Ma Nouvelle Vie Ep4

EP4
Après un long, trop long moment d’attente, et de frustration, j’ai réussi à me libérer. Mon amant et moi, dont j’apprécie beaucoup son coté dirigiste (vous vous en êtes rendu compte), avons convenu d’un rendez-vous. Il m’impose de prendre contact avec la boutique afin de déterminer le jour et l'heure décidés, chose que je fais non sans une certaine appréhension. Demander à aller dans un sexshop pour des moments coquins est quand même quelque chose de stressant à faire. Une fois la demande faite et validée avec enthousiaste par le Boss, j'en fait part à Eric. Il est ravi.
Le jour approche, je suis excitée à l'idée de ce qui m'attend. Les heures et les minutes tournent trop lentement. Je suis impatiente je crois. Je me prépare, me douche, ma chatte est déjà humide avant de passer sous l’eau. Je m’habille et même si je sais qu’Éric me demande d’être accessible la fraîcheur de l’automne à eu raison de ses envies. Va-t-il être compréhensif ? Je quitte mon domicile, la question est : que va-t-il m’arriver ? Mon téléphone me signale un message, Eric me demande ma tenue. Je lui réponds que le froid m’impose un jeans mais j’ai un chemisier. Pas de réponse… Je crains de l’avoir déçue.
J’arrive au point de rendez-vous. Je monte en voiture et allons nous garer. Pas un bisou, c'est mauvais signe. Une fois la voiture garée, il m’embrasse. Enfin ! Je suis sensiblement rassurée et j’apprécie à leur juste valeur ces baisers. Nous parcourons les derniers mètres qui nous sépare de notre lieu de perdition à pied. Au moins je suis un peu rafraîchie. Savoir où je vais et ce que je vais faire me donne chaud, étrangement. Nous entrons et saluons le Boss, une poignée de main pour lui, une bise et un sourire pour moi. Eric me montre les colliers disposés près de lui, en m'expliquant qu'il souhaite que j'en porte un bientôt… Je ne sais pas trop si je suis prête à ça. Le Boss nous dit que le salon est à nous. Eric me demande de remercie le Boss.

J'avoue que je ne comprends pas cette démarche, puisque je viens de le faire, avec grand sourire et politesse. Il réitère alors sa demande, et me fait comprendre le fond de sa pensée en m'ordonnant de me mettre à genoux devant le Boss, à son comptoir. Un drôle de sentiment me traverse, à la fois de la surprise, de la peur et de l'excitation. Sans discuter et avec un pincement de lèvre, je m’exécute. Sans se faire prier le Boss défait sa ceinture, sort son sexe et me le présente devant ma bouche. Je l’ouvre et enfourne son membre, j’aime ça et le sien tout particulièrement, mais chuttt. Je me délecte de morceau de chair dans ma bouche. J’entame un va et vient délicat et je sens mon rythme cardiaque s’accélérer au même rythme que je sens le Boss gonfler entre mes lèvres. Des mains me caresse la tête comme pour me rappeler mon état de chienne et surtout mon envie de l’être. Je m’applique et je sens le Boss forcer ma bouche et s'installer plus profondément dans ma bouche, à la limite de ma gorge. Eric en profite pour ouvrir mon chemisier et libérer mes seins, lourds et heureux d'être à l'air libre. Il les pelote, les masse et pince mes tétons. Heureusement que la queue du Boss m'empêche de crier trop fort.
J’entends dire que des clientes potentielles regardent les vitrines, je suis terrorisée à l’idée qu’elles rentrent et me voit ainsi, mais je ne lâche pas et garde la queue bien au chaud dans ma bouche. Eric me maltraite les seins et les tétons plus particulièrement, et je m’active sur la tige du Boss. Va-t-il exploser en moi ? Non, il sort sa queue et me relève, non sans un sourire qui me fait rougir encore un peu plus. Machinalement je veux remettre de l’ordre dans mes vêtements, mais Eric s’y oppose dans un non catégorique et me prends par le téton pour me diriger vers le salon. Nul besoin de laisse finalement, mes seins suffisent, et en plus il semble apprécier me diriger par ce biais. Moi aussi, j'avoue, j'aime quand il tire un peu dessus, qu'il les pince.
Nous entrons.
Je me sens tout de suite mieux dans le salon, à l'abri des regards, avec une lumière plus faible. En plus le Boss l'a bien faite, avec des jouets amusant à l'intérieur. D'autorité, Eric m’ordonne de me déshabiller, de retirer mon pantalon, ma culotte et mon soutien-gorge. Je m’exécute, je ne garde que mon chemisier largement déboutonné pour masquer au maximum les formes de mon corps que j’accepte mal, ce qu'il sait. Il m’ordonne de me poser à genou sur le canapé du salon, dos à lui. Je comprends alors son manège et prend une grande inspiration pendant qu'il m'accroche les poignets au mur, un à un, en prenant tout son temps. Les chevilles sont accrochées à leur tour, par des liens disposés en bas du canapé. Je suis prisonnière, un peu craintive de ne pouvoir fuir. Mais cela m’excite et je sais que lui aussi. Sans le voir, j'imagine son visage concentré sur ce qu'il veut faire, ce qu'il veut me faire, avec des yeux brillants d'excitation. J'attends ce qui me semble être un moment interminable où rien ne se passe, c’est étrange. Puis sans prévenir deux mains viennent me parcourir, me peloter, me fouiller. Je suis mouillée, les doigts que je sens dans mon vagin pour glisser sur mon anus et le forcer non sans plaisir commencent à me faire pousser des cris. Je sens un objet froid glisser le long de ma fente, jusqu'à mon postérieur, cambré et offert. Les doigts d’Éric écartent mes fesses pour libérer ma rondelle et je sens cet objet me pénétrer délicieusement.
Je sens maintenant un jouet vibrer sur mon clito, et cela me fait monter l’excitation, je me dandine et profite de chaque vibration, c’est très bon. Ce jouet me plait vraiment bien. Par moment s’abattent sur mes fesses de généreuses claques qui me font sursauter, je vais commencer à perdre pied si ça continue. Impossible de me défendre, je subis ce plaisir. Sans pouvoir profiter de mon bienfaiteur je prends ce plaisir sans pouvoir en donner. Nouvelle pause, puis je sens de nouveau une présence, mais cette fois-ci avec plusieurs mains qui s’occupe de moi, seins, fesses, chatte tout est passé en revue.
J'adore être un objet de cette façon. Je sens le jouet fiché en moi aller et venir, c’est très agréable bien que pas assez profond à mon goût. J'aime la sodomie et Eric le sait. Des mains m’abandonnent (oh non pas déjà ?!), et il me détache, m’embrasse, me caresse, et maltraite une fois de plus mes tétons, j’aime cette douce douleur. Il défait son pantalon et baisse son boxer. Oui, enfin, je vais pouvoir, lui aussi, le remercier pour ce moment. Il s’installe dans le canapé et en douce coquine et soumise je me met naturellement entre ses cuisses et commence à le sucer. J’aime son sexe lisse, doux, je vais et je viens sur sa bite en ronronnant de plaisir, je suce, lèche, aspire, j’aime a entendre ses râles. J’entends bien des voix qui se rapprochent, mais je ne me laisse pas perturber et m’applique à dévorer ses couilles, je l’ai à ma merci. C'est moi qui joue maintenant. Il me caresse la tête comme il caresserait une chienne. Peut-être devrais-je laisser tomber quelques barrières, quelques-unes de plus, et accepter de porter cet accessoire qu’Éric aimerait me voir porter. Non, pas tout de suite.
Je sens à un moment comme une présence. le Boss est derrière moi discute avec Eric tout en me doigtant, comme si la situation était parfaitement normale, sauf que ma chatte exposée en mode salope doit être dégoulinante. Eric a remarqué un client qui pénétrait dans une cabine de visionnage, et quelques moments plus tard me propose de toquer et de l’inviter. Je suis terrorisée par sa demande et il l'a remarqué, il se lève donc et se charge lui-même de l'invitation. Il lui propose du réel plus que du virtuel et lui dit « vas s’y caresse là, profite de ce que tu vois". Quel stress ! Je reprends la queue d’Éric et sens les doigts de ce parfait inconnu me fouiller. Il est doux et appliqué. Il me laboure timidement, mais très vite je ne peux retenir mes gémissements. Eric me dit que je vais ameuter le client… Je m’en fous sur le coup je vais jouir. Je tente de reprendre la queue d’Éric pour mes cris.
C’est trop bon. Je sens d’autres mains peloter mon cul, jouet avec le plug, je suis aux anges. Suis-je devenue nympho ? Je ne sais pas mais en tout cas j’aime ne plus savoir où donner de la tête.
J’entends Eric me dire de caresser mon inconnu, je prends donc son sexe en main et me mets à le branler avec motivation. Je ne ferais pas plus, son odeur de cigarette ne me plait pas, et Eric ne m’impose pas plus, heureusement. Après tout c'est un inconnu. Je m’applique à le faire durcir entre mes doigts alors que mon amant fouille mon cul de salope, le plug avait disparu en moi. Comme quoi je suis accueillante ! Un plus gros plug n'aurait pas été refusé. Les doigts agiles d’Éric récupèrent le jouet et fait des va-et-vient dans mon anus. J’aime être prise par là. Devrais-je en réclamer plus ? Devrais-je supplier mes complices de venir en moi par cet orifice ? Je n’ose pas mais je me satisfais des plaisirs du moment.
Eric m’installe dans le canapé, assise à ces cotés je souffle un peu, mais je ne peux m’empêcher de le caresser, il m’ouvre les cuisses et je vois l'inconnu se branler devant moi. Quel beau spectacle. Le boss s’invite à mes côtés et me présente sa queue tendue que j’engloutis sans me faire prier. Trois hommes pour moi, j'en ai de la chance. Je sens l’inconnu œuvrer sur ma chatte mouillée, il me lèche, me doigte et m'amène de nouveau aux bords de l’extase. Des mains massent, pelotent, pincent mes seins de cochonne. Je suis offerte, impudique, comme je n’aurais pas pu imaginer. Je jouis alors fortement sous les doigts de cet inconnu. Visiblement mes cris ne laissent pas insensible car le Boss vient aussi et je sens son liquide chaud se répandre sur mes seins. Il m'essuie soigneusement et lui et l'inconnu quittent le salon. Je reste alors seule avec Eric, enfin. Je me blottis contre lui et je poursuis les caresses. Un peu de calme fait du bien. Je le reprends en bouche et lui fait le plus de bien possible pour le recevoir entre mes lèvres, j’ai envie de le satisfaire et de le boire malgré mon dégoût d’avaler, comme pour le remercier de ce moment. Mais quand mon amant explose enfin dans ma bouche je n’ai pu satisfaire cette envie, et il ne m'a pas e à le faire. Mais j’espère un jour réussir. Cela me rendrait si fière.
Une fois nos respirations calmées, je remets de l’ordre à ma personne et à mes vêtements., un peu tristounette de devoir quitter ce lieu de perdition. Pas envie de quitter mon amant non plus… Je l’accompagne, je ne veux pas le laisser, mais nos vies sociales nous rappellent à l’ordre et chacun choisis son chemin. A très vite après un dernier baiser sur le trottoir.
Hâte d’être à la prochaine fois…pour quel genre d’aventures sextraordinaires, comme dirait le Boss.

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