Des Vacances Très Chaudes


Des vacances très chaudes.

Je m'appelle Chloé, j'ai bientôt 23 ans et je vis encore chez mes parents je suis assez grande et blonde platine.
Je ne sais pas ce que je veux faire dans la vie, ce que je sais c'est que j'ai envie de m'amuser avec mes amies ...
Pourtant rien de ce que j'ai envie ne va arriver.
Ma mère a décidé de m'envoyer chez ma tante pour passer l'été. Dans ma famille on obéit, c'est comme ça et pas autrement même à mon âge ...
Arrivé à la date du départ je me prépare, le dimanche arrive, il fait beau mais pas très chaud, je décide de mettre une jupe longue et un gros pull à col roulé, j’enfile mon manteau et mes bottes, me voilà partie chez Diane, une fois mes valises bouclées j'attends que ma mère m'appelle pour le départ ....

Ma mère me dépose à la gare pour prendre mon train. Je m'installe tranquillement avec mes écouteurs prêts à écouter de la musique quand soudain un jeune homme me demande s’il peut se mettre en face de moi ...
On fait connaissance, il s’appelle Maxime, il voyage pour aller prendre un nouveau boulot, il me couve de son regard. Il me fait des confidences, ce travail est pour lui une dernière chance, il espère qu’il sera embauché pour sortir de pas mal d’emerdes.
Le temps passe, la nuit est tombée, il n’y a pas pratiquement personne dans le wagon, je m’isole dans mon coin, me pelotonne contre la vitre pour un petit somme et baisse la lumière.

Je vais vous conter maintenant l’expérience que j’ai vécue.
Je me suis assoupie. Depuis quand cela dure-t-il ? Je ne sais pas…
Je dormais donc, quand j’ai senti qu’on me touchait. Une main se baladait sur moi.
Je me suis maudite de n’avoir pu réagir, de n’avoir pu bouger. J’aurais dû lui faire savoir qu’il n’avait pas le droit de me toucher. Je m’en suis voulu de ne pas lui en coller une. J’ai regretté ma paralysie et mon impuissance, (enfin au début).
J’ai ouvert les yeux et l’ai vu dans la pénombre, Maxime avait sorti son sexe et se masturbait en me regardant dormir.

Il astiquait son sexe à bon rythme, sans me quitter des yeux. Son autre main avait remonté ma robe, laissant voir mon string.
Il a remarqué que je suis réveillée mais continue de caresser sa queue, je voudrais fixer mon attention au niveau de son visage, mais je ne peux m’empêcher de dévier plus bas, là où sa verge chantait discrètement sous ses caresses. Je percevais le bruit de sa main sur la hampe et la scène m’excitait de plus en plus.

Il vient s’asseoir à coté de moi pour me peloter. Il glisse sa main sous mon pull et empaume un de mes seins. Sa main effleure ma peau avec délicatesse.
Je suis paralysée. Ses mains insistent, tentant de voir s’il lui est possible d’aller encore plus loin. Je suis complètement impuissante. Je suis apeurée, je n’arrive ni à parler, ni à appeler à l’aide ou lui dire d’arrêter. Je reste là, inerte, à me dire qu’il faut que je réagisse, que je fasse quelque chose.

Maxime vient de retirer sa main de mon pull, se saisit de la mienne qu’il vient poser sur son sexe au dessus de la sienne. Je ne sais pas pourquoi je me suis laissé faire, j’ai perdue toute résistance.
Sa verge est chaude, très dure et beaucoup plus grande de celle de mon petit copain.
J’ai l’impression que ça a dure depuis des heures. J’ai perdu la notion du temps depuis que sa main est revenue sur moi, c’est insinué sous ma robe et que ses doigts fouillent mon intimité.
Nos respirations se troublent. Je retiens un gémissement en fermant les yeux.
Dans un souffle, il me murmure dans l’oreille

— Vous aimez ce que je fais ?
— Je… oui. Enfin… je ne sais plus….
— Montrez-le-moi, mettez un peu plus de cœur à l’ouvrage.
Je n’hésite qu’un instant avant de céder à sa demande, probablement aussi parce que j’en crève moi aussi d’envie. Je le masturbe donc, changeant constamment de rythme.
Sous sa caresse, je m’affale un peu plus sur la banquette, écartant les jambes pour laisser ses doigts disparaître plus facilement dans ma chate.
Il caresse mon clitoris avec empressement. Mon corps est en feu, mon excitation au maximum. Il me faut réprimer mes gémissements tellement l’excitation est forte. Des vagues de plaisir déferle dans mon bas-ventre au moindre de ses mouvements.

Il m’interroge en chuchotant
— C’est bon ? Ca te plaît ?
— Oui. Oh ooouuuiii……...
Mon sexe baigne dans ma cyprine. C’est trop bon, trop fort. Je suis si excitée que je ferme les yeux pour ne pas regarder ma main qui astique son phallus. J’essaie de retenir l’orgasme qui monte en moi.
— Remonte ta robe que je te vois mieux !
J’émerge de mes rêves pour me redresser légèrement, relever ma robe et me débarrasser de mon string qui contrarie ses caresses, je m’empresse de glisser à nouveau ma main entre ses cuisses pour saisir son rostre. Il avait profité de ce court instant pour baisser pantalon et slip sur ses genoux.
Une vague d’excitation me prend de plein fouet quand je découvre avec stupeur et envie la totalité de son sexe. La base maintenant bien visible est d’une grosseur peu commune bien encadrée par des boules du même acabit.
Tout en branlant cet engin exceptionnel, je laisse libre cours à mes râles sous la caresse de ses doigts de plus en plus entreprenants.

— Ça t’excite ?
— Oh Chloé… Surtout ne t’arrêtes-pas !
Je crois qu’il est à point. Il a peur que je ne comprenne pas sa requête, et son autre main vient seconder la mienne.
Il tient toujours ma main, captivé par le spectacle que je lui offre. Je suis dans un état second quand l’orgasme me submerge. Je réponds à ses caresses par de petits coups de bassin, laissant la jouissance exploser en moi.
Sous ce regard inconnu, je prends mon plaisir. J’essaie de me contrôler mais des gémissements franchissent mes lèvres, j’étouffe un cri, je serre les cuisses pour garder en moi ses doigts lovés dans mon sexe, comme pour retenir le plaisir qui lentement s’atténue.

Il sert ses doigts sur ma main qui emprisonne sa verge et me fait reprendre la masturbation.

Son gland glisse entre mes doigts et j’amplifie mes mouvements de bas en haut jusqu’à ce qu’il me laisse le plein contrôle.
Son visage se crispe, son souffle est court. Son corps frissonne sous mes caresses rythmées de son sexe. Il éjacule dans de longues secousses avec un petit sourire de satisfaction. Mes doigts sont aspergés du sperme qui fuse et retombe, je veux retirer ma main mais il m’oblige à continuer, arrivant à éjaculer encore.
Quand enfin il relâche ma main, je porte mes doigts poisseux de son sperme à ma bouche et me délecte de son nectar, le provoquant du regard.

- Hummm, quelle bonne crème !
-Merci Chloé, excuse-moi, mais tu étais si belle, si désirable dans ton sommeil que je n’ai pas pu me retenir, je t’en demande pardon !
-Tu es tout pardonné, Maxime, je ne me serais jamais crû capable de faire ça en public !
-Viens t’asseoir sur mes cuisses Chloé, on ne va pas en rester là ?
J’hésite un instant mais au point ou j’en suis….
Il prend sa queue à pleine main et se masturbe, lui faisant retrouver toute sa vigueur. Mes yeux la dévorent d’envie.

-Aller… Viens sur moi !
Je me lève, il m’aide à me positionner face à lui, je colle mon corps contre le sien, la position n’est pas très confortable mais est idéale pour qu’il s’enfonce en moi d’une seule poussée.
Je me retrouve empalée, sa formidable verge toute entière en moi mais il ne me laisse pas de répit. De grands coups de bassin me secouent, m’arrachent un cri qui heureusement passe inaperçue.
Nous copulons en silence mais ne pouvons atténuer les bruits sourds de nos corps qui s’entrechoquent.
Nos souffles courts battent à l’unisson. D’une main lourde, il me malaxe les seins, me remettant des fois dans l’axe pour mieux me pénétrer.
Une plainte langoureuse s’échappe de mes lèvres l’invitant à persévérer

-Oui ! Plus fort, encore… Plus profond !
Le plaisir s’est à nouveau saisit de mon corps et se propage comme une épidémie qui s’installe et se terminera par une nouvelle et formidable jouissance.
Le choc de nos corps est de plus en plus fort, plus bruyant, cette future jouissance, je veux qu’elle soit commune.
L’orgasme me foudroie, mon corps est bandé comme un arc, j’enfonce mes ongles dans ses épaules. Je sens sa verge dégorger en moi, se déversant dans mon vagin accueillant cette semence tant désirée.
Je si épuisée que c’est avec peine que je me relève, expulsant de mon corps ce pénis qui m’a donné tant de plaisirs, dégorgeant son foutre sur ses cuisses.
Je remets un peu de tenue à mes habits et m’endort comme une souche, exténuée dans mon coin, bercée par les secousses régulières du train.

Un appel annonce que j’arrive bientôt à destination. Le jour se lève, il n’y a plus que moi dans le compartiment. Maxime est parti sans me réveiller.
Ai-je rêvée ? Pourtant, je sens le parfum de l’homme sur moi, et ma chatte se souvient de l’intrus.
Je ne sais pas s’il est déjà descendu du train ou s’il a été assez délicat pour s’éloigner pour ne pas me mettre dans l’embarras.
Dans un sens, ce n’est pas plus mal, je ne sais pas ce que sera la suite de mes vacances mais au moins elles auront bien commencées……………

A suivre…….

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