Ou Comment Le Jardinier Est Devenu Le Défricheur. 6
Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». 6
Résumé de lépisode précédent :
Convoqué chez La Mère Supérieure, Je passe un test daptitude pour devenir létalon du couvent de jeunes filles.
On dirait quelle a oublié quelle se trouvait dans le bureau de la Mère Supérieure, son cerveau était comme déconnecté, elle lécha mon dard sur toute sa longueur plusieurs fois avant que sa bouche ne simmobilisa délicatement sur mon gland et me reprît en bouche et avec une ferveur sans égal.
Elle avait une science très approfondie et me suçait et me pompait comme aucune de mes si récentes conquêtes.
Elle faisait pénétrer si loin dans sa gorge ma flamberge, arrivant presque à mettre son nez dans ma toison pubienne, que quand elle retirait sa bouche sous des haut-le cur, ma queue était recouverte dune quantité phénoménale de salive dont les filets sétendaient de ma queue à sa bouche.
Puis elle sattaqua à me lécher les testicules tout en me masturbant fermement avec une main ferme mais si douce avant de me reprendre en bouche. On dirait quelle veut enfourner ma queue au plus profond de sa gorge en attendant davaler des giclées de mon foutre tout chaud.
- Regarde leffet que tu produis sur les femmes
Même Mère Thérèse na dyeux que pour ta poutre. Elle ne peut détacher son regard de ton outil et je suis sûre quelle a la culotte toute mouillée, à cause de toi !
A ce moment là, la Mère Supérieure se rapprocha encore, le rouge aux joues. Madame Clerc se releva et ses lèvres chaudes se posèrent sur les miennes, une langue experte envahie ma bouche pour y danser un ballet langoureux avec la mienne.
Puis elle regarda Mère Thérèse et lui pris la main pour la poser sur mon jonc dressé :
- Quand pensez-vous ma Mère? Il fera laffaire ? Touchez pour vous rendre compte de lépi vraiment exceptionnel de ce jeune godelureau. Vous sentez comme il est dur ?
- Que me faîtes-vous faire là, je ne veux pas y toucher ! Soffusqua la mère Supérieure
Elle était rouge de honte, Mais sa main sattarda beaucoup plus que de raison avant de se retirer, ne quittant plus des yeux mon entrejambe.
- Il est vraiment monté comme un âne. Vous navez pas peur quil blesse nos protégées ?
-Non ma Mère, je préparerai bien ces petites bourgeoises avec des manants du coin pour quelques pièces avant de leur faire connaître ce fût si épais.
Jétais là à les entendre parler de moi comme dun taureau bon reproducteur à qui lon veut faire saillir tout un troupeau de Génisses. Je nétais quun instrument pour elles.
-Je vous donne carte blanche... Mais quand est-t-il de lautre particularité que lon nous a signalée ? Pouvez-vous aller plus loin avec lui que je puisse me rendre compte si ce nest pas des affabulations ?
-Bien volontiers ma Mère, rétorqua Mme Clerc, je m'atèle à la tâche !
Elle enroula ses deux mains étroitement autour de mon membre plein de vigueur, faisant glisser ses doigts jusquà la base massive. Elle regardait dun il connaisseur, admirant linstrument entre ses mains.
Pendant quune main mentourait la verge, elle glissa lautre vers la raie de mes fesses et ségara sur mon anus. Soudain, elle se mit à me lécher le cul, puis la raie et enfin mon petit trou. Sa langue saventurait en un lieu quaucune des autres femmes navaient exploré.
Jécartais plus les jambes afin quelle accéda plus facilement à mon anus, quelle lécha avec obstination avant dy enfoncer sa langue, ne cessant pas de me branler. Je ne pus retenir mes mots en gémissant, appréciant son savoir faire :
- Oh oui que cest bon !!!
Elle revint sur mon manche et repris sa fellation démoniaque en ces lieux bénits. Je sentais une main branler avec vigueur ma bite.
Elle me dévorait le gland de sa bouche pendant que de son autre main, elle me malaxait les couilles. Jétais au bord du non-retour, le méat commençait à suinter des gouttes de sperme.
Elle sen aperçu du bout de la langue et retira sa bouche me branlant de plus en plus violemment en mapostrophant :
- Essaie de te retenir encore un peu, ce nen sera que meilleur.
Jessayai de me retenir, gagnant quelques précieuses secondes en serrant les dents mais javais dépassé le point de non-retour.
Vicieusement, se rendant compte de limminence de léruption, elle accéléra encore sa branlette.
Malgré toute ma bonne volonté, je navais plus la maîtrise sur mes organes reproducteurs.
Dans un râle, je sentis lénorme pression accumulée dans mes burnes se libérer dans ma lance qui propulsa un long jet de ma semence dans les airs.
Mais par un malencontreux hasard, la Mère Supérieure se trouvait sur la trajectoire et ma semence sécrasa sur sa soutane, la maculant dune grande trace blanchâtre.
Madame Clerc, la bouche ouverte regardait la catastrophe quand le second jet sortit du tuyau, tout aussi puissant et doublant linjure sur les vêtements religieux. Elle se ressaisit et pour éviter que les salves suivantes ne continuent leurs uvres, elle prit en bouche mon gourdin juste à temps pour accueillir ma 3ème salve.
Se rappelant des confidences des nonnes, elle ne céda pas à lenvie de sortir ma bite de sa bouche pour en apprécier les sucs mais repris sa branlette en magitant frénétiquement le poireau.
Deux autres giclées toujours aussi espacées dans le temps, finirent par faire dégorger de sa bouche le trop-plein qui lui macula le menton.
Après un moment de silence, Mère Thérèse sécria :
-Jésus-Marie-Joseph, cest pas Dieu possible !!!!
Madame Clerc renchérissait :
-Je les prenais pour des affabulatrices mais je dois admettre quelles nont pas menti, il éjacule en pointillé, quand on croit que cest fini, ça recommence encore et encore, quel étalon !!!
Et elle me chuchota dans le creux de loreille :
Jespère que tu as gardé des forces... Moi aussi, je veux ta vigueur en moi. Je nen ai pas fini avec toi !!! Allez
Rhabille-toi et va mattendre dans la salle dà coté.
Quand je quittai le bureau, jentendis Madame Clerc dire :
-Ma mère, avec un tel phénomène, si nos futures élèves passent brillamment « la pratique » avec lui, rien ne pourra les surprendre et leur résister dans la vie !
Elle me rejoignit quelques minutes après dans la pièce attenante
A suivre
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