Le Manoir Du Péché (17)

SUR LA ROUTE DU MARCHE.
Cet après-midi, en me rendant chez ma patronne qui m’avait fait convoquer par la cuisinière, je me demandais ce qu’elle me voulait. L’idée me vint qu’elle avait envie de baiser. Honteux je sentis ma bite se gonfler.
En entrant dans sa chambre, je devinais tout de suite ce qu’elle désirait de ma part.
-Bonjour Alain !
Je lui rendis son salut. Malgré ses écarts, elle imposait le respect avec son apparence strict pour les autres alors que moi, je savais ce que cachait cette attitude. Il suffisait de voir ses yeux sournois et fureteurs de la patronne pour comprendre qu’elle était aussi vicieuse que n’importe quelles femmes au statue sociale inférieure.
Elle m’expliqua qu’elle avait besoin que je l’emmène au marché. Je n’étais pas dupe. Elle pouvait si elle voulait y aller seule, ce qu’elle faisait si bien. Il devait y avoir autre chose derrière cette demande, l’idée de m’isoler avec elle n’était pas pour me déplaire. Et d’ailleurs je n’avais aucune raison de refuser. La patronne me suggéra de chauffer la voiture.
Et comme je l’avais pressenti au bout de quelques kilomètres elle me demanda de trouver un endroit isolé. Puis elle ajouta :
-J’ai oublié de faire pipi avant de partir. Si tu peux d’arrêter quelque part.
-Tout de suite madame ?
-Non, non, je te dirais où !
Quelques kilomètres plus tard, elle m’indiqua la route prendre. Ne fois sur le lieu choisi j’arrêtais le contact et attendis la suite.
-Si tu veux faire pipi, c’est le moment d’en profiter, fit-elle avant d’ouvrir sa portière.
Je sentis ma verge gonflée. Elle avait eu une drôle de voix sucrée en disant ses quelques mots. Elle ne changera jamais.
Elle m’entraîna jusqu’à un espace boisé pas visible de la route toute proche. Au milieu des arbres, une souche formait une table. Des fourrés épais l’entouraient. C’était vraiment l’endroit tranquille pour s’isoler. Je la soupçonnais d’être déjà venue ici.

Mais avec qui ? pas le temps d’approfondir la question que déjà la madame s’accroupit. Elle avait décidé de pisser devant moi.
Elle me fit signe de m’approcher d’elle. Elle s’attaqua tout de suite à mon pantalon, puis au slip. La vue de mon sexe au garde à vous la fit rire.
-Tu ais excité à ce que je vois. C’est moi qui te produis cette effet ? Comme je ne vois personne d’autre que nous je devine que c’est vraiment moi et là mon coco, tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse, de produire ce résultat sur un gars comme toi. Après un soupir bruyant, elle ajouta :
-Il va falloir que je me dévoue.
Elle se redressa un peu, assez pour faire passer sa culotte de soie sous ses fesses puis le long de ses jambes. Je sentis une vague chaude se former dans mon ventre. Puis la patronne s’était accroupie de nouveau au même endroit. La robe retroussée jusqu’à la taille et les genoux largement écartés, elle ne cachait rien de son entrejambe. Ses poils pubien tapissait son sexe jusqu’aux creux des aines, et débordaient même sur le haut des cuisses. Depuis notre dernière relation elle avait hormis de passer chez esthéticienne.
Malgré leur abondance, ils ne masquaient pas la fente. La patronne dut forcer car les bords s’écartèrent encore plus. Excité, je fixais le déploiement ce cette chair obscène pour certaines personnes et merveilleuse à mes yeux. Je fus surpris par le jet jaunâtre qui fusa de sa chatte, alors qu’elle émettait une plainte prolongée. Son sexe se crispa et une giclée de mouille jaillit de son vagin. Je compris que la cochonne prenait son pied en se soulageant.
Quelques gémissements rauques et des tortillements de sa part, certifièrent mon raisonnement. Cela n’empêcha pas la patronne de se soulager à grands flots tout en prenant du plaisir. Quand elle eut fini, elle se releva. Puis elle me fit signe d’approcher. Là elle me tendit sa culotte de soie ;
-Tiens prends là je sais que tu raffoles de ça.
Alors que je la plaçais sous mes narines pour la humer, elle prit ma queue dans sa main, elle entama un lent et agréable va-et-vient.

-J’espère que tu aimes ça ?
-Elle sent bon. Répondais-je le souffle court.
-Je veux bien ! je l’ai gardé 48heures sur moi !
Elle avait une façon de couvrir et découvrir le gland qui me faisait naître des frissons électrique dans tout mon corps. Cela additionner à l’odeur qu’exhaler la culotte j’avais très vite joui, accompagnant mon éjaculation d’un cri aigu, engluant les doigts de ma branleuse d’une épaisse giclée de sperme. Qu’elle s’empressa d’essuyer dans sa culotte.
Emprunté, et comme toujours gêné après que mon excitation fut passée, je sentis ma queue se recroqueviller à vue d’œil. Comme à son habitude, la patronne changea vite d’attitude, redevenant elle-même revêche.
Sans m’attendre elle s’éloigna à grands pas à travers les broussailles.
-Dépêche-toi un peu veux tu Alain, fit-elle en me voyant traîner derrière elle. Il n’y aura plus rien à acheter au marché…

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