Sandra Et Hyssan

Un vendredi soir, je me rendis chez un mec appelé Hyssan. Il y a peu, il avait appelé April pour baiser avec lui mais elle avait refusé car elle avait des trucs à faire. Elle m'avait alors proposé de coucher avec lui : il était apparemment un excellent coup et ne se laissait pas faire ce qui annonçait une baise sauvage. J'avais accepté et elle m'avait donné son adresse pour que je puisse aller là-bas pour passer un moment torride. Pour l'occasion je m'étais habillée d'un mini-short en jean ainsi que d'un débardeur rouge. Comme dessous, je portais un string et un soutien-gorge rouge. Arrivé devant chez lui, je toquai à la porte pour indiquer mon arrivée. J'attendis quelques secondes et la porte s'ouvrit sur Hyssan qui était vraiment un beau gosse : il faisait environ 1m90, noir de peau et son t-shirt plutôt moulant laissait entrevoir des muscles bien sculptés. Je me présentai avec un sourire charmeur :


- Salut, Hyssan.


Il me lança un sourire carnassier et me répondit :


- Salut ! April ne m'a pas menti, t'es super bonne !


Je lui souris en retour de ce compliment :


- Je suis limite vexé que tu en ais douté. Bon, tu me fais entrer ?
- Avec plaisir.


Il s'écarta du chemin pour me laisser passer et referma la porte une fois que je fus rentrée. Je jetai un petit coup d’œil chez lui puis m'assis sur son canapé et lui demanda :


- Tu me sers un truc à boire
- Bien sûr. J'ai du champagne, ça te dit ?
- Non, pas du champagne. On est là pour baiser pas pour se draguer, je veux juste boire un coup avant de coucher avec toi.


Mes paroles directes le firent sourire et il alla chercher deux bières au frigo. Il s'assit à côté et nous commençâmes à nous déshabiller. Une fois nos bières bues, je lui ordonnai :


- Allez, met-toi nu que je voie si April ne m'a pas menti au sujet de ta queue.




Hyssan s'exécuta et enleva ses habits lentement jusqu'à enfin libérer sa verge : une belle bite noire qui bandait à moitié mais qui faisait déjà une bonne taille et un bon diamètre. April ne m'avait pas menti. Souriante devant ce beau morceau de chair, je retirai mon débardeur et mon soutien-gorge, libérant mes beaux seins pointant déjà de désir. Hyssan approcha ses mains pour les toucher mais je les repoussai en lui disant d'un ton autoritaire :


- Je t'ai pas autorisé à les toucher alors sois sage et je t'en donnerai l'autorisation.


Il voulut protester mais je ne lui en laissai pas le temps : je m'agenouillai devant lui et glissa sa queue entre mes seins. J'entrepris d'abord de lents va-et-viens, désirant faire grandir sa queue au maximum. Et ça ne tarda pas : au bout de quelques minutes, sa bite atteignit sa taille maximum qui avoisinait les 23 cm. J'étais plutôt impressionné : c'était la plus grosse queue que j'avais vue de ma vie. Je le complimentai :


- Woaw, tu as vraiment un bel engin !
- Merci ma belle. Et tu vas le sentir très vite !


Immédiatement après ces mots, il me fit relever pour me retourner et me mettre la tête sur le canapé.
Je ne m'y attendais pas du tout et je fus momentanément incapable de réagir. Ce n'est que lorsque qu'il me retira mon mini-short et mon jean et qu'il s'écarta de moi pour prendre une capote que je me relevai pour tenter de prendre l'ascendant. Mais Hyssan s'y attendait et il me repositionna immédiatement de force tout en me claquant les fesses pour me punir.


- Tu restes où tu es ! Me dit-il d'un ton autoritaire au même moment qu'il enfonça sa grosse queue dans ma chatte sans ménagement.


Je poussai un cri sous cette rude entrée en matière. Il me pilonna violemment, sans aucune douceur.
Il y allait violemment et me claquait régulièrement mon fessier bombé. Je dois dire que j'adorais comme il me prenait : c'était absolument pas romantique et pas du tout tendre mais qu'est ce qu'il me baisait bien.
Je ne pouvais m'empêcher de crier sous ses puissants coups de reins qui me faisaient un bien fou. Je ne tardais pas à avoir un orgasme qui me fit crier de plaisir. Il ne s'arrêta pas de me baiser et continua en me tirant les cheveux. Il me pilonnai toujours aussi vigoureusement, ne me laissant aucun répit. Je tentais bien de me rebeller mais il me maintint fermement cloué au canapé. Je finis par avoir un deuxième orgasme intense qui me fit encore crier de plaisir. Il se retira de moi, me retourna et infiltra sa verge entre mes seins. À moitié sonnée par ces orgasmes, je me laissai faire, haletante de plaisir. Il se branla sauvagement entre mes seins et finit par jouir à grands jets sur ma poitrine et mon visage. Il retira sa verge encore tendue d'entre mes seins et me nargua :


- Alors petite chienne, t'as bien aimé comme je t'ai baisé ?


J'étais un peu essoufflée même si je n'avais presque rien fait. C'était un peu vexant et humiliant de m'être fait traitée comme une chienne mais ça serait mentir si je lui disais que je n'avais pas aimée :


- J'avoue, tu baises super bien. T'es un super coup !


Il se dirigea vers le couloir :


- Allez, viens. On va continuer dans ma chambre.


Je n'y voyais pas d'inconvénient alors je me levais et le suivis. Arrivé à sa chambre, il resta debout dos au lit et me fit signe d'approcher :


- Montre moi ce que tu sais faire avec ta bouche.


Obéissante, je m'agenouillai devant lui et pris son membre en bouche. Je voulus le sucer lentement mais Hyssan ne l'entendait pas de cette manière. Il posa ses mains derrière ma tête, me forçant à lui faire une gorge profonde et il donna des coups de reins pour me baiser la bouche. Je me débattis mais il me maintenait fermement : il ne retirait sa bite que pour me laisser reprendre mon souffle. Je voulus reprendre le contrôle et j'avais une idée : je posai mes mains sur ses fesses pour l'accompagner dans mes mouvements.
Hyssan ne se méfia pas :


- Tu aimes que je te baises la bouche comme la salope que tu es, pas vrai ?


Sans lui répondre, j'infiltrai mon index dans son petit trou sans douceur. Hyssan poussa un petit cri de surprise et me lâcha. J'en profitai pour le mettre sous mon contrôle : je le suçai plus lentement mais sensuellement pendant que mon index massait sa prostate. Hyssan grimaça et tenta de reprendre le contrôle mais je mordillai son gland et massai plus vigoureusement sa prostate ce qui le paralysa. Je pus continuer ma fellation sensuelle sans rébellion de sa part grâce à mon doigt dans son anus. Hyssan grimaçait et gémissait et profitait à fond du plaisir que je lui procurai. Je finis après quelques va-et-vient à le faire jouir dans un cri et il déversa au fond de ma bouche une grande quantité de sperme que je me fis un plaisir d'avaler. Je me relevai et fus ravie de voir Hyssan sonné par ce que je venais de lui faire. Je l'embrassais et lui dit :


- Alors, je suis douée ?
- Oui, très. T'es l'une des meilleures filles qui m'ait sucé.
- Ravie de l'entendre. Allonge-toi maintenant que je te montre que je suis un aussi bon coup qu'April.


Je le poussai sur le lit où il tomba sur le dos. Je pris une capote et monta sur le lit. Je lui enfilai le préservatif puis je vins m'empaler sur lui. Hyssan me laissa faire, sûrement pour savoir ce que je valais. Et sans me vanter, il ne fut pas déçu : je commençai à le baiser lentement tout d'abord, puis de plus en plus vite et en finissant lentement. Je répétai cette manœuvre plusieurs fois, le frustrant à chaque fois. Il mit ses mains sur mes hanches pour m'accompagner dans mes mouvements mais je pris ses poignets et les plaquai contre son torse. Il se débattit mais j'accentuai la puissance de mes coups de reins ce qui le cloua au lit, impuissant. Je lui mit tout de même ses mains sur mon opulente poitrine pour qu'il en profite. Il ne se gêna pas pour les malaxer et les presser entre ses puissantes mains.
Il se releva ensuite pour venir plonger ma tête entre mes deux collines. Il les embrassait, les léchait et il ne put s'empêcher de commenter :


- Bordel, j'adore tes seins !


Prétentieuse, je lui répondis en le chevauchant encore plus vite :


- Ouais, je sais. Personne ne leur résiste.


Sur ces mots, je le plaquai sur le matelas et me penchai sur lui en maintenant ses poignets au dessus de sa tête. Il se débattit mais mes coups de reins le rendaient trop faible pour me renverser et il finit par capituler : il arrêta de se débattre et se laissa faire, me laissant le total contrôle des opérations. Je le baisai alors plus intensément que jamais et je finis par atteindre un orgasme intense. Cet orgasme me fit crier et légèrement perdre pied pendant quelques secondes mais Hyssan ne put en profiter car il était sonné par ce que je lui infligeais et ne pouvait que subir. Je pus donc reprendre ma baise sans crainte de rébellion. Je le baisai encore et encore jusqu'au moment où nous eûmes un orgasme mutuel qui nous fit tous deux crier de plaisir. Comblée et épuisée, je m'écroulai à côté de lui, encore sonnée par cette partie de jambes en l'air. Nous restâmes quelques minutes allongés, récupérant de nos efforts. Hyssan se redressa un peu et me caressa les seins du bout des doigts en me proposant :


- Ça te dit qu'on prenne une douche ensemble ?


Je tournai ma tête vers lui et lui répondis négativement :


- Tu me prends pour une imbécile ? Je sais très bien qu'une fois à la douche, tu profiteras qu'il y ait peu d'espace pour me dominer. Donc non, on ira pas à la douche.
- Tu es sûr ? Me demanda-t'il en me caressant doucement le clito pour me faire craquer.


Je poussai un petit soupir mais je ne cédai pas :


- J'ai dit non. Lui répondis-je d'un ton autoritaire.


Je pensai m'avoir faite comprendre mais je me trompais : sans que le voie, il avait prit une ceinture avec laquelle il m'attacha mes poignets aux barreaux de son lit. Je ne m'y attendais pas et je ne pus rien faire d'autre que constater que j'étais désormais en son pouvoir. Je me débattis mais je ne réussis pas à me défaire. Hyssan s'enfila un préservatif, me sourit puis présenta sa queue à l'orée de mon sexe :


- Tu vas voir que j'ai pas besoin qu'on soit à la douche pour te soumettre.


Sur ce, il enfonça son sexe en moi sans aucune douceur et entrepris de puissants va-et-vient. Il me fit crier instantanément, sa bite en moi me faisait beaucoup de bien. Il me malaxa mes gros seins au rythme de ses coups de reins, profitant de leur grosseur et de leur fermeté. Il me procura bien vite un puissant orgasme qui me fit pousser un grand cri de plaisir. Je n'eus pas le temps de me remettre de mon orgasme qu'il accéléra la cadence de ses coups de reins ne me laissant pas de répit. Il continuait intensément ne se fatiguant pas du tout. Je continuai néanmoins à me débattre et je remarquai que la ceinture se desserrait, j'avais presque les mains libres. Malgré le fait qu'il me baise terriblement bien, je réussis finalement à libérer mes mains mais je restai en position, préférant me jeter sur lui au moment où il serait le plus vulnérable. Je me laissai donc aller au plaisir, exagérant mes cris pour le stimuler davantage :


- Oh ouuui, vas-y défonce-moi, c'est troop bon !


Hyssan semblait ravie et se mit à aller encore plus vite. Il me baisait si bien et si puissamment que je poussai de véritables cris de plaisir qui n'était pas exagérés. Il me procura un nouvel orgasme qui me fit trembler de plaisir et me sonna quelque peu. J'avais les yeux mi-clos à cause du plaisir qu'il m'avait procuré. J'étais sonnée et je ne remarquai même pas qu'il avait présentait son sexe à l'entrée de ma bouche. Ce n'est que lorsqu'il força le passage que je repris mes esprits et je me mis à participer faiblement. Mais je ne pus participer longtemps : Hyssan voulant contrôler cette fellation, il se mit à me baiser la bouche avec ardeur, comme s'il me baisait la chatte. Il me pilonna la bouche quelques minutes puis il poussa un cri de plaisir et se déversa dans ma bouche. Il leva les yeux au ciel sous l'intensité de son orgasme et je décidai de profiter de cet ouverture : je me libérai et je le repoussai. Totalement surpris, il tomba au sol sur le dos. Rapide comme l'éclair, j'attrapai une capote et lui enfilai avant de m'empaler sur verge toujours dressé. Il me prit les hanches pour me renverser mais je lui tins les poignets et les plaquai sur son torse :


- Tu me laisses faire. Cette fois, c'est moi qui profite de ton corps.


Il se débattit mais mes coups de bassin et ma poigne solide sur ses poignets le contraignirent à l'impuissance. Je me déhanchais sur lui rapidement et avec habileté tout en le toisant d'un air dominateur. Il tenta de rester impassible et réussit plutôt bien. Vexée, je mis tout en œuvre pour le faire défaillir : j'alternai la vitesse de mes coups de reins, tantôt rapidement, tantôt lentement, le prenant sans cesse au dépourvu. Je le baisai comme je le voulais, mettant Hyssan en mon pouvoir. Et ça marchait : il n'arrivait plus à rester impassible et poussait des gémissement de plaisirs. Ravie de le voir en faiblesse, je le narguai :


- Alors, je croyais que tu allais soumettre. C'est plutôt toi le soumis, non ?


Sur ces mots il voulut se rebeller mais je m'y attendais : je lui donnai un puissant coup de rein qui le déstabilisa et je pus le maintenir facilement au sol. Il se débattit encore mais ne pus rien faire et cessa finalement de se débattre. Ravie de sa défaite, j'accélérai encore la vitesse de mes coups de reins et, au bout de quelques minutes de cavalcade effrénée, nous finîmes tous deux par atteindre un délicieux orgasme qui nous fit crier de plaisir. Je gémissais sous le délicieux plaisir qui m'envahissait puis je m'écroulai sur Hyssan, l'embrassant tendrement et retirant son sexe de mon intimité. Tout en étant blottie contre le torse d'Hyssan, je caressai délicatement son membre qui avait à peine perdu de sa vigueur. Assez impressionné, je le complimentai :


- T'as une sacrée endurance dis-moi ! Tu as cinq orgasmes et ta bite est presque toujours aussi dure.


Hyssan sourit et me dit d'un ton prétentieux :


- Ouais, je sais. Toutes les filles la trouvent irrésistibles.


Je souris et l'embrassai sur le torse, le ventre avant de donner un petit coup de langue sur son gland :


- Je dois avouer qu'elle me donne très envie, cette belle queue. Lui dis-je avant de prendre son sexe en bouche.


Hyssan sourit et me laissa diriger cette fellation. J'étais ravie qu'il me laisse faire, cela montrait qu'il commençait à accepter ma domination. J'entrepris donc d'aller plus vite et de lui lancer un regard séducteur. Hyssan gémissait, appréciant mon expertise en la matière. Je le suçais jusqu'à ce qu'il reprenne vigueur puis je lui enfilai un préservatif et je m'empalai sur lui :


- Et c'est reparti pour un tour ! Dis-je en riant.


Je me mis donc à le chevaucher, désirant le faire jouir encore une fois sous ma domination. Je me déhanchai donc sur lui, bougeant mon corps telle une danseuse du ventre. Je le baisais efficacement et je pensais avoir un contrôle total sur lui. Mais je me trompais. Alors que je continuais à danser sur lui, il me prit par les hanches et me mit le ventre sur le lit, les jambes tombantes. Je fus surprise et prise au dépourvu, je ne pus donc pas l'empêcher de renverser la situation. Avant que je ne puisse protester, il enfonça sa queue en moi sans préparation, me faisant pousser un cri mêlé de douleur et de plaisir. Hyssan entama de vigoureux va-et-vient me faisant crier de plaisir à chaque fois que sa queue allait au plus loin de mon intimité. Pour asseoir son emprise, il me tira les cheveux et me chuchota à l'oreille :


- Je le reconnais, tu me baises très bien. Mais c'est quand même toi qui finira soumise.


Il me claqua ensuite les fesses et me baisa encore plus violemment. C'était impossible pour moi de ne pas prendre mon pied et j'eus rapidement un premier orgasme qui me fit hurler de plaisir. Je tremblai sous cette vague de jouissance mais je n'eus pas le temps de me remettre qu'Hyssan intensifia encore une fois ses coups de butoirs. C'était tellement bon et j'eus même un nouvel orgasme alors que je venais d'en avoir il y a si peu de temps. Pas de doute, Hyssan était vraiment un excellent baiseur, April avait dû prendre un pied terrible elle aussi. Néanmoins, j'avais tout de même une fierté et je préférais dominer plutôt qu'être dominé. Alors lorsqu'il me lâcha les cheveux pour poser ses mains sur mes hanches, je me redressai et réussis à le pousser pour le retirer de moi. Sans lui laisser le temps de réagir, je le mis à terre et je repris ma chevauchée infernale tout en le narguant :


- T'es un excellent baiseur mais je vais finir par te soumettre, tu vas voir !


Il voulut retourner la situation mais je lui pris les poignets et les tins solidement tandis que je le baisais le plus intensément possible. Je le baisai violemment, ne lui laissant aucun répit. Si quelqu'un nous avait vu, il aurait pu croire que j'étais en train de violer Hyssan tant je le baisais fougueusement en lui tenant solidement les poignets. Mais Hyssan était on ne peut plus consentant et, même s'il trouvait ça vexant, il prenait un pied terrible à en croire les gémissements qu'il ne pouvait s'empêcher d'émettre. Je continuai à le baiser violemment, mes gros seins se balançant délicieusement. Nous étions tous les deux en sueurs et Hyssan n'en pouvait plus :


- Oh bordel. Ralentis Sandra, je vais pas tenir longtemps sinon.
- D'accord.


À sa demande, je ralentis donc la cadence mais pas qu'un peu : je m'arrêtai presque, ne faisant plus que des mouvements très lents. Cela frustra Hyssan qui voulut se redresser mais je lui donnai un grand coup de rein ce qui le cloua au sol :


- Sandra, je t'en prie...
- Ben quoi ? J'ai ralentis comme tu m'as demandé. Lui dit-je d'un ton légèrement sadique.
- S'il te plaît, va plus vite.
- À une condition : appelle-moi maîtresse et supplie-moi.


Hyssan tenta encore une fois de renverser la tendance mais je ne le laissai pas faire et lui infligeai un violent coup de rein qui le fit abdiquer. Comprenant sa défaite, il se soumit :


- Je t'en supplie maîtresse, va plus vite !
- Ça c'est un bon garçon.


Ravie de sa soumission, je repris alors une cadence folle, secouant sa bite dans tous les sens. Nous prenions tous les deux notre pied à la différence qu'il venait de se soumettre à sa maîtresse. Avoir un mec aussi fort physiquement totalement à mes pieds accentuait mon plaisir. Je le chevauchai ardemment plusieurs minutes jusqu'à ce qu'on finisse par avoir tous deux un orgasme mutuel. Cet orgasme nous acheva et je m'écroulai sur lui. Nous étions trop exténués pour continuer de baiser aussi après quelques minutes de repos bien méritées, je me rhabillai et rentrai chez moi, fière d'avoir dominée ce bel étalon.

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