Collection Zone Rouge. La Folle De Cul (1/2)

• Gloria, veux-tu m’épouser ?

Je suis à genoux devant celle que je n’espérais plus demander en mariage, quand elle prend ma bague, je suis le plus heureux des jeunes hommes de notre bande, c’est moi qui épouserais cette fille plus que magnifique revenue des États-Unis où elle a étudié dans les meilleures écoles.
Jolie et hautement diplômée, elle a trouvé une place dans un grand groupe dans les tours de la défense.
De mon côté, je viens de finir mon doctorat de chimie mécanique et j’envisage une place dans un groupe fort connu aussi.

• Serge, je te dirais bien oui, tu me plais, mais je dois t’avouer un secret.
• Je suis prêt à tout entendre.
• Je ne suis pas une fille pure, j’ai perdu ma virginité par erreur aux États-Unis.
• C’est simplement ça, crois-tu qu’à vingt-six ans, je le sois aussi.
• Mais ce n’est pas pareil, tu es un garçon, si le fait que je ne sois plus vierge, ne t’ennuies pas, j’accepte ta bague.

C’est à ce moment que je suis le garçon qui a séduit celle qui a la réputation de vierge inaccessible.
J’aurais mieux fait de la laisser à un autre, même si mon cœur est épris pour toujours, je suis un homme fidèle, le soir de nos noces, elle se déshabille écarte ses cuisses et attend que je vienne.
Résultat neuf mois de grossesse avant que Kim vienne au monde, mon fils se prénomme ainsi car ma femme a voulu qu’il lui rappelle son séjour américain, j’ai cédé comme je cède à tous ses caprices.
Nous habitons un appartement près de la Place de l’Étoile grâce à nos gros revenus, elle a une voiture ayant horreur des transports en commun et une jeune fille aux paires bien qu'elle reste à la maison la plupart de son temps étant éternellement fatiguée.
Même au lit, elle semble fatiguée, elle écarte toujours ses cuisses et je peux lui remplir le vagin de ma semence en pure perte, car elle a fait son devoir d’épouse en me donnant mon fils et il est hors de question qu’elle subisse une seconde grossesse qui risquerait de déformer son corps parfait une nouvelle fois.


Pour garder la forme la seule chose, qui semble ne pas la fatiguer, c’est la salle de sport ou elle va deux fois par semaine et son heure de piscine tous les jours.

Il y a trois ans que je l’ai épousé et contrairement à ses amies que nous voyons peu, car elle n’aime pas sortir le soir, elle pourrait remettre sa robe de mariée sans qu’elle la serre le moins du monde, mes copains en baves, les copines qu’ils ont épousées commencent à s’arrondir.
Bref, je suis heureux de la beauté de ma femme, mais côté cul, je suis loin d’être un homme satisfait, hélas, comme je l’ai dit, je suis fidèle et si aller voir ailleurs me tente, je résiste.
Je suis resté, comme elle, svelte bien que j’aime la bonne bouffe, mais je suis indécrottable dans mes engagements.

Un jour, il y a le mariage de sa nièce, petite jeune fille pétillante et pleine de vie, à table, nous sommes placés à l’opposer d’un jeune homme qui me sera présenté par ma belle-mère s’appelant Valérian qui est un vague cousin invité, revenant, lui aussi des States bardés de diplômes.
Au moment où la mariée ouvre le bal, je me retrouve à ses côtés une coupe de champagne en main.

• Alors, c’est toi qui as épousé Gloria, tu as de la chance, j’espère qu’elle est toujours aussi coquine que, lorsque je l’ai connue de l’autre côté de l’Atlantique.
Je dis coquine, car tu es son mari, je ne voudrais pas être désobligeant.
• C’est une femme normale, un peu coincée, j’ignore de quoi, tu parles.
• As-tu essayé, l’alcool doublé d’un joint, je ne te dis pas le résultat, à moins qu’elle ne se soit acheté une vertu ?

Je ne l’ai pas revu de la soirée du moins en tête à tête, j’ai dansé avec ma femme, elle a fait bonne figure surtout qu’une nouvelle fois, elle avait éclipsé la mariée par sa beauté.
J’ai ruminé toute la nuit et les nuits suivantes, ce qu’il m’avait dit, j’avais compris qu’il voulait dire qu’elle était une salope quand il l’a connue, mais par politesse il a employé le terme de coquine.

Le verre d’alcool et le joint, comment était-ce possible, elle ne boit que du jus de fruits et je ne l’aie jamais vu fumer la moindre cigarette alors du shit, il doit confondre avec une autre.

Pendant quinze jours, je suis bouleversé, mais je me voyais mal la faire boire de force et lui dire, ma chérie fume ce joint, pour extraire ces pensées malsaines que l’on a insinuées en moi.
J’ai même l’envie d’aller aux putes dans le bois de Boulogne, au risque de me faire sucer par un Brésilien pour oublier ce que je suis sûr est impossible.
Et l’idée me vient, dans deux jours, c’est la Saint-Valentin, j’appelle ma belle-mère qui est enchanté de garder Serge, il y a longtemps que pour elle la Saint-Valentin ou son anniversaire n’existe plus.
Que dire de la date de leur mariage, j’ai un jour posé la question à mon beau-père, il m’a regardé comme si j’étais un extra-terrestre ?
Je prends mon après-midi, j’appelle un traiteur très connu et je me fais livrer un repas clef en main pendant que Gloria est à la piscine.
Quand elle revient, elle trouve notre table de salle prête des chandeliers, jusqu’au sceau à champagne.
Je lui demande d’ouvrir la boîte sur notre lit où se trouve une robe de soirée que j’aie vue dans une boutique et qui m’a fait fantasmer.
J'ai fait sortir le carton où sa robe de mariée était, pour l’apporter à la boutique où ils ont pu me donner le modèle qui lui irait comme un gant.
Elle l’a mise et c’est une véritable bombe qui m’embrasse, mais dans la limite de ce qu’elle fait tout le temps quand je rentre.
Je vais me doucher pendant qu’elle regarde le jeu sur les chansons sur la 2.
Quand j’arrive dans mon smoking blanc acheté pour la circonstance, je veux la conduire à la table, elle me rembarre son émission finie dans 10 minutes, cette réaction m’enlève un poids à faire ce que je vais faire.
Quand elle finit par se lever, sa jambe sort par la fente de sa robe et je sais que ce que je vois s’arrête à la lisière de sa chatte étant impossible de mettre des sous-vêtements avec cette robe tellement moulante.


• Une coupe de champagne ma chérie avec les amuses gueules ?

Je commence le service, mais il me suffit d’ouvrir le frigo pour apporter ce qui est préparé sauf pour le plat principal ou le livreur m’a fait voir, comment le mettre au micro-ondes et le temps qu’il faut pour le servir chaud à point.

• Mon cœur, merci pour cette gentille attention, mais tu sais que le médecin m’a interdit la moindre goutte d’alcool.

C’est la meilleure, j’apprends qu’elle a une interdiction médicale.

• Une seule coupe, je me suis donné tant de mal pour que tout soit parfait.

Elle la prend, suivie d’une seconde et une troisième, elle finit par être pompette, je l’aide à aller jusqu’à notre canapé où elle s’écroule comme une pocharde.

• Ça tourne chérie.

C’est à ce moment que je prends au-dessus de la cheminée le sac d’herbe, le papier et le briquet que m’a fourni Jean, un collègue qui se vante de fumer régulièrement un joint chaque samedi sans en être affecté dans son travail.
Je viens m’asseoir sur le tapis Persan et je me mets à essayer d’en rouler un.

• Que fais-tu Serge, tu fumes !
• J’ai discuté avec un pote qui m’a donné un peu d’herbe, je voulais essayer une fois dans ma vie.

J’essaye de faire le joint, mais tout tombe au sol et est infumable.

• Donne, je vais te le préparer.

On dit que, lorsque l’on apprend à faire du vélo, c’est pour la vie, il doit en être de même pour le shit, elle me le tend prêt à être fumé.
Je l’allume et je tire une taffe, j’ai l’impression que l’on m’arrache l’intérieur, mais sans en avoir l’air je le tends à Gloria pensant qu’elle va refuser.
Elle le prend, tire plusieurs taffes, me montrant qu’elle en a déjà fumé, car elle avale la fumée qu’elle ressort par son nez.

• C’est de la bonne, excuse, une fois moi aussi j’ai essayé, j’ai été malade, j’ai appris par un ami que si j’avais été malade, c’est que c’était de la merde.


Nous finissons le joint que j’écrase sur le briquet.

• Chérie, j’ai chaud, pourquoi m’as-tu laissée faire ça.

Sans que j’aie le temps de répondre, elle se passe la main à plat sur le sexe au-dessus de sa robe.

• J’ai chaud.

Elle va plus loin, sa main glisse sous sa robe par la fente et comme je suis assis à hauteur de sa chatte, je vois clairement qu’elle se met trois doigts à l’intérieur, elle les sort et me les met dans ma bouche.

• C’est ce que tu voulais, suce, je coule, amène ta queue que je te suce, moi aussi.

Je me lève et j’exécute ce qu’elle me demande, elle lui saute carrément dessus, je la vois disparaître intégralement, car je bande comme un fou, elle l’avale jusqu’à mes couilles, elle me fait une gorge profonde.

• Tu vas me pendre pour une pute, je ne voulais pas que tu me voies quand je me mets dans cet état.
• Continue, tu es simplement femme, tu aimes le sexe et j’aime que tu aimes le sexe.

Je lui prends les jambes que je relève au-dessus de sa tête, ma bouche trouve son clito qui n’a jamais été aussi développé, lui aussi tient à participer à la fête, elle a même un orgasme dans cette position…

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