Accident De Moto (4)

4°) Une visite spéciale de Christine

Le soir Justine repassait dans ma chambre apaisée souriante et reconnaissante.
- Ma relève va bientôt arriver, ça m’a fait vraiment beaucoup de bien ce matin, je te remercie.
- Ne me remercie pas, à l’origine c’était pour mon plaisir que je t’ai demandé de te dévoiler. Tu sais, tu es seulement la deuxième femme avec qui j’ai des aventures sexuelles comme ça, et je peux dire que c’est ma période de chance, je passe du jeune qui ne faisait que se masturber en fantasmant sur la gente féminine à des expériences tellement riches dont peu de personne peut se vanter d’avoir vécu.
Dans mon élan, j’ai eu envie de lui raconter mon dépucelage avec Christine, ce qui avait causé mon accident.
- Avec ta belle-sœur ? dit-elle surprise, celle que j’ai vu le premier jour ? Mais ton frère le sait ?
- Oui c’est bien elle, vous avez ça en commun d’aimer vous faire bronzer toute nue. Elle est très belle avec un corps différent du tiens mais tout aussi bandant, elle a fait mes fantasmes d’adolescent et mes nombreuses branlettes étaient avec elle. Au début je pensais que cette aventure avec elle resterait entre nous mais ils sont très libres tous les deux et se disent tout ?
- Je confirme elle est très belle, j’aime les femmes qui s’entretiennent, je n’aime pas le laisser aller ou la masculinisation. Il faut que tu réussisses à la convaincre de s’occuper de toi quand je ne suis pas là, dit-elle avec un large sourire.
- C’est déjà fait, la première fois qu’elle est venue, pendant que mon frère faisait le guet, elle m’a sucé. Tu te souviens quand tu m’as laissé avec mon piquet de tente, vilaine ?
- Oui je me souviens tu m’avais bien donné envie aussi ce jour-là, je me suis vite masturbée en rentrant en pensant à ce joli membre qui ne demandait qu’à se garer dans une petite grotte, elle éclata de rire
- Tu es une vraie poétesse. Mais arrête je sens que l’excitation remonte.


Au même moment, on frappe à la porte. Justine se lève et j’invite à rentrer, c’était Christine.
- Voilà monsieur Bruno, prenez soin de vous et je vous dis à dans trois jours.
- Bon repos Justine à bientôt et merci
Quelle étrange et charmante fille, se mettre nue devant un quasi inconnu, sur son lieu de travail, si elle était découverte elle se faisait virer, était-elle amoureuse ? Quant à moi je commençais sérieusement à me poser la question.
- Elle est très belle, me dit Christine en me sortant de ce rêve.
- Je dois te raconter …
J’ai pris un réel plaisir à raconter mon aventure en détail à Christine, ce qui ne la laissa pas indifférente.
- Tu as beaucoup de chance en ce moment toi, j’avoue que même moi son corps, son sourire et sa gentillesse ne me laissent pas de marbre.
- Elle te fait fantasmer ? je ne savais pas que tu étais attirée aussi par les femmes. Oh la la , ça me donne des envies encore tout ça.
- Je ne savais pas moi-même, c’est nouveau mais avec les détails que tu m’as racontés, je m’imaginais presque à sa place dans la douche. Tout ça m’ouvre une opportunité dont je n’avais pas conscience, me faire toucher et lécher par une femme, humm ça me donne aussi des envies maintenant ce n’est pas malin.
Elle se leva et partit dans la salle de bain. Je l’entends faire pipi et se laver les mains, mais elle ne ressort pas tout de suite. De retour dans la chambre, elle me regardait avec des yeux de chatte en chaleur. Elle se positionnait face à moi, et à la mode d’une strip-teaseuse, tirait sur les pans de sa blouse pour faire sauter les boutons pressions et je découvrais qu’elle s’était mise toute nue dans la salle de bain. Mais qu’est-ce que j’ai fait pour mériter de telles récompenses. Je n’avais que le corps de Justine dans la tête mais là, de revoir celui de Christine me procura la même excitation à en oublier Justine. Tout aussi sportive, elle avait ses seins beaucoup plus ronds, ses mamelons plus foncés, ses tétons plus proéminents, sa toison beaucoup plus fournie et plus foncée, sa peau plus halée.
Mais sa stature était la même, les mêmes épaules, la même taille. Christine était plus mure, ça donnait encore plus de « sexe », moins de jeunesse.
- Lequel tu préfères ?
Je ne comprenais pas la question.
- Quel corps tu préfères, le mien ou celui de Justine. Quelle femme tu préfères Justine ou moi ?
Je ne voyais pas de piège dans cette question, alors je répondis spontanément :
- Justement je me faisais la réflexion et comparais les deux intérieurement, sans hésitation je répondrais les deux, vous avez des corps totalement différents, mais j'adore les deux. Au niveau du sexe une femme libérée et accomplie d'une part assumant sa sexualité et d'autre part une jeune fille presque virginale. J'ai besoin des deux...
- Voilà une jolie réponse, dit-elle en souriant.
Sans attendre, elle enleva sa blouse et écartait ses jambes, elle se caressait le sexe déjà humide, je voyais deux doigts disparaitre dans sa toison, elle se retournait et se penchait en avant. J'avais une superbe vue sur sa caverne occupée par ses doigts qui entraient et sortaient selon un rythme accéléré, une vue sur son petit trou qui se contractait au même rythme. Avec son autre main, elle inséra un doigt dans son anus et très vite des spasmes de plaisir la secouaient et mouillaient abondamment son entre cuisse.
Elle se retournait brutalement et m’ordonnait de faire comme avec Justine.
- Pose ta main ici
Elle baissait le lit pour que ma main arrive à la hauteur recherchée, tout en restant face à moi, écartait les jambes et jouait avec la télécommande du lit pour que ma main vienne parfaitement se caler à l’intérieur de ses cuisses. J’avais cette fois une vue parfaite sur l’ensemble de son corps, Christine se secouait sur ma main, elle sautait presque pour que les pénétrations soient encore plus fortes, je voyais ma main s’engouffrer dans son intimité, ses seins sautaient en suivant le mouvement. Elle grognait pour s'empêcher de crier jusqu’à jouir longuement.
Mon côté voyeur était là, une nouvelle fois entièrement comblé.
Son extase terminée, elle se retournait toujours aussi belle dans sa nudité complète
- ça faisait longtemps que je n’avais pas eu une pulsion jouissive comme ça. Je vais venir plus souvent et m’arranger pour que Justine soit présente.
- Je te vois venir, tu pourrais demander à la voir en tant que collègue médicale pour parler de mon cas.
- on verra en attendant tu es encore une fois dans un état, dit-elle en tirant sur le drap et en dévoilant mon érection.
- mais tu vas t’en occuper, profites en tu as la tenue idéale.
- il faut faire vite alors les visites vont bientôt être autorisée, tu préfères quoi ?
- tu réussirais à monter et t’empaler ? j’ai envie de ta chatte toute dilatée
- non trop difficile et risqué, choisis entre une branlette avec mes mains ou ma bouche
- alors ta bouche, ça sera plus facile à nettoyer si tu m’avales tout, dis-je très excité
Ni une ni deux, elle engouffrait mon gourdin rougeâtre de tension jusqu’au fond de sa gorge et me suçait rapidement. Ma main, restée dans la position, recevait son sein droit à chaque mouvement, Je réussissais à attr son téton que je ne lâchais pas, à chaque remontée je tirais dessus sans en perdre une miette. J’éjaculais une nouvelle fois en bouche, elle m’aspirait et passait avec précaution sa langue comme une chatte qui lèche. Le nettoyage terminé, on frappait à la porte. Comme une tornade elle attrapait sa blouse d’une main, remittait le drap de l’autre et courrait dans la salle de bain. Je terminais de bien remettre mon drap et faisait entrer. C’était les parents.
- Tu as l'air fatigué aujourd'hui ?
- Oui, j'ai eu une douche ce matin (s'ils savaient comment cela s’était réellement passé)
Il a fallu que je raconte que mes plâtres avaient été emballés etc.. Tout en pensant aux corps de mes deux jolies "…INE".
Lundi, mardi et mercredi : toilette, petit déjeuner je commençais de la kiné, repas, visite des parents ; lecture repas etc.
..
Christine et le frangin passaient tous les jours, j'ai eu le droit à une bonne branlette mercredi, Christine avait juste ouvert sa blouse sous laquelle elle aimait se promener à poil, que je la mate pour m’exciter et ça fonctionnait du feu de dieu.
La nuit je rêvais que mes deux "…INE" : Christine et Justine s'occupaient de moi, ou elles "s'amusaient" ensemble

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