Collection Étrange Phénomène.La Petite Voix. (1/1)
« Tu vois la grande bourge derrière son caddy, je la connais, cest une salope, jai aidé dernièrement un timide comme toi à la sauter, elle a accepté tout de suite et est allée dans les chiottes du centre commercial se faire enfiler, attaque. »
Je regarde à droite et à gauche, devant, derrière, la plus proche personne étant cette femme fort à mon goût, il est vrai, mais à plus de cinq mètres devant moi.
« Inutile de chercher, je me suis installé dans ta tête, je fais cela pour aider les puceaux dans ton genre, tu nas pas honte bientôt 35 ans et plus de 10 ans que tu recules devant les sexes qui te font baver, pourtant quand je te prends le sguègue, tu es monté comme un taureau.
Vas-y, dit lui quelle a un joli cul et que tu veux la baiser, tu vas voir, elle va courir derrière toi pour aller aux chiottes. »
Je mapproche de la dame qui regarde des plats cuisinés.
Bonjour, vous êtes belle, jai envie de vous baiser dans les chiottes, vous me suivez.
Elle se retourne me regarde et me met une baffe me faisant regretter davoir écouté cette petite voix.
« Merde excuse, je la voyais par-derrière et comme elle avait la même chute de reins que la salope de lautre soir, jai confondu, mais tu vois avant que jaille aider un autre mec comme toi cette salope, car cest une salope sera à toi, tient, cest notre challenge, je te quitterais quand tu lui planteras ta verge dans le vagin. »
Je suis circonspect, mais je me tâte la joue, les cinq doigts doivent être marqués montrant à tous la pauvre cloche que je suis.
« Regarde, elle se retourne, je sens quelle te jauge, jai limpression quelle regrette déjà ce quelle ta fait, certaines fois il faut les attaquer à plusieurs reprises avant quelle ne se couche, tu vois cette bourge, elle est mariée depuis vingt ans et sa moule a envie de picorer un nouveau serrin, elle est frustrée, son mari la délaissant.
Lâche-moi, je vivais très bien sans toi !
« Oui, mais sans baiser, avec moi tu vas voir, cela va marcher, je te lassure, à ce jour, jai 100% de réussite malgré quelques inconvénients comme ceux que tu viens de vivre. »
Regarde ce con, il parle tout seul.
Je me retourne, cest un couple qui est derrière moi et qui ma entendu parler à voix haute.
« Tient, ce couple, la femme aime tromper son mec, suis-les tu dois trouver où ils habitent. »
Mais jétais simplement venu acheter des pâtes pour manger ce soir.
« Laisse tomber, je te ferais livrer une pizza à domicile. »
Je quitte le rayon derrière le couple, je me dirige vers la sortie sans achat attendant quil passe en caisse.
« Elle ta vu, elle regarde si son mari la voit, elle semble sintéresser à ta personne, son mec a fini de payer, tu vas voir, leur voiture va être non loin de la tienne, si jai raison, ce sera une preuve que je peux taider. »
Afin déviter de les perdre, je les observe pendant quils remplissent leurs cabas avant de rejoindre ma voiture.
« Tu vois, jai raison, mieux elle est juste à côté de la tienne, excuse-toi et monte avant elle, elle va te faire voir sa chatte, elle a toujours la moule à la disposition de qui veut la baiser. »
Pardon madame.
Elle me regarde, je monte dans ma voiture, elle ouvre sa portière, regarde dans le rétro ce que fait son mari, sassoie, pivote, sa jupe se relève et me montre sa chatte entièrement épilée doù sort un joujou rose qui doit lui donner du plaisir quand elle se déplace.
« Excuse mec, javais oublié de te parler du gode quelle a toujours ou tu las vue, autrement javais raison, regarde, elle va te faire un clin dil. »
Encore vrai, je suis de plus en plus troublé, je vois le mari monté et la voiture démarrer.
« Suis-les, je te promets que dans quelques minutes tu vas perdre ton pucelage.
Complètement crédule, au lieu de tourner à droite pour rejoindre mon domicile, je suis lautre voiture.
Quelques kilomètres plus loin, je la vois tourner et entrer après ouverture de la porte automatique du parking souterrain de limmeuble où il semble quils habitent.
« Oui, au dernier étage, gare-toi, pas de chance aucune place de libre, refait un tour, je vais ten libérer une. »
Je devrais abandonner, mais cette petite voix finie par mamuser, puceau à trente-cinq ans, ai-je quelque chose à perdre, oui ma rondelle !
Je fais le tour du quartier, trois fois à droite pour me retrouver à quelques mètres de limmeuble, une voiture démarre me laissant la possibilité de nous garer.
In croyable, je prends ma petite voix intérieure pour une personne, jai dit « nous garer » au lieu de me garer.
« Tu peux dire nous, je suis avec toi jusquà ce que tu trempes ton biscuit dans la chatte dune femme, regarde, elle est sur le balcon au cinquième, elle fait signe au revoir à quelquun.
Tient, un taxi, il attend sur le trottoir avec une valise, il part à létranger. »
Imbue de sa personne, ma petite voix semble avoir réponse à tous.
« Bien sûr, jai raison, le taxi a tourné le coin, tu as un stationnement qui se libère comme je te lavais dit, fonce la place est chaude, tu vas la baiser dans son vestibule, elle va touvrir en peignoir, elle vient de prendre sa douche pendant que son mari se préparait. »
Je suis crédule, car je me laisse embobiner par une simple voix alors que cela fait presque vingt ans que je cherche à me séparer de ma timidité qui ma toujours fait prendre la mauvaise décision avec les femmes.
Joublie de dire que sans être beau gosse, je suis assez bien foutu.
« Déconne pas, beau gosse il y a mieux, deux trois retouches et il y a longtemps que tu aurais emballé, un exemple tes cheveux, le pépé où tu vas devrait être à la retraite depuis plus de dix ans.
Cest bien de vouloir maider, mais si cest pour débiner mes amis, cest difficile à avaler.
« Arrête de faire des raisonnements à la mords-la-moi, tu déblatères pour retarder le moment où tu iras sonner, je te rappelle cinquième étage, Véronique et Lionel A. »
Je fais ce que ma voix me dit et quand jarrive devant la porte il y a un Digicode.
« Regarde 5e, javais raison, sonne. »
Jhésite et jappuie sur le bouton, deux minutes et jentends des grésillements.
Que voulez-vous ?
Je suis le garçon du supermarché.
Que voulez-vous ?
Que lui dire, une nouvelle fois je recule devant la difficulté.
« Jai bien fait dattendre avant de te quitter, dis lui que tu bandes comme un taureau depuis que tu as vu sa chatte. »
Quand mon regard a croisé le vôtre, jai eu envie de vous.
Bandes-tu ?
Oui, Madame.
Je touvre cinquième.
Jentre, lascenseur va trop vite pour moi qui aurais voulu avoir le temps de réfléchir, elle mattend la porte ouverte, elle me défait la ceinture de mon pantalon et après lavoir embrassé et prise sous les cuisses, je la dépose sur le guéridon.
Je bande comme le taureau, je rentre enfin dans son sexe.
« Adieu. »
Cest la dernière fois que jai entendu la petite voix, jai baisé Véronique pendant deux heures, ma queue entrait et sortait de son vagin à une vitesse infernale, jai déchargé cinq fois avant de revenir le lendemain et le surlendemain.
Une semaine après, je retourne au supermarché et je vois la femme qui mavait mis une baffe, jallais passer mon chemin quand elle ma abordé.
Excusez pour la baffe la semaine dernière, jai regretté, si vous payez mes courses à la sortie du supermarché, je veux bien vous suivre aux toilettes du centre commercial.
Cest là, alors quelle avait posé une jambe sur la lunette des chiottes que jai baisée ma seconde femme, une fois par mois jai rendez-vous à la caisse et après avoir payé, je me la fais, je lai même enculé, un fantasme que je ne pensais pas réaliser un jour.
Aujourdhui, je viens de rencontrer une jeune femme à qui je semble plaire, je suis en ce moment devant la bijouterie du centre commercial afin de lui acheter une bague de fiançailles.
Merci la petite voix.
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