Collection Escorte. Le Bon Dieu Sans Confession (2/2)

J’avais 19 ans quand l’aventure qui m’est arrivée à précipiter ma vie dans un monde parallèle.
Ce monde, c’est celui du sexe et de l’argent, celui des escortes girls qui se prostituent pour avoir des enveloppes d’argent leur permettant une vie facile.
Moi, je suis loin d’être différente, mais c’est en tout bien tout honneur que je rejoignais mes clients pour leur donner et prendre du plaisir.

J’ai 28 ans, quand après ma dernière année d'études de médecine principalement passées chez un vieux médecin, ou j’ai fini, ma formation et qui m’a vendu son cabinet avec sa clientèle.
Il a sympathisé avec mes parents, ils ont vendu leur cabinet pour qu’en plus de l’argent gagné avec mes week-ends de conférences donc mes fesses et mes vacances bien numératives ou là encore je donne de ma personne, je deviens officiellement médecin généraliste dans une banlieue, proche des personnes ayant le pouvoir et l’argent qui va avec.
J’aurais pu me contenter de ce travail me remplissant largement les poches ayant réussi à me faire apprécier des femmes de ces milieux friqués qui aiment ma façon d’aborder la médecine.
Dans ces quartiers où souvent mes clients, quand je suis en mode pute, payent mes services, j’ai des risques de me retrouver face à eux ayant un problème de santé, heureusement comme escorte, je porte des lentilles qui me donnent des yeux verts alors que je suis brune aux yeux noisette.
Comme escorte, mes cheveux tombent en cascade et je suis habillée sobre, mais avec des talons haut quand je vais dans mes week-ends, alors que dans mon cabinet, j’ai une blouse blanche trois quarts sur un pantalon noir, des lunettes à monture noire et un chignon bien rangé.
Il y a un mois j’ai cru rencontré le problème, je travaillais à mon bureau avant l’heure d’ouverture de mon cabinet, quand par ma fenêtre, j’ai vu une Mercédès se garer sur mon parking, l’homme que j’ai vu descendre avec son épouse m’avait payé 10 000 € pour passer huit jours en Martinique avec moi, lors d’un séminaire pour son travail.


J’ai failli appeler ma secrétaire pour lui dire que j’étais dans l’impossibilité de les recevoir, j’ai agi autrement, j’ai bien fait, j’ai eu la preuve que j’étais transparente à leurs yeux et surtout à ceux du mari, seul le problème de sa femme lui importait. J’aurais pu en rire, car lors de cette semaine, il a même été jusqu’à me demander en mariage me jurant qu’il était célibataire.
Pauvre femme trompée, j’ai demandé qu’il sorte, car j’avais à m’entretenir de médecin à femme, Henriette a été ma maîtresse elle aussi, simplement pour le plaisir, mais elle angoissait de tromper son mari et a arrêté notre relation.

Pour arranger cette rupture, c’est le moment où grosse bite m’a invité un week-end à Bordeaux vers le centre-ville dans le plus grand hôtel, il m’a fait venir en me disant qu’il avait un problème et qu’on lui avait dit que j’acceptais les clients les plus étranges.
Son problème, c’était sa verge démesurée, il avait du mal à la ranger même au repos, chaque fois qu’il a cru trouver l’âme sœur, elle a systématiquement reculé devant sa longueur et sa grosseur sans parler de ses couilles qui déversaient de vrais torrents de sperme.
J’ai bien dit qu’outre les enveloppes le sexe pour le sexe étaient mon moteur, il me payait régulièrement le voyage pour que je lui fasse des fellations, plutôt des masturbations en lui suçant le gland impossible de le faire entrer en entier dans ma bouche.
Ma chatte facile, une bonne trentaine de centimètres me pénétraient, si j’avais eu deux vagins en enfilade, il y en aurait eu assez pour qu’ils soient intégralement remplis.
Il aimait que je finisse par une fellation remplissant mon estomac, je trouvais que bien que le goût soit un peu fade, j’aimais boire ce sperme.
Pendant ces deux jours passés dans le luxe, c’est le client qui me faisait le plus jouir.

Un jour que mes parents étaient à la maison, ils ont évoqué la possibilité d’un mariage et espéraient des petits s, c’étaient quinze jours après que Nadia fut venue vivre avec moi, j’avais de la place pour deux dans mon appartement au-dessus de mon cabinet dans mon petit hôtel particulier.

Elle était partie tapiner près de Toulouse, je me suis bien gardée de leur dire que les bites, c’était pour le pognon, mais aussi pour mon plaisir personnel sous un autre angle et qu’en semaine la chatte et la langue de mon amie étaient une autre facette de ma vie sexuelle.
Quoiqu’ils soient médecins auraient-ils admis que leur fille unique à qui ils donnaient le bon Dieu sans confession est bisexuelle et prostitué de surcroît ?
Comme avec les hommes, il y a systématiquement capote, il aurait été mal vu qu’un médecin att le sida après les recommandations que je donne aux jeunes filles du meilleur monde qui viennent me consulter.
À ce titre, j’ai un copain de fac qui a continué en chirurgie, c’est vers lui que je dirige ces jeunes filles de la haute qui se croient plus fortes que les autres et qui se retrouvent enceintes.
Ils les avortent quelques fois sans que les familles soit au courant, il faut bien qu’elles aient l’air pures au bal des débutantes.

Cette histoire d’ a commencé à me travailler, impensable pour moi d’envisager de me marier, j’aime vivre avec Nadia c’est mon côté lesbien et les sexes des hommes, je l’ai dit, je fais la pute à deux titres, les enveloppes de frics et les bites de modèles et de tailles différentes.
Il était donc impensable vu mon style de vie de me marier, j’ai eu une idée que j’ai soumise à Nadia, approchant comme moi de la trentaine, elle avait aussi l’envie d’, j’avais mon scenario, elle le sient, sans vouloir faire un concours, elle a récupéré du sperme des capotes de plusieurs de ses clients qu’elle a mélangés et nous sommes allées en Belgique ont ses ovules ont été mis en contact avec leurs spermatozoïdes.
De mon côté, j’ai contacté grosse bite lui faisant croire que j’étais de passage et que j’avais un moment à , je lui ai fait un prix pour les deux heures ou il m’a défoncé, j’ai pris un pied pas possible et je suis revenu chez moi avec une des capotes taille XXL remplis de sperme pour le faire analyser.

Pour mon projet, il était hors de question de risquer d’attr une saloperie, je viens d’en parler, quand j’ai été sûr qu’il était sain, je suis rapidement retournée le voir, comme les deux rendez-vous étaient très rapprochés, je l’ai monté gratos, ils étaient satisfaits et moi je me suis retrouvée enceinte dans les jours qui ont suivi.
J’ai prétexté que j’avais oublié ses capotes grandes taille à Paris et que prenant la pilule, il pouvait me prendre sans, c’était la première fois qu’il baisait sans capote et que moi je recevais un homme dans les mêmes circonstances.

Jules est né 9 mois plus tard sans que son père sache qu’il avait un fils, ce qui est incroyable, ce sont ces hommes qui payent pour avoir des femmes dans leur lit alors que souvent ils ont ce qu’il faut à la maison.
En nous payant ils croient nous dominer, pendant les 8 mois qui ont précédé la naissance, j’ai eu de nombreux clients à qui je disais que j’étais enceinte, on peut me croire, c’est pendant cette période que j’ai fait le maximum de rencontres sexuelles et rémunérées.
Nadia est dans le même cas, sa méthode a été efficace, à un détail près, si dans quelques années Valérie veut connaître son père, qui pourra dire que les spermes mélangés appartenaient à Pierre, Paul ou Jacques.
Idem pour Jules, il faudrait que je lui dise que je me suis fait engrosser par grosse bite, où habite-t-il, je l’ai toujours rencontré dans son hôtel ?

Nous avons accouché à deux jours d’intervalle dans la même clinique de notre quartier, mes parents et les siens ont fait connaissance de nos s en même temps que nous nous présentions à eux.
Apprendre qu’ils ont des filles lesbiennes a été un choc, même pour mes parents médecins, ça a largement été atténué par nos bouts de choux qu’ils prenaient dans leurs bras en devenant gagas.
Pour élever nos s étant souvent parties l’une et l’autre, j’ai embauché Abby jeune anglaise aux paires, petit bouchon de 20 ans, Nadia est rapidement devenue sa maîtresse, je mis suis refusé bien que son petit cul m’ait bien plu, mais je voulais garder la distance d’employer à patron.

J’aime l’amour aux féminins ayant même de plus en plus des clientes qui se donnent le mot et qui me payent presque autant que les hommes, je suis une personne équilibrée alors pourquoi sucer tout ce qui bouge.
Nadia se contente de ses revenues de putes, moi ceux de médecin et de pute aussi, nous venons d’acquérir une villa à quelques pas de celle de mes parents, nous avons une grande piscine, les s qui ont bientôt deux ans s’en donnent à cœur joie.
Abby les surveille pendant les trois mois qu’ils passent là-bas.
Un jour où j’étais censé être parti faire un client, je suis revenue chercher un gode oublier dans notre placard, mon père était là et j’ai senti qu’Abby était loin d’être insensible à son charme de vieux beau.
Les s faisaient la sieste et ils ne m’ont pas vu, j’ai pris conscience que quoiqu’il exerce en banlieue, mon père avec l’argent qu’il avait, se payait peut-être des jeunes filles de 20 ans comme moi quand j’avais été payé par mon premier client.
C’est la vie, on me donnait le bon Dieu sans confession, quand les lèvres de mon père sont venues sur celle d’Abby, je me suis dit en moi-même que le jour où je l’ai embauché Abby m’était apparu comme une jeune fille ayant les mêmes caractéristiques.
J’ai laissé mon gode, les laissant à leur plaisir, il faut bien que jeunesse se passe.

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