux.
« Mamy va pas bien et ta mère va rester avec elle le temps qu’il faudra. Je vais la rejoindre ce Week-End et tu vas rester avec Hassan. »
« Il vient de me raconter ton après-midi avec notre oncle Walid et je te félicite… Il était trop content, tu lui as donné beaucoup de plaisir… mais tu es faite pour ça, non ? Donner du plaisir aux hommes… Offrir ta chatte aux mâles… Remercie moi de t’avoir révélé ta vraie nature ! »
« Oui Rachid, je suis faite pour être prise, je trouve le corps de l’homme, le sexe de l’homme… Magnifiques… Suis trop contente que tu m’aies dépucelée, de baiser avec toi, ton frère, ton oncle et tous les hommes que tu veux. »
« Ça tombe bien ma chérie, je pars demain matin et Hassan va t’amener dans son studio. Pendant que tu te faisais baiser par Walid, on a contacté des clients pour toi. »
« Des clients ?? Je comprends pas Rachid… »
« Mais oui ma belle, tu vas vite comprendre… Une femelle comme toi, nous les arabes, on la lâche pas et on la met très vite au tapin. Autant que ta jeune chatte nous rapporte, non ? »
« Tu veux faire de moi une pute ? Me prosti ? »
« Mais tu es une pute, ma chérie, tu es faite pour ça… En quelques jours, tu t’es faite baiser comme une vraie salope docile. Tu as écarté les cuisses sans broncher, pour moi, pour mon frère, pour Walid… Alors tu vas continuer à écarter… C’est clair ? »
J’ai vu son regard noir sur moi, autoritaire, qui ne supportait aucun refus. A la fois j’étais choquée par ses paroles, mais au fond de moi, cela me paraissait une évidence. Depuis que Rachid m’avait dépucelée, j’avais tout accepté, et avec de plus en plus de plaisir. J’aimais être le jouet des hommes, j’aimais les exciter, j’aimais avoir cette chair virile enfoncée dans moi.
« En plus, c’est bien… Avec nous, tu as été habituée à prendre du gros calibre dans la chatte. Tu vas tapiner un moment ici, pour te préparer à aller au bled….
Et crois-moi, là-bas, tu vas déguster… Mais tu aimes ça, non ? »
Je ne savais plus où j’en étais vraiment, mais mon beau-père me fascinait. Il émanait de lui une telle virilité, une telle autorité, que je ne pouvais qu’accepter. J’étais entre eux deux et leurs effluves de mâles montaient dans mes narines. Cette bonne odeur de pure testostérone, que moi je n’avais pas, mais dont eux débordaient.
Rachid a vu mon émoi, a compris que je cédais. Il a pris ma main et l’a mise sur son torse velu, pendant qu’Hassan faisait de même avec mon autre main. Je caressais les poils de ces mâles… C’était bon, trop bon… Je voyais la barre entre leurs jambes grossir, encore et encore… J’étais fière de leur faire autant d’effet.
Soudain, Hassan a enlevé le petit short que je portais et s’est enfoncé dans moi brutalement. Heureusement, j’étais encore ouverte par les saillies de Walid et son pieu a pu rentrer en entier, d’un coup. Rachid m’a offert son merveilleux membre à sucer en même temps.
Ils avaient raison, j’étais devenu un pute, accro au gros zob arabe… Et j’aimais ça…
Nous avons passé la nuit tous les trois ensembles dans le même lit, moi entre ces deux hommes, leur offrant tour à tour ma bouche et ma chatte. Putain… Ils sont insatiables ces mecs…Mais jamais il ne me serait venu à l’esprit de me refuser à eux, ils m’avaient soumise et j’aimais trop ça maintenant.
Le lendemain, je me suis levée avant eux pour filer à la salle de bain, me vider de leur liqueur d’homme et leur préparer leur petit déjeuner, c’était mon rôle de femelle soumise, obéissante, offerte et toujours disponible.
« Je file chez Mamy et voir ta mère… Tu restes avec Hassan. Il va t’amener dans son appart. On a commencé mollo…. Juste 10 passes pour le 1er jour, et après, Hassan verra. »
« Je sais pas si je suis prêt pour ça, Rachid »
Son regard noir m’a transpercé… Et il a mis la main sur ma mâchoire en serrant fort et une autre sur mon cul.
« Parce que tu crois que tu as le choix ? »
« Hassan… Revois tes contacts et moi les miens !!! … Je veux 20 passes aujourd’hui pour cette pute.
Ça lui apprendra à obéir… !!! »
J’étais vaincue, soumise et j’ai suivi Hassan chez lui en sachant ce qui m’attendait.
Dans la voiture, Hassan a été clair…
« Mon studio, c’est pour que tu tapines pour nous… J’ai contacté environ 20 mecs… Que des arabes…100€ la passe, c’est moi qui encaisse avant, bien sûr… Alors, tu donnes le meilleur de toi, ok ? »
« Un mois de tapin ici, et après, on t’amène en Algérie, au Sud »
Arrivés chez lui, Hassan m’a montré le séjour meublé à l’arabe avec le salon et la table prête pour le thé, la chambre avec un grand lit et m’a donné une sorte de nuisette avec un string. La salle de bains était attenante avec douche et bidet.
« Tu reprends vite une douche et tu enfiles ça, le premier client arrive dans un quart d’heure. Tu as 10 minutes après chaque passe pour te rincer et t’occuper de l’homme suivant. Tu es docile, ok ? Tu suces, tu avales si le mec veut et tu te laisses faire… Il a payé pour ça…. Je te rassure quand même, pas de violence, je suis là pour te protéger si ça tourne mal… »
Je le regardais, effrayé, quelque peu désemparé… Il a ressenti mon émoi et s’est approché. Il m’a pris dans ses bras, m’a embrassé affectueusement et voluptueusement.
« Ne t’en fais pas ma Belle, on compte sur toi et on est sur de toi… Ces hommes ont besoin de plaisir, non ? tu es là pour leur en donner…. Pense à ça… »
Ma première journée de tapin allait commencer dans quelques minutes et je me suis préparée à accueillir ces hommes

(Juste une précision… Cette histoire s’est déroulée il y a longtemps, à une époque où les protections indispensables aujourd’hui, n’étaient pas nécessaires… Sauf, pour une pute, de ne pas tomber enceinte… Là où moi, je ne risquais rien…)

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