Ou Comment Le Jardinier Est Devenu Le Défricheur. 5
Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». 5
Je me retrouvai donc convoqué chez la Mère Supérieure. Me doutant de ce quil allait advenir de mon avenir dans ce couvent, javais déjà fait mon balluchon et il nétait pas bien gros.
Jétais dans le couloir, jentendais parler dans le bureau de la Mère Supérieur.
-Entrez !!!!
Jouvris la porte et rentrai dans une pièce assez austère, La Mère Supérieure était assise derrière son bureau mais une autre femme était debout derrière elle.
Une superbe rousse dans les 25 ans bien en chair avec une poitrine lourde me dévisageait des pieds à la tête. Je ne la connaissais pas.
La sainte dame dune petite cinquantaine dannées pris la parole et ces mots étaient loin de ce à quoi je mattendais.
-Jeune homme, je devrais vous renvoyer sur le champ pour avoir dévoyé ce couvent et à ce que jai entendu dire, vous êtes très vaillant et trop de surs ont cédé à vos charmes. Pourtant jai une proposition à vous faire qui va vous étonner!
Regardant mes pieds je bredouillais de veines excuses :
- Je ne sais pas ce qui est arrivé, depuis que je me suis retrouvé à linfirmerie, tout senchaîne sans même que je le veuille et jai cédé à toutes ces tentations.
- Taisez-vous et écoutez ! La chasteté, même pour une femme d'église, est loin dêtre évidente!!!
Pour nos novices qui ont pour certaines déjà connu le plaisir avant de rentrer dans les ordres encore moins. Je ne peux pas dire que ce que jai appris mait fait plaisir mais ce qui est fait est fait.
Je veux que vous me promettiez de nen rien révéler à lextérieur de ces murs.
-Je vous le jure ma Mère, je serai muet comme une tombe !
- Comme vous lavez constaté, une partie de ce couvent est inoccupée et notre congrégation a de plus en plus de mal à entretenir tout ce patrimoine. Cest pour cela que nous allons ouvrir une école pour les filles de bonnes familles pour les éduquer à devenir de bonnes épouses.
- Notre école fournira à ces demoiselles tous les enseignements dont elles auront besoin. Cuisine, couture, ménage, tout ce quil faut savoir pour tenir une maison et si elles ont de la chance pour commander à leurs serviteurs. La partie qui va vous concerner et jespère que le Pape ne nous en tiendra pas rigueur, sera de leur apprendre à se servir de leurs atouts pour trouver de bons partis et rendre heureux leurs époux !
- Je ne comprends pas ? Répliquai-je.
-Toutes les femmes de ce couvent vous dévorent des yeux et la plupart ont même dévoré autre chose. Je vous demande de servir détalon pour dépuceler toutes ces saintes-nitouches !
Jétais choqué, par ce que je venais dentendre.
- Mais !?
- Cest ça ou vous quittez ce couvent
Il paraît que vous avez ce quil faut entre les jambes et que vous savez très bien vous en servir. Nos filles pour certaines choisiront la religion mais dautres y préfèreront le sexe, notre éducation leur donnera les deux, à elles ensuite de choisir leur voie!!!
- Nhésitez pas, vous aurez une place que beaucoup vous envieraient et pas désagréable.
Jétais subjugué par la tournure des événements. Jallais servir de gode vivant pour un troupeau doies blanches. Ma vie allait prendre un virage, le simple jardinier allait changé de statut.
Madame Clair reprît la parole :
-Bien, maintenant on doit juger nous même des dires des surs, je te tutoie dès à présent. Retire tous tes oripeaux, on doit texaminer, retire absolument tout !
Je me sentis extrêmement gêné mais depuis quelques temps, ça mest arrivé assez souvent dêtre nu devant une bonne sur, alors ??? Je retirai donc mes loques pour me retrouver en tenue dAdam devant elles. Un peu gêné, je mis mes mains devant mon sexe.
- Ne fais pas lidiot, surtout que tu ne cache pas grand-chose. Je vois que tu as du répondant, lança-t-elle admirative, mais il faut voir ce que ça donne au travail !
Elle vint à moi et sans aucune gêne, se saisit de ma verge, le contact de ces doigts me fît un drôle deffet mais je restai stoïque.
Elle se glissa entre mes jambes et pris ma pine en bouche, me branlant et me suçant longuement avant que la machine ne se mette en marche et que ma libido surmonte ma peur.
Elle planta son regard dans le mien et mannonça :
-Ah enfin !... Je croyais que je ne savais plus my prendre. Ton gland est très imposant, je nen ai jamais vu de si gros et ta verge a lair de tenir ses promesses, elle est de bonne taille mais je mattendais à mieux après tous ces commentaires élogieux. Ma petite main nen fait déjà plus le tour. Par contre tu bandes mou.
-Vous êtes trop impatiente Madame, je suis assez long à entrer en action, il faut encore vous appliquez.
-Eh bien, et en plus tu crois que tu vas mimpressionner, jen ai vu dautres dans ma vie !
Ses mains coururent de plus belle sur ma hampe, ses doigts relâchèrent puis se refermèrent de nouveau sur ma tige qui continuait à croître et jaccompagnais les mouvements de sa tête de mes mains posées dans ses cheveux. Puis elle changea de méthode et me branla en me léchant les couilles.
Elle glissa une main sur mon pubis pendant que son autre main sagrippait sur mon membre enfin dressé.
- Oh, ce que tu es gros, mavoua-t-elle stupéfaite, je nai jamais vu croître autant une verge et il est exceptionnel quun tel bâton soit si tendu. Hum, c'est délicieux.
Elle se saisit de nouveau étroitement de ma bite ne pouvant sempêcher de regarder mon gourdin pendant quelle recommençait à me masturber lentement, je gémissais à ses caresses sur toute la longueur de mon barreau.
Confrontée enfin à la taille imposante de ma queue bandée, elle respirait fort, ressentant les battements de son cur qui irradiait autant dans sa chatte que dans sa poitrine.
On dirait quelle a oublié quelle se trouvait dans le bureau de la Mère Supérieure, son cerveau était comme déconnecté, elle lécha mon dard sur toute sa longueur plusieurs fois avant que sa bouche ne simmobilisa délicatement sur mon gland et me reprît en bouche et avec une ferveur sans égal.
Elle avait une science très approfondie et me suçait et me pompait comme aucune de mes si récentes conquêtes.
A suivre
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