Collection Escorte. Le Bon Dieu Sans Confession (1/2)

Bonjour, je m’appelle Marie, je sais, je viens d’écrire le début de mon aventure, en parlant du bon Dieu alors que mes parents m’ont appelé Marie.
J’habite chez mes parents d’honorables médecins dans la banlieue parisienne.
19 ans, études de médecine moi aussi, papa souhaitant que je reprenne son cabinet d’ici 10 ans pour qu’ils profitent un peu plus de leur villa sur la côte au-dessus de Nice.
Eh oui, les pauvres, ça paye, car ils sont plus nombreux que les riches, bien sûr, leurs deux salles d’attente sont pleines, je dois la vérité à dire que depuis presque 10 ans, j’entends de moins en moins les cris de plaisir de ma mère dans leur chambre.
Idem pour les endroits insolites de la maison comme la machine à laver dans la buanderie ou un soir ayant la nécessité d’aller aux toilettes, j’ai vu maman les fesses sur la machine en service qui vibrait en même temps qu’elle jouissait, la verge de papa bien ancrée en elle.
De mon côté, dans l’immeuble où ils ont leurs cabinets au rez-de-chaussée et logement au 5e étage, personne ne peut dire qu’ils m’ont vu avec le moindre garçon, je suis considérée par tous comme une petite fille modèle, partant et revenant sagement de la fac.

L’an passé, quelques jours après mes dix-huit ans, Véronique ma copine de lycée a souhaité que je lui serve d’alibi pour aller à un rendez-vous, elle était la maîtresse d’un homme marié.
Ils devaient se retrouver dans un club non loin de la gare de Lyon, ils m’ont laissé à une table avec une bouteille de coca, j’avais autorisation de commander tout ce que je voulais, son amant réglerait l’addition à leur retour.
J’étais assis à regarder les clips sur des télés placés à divers endroits pour que tous les clients en voient un, quand j’ai entendu que l’on me parlait.

• Excusez de vous déranger, puis-je vous offrir un verre !

J’avais remarqué ce bellâtre au bar qui semblait siroter un whisky, je n’en avais pas fait cas et de le voir planté devant moi a été une surprise.



• Je veux bien en tout bien tout honneur, j’attends une amie qui.
• Je sais, elle est partie avec mon ami, je l’attends, moi aussi.

Pour simplifier les choses, de fil en aiguille, nous sommes sorties du club et il m’a emmené dans la chambre de son hôtel à deux pas.
Je dois reconnaître que les quelques slows que nous avions faits m’ont émoustillé et pour la première fois j’ai eu envie de cet homme.
Dans la nuit, il m’a pris trois fois, j’avais perdu la notion du temps et surtout mon hymen, au matin, je l’ai vu s’habiller et comme dans un brouillard, je l’ai entendu dire.

• Tu n’es pas banale, on te donnerait le bon Dieu sans confession, pourrais-tu me donner ton numéro, je te rappellerais.
• 06.

Je me suis levé pour aller me doucher, sur la descente de lit, il y avait trois capotes, l’une d’elles était recouverte de sang, la deuxième un peu moins et la troisième devait être la dernière, car elle était immaculée, mais remplie de sperme.
C’était la première fois que je voyais et capote et sperme, je voulais rejoindre Véronique, mais une nouvelle surprise m’était réservée.
Sur mes vêtements et mon sac, cinq billets de 100 € était posé, il m’avait pris pour une pute or le sentiment que j’ai éprouvé à avoir gagné cet argent, pour la première fois par moi-même sans dépendre de mes parents, doublé du plaisir d’avoir joui la troisième fois ou avant de m’écrouler, il m’avait fait mettre à quatre pattes.
Je dis bien à quatre pattes et non pas en levrette, car à ce moment j’ignorais ce mot.
C’est à ce moment que j’ai pris conscience que je lui avais donné mon numéro de portable.

• Je suis rentré par le métro, dans ma banlieue, car le club était fermé, Véronique brillant par son absence.
• Elle était certainement déjà couchée, je l’ai appelée, j’ai eu son répondeur, il était 15 heures quand j’ai été réveillé.
• Pour la première fois de ma vie, j’ai menti, quand je lui ai dit que je m’ennuyais et que j’étais rentré me coucher.

• Comment ne pas croire une jeune femme comme moi à qui l’on pouvait donner le bon Dieu sans confession, mais qui avait perdu son pucelage pour 500 € sans que je lui dise bien sûr ?

Pendant quinze jours aucune nouvelle, j’avais simplement un drôle de sentiment, que devait ressentir les filles qui se prostituaient en connaissance de cause, alors que moi ce n’avait pas été le cas, j’ignorais qu’il croyait que j’en étais une.
Je réfléchissais à ce qu’elles devaient penser au moment où les hommes achetaient leurs corps, j’étais tenté de retourner dans ce club pour voir si malgré ma tenue sexy, mais très simple un autre homme m’aborderait.
J’ai continué ma vie de cour et de travail à la maison, cette première année en médecine étant primordiale.

• Allo, Marie, Paul un ami m’a donné votre numéro de téléphone, je m’appelle Louis, seriez-vous libre ce week-end, je me rends à un séminaire et j’aimerais votre présence, je pense que vous prenez les mêmes tarifs que les autres escortes que j’ai déjà rencontrées, 3 000 ça vous va.

Je n’en croyais pas mes oreilles, le premier client qui n’en était pas un, à qui j’avais donné mon numéro et cet homme, que je ne connaissais ni d’ève ni d’Adam, voulais se payer mes services le week-end prochain.

• C’est parfait, oui je suis libre où se voyons-nous.
• 17 heures au bar de la gare Montparnasse, j’aurais une tenue sport avec un chandail rose posé sur mes épaules, Paul a été si précis, sur votre allure et votre beauté que je suis sûr que je vous reconnaîtrais.
• 17 heures, c’est trop tôt, j’ai cours jusqu’à 15 heures, le temps de rentrer.
• Je comprends, tu fais l’escorte pour payer tes études, 18 heures 30 ça ira !

Deux heures après, j’ai essayé de le rappeler, lui dire qu’il y avait erreur, que je n’étais pas une pute, mais une simple étudiante, il doit-y avoir un destin, car il avait appelé en numéro masqué.
Je suis allée sur Internet pour voir ce qu’ils disaient sur les escortes, j’ai appris beaucoup de choses jusqu’aux tenues bon chic bon genre que ses filles portaient quand elles rencontraient leurs clients.

J’ai investi les 500 € gagnés avec mes fesses, il restait mes parents, deuxième mensonge, je leur ai dit que je partais deux jours avec Véronique, j’ai été obligé de la briffer pour qu’elle évite de venir chez moi ou d’appeler.
Elle a compris que j’avais un galant, je suis partie tranquille à mon rendez-vous.
J’ai quitté la maison avec la valise que j’avais achetée pour y mettre les dessous sexy que j’avais cachés dans le haut d’un placard dans les combles où je jouais quand j’étais encore une petite fille sage.

• Paul a été de bon conseil, vous êtes superbe mademoiselle, venez ma voiture se trouve en double file.

Une Ferrari rouge bien sûr, mes cheveux volaient au vent, sur mon cœur, j’avais mon petit sac dans lequel j’avais l'enveloppe remise par Louis et que j’avais accepté.
Au moment où je l’ai prise en main, une intense jouissance m’a envahie, pour la première fois, qui ne devait pas être la dernière, j’ai mouillé ma culotte.
Mon client, je venais de prendre conscience que cet homme semblant puer le fric venait de m’acheter comme il le faisait quand il s’achetait une nouvelle voiture, il m’a baisé pendant ces deux jours, toujours avec protection.
J’en avais commandé par Internet une boîte de 100 que j’avais fait livrer par Chronopost avec supplément pour les avoir en 24 heures chez Véronique qui n’avait pas de problème, ses parents étant absents.
Heureusement que j’avais regardé des vidéos sur ce que faisaient ses filles, moi qu’il y a peu été pucelle, j’ai commencé par lui faire une fellation, tous en le masturbant sa queue étant plus imposants que, la première que j’eusse eue en moi sans vraiment savoir ce qu’il m’arrivait.
J’ai pris plaisir à me mettre en levrette, j’avais vu ses filles le faire et le dire dans de petites vidéos, pour le reste, les différentes positions, dessus, dessous, sur le côté, assises sur une chaise, sur la moquette et même banalement sur le lit, je me suis laissé guider par les envies de mes clients.

Je dis bien clients, car tout au long de mes études, j’ai continué à étudier en semaine et être pute les week-ends, mon carnet d’adresses se remplissant aussi vite que mon compte en banque grossissait.
Papa et maman étaient contents que je m’assume, Véronique comme alibi chaque fois que je rejoignais la queue d’un de mes clients pour deux jours était un peu cour, j’ai de nouveau menti quand je leur ai dit que j’avais trouvé un job de traductrice en anglais dans différents colloques.
C’est dans ces séminaires où ces conférences que je trouvais les hommes friqués capables de se payer une escorte à des tarifs de plus en plus élevés, ma côte sur le marché des putes, montaient de plus en plus, j’étais reconnue comme une salope acceptante tous de mes clients.
Le fait que je prenais plaisir, m’a beaucoup aidé, bien sûr, la sodomie dès mon troisième client fut un peu douloureuse la première fois, mais avec de plus en plus de plaisir au fil du temps.
J’ai fait des choses à la limite de l’infecte que je préfère oublier, seule l’enveloppe comptait et le plaisir de mes clients, j’étais devenue une sorte de médecin du sexe, il m’est arrivé d’en accepté deux en même temps, bien sûr, pour me prendre en double pénétration, ils crachaient, certes, le sperme dans leur capote, mais aussi plus de billets placés dans les enveloppes.
Je me suis fait établir un passeport, car pendant mes vacances, j’ai accepté plusieurs clients à l’étranger, Qatar, New York, Philippines, Jamaïque, où j’ai connu Nadia, escorte comme moi.

Nadia qui passait comme moi quinze jours en juillet avec un homme marié qui m’avait proposé 30 000 € le voyage compris à la Jamaïque.
Nos clients étaient contents de partouzer avec leurs deux putes, mais j'ai appris les plaisirs lesbiens.
Nadia avait eu plusieurs rapports avec des clientes et j’ai appris à m’occuper de son clitoris, j’avais été sollicité par des femmes, mais j’avais toujours refusé me sachant inexperte en plaisir à apporter aux femmes.
Grâce à Nadia dans les mois qui ont suivi, mon carnet d’adresses s’est gonflé de plusieurs prénoms et numéros de femmes que je consultais pour savoir si j’acceptais ou non la prestation et leurs pognons.
J’aimais baiser et me faire baiser par ces femmes, chacune d’elles étant plus douce que, les clients mâles, jamais de rudesse alors que certains hommes voulaient me montrer leur virilité en me traitant comme la pute que je suis.

Chez mes parents, tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes, ils étaient si contents de la petite fille modèle qu’ils avaient à la maison que pour mes 20 ans, ils m’ont offert mon permis agrémenté d’une Peugeot 306 sport.
Je restais comme leur petite fille à qui l’on donnait le bon dieu sans confession…

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