Des Vacances Très Chaudes, Chloé 2.

Des vacances très chaudes. Chloé 2.

Ma tante est venue me chercher à la gare, Elle m’enlace avec un grand sourire et nous prenons la route.
Ma tante habite une jolie maison en bordure d’un bois dans un petit village.

Nous arrivons devant chez elle, elle me fait rentrer, on se dirige au salon ou l’attend son compagnon Paul, c’est son second (Jules), beaucoup plus jeune qu’elle.
Elle a eu 3 s avec le premier mais il les garde pour les vacances.
Il n’y a donc que les 2 morveux, Nathan, 12 ans et son frère Hervé 11 ans de présent.
Paul se dirige vers moi et me fait la bise, il se penche et m’embrasse sur les deux joues.
Ma tante me montre ma chambre et je n’ai qu’une hâte, prendre une douche car je me sens sale des galipettes de cette nuit.
Quand j’y repense, je me dis que j’ai vraiment perdu la tête et me suis comporté comme une femme objet, une vraie salope. Ca ne me ressemble pas mais que c’était booonnn… Mais promis-juré, c’est la dernière fois que je me laisse dominer par un mâle !

Après avoir pris une douche je sens que je récupère de la fatigue du trajet et ne pense plus à mon aventure.
Comme il n’y a pas grand-chose à faire dans le coin, j’ai l’habitude d’aider ma tante le matin, je l’aide à préparer le repas et m'occupe de ces 2 morveux.
Et l’après-midi, je vais à l’entrepôt de Paul pour mettre un peu d’ordre dans sa paperasse, ce n’est pas son point fort.

Il a 4 ouvriers et doit en embaucher un supplémentaire car son affaire marche bien.
Les 3 premiers sont des anciens, le 4ème est un jeune qu’il prend en stage entreprise tous les ans. Je drague les stagiaires chaque année et généralement ils ne se font pas prier pour me sauter.
Il s’appelle Adrien et vient de me rejoindre dans le petit bureau de l’atelier pour des papiers de son stage.
Nous faisons connaissance et je lui demande s’il veut m'inviter à boire un verre après le boulot.

Comme je m’y attendais, il saute sur l’occasion et me promet qu’il viendra me chercher le soir même.
Vers 19h après avoir soupé je me prépare pour mon rencard, j'enfile une jupe noire et un chemisier blanc, des bottines et me voila prête. Adrien vient me chercher, il m’emmène au petit bistrot du coin dans sa voiture.
Nous faisons plus ample connaissance et buvons peut-être plus que de raison, surtout lui.

Sur le chemin du retour, l’alcool aidant, il s’enhardie enfin !
Il stoppe la voiture sur un chemin de terre et pose sa main sur mon genou. Je le regarde et ne dis rien, il est un peu gauche mais a un physique assez agréable. Et moi j’ai envie de sexe.....
Il se lâche et sa main remonte ma cuisse repoussant ma jupe. Je ne m’y oppose pas, il me plait ce petit saligaud. Mais ça ne va pas assez vite pour moi, je prends l’initiative et lui dis qu’on serrait mieux dehors. Il étend une couverture dans l’herbe et nous nous retrouvons allongés dessus.
Je lui passe une main derrière son coup, pose l’autre sur sa joue et colle mes lèvres aux siennes, nos bouches se collent et je l’embrasse comme une folle, il me sourit et me rend mon baiser.

Je prends sa main que la pose sur mon ventre, il déboutonne mon chemisier libérant mon soutien-gorge, j’ai envie de lui, je suis dans un tel état d’excitation que je ne serais plus capable de lui dire non.
Il prend un peu d’assurance et enlève mon soutif. Mon absence de réaction lui confirme qu’il peut aller plus loin, ses gestes sont plus assurés mais assez gauche, je vois une certaine fierté dans son regard.

Il m’ordonne comme une petite frappe :
- Enlève ta jupe salope, je vais te baiser, tu n’attends que ça, petite allumeuse !
Il croit que c’est lui qui mène la danse, le petit con. Je ne peux que lui répondre :
- Oui !
Pendant que je retire ma jupe, me retrouvant à poil car je n’avais rien mis dessous, il sort sa queue en pleine érection, se colle à moi et me prend d’un coup sec, sans ménagement, sans avoir pris soin de me faire mouiller par quelques caresses ce con ! Ne sachant que dire :
- Huumm ! J’en pouvais plus, putain !

Je grimace et l’engueule mais il accélère, se foutant de mes récriminations.
Ses coups sont puissants, heureusement qu’il a une petite bite, le pauvre !
Je fais semblant de pousser de petits cris, mais il arrive quand même à me faire connaître un peu de plaisir, je ressens toute la virilité de ce jeune idiot qui s’y prend comme un manche.
Mais sans attendre, en moins 2 minutes il se retire d’un coup, se recule et éjacule
entre mes cuisses.
C’est pas vrai, il ne m’a même pas fais jouir ce sombre abrutit !
Je suis frustrée, en colère et le lui fais bien comprendre. Il a tellement honte qu’il remonte prestement son jean et va se rasseoir derrière son volant. Je me réajuste et regagne mon siège.
Quel petit connard, je n’ouvre plus la bouche et ne lui dis même pas bonsoir quand il me dépose chez ma tante.
C’est manqué pour ce premier soir, j’espère qu’il y a quand même dans ce bled un gars avec une « vraie bite » et qui sait s’en servir.

Depuis cette soirée, je suis en manque, rien à me mettre dans la chatte.
Quelques jours plus tard, mes 2 cousins passent une soirée pyjama chez des copains.
La maison est silencieuse, j’ai soif et me lève pour aller chercher une boisson fraîche au frigo.
En passant devant la chambre de ma tante, je l’entends gémir, la porte est mal fermée, je la pousse délicatement pour voir dans la pièce.

Ils sont en train de faire l’amour mais je les entends parler de moi :
-Elle te plaît bien ma nièce, je suis sûre que tu aimerais bien baiser avec elle. Tu sais que dans ma jeunesse, j’étais bi. Si ce n’était pas ma nièce moi aussi j’aimerais la mettre dans mon lit.
Je suis estomaquée par ces révélations, ma tante a l’air d’être une sacrée « chaudasse », d’ailleurs sa progéniture en atteste.
Elle a les jambes écartées et Paul la doigte avec vigueur en lui broutant le clito. Cette vue me fait mouiller. Si j’avais suffisamment de culot, j’irais me joindre à eux, mais je ne veux pas la gêner.
Elle se pétrit la poitrine, martyrisant ses tétons pour les faire saillir d'avantage.
Je la vois se cambrer, fermant les yeux pour jouir sous la dextérité manuelle de Paul.
J’ai depuis un moment glissé la main dans ma chatte mais je suis tellement subjuguée par le spectacle que je manque de prudence et lâche un grognement de plaisir.
Paul s’en est rendu compte, il me fait un clin d’œil et m’invite à rentrer d’un mouvement de tête.

Sans attendre, je me jette à l’eau et rentre dans la chambre. Ma tante a toujours les yeux fermés, il me fait signe de prendre sa place pour que je puisse la sucer.
Je découvre pour la première fois le corps dénudé de Josette. Elle a des seins lourds aux auréoles claires qui attirent les caresses, une chatte proéminente avec de grandes lèvres charnues, elle est fendue très haut.
Je m'installe le plus doucement possible dans le compas de ses jambes et relaie Paul sur son con. C’est la première fois que je fais ça avec une femme.
Ma langue fouraille dans sa fente et trouve facilement son clitoris. Elle n’a toujours pas ouvert les yeux se laissant sucer avec des petits gloussements de plaisir.
Paul s’est mis en face de moi et se branle profitant du spectacle. Il a une bite qui est assez longue et grosse, elle me donne envie.
Ma tante rouvre les yeux et me découvre, étonnée, en train de lui brouter le minou. Mais ça n’a pas l’air de la déranger que sa nièce s’abreuve à sa chatte.

Elle a même le culot de demander à Paul :
-Depuis le temps que tu as envie de culbuter Chloé, ne le nie pas, je ne suis pas une conne, et bien profite de l’occasion, elle a l’air d’être aussi chaude du cul que moi !
La proposition à l’air de plaire à Paul, surtout devant ma tante. Il m’aide à retirer ma nuisette découvrant à ses yeux mes appâts.
Je change de cible pour m’occuper de la belle bite en érection. Je lui branle la pine d’une main pendant que l’autre s’occupe toujours de la chatte de sa femme. Sa queue est loin d’être aussi belle que celle de Maxime mais ça me change de la bite minuscule de ce con d’Adrien !

Mais Paul veut découvrir de nouveaux paysages.
Encouragé par Josette, il promène son gland entre mes fesses avant de le plonger dans ma chatte trempée de désir.
Je gémis sous la poussée de son dard qui coulisse sans difficulté dans mon vagin offert.
Moi aussi, ça fait longtemps que je fantasme sur Paul et me faire prendre par lui sous les yeux de ma tante déclenche en moi une jouissance immédiate.
Elle est si heureuse qu’elle m'embrasse et nous regarde en se branlant.
Josette se glisse sous moi pour pratiquer un 69 d'enfer, pendant que je lui dévore le minou sous les coups de pine de son mari. Elle en profite pour exacerber mon clito de sa langue ou de lubrifier la queue de son mari quand il a la bonté de la lui offrir avant de replonger dans mon con.

Paul, la bite en fête, en nous voyant nous donner du plaisir nous avertit :
-Comme je vois que je suis de trop dans cette chatte, je vais explorer ce petit cul !
Nous continuons notre œuvre de léchouille sans réagir à ses propos.
Il pose son bélier sur mes fesses et j’entends ma tante lui proposer :
-Laisse-moi t’aider !
Elle me mouille le cul de sa bave et se saisit de la verge de Paul pour la positionner.
Il n'a plus qu'à donner un coup de rein pour m’enculer. J’ouvre mes fesses pour l’accueillir. Il y va précautionneusement, que c'est booonnn…
Sa grosse clé se glisse dans ma serrure pendant que Josette le guide en empoignant ses couilles.
Mon cul absorbe la totalité de son pieu et je remue du cul autour de cet axe pendant que Josette reprend de plus belle l’exploration de ma chatte avec ses doigts et sa bouche.
Tout mon corps est pris de convulsion sous cette nouvelle jouissance double.
Mais ma tante veut elle aussi goûter à ce plaisir, elle se positionne à coté de moi pour que son mari puisse l’honorer elle aussi.

2 femmes à enculer en levrette, Paul est au paradis et quitte mon cul pour défoncer l’anus de ma tante. Il passe d’un trou à l’autre, nous défonçant furieusement.
Je veux rendre la pareille à ma tante et m’allonge sous elle pour entreprendre la succion de son clitoris dardé et complètement enflammé, mes yeux sont à quelques centimètres de la queue puissante qui martyrise l'anneau entièrement dilaté.
Josette hurle de plaisir de se faire labourer l’anus pendant que je tête son bourgeon et me noie sous un torrent de cyprine.
Sous la violence de l’orgasme, elle contracte tellement son sphincter que Paul ne peut plus retenir son éjaculation.
Je suis sûre qu’il doit jubiler, enculer sa femme sous le regard de sa nièce. Ca ne doit pas lui arriver tous les jours d’avoir 2 femelles à sauter en même temps.
Sa lance se vide dans le rectum marital, remplissant à gros jets son fondement, nous venons de lui procurer un plaisir intense.
Paul se retire du cul de ma tante, je suis aux premières loges pour voir sourdre de son anus une bonne dose de sperme que, sans hésitation, je recueille entre mes lèvres.

Épuisé par sa double chevauchée il s’écroule sur le lit pendant que, comme de vraies dépravées, nous continuons entre femmes insatiables de sexe. Bouche contre bouche, seins contre seins, vulve contre vulve, pour prolonger encore cet instant merveilleux.

A suivre…….

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