Trois Salopes

Débauches, luxure, libertinage, coucheries, puteries… sont les lieux communs des amies dont j’aime à raconter les aventures troublantes et désirs de vice.
Des salopes ? Oui, elles ont aimé qu’on les traite ainsi et cela a excité leur liberté : « je suis une salope », « je vais faire la salope », « je vais me faire saloper »… expressions maintes fois entendues.
Je vais raconter de façon non systématique quelques épisodes vécus, des fantasmes, des jeux, des goûts, plein de choses qui devraient faire mouiller et bander les lectrices et lecteurs.
Leur donner des idées, peut-être.
Il y aura trois « salopes » :
C. (Christine, brune, pisseuse, assez pute) ;
L. (Laure très sensuelle, brune aussi, prof et débauchée),
M. (Michelle, infirmière, partouzeuse, toujours prête à ouvrir les cuisses, même en public.)

- C.
Christine donc : brune assez bien en chair, pas regardante sur le physique ou l’âge des types mais très intéressée par leurs bites. Pute ? Elle n’avait rien contre le fait de vendre ses services pour un billet. Avec elle, il suffisait de demander.
Toujours prête à montrer ses petites culottes bien compissées et arrosées de la cyprine qui ruisselait en abondance de sa belle chatte jamais rassasiée. Elle aimait porter les tenues que je lui imposais : mini en cuir, petites culottes en coton blanc, pas de soutif. Elle ouvrait facilement les cuisses pour exciter les inconnus qui la mataient, allait dans les toilettes du bistro ou du restau et baisait comme une salope qui découvre le paradis. Elle adorait ces situations, sortait la nuit en quête de queues érigées qui l‘enfileraient. Elle rentrait me retrouver toute fière et excitée pour me raconter ses exploits. Je constatais le fruit de ses débauches : chatte en feu, culottes trempées de pisse, de foutre.
Un jour, dans le métro à une heure d’affluence elle se colle contre un type, moi face à elle. Elle est en jupe très courte, elle se frotte contre le type tout en me regardant.

Demandant ma complicité. Avant d’arriver à la station suivante il y a interruption du service prévue pour dix minutes. Chance ! Le type profite de la situation, la doigte. Elle se laisse faire, se trémousse, me dit à l’oreille ce qui se passe. Nous sortons à la station suivante. Elle me dit qu’elle a envie de se faire baiser par un inconnu. Je suis d’accord. Nous allons dans un café. Elle prend des poses érotiquement non ambiguës pour allumer un type. Je lui dis d’accord mais à condition qu’elle pisse dans sa culotte. Elle revient, soulagée : elle a pissé et s’est faite enculée. Christine est une vraie pisseuse, une vraie salope.

- L.
Laure. Une collègue de lycée, brune et très sensuelle, de belles formes. Deux fois par semaine, en fin de journée, elle me raccompagnait dans sa voiture vers Paris. Souvent elle avait changé sa tenue et revêtue une jupe courte découvrant ses cuisses qu’elle écartait plus que nécessaire. Elle m’excitait et m’incitait. Je compris vite ses envies. Elle savait que je bandais. Ma main ne tarda pas à se poser sur son genou et à remonter. Elle n’opposa aucune résistance, bien au contraire. Elle était mouillée. Les embouteillages nous permirent de continuer nos explorations anatomiques, les mots crus, peu académiques, surgirent spontanément de nos bouches. Nos langues, nos mains jouèrent librement. Délices. « J’aime faire les salopes » me dit-elle un jour. « Je mouille en pensant à toi alors que je fais cours attendant notre petite séance de retour. » Elle fouillait dans ma braguette, je bandais. Elle aimait les grosses bites, avait envie de me sucer. Elle aimait se faire mater par les camionneurs, elle écartait les cuisses alors, remontait sa jupe pourtant bien courte. Un jour elle se gara sur une aire de repos d’autoroute prétextant une envie pressante. Elle avait une forte envie de se faire baiser. Elle accosta un routier, monta dans son camion et revint quelques minutes après, soulagée, en effet. Elle me dit qu’elle avait fait ça pour moi tant je l’excitais.

Elle m’invita un jour à une soirée organisée chez des amis à elle : quatre couples, on devait tous être en short (cuir ou jean), la soirée devait être très chaude. J’apportais une bouteille de vodka et un short en cuir. Elle portait un short en jean très court taillé dans un pantalon de grande taille si bien qu’elle était très indécente. Les autres couples (un plus jeune et deux vieux) étaient aussi très indécents. On ne tarda pas à en venir à l’essentiel. Laure n’était pas la dernière à se faire tripoter sous son short bien ouvert entre ses cuisses et à passer sa main dans l’entre jambe d’un type qui lui plaisait. Branlages, excitations. La soirée fut sous le signe du dévergondage. Elle aime tellement malaxer les couilles, les grosses bien chargées de jus ! Elle se livra à la luxure sans retenue. Les autres aussi, doigts par ci, doigts par là puis bites enfoncées devant, derrière comme il se doit. Laure jouissait, elle jouait les débauchées, elle, gentille prof d’histoire. Dévergondages dont elle n’était jamais rassasiée. Envies de choses de plus en plus crades, vulgaires, elle n’osait pas. Nous nous stimulions : mots crus (pisseuse, salope, pouffiasse, con, chatte, cul, trou, bite, couilles –litanie d’obscénités jamais assez obscènes).

(Il y aura une suite si j’ai de bonnes lectures incitatrices)

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