Accident De Moto (3)

3°) Nue ou pas nue ?
Après les éternelles visites de l'après midi (nombreuses un samedi) qui m'ont fait limite plaisir, tant je voulais penser à Justine, dire son nom... Je passais une bonne partie de la nuit à penser à elle, à ce qu'elle m'avait avoué, mais aussi ce que j'espérais pour ma toilette du lendemain ; va-t-elle oser se déshabiller ? vais-je la voir entièrement nue ? Je bandais rien que d'y penser, mais je ne pouvais rien faire et je fini par m’endormir.
Déception le lendemain matin, c’était une autre personne que Justine qui m'amena le petit déjeuner. Je n'osais demander où était ma jolie aide-soignante pour ne pas éveiller de soupçons. La même personne était venue débarrasser le plateau. L'attente fut longue. Enfin vers 10 heures, elle entrait avec un chariot et un grand tablier plastique au-dessus de sa blouse avec un sourire enjôleur sur ses lèvres.
- Me voilà, Monsieur, je me suis occupé des autres patients et j'ai au moins trois quart d'heure de libre pour m'occuper de toi
Je restais bouche bée, ne sachant pas ce que cela voulait dire.
- He oui ! je vais te donner une douche, la première depuis ton accident !
- une douche avec mes plâtres ?
- Bien sûr, me répondait elle en rigolant, tu as affaire aujourd'hui à une pro de la douche ! fais-moi confiance.
Sa bonne humeur, ses beaux yeux clairs souriants me remontaient le moral au beau fixe et me faisaient oublier cette longue attente.
Elle m'aida à m'installer sur une chaise roulante, ce qui me permit de sentir son corps, son parfum léger et agréable, puis elle couvrit mes plâtres avec des protections spécialement adaptées.
- Voilà un beau travail de pro ! dit-elle toujours avec son sourire et son enthousiasme. Allez zou, sous la douche le monsieur !
Pendant qu'elle réglait la température de l’eau, je pouvais l'admirer. Elle semblait être nue sous sa blouse, mais comme elle ne m'avait pas parlé de ma demande, je n’osais rien dire.


Elle me poussa sous la douche, comme c'était agréable !
- Je reviens dit-elle
Je restais sous le jet d'eau et fermais les yeux pour gouter ce plaisir.
- Attention je ferme le robinet, me dit Justine.
Je rouvrais les yeux et là je la découvris, elle était devant moi entièrement nue. A la vue de son regard elle était stressée. Je ne savais pas quoi dire, et examinais son corps de haut en bas ; un buste bien charpenté taillé en V, elle devait faire du sport, des seins en forme de poire, comme je n’en avais jamais vu, se dressaient fièrement vers l’avant comme des ogives, des mamelons clairs avec les petits tétons rosés d’une jeune fille. C'était très joli. Elle avait attaché ses cheveux ce qui laissait libre un cou fin qui soutenait cette magnifique frimousse.
Je descendis mon regard vers son ventre plat, des abdos bien dessinés, puis vers son sexe, l’objet du désir. Blonde elle avait une toison très fine et soyeuse, beaucoup moins que Christine et surtout beaucoup plus claire donc assez transparente. J’apercus ses petites lèvres.
Sa peau était pale, pas une trace de bronzage, je me rappelais alors qu’elle m’avait raconté qu’elle faisait du naturisme quand elle était jeune.
- Que tu es belle, extraordinairement belle, c'est un cadeau magnifique que tu me fais, j'en suis tout ému.
Je la voyais aussi émue que moi, presqu'aux larmes, son stress semblait avoir disparu, elle était ravie de s'exhiber ainsi.
- Tu n’as aucune trace de bronzage, j’en déduis que, soit tu ne t’es pas encore mise au soleil, soit tu t’offres nue à ses rayons.
- Bonne analyse, j’aime me mettre toute nue toute seule sur mon balcon sans aucun vis-à-vis. Bon Monsieur Bruno, il va falloir que je vous lave quand même, dit-elle pour changer de conversation.
Elle alla chercher le matériel resté dans la chambre, ce qui me permit d'admirer ses jolies petites fesses tout aussi musclées que le reste, deux sphères pas énormément rebondies mais fermes.
Ses cuisses prolongeaient son fessier en s’affinant jusqu’aux genoux pour finir sur ses jambes et ses pieds chaussés de claquettes de travail. Très rapidement elle réapparut,
- Tu fais du sport pour avoir un corps aussi athlétique ?
- C’est gentil, dit-elle gênée, oui je fais de la danse et de la natation. Tu vois je t’avais promis d’y songer, nos discussions m’ont donnée envie de tenter l’expérience. Je suis moi-même surprise de la facilité avec laquelle je me présente ainsi devant toi, même si j'étais stressée. En plus tu ne peux pas me toucher, ajoute-t-elle avec ses yeux pétillants et avec un ton très humoristique. Alors, dis quelque chose !
- Mais il n’y a rien à dire, mon sexe parle pour moi, j’en ai mal tellement il est gonflé. Gonflé par tant de beauté et d’érotisme. Oui cette situation est érotique, tu es nue ici dans ma chambre d’hôpital et seulement pour moi.
- Merci, tout cela est grâce à toi alors tu mérites d’en profiter ! Alors comment tu me trouves ?
- Laide, grosse, mal foutue, commençais-je sarcastique… sérieusement tu es une déesse, comment peux-tu avoir des complexes avec un corps pareil. Je serais toi je me regarderais régulièrement dans la glace et je m’occuperais d’en prendre soin de de n’oublier aucun endroit.
- Mais que crois-tu que je fasse, je pense pouvoir dire que j’ai exploré tous les centimètres de mon corps, mais... elle s’arrêta brutalement comme si elle sentait qu’elle allait trop loin.
Silence
Elle commençait par me laver les cheveux, j’en avais bien besoin. Elle s’était mise face à moi et, à cause de mon fauteuil, elle avait été contrainte, pour mon plus grand plaisir, de passer ses jambes de chaque côté ce qui donnait évidement un niveau d’érotisme encore plus prononcé. Avant qu’elle ne me mette de la mousse partout, j’eu le temps d’admirer sa chatte entrouverte.
- Dis donc, tu peux relever la tête que je puisse faire mon travail au lieu de mater l’intimité d’une jeune fille.

Elle était de plus en plus coquine, tout cela était mesuré et volontaire, elle se fit plaisir en m’excitant ainsi. J’obéis et relevai la tête doucement pour m’arrêter cette fois sur ses seins à quelques centimètres de mon visage. J’eu une envie soudaine de les téter, de la toucher. J’ouvris la bouche, et lèva mon bras droit ….
- Hep hep, que fais-tu là, veux-tu rester sage, dit-elle très sérieusement
- C’est une vraie souffrance, laisse-moi profiter de tout ça, tu es tellement bandante implorais-je
- Je suis très contente et flattée, je dois t’avouer que cette position, toute nue face à toi avec les jambes écartées me procure une certaine excitation, mais pour le moment je tiens ma promesse de m’offrir à tes yeux, rien de plus.
Je finis par m’assagir et la laissai faire. Elle s’occupa donc de mes cheveux et je profitai de cette vue merveilleuse sur ses seins qui suivèrent les mouvements dynamiques de ses mains. Fermes ils bougeaient peu mais suffisamment pour les rendre vivant et attirants. J’avais de la mousse qui commençait à couler sur mon visage, je fermais les yeux et les rouvrais dès que possible. Quand elle cessa de frotter mon cuir chevelu, je m’aperçus qu’elle avait de la mousse sur tout le haut de son corps.
- Regarde tu as mis de la mousse partout sur ce joli corps, tu vas être obligée de m’accompagner sous la douche.
- Tu comprends maintenant pourquoi j’avais cette tenue en arrivant, normalement il n’est pas prévu que je sois à poil avec toi mais avec cette protection.
- Tu es quand même mieux comme ça non ?
- Oui je suis d’accord, j’adore même, je retrouve mes souvenirs du vivre nue avec en plus le côté érotique que je ne connaissais pas plus jeune.
- Il va vraiment falloir que tu t’occupes de moi, je sens que je vais exploser sinon, tu n’entends pas ma soupape chuchoter ?
Elle en avait tout autant envie que moi, je la sentais de plus en plus sexy, son comportement changeait elle deveint sexuellement chaude,
- Dit moi ce que tu veux et je verrai
- Je veux que tu enduises tes seins de savons et que ce soit eux qui me lavent, Je veux ensuite que tu me laves la bite jusqu’à ce que tu me fasses jaillir.

Elle ne répondit pas et n’attendit même pas la fin de la phrase pour ouvrir l’eau de la douche, passa dessous pour se mouiller et très érotiquement fit couler du gel sur ses seins. Elle commença à se caresser sa poitrine jusqu’à ce qu’il y ait suffisamment de mousse. Je pouvais la voir changer au fur et à mesure de la monté de son excitation, elle laissa descendre sa main gauche à l’intérieur de ses cuisses et se caressa doucement. Elle ouvrit la bouche, gémit et ferma les yeux la tête en arrière.
- Tu es trop belle, vient
Elle s’approcha alors de moi, écarta de nouveau les jambes de chaque côté de mon fauteuil, s’avança tout proche et écrasa ses seins sur mon visage. Peu importe le gout du gel, j’aspirai ses tétons à chaque fois qu’ils passaient sur ma bouche. Elle s’amusa à les offrir l’un après l’autre, je les sentis se durcir de plus en plus. Elle avait toujours sa main qui s’activait alternativement sur son clito et ses lèvres. Elle décida ensuite de se baisser pour me laver le torse avec ses seins, elle avait des mouvements de bas en haut. Quand nos visages se croisèrent, nos lèvres s’effleurèrent, j’étais dans un rêve éveillé.
Elle recula légèrement, sortit de l’emprise de mon fauteuil, repassa sous la douche tout en se caressant. Je vis qu’elle ne maitrisait plus son excitation, elle reprit du gel pour faire mousser encore plus ses deux obus et s’agenouilla devant mes cuisses écartées. Elle s’empara de mon engin pour le faire glisser entre ses seins, elle les serra et commença à me branler littéralement. A chaque descente, elle ouvrait la bouche en sortant la langue pour laper le bout de mon gland mais remontait tout de suite. Deux ou trois allers-retours de plus et mes vannes s’ouvrèrent en grand, je lui aspergeai le visage de trois jets puissants. Elle ouvrit la bouche encore plus et attrapa au vol une giclée jusqu’au fond de sa gorge. Elle resta bouche ouverte et mon sperme coula comme une bave. Elle en avait plein la figure, c’était une vision idyllique. J’étais enfin soulagé.
- Je veux jouir, me dit-elle rageusement, pose ton bras sur l’accoudoir de ton fauteuil.
Je m’exécutai sans attendre pendant qu’elle se rinçait son visage sous la douche toujours ouverte. Elle reprit du savon et s’enduisit la chatte largement. Elle se retourna, me présentant ainsi ce bel arrière-train. Elle recula en écartant les cuisses pour se positionner juste au-dessus de main. Je compris alors ce qu’elle voulait, il lui fallait un membre pour sa chatte dégoulinante. Bien positionnée, elle remua rapidement son bassin et se frotta ardemment. J’ai levé un doigt puis deux, puis trois, ils rentrèrent tous avec une facilité dans cette chambre étroite et brulante. Avec mes trois doigts elle s’empala et s’en servit comme d’un sexe. Elle bougeait de haut en bas en se pénétrant de plus en plus profond, elle se caressait les tétons, le clito dans des gestes un peu saccadés et rapides, elle perdait pied, elle jouissait fort, très fort. Ma main dégoulinait de son plaisir.
Elle se redressa enfin et resta une minute sous la douche avant de reprendre ses esprits. Elle rouvrit les yeux et se rendit compte qu’elle m’avait laissé comme ça, souillé. Toujours aussi belle et nue, elle poussa alors mon fauteuil et entreprit de me laver vraiment.
Tous les deux séchés, elle me ramena dans la chambre.
- Qu’est-ce que tu es belle, je ne le répèterai jamais assez. Tu es belle simplement nue, tu es belle et désirante quand tu es excitée et tu es encore plus belle quand tu jouis en te laissant totalement aller.
- J’ai honte mais j’ai pris beaucoup de plaisir. Je me suis souvent masturbée seule mais là c’était complétement différent avec toi qui me regardait, qui m’admirait, je sentais que je t’excitais, merci à toi.
Malheureusement elle dut se rhabiller. Elle remit sa blouse tout en restant nue dessous, elle enfila son tablier et le mouilla pour montrer qu’elle m’avait fait prendre ma douche avec et n’éveiller aucun soupçon. Complétement prête, elle s’approcha, me déposa un baiser sur mes lèvres et sortit sans dire un mot.

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