L'Inconnu De Mes Contacts Est Un Mec Bien Chaud...2
Stéphane, ce mec canon d1m80 pour 75kg, marchait devant moi dans le petit couloir de son appartement. Je remontais et reboutonnais maladroitement la braguette de mon jeans pour le suivre. Jétais encore un peu groggy de la magistrale pipe quil venait de me faire. Il avait fait retomber un peu et temporairement mon excitation. On sest installés sur les sièges du salon, en face lun de lautre, la table basse entre nous sur laquelle se trouvaient deux verres de whisky que javais remplis plus tôt pendant quil se douchait, juste avant de le rejoindre dans la salle de bain, obéissant à une pulsion sexuelle irrépressible
On a attrapé nos verres, on a trinqué en silence et on a bu une gorgée qui nous a réchauffé le gosier. Cest lui qui a rompu le silence :
-« Jen reviens pas que tu te sois tapé plus dune heure de route pour venir me retrouver ».
-« Attends ! Tas vu comme on sest chauffé par textos toute la semaine ! Et là, tu mannonces quon ne pourra pas se voir parce que tu dois aller bosser. Tu croyais que jallais accepter ça et rien dire? Non mec, javais la trique et envie de toi, jallais pas lâcher comme ça, cest pas mon genre ! »
-« Tas bien fait. Quand je tai vu dans le bar, jy ai pas cru ! Je me suis dit « Cest pas vrai, il est venu jusque- là ! », tes un grand malade toi ».
On a rigolé de la situation, cest vrai que javais jamais pris la voiture pour faire 100 Km juste pour baiser un quasi inconnu. Ce mec, je lavais juste rencontré quelques mois auparavant, on sétait plu, on avait passé un bon moment puis chacun était reparti de son côté. On naurait jamais dû se revoir sil ne mavait pas envoyé, par erreur, un SMS bien chaud qui mavait excité et poussé à renouer contact.
On a discuté de nos vies, mon couple hétéro avec mes incartades gays et lui, célibataire, gay passif mais qui nas pas encore fait son coming out, il voit plus ou moins régulièrement un collègue, Cédric, le barman avec qui javais discuté toute la soirée.
Au bout du troisième whisky, on commençait à avoir un peu chaud dans tous les sens du terme. Jai commencé par enlever mon T-shirt et me caresser un peu en lui faisant des sourires et des mouvements de tête pour lattirer vers moi. Il na pas résisté bien longtemps. Il sest levé tout doucement et a mis de la musique, il est revenu devant moi et ma demandé de me mettre à laise et de profiter du spectacle. Je me suis avachi dans le fauteuil, les mains croisées derrière la tête, les jambes écartées et jai commencé à siffler quand il a entamé une danse très langoureuse, sexy avec des gestes sans équivoques. Lexcitation revenait de part et dautre.
Il a entamé un striptease de fou, très long, terriblement érotique, il menvoyait ses fringues, venait danser et se dandiner juste devant moi, saccroupissait devant mes jambes, simulant une fellation, me caressait furtivement, se retournait, frottait son cul contre mon paquet. Il gémissait et simulait un orgasme comme si je le prenais, il me regardait dun air coquin, riait et recommençait. Jétais dans un état dexcitation indescriptible, je bandais comme un âne, je suis sûr que je mouillais, ce mec me mettait les sens sans dessus-dessous ! Je jouais le jeu, je lencourageais, jaimais le voir bouger comme ça, il me désirait ça ne faisait aucun doute.
Il ma tendu la main, je lai saisi, il a tiré pour maider à me lever, je lai suivi dans la chambre, il continuait à danser, jadmirais son cul de rêve et son corps entièrement nu qui bougeait, je le trouvais incandescent, brûlant de désir, au moins autant que moi.
On est arrivés dans la chambre, il sest assis sur le lit, face à moi. Jai approché mon bassin de lui, très prêt, il a embrassé et léché ma queue à travers mon jeans, il a déboutonné la braguette, ma regardé et ma dit :
-« Hummmm, tu bandes bien raide, jadore »
-« Ouais, tu vas kiffer, je vais bien moccuper de toi.
Je ne me suis pas fait prier pour me déshabiller ! Les quelques fringues qui me restaient son vite tombées à terre. Je lai renversé sur le dos, il a écarté les jambes, je lai saisi par les hanches pour lui redresser le bassin quasiment à la verticale et ma bouche a plongé entre ses fesses, ma langue a touché son trou, encore serré, et en a lentrée sans trop de difficultés. Je lai entendu crier et monter dans les aigus :
-« Aaaaahhhhhh ouiiiiii, bouffe-moi la moule, je kiffe trop ça, vaaaaas-yyyyyy ! »
Jai continué en salivant un maximum dans son trou, en mordillant ses fesses, en déposant des baisers bruyants puis en replongeant en lui. A chaque fois, il criait et mencourageait à continuer, sa main appuyait sur ma tête pour que ma langue senfonce le plus profond possible en lui.
Je me suis aussi occupé de ses couilles en les gobant et en tirant dessus tout en lui demandant de se branler. Il gémissait de plus en plus et a recommencé à crier quand je lui ai enfoncé deux doigts dun coup sans le prévenir. Je lai limé à fond pendant un bon moment en crachant sur son trou pour le lubrifier. Entre deux cris, il ma désigné la table de nuit et ma demandé de prendre une capote. Jouvre le tiroir, il y en avait au moins 50 la dedans, je nai pas pu mempêcher de dire :
-« Et ben, tu reçois souvent toi ! »
-« Mets-en une et baise-moi, jen peux plus là ! »
Je crois que cest à ce moment-là que son portable a sonné la première fois. A vrai dire, ça ne nous a pas déconcentré, je lai lâché juste le temps de dérouler le préservatif sur ma bite. Il en a profité pour se retourner, se mettre à quatre pattes sur le lit et moffrir son cul bien fendu et baveux. Je lai saisi par les hanches, je lai tiré vers moi, mon gland sest posé sur son trou, jai tiré tout en poussant avec mon bassin, jai fermé les yeux, rejeté ma tête en arrière, je lai entendu crier et, la seconde daprès, ma bite avait entièrement disparu dans son corps ! Il était serré mais bien humide et chaud, je me suis mis à me déchainer dans son cul, le tirant contre mon ventre tout en lui donnant de grands coups de reins.
Jai lâché ses hanches pour mallonger un peu sur son dos, jai posé mes mains de chaque côté de sa tête, jai étendu mes jambes et jai repris les coups forts et rapides. Cette position me permettait dy aller encore plus fort, ce quil a apprécié : « Oh ouiiii, cest trop bon, défonce-moi à fond ».
Il ma fait basculer sur le côté, je suis tombé sur le lit, il a relevé sa jambe, une de mes mains était bloquée sous son corps, lautre est passée sur son torse et a commencé à lui triturer les tétons tandis que je le pilonnais de plus belle. On a continué un moment comme ça jusquà ce que je lentende me dire :
-« Oh putain, je jouis sur ta queue, tarrête paaaaaaaas »
Il avait presque complètement débandé mais son corps était agité de soubresauts, il avait la chair de poule, respirait de façon saccadée et bruyante, je sentais son cul se contracter sur ma bite, javais ralenti le rythme pour profiter de cet orgasme anal qui fut long et intense. Puis cest mon plaisir à moi qui est monté de façon fulgurante et irréversible. Ce fut tellement violent et puissant que jai mordu son épaule tout en remplissant la capote de plusieurs jets libérateurs.
Après avoir pris le temps de redescendre lun et lautre, je me suis retiré et allongé sur le dos, essoufflé et repu, il en a fait de même mais a repris sa branle quelques secondes avant que six gros jets nexpulsent son jus sur son ventre.
Cest là que jai entendu son téléphone une deuxième fois mais lui a fait comme si de rien nétait, il ma dit :
-« Oh que cest bon ! Tu sens cette odeur de mâle de foutre et de sexe, jadore ça ! »
Il sest retourné et sest couché sur moi pour membraser, mes mains se sont posées sur son cul, jai senti son trou encore béant et mouillé, son foutre et nos sueurs se sont mélangés sur nos ventres, il ma dit :
-« Tas bien fait de venir, ça aurait été dommage ! »
-« Carrément ! »
On sest caressés et embrassés encore un peu et on sest endormis comme ça vers 4 h du matin.
Cest la sonnette de la porte qui ma fait sursauter, il y a eu deux autres coups secs comme pour manifester une certaine impatience. Jai bondi du lit, complètement perdu, Stéphane nétait plus là, je me suis précipité dans le salon, je lai vu, en train denfiler un T-shirt et un boxer à la hâte, il ma fait signe de ne pas faire de bruit, ma balancé mes fringues, ma poussé dans la salle de bains et, dune voix à peine audible ma dit :
-« Désolé mais mon mec débarque.. »
-« Cédric, le barman ??? »
-« Oui mais on sen fout, il a dû essayer de me joindre et, inquiet ou vénère, il débarque. Planque-toi là et attends sans faire de bruit ».
-« Tes fou, je me planque pas là-dedans, il sait pas que tes là, on fait pas de bruit, il va repartir, tauras quà lui dire que tas fait la fête et que tas dormi chez des potes
»
Il hésitait et était paniqué, ça ma excité et je me suis mis à bander, je lai embrassé puis je lui ai fait signe de regarder ma bite, il a compris ce que je voulais, il a jeté un regard furtif à la porte comme si Cédric pouvait entrer, la situation me rendait fou, jai appuyé sur ses épaules, il est descendu et a avalé ma queue. Il a commencé à me sucer alors que deux nouvelles salves de sonnette ont retenti puis deux coups frappés, Stéphane sursautait à chaque fois mais continuait sa pipe. Je gémissais en silence mais que cétait bon, se faire tailler une pipe au réveil alors que le mec de celui qui me la fait est derrière la porte ! Un fantasme.
On a entendu :
-« Stéphane tes là ?.... Tu dors ? »
Stéphane était en train de trouver la situation amusante et excitante puisquil mettait encore plus dardeur à sa pipe et il branlait sa bite bien dure.
On a entendu Cédric repartir, les bruits de pas se sont éloignés, le silence est devenu total, nos gémissements se sont imposés pendant quelques minutes encore, Stéphane a joui le premier, le voir cracher par terre entre mes pieds ma excité et mon jus est arrivé dans sa bouche. Il a tout avalé, sest relevé et ma dit :
-« Tes un sacré salaud toi, te faire sucer quand mon mec frappe à la porte
»
-« Oh, cest bon, tas kiffé toi aussi ! »
-« Carrément, jétais excité à mort et javais la trouille, cétait trop bon
»
Son téléphone a sonné, il a décroché, cétait Cédric. Il lui a monté un bobard très crédible, jai préféré aller sous la douche. Quand jen suis ressorti, Stéphane ma dit que Cédric allait revenir dans quelques minutes, quil valait mieux que je parte.
Je nai pas demandé mon reste. Cinq minutes après, jétais dans ma voiture
Une bonne heure après, jarrivais chez moi, je recevais un texto de Stéphane : « Putain de soirée mec, jai kiffé ta bite, on remet ça quand tu veux lol ». Jai éclaté de rire et jai répondu : « Cette fois, cest le bon Pascal, moi aussi jai kiffé, cest quand tu veux lol ».
J'espère que cette histoire entièrement vraie vous a plu...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!