Damien Iv

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’arrive sur la plage. Il n’y a personne en cette saison. Le sable est toujours aussi fin et l’eau aussi limpide qu’il y a plus de quinze ans. Je retrouve l’emplacement exact ou nous avions l’habitude de venir et revois le corps fin de Sylvie couché à même le sable, offert aux rayons d’un soleil resplendissant. Je me revois aussi à plat ventre sur ma serviette en train de repenser avec angoisse à ce qui m’était arrivé la veille. Heureusement, Sylvie ne s’était aperçue de rien et j’arrivais à jouer la comédie du type sans aucun problème.
Mais la douleur au fond de mon ventre me rappelle que nos deux amis arabes avaient abusé de moi. Abusé était-il vraiment le bon terme? Je n’avais rien fait pour leur échapper, et j’avais beau me dire que j’avais trop fumé, au fond de moi, je sentais bien que je me trouvais de fausses excuses.
Cela faisait une heure que nous étions en train de bronzer et, il était presque midi. En nous réveillant, Sylvie m’a fait quelques avances que j’ai fait semblant de ne pas comprendre. Je n’avais vraiment pas envie de faire l’amour. C’était la première fois que cela m’arrivait de lui refuser. Elle n’avait rien dit et s’était levée plutôt rapidement.
Sur la plage, elle a voulu savoir comment cela s’était passé la veille.
- Très bien. Ils sont vraiment très sympa
- Ils avaient vraiment de l’herbe?
- Oui et elle était fameuse
- Tu en a fumé beaucoup?
- Oui ils me l’ont même offert. Ils en ont un paquet.
- C’est la même que celle qu’on trouve chez nous?
- Non. Elle est plus forte.
- Et vous avez fait quoi?
- Ben rien. J’ai fumé chez eux c’est tout
- Eux aussi?
- Non ils fument pas. Ils m’ont dit que c’était pour des amis.
- T’as de la veine. Tu aurais pu m’en amener un peu quand même.
- Impossible, ils ne veulent pas que cela sorte de chez eux.
- Tu crois qu’ils nous en re-proposeront?
- Je ne sais pas.


- En tout cas, cette fois ci je viendrais avec toi.
- Bien sûr tu m’a manqué.
Ce qui était sur c’est que je n'étais pas prêt à retourner seul chez eux. Je me suis bien gardé de le dire. J’avais encore l’anus irrité.
Je sentais comme un malaise entre nous. Elle m’en voulait et je ne savais si c’était pour ce matin ou pour l’herbe. Nous n’avons plus parlé. Le soleil commençait à sérieusement chauffer. Je suis parti me baigner. L’eau de mer m’a fait mal à l’anus. Je n'arrêtais pas de penser aux événements de la veille. Je suis revenu sur le sable chaud. Je me suis assoupi. J’étais crevé.
Bien sûr ils nous ont rejoints en fin d'après-midi. Quand je les ai vus, j’ai une peur terrible. Mais avec un aplomb superbe, ils ont été absolument comme d’habitude. Au point que même moi, je commençais à me poser des questions.
Bien sûr Sylvie a voulu en savoir plus sur l’herbe et sur notre soirée.
- Elle a été super.
- Oui surtout pour Damien.
- Faut dire qu’il a un peu abusé des cigarettes.
J’écoutais leurs voix chaudes et encore un rien juvéniles. Ils étaient joyeux, décontractés, sympa. On leur aurait donné le bon dieu sans confession. Pourtant c’était bien leurs sexes qui m’avaient enculés sauvagement. C’était bien eux qui m’avaient sodomisé en me traitant de salope et d’enculé.
- En tout cas les mecs, il faudrait moi aussi m’en faire profiter
Quelques micro secondes de silence avant que Khaled ne réponde à Sylvie d’une voix doucereuse en me regardant.
- Pas de problème tu viens un jour et ont te fais le même trip qu’avec Damien.
- Vous êtes sympa les amis. Vous venez vous baigner?
- Vas-y on te rejoint dans cinq minutes.
Elle est partie en courant. Son maillot moulait parfaitement ses fesses rondes qui tanguaient au rythme de sa course. Nous l’avons regardé plonger dans l’eau.
Ils se sont couchés à plat ventre en face à moi, têtes et bustes redressés en appuis sur leurs avant-bras.
J’ai pris la même pose. Je ne savais pas quoi leur dire. Leurs regards se sont perdus derrière moi. A nouveau un sentiment de peur et de honte m’a traversé.
Khaled a ébauché un sourire sans desserrer les lèvres.
- Tu sais que même vu d’ici, t’as un super cul.
J’ai rougi brusquement. J’osais plus les regarder. Toujours ce sentiment de honte. J’avais peur que quelqu’un entend ou que Sylvie revienne même si la voyais en train de nager lentement.
- Faut pas te faire de mouron. Ça restera entre nous. C’est notre secret.
- Oui, et puis, dans notre pays, c’est courant. On ne peut pas toucher aux femmes de chez nous. Alors on en profite entre nous ou avec des étrangers en saison.
- On préfère les étrangers.
- Et les étrangères.
- Surtout les français.
- Ouais. Ceux-là, une fois qu’ils sont partis on ne les retient plus. Ils offrent leur cul à tout le monde. C’est comme les allemandes.
- Des chaudes aussi les moukères allemandes.
- Vous. Vous êtes complètement barges
J’avais beaucoup de mal à parler. A les affronter aussi d’ailleurs. Ils me faisaient un peu peur. Je regardais obstinément le sable fin de couleur clair.
- Tu ne disais pas ça hier.
- Tu t’es laissé faire bien gentiment.
- Ouais. Tu ne t’es pas beaucoup battu pour défendre ton petit cul.
- Tu t’es bien laissé ouvrir la rondelle.
- T’as une très belle rondelle. Tu sais? Bien serrée et en même temps très souple. Une vraie rondelle de fille.
- Presque une chatte. Maintenant elle est à nous.
- On plus avec ton bas-ventre rasé, tu es super mimi comme vous dites chez vous. Je suis sûr que c’est Sylvie qui t’a demandé de le faire.
- Un mec qui se rase à cet endroit, c’est ou un saint homme ou une gonzesse.
Mon visage me brûlait. J’avais envie de partir, mais en même temps, je ne pouvais pas bouger. C’est vrai que je ne m’étais pas beaucoup défendu la veille. Je mettais mon attitude sur le compte de l’herbe que j’avais fumé et dont j’avais largement abusé.
Mais ils commençaient à me mettre un sérieux doute dans mon esprit. Je regrettais amèrement ce rasage.
Sylvie est revenue. Son corps fin et bien dessiné brillait au soleil. Tout est redevenu normal avec des conversations banales entrecoupées de baignades et de fous rires. Khaled la serrait de très près. Elle ne disait rien. Moi non plus.
A midi, nous avons mangé du maïs grillé que des s vendaient sur la plage. Ils faisaient griller les épis devant nous sur des petits braseros, avant de nous les tendre sur les feuilles verte qui servaient de protections aux épis et qui protégeaient aussi de la chaleur. Je mangeais le mien en faisant semblant d’ignorer les très discrets regards assez équivoques que me lançaient Khaled et Mourad.
J’avais de plus en plus de mal à me contrôler. En plus, ils étaient en train de draguer ouvertement ma copine. Pour me remettre les esprits en place, je suis parti nager. Je me donnais à fonds dans une brasse endiablée. Une fois arrivé à une bonne distance de la plage, j’ai fait la planche en fermant les yeux.
Des flashs de la veille martelaient mon cerveau. Je sentais bien que je bandais et que mon maillot comprimait de plus en plus mon sexe. J’avais envie de me masturber. Mais il y avait trop de monde autour de moi. Je me suis remis à nager en direction de la plage. La situation me paraissait intenable et je ne voyais pas d’issue pour moi.
A mon retour, Sylvie et Khaled n’étais plus là!
Mourad discutait avec le môme qui nous avait vendu les maïs. Ils me regardaient venir à leur rencontre et riaient en parlant en arabe. A la manière dont le gamin me dévisageait, j’ai tout de suite compris que Mourad lui parlait de moi. Ma voix m’a paru beaucoup trop hésitante.
- Ou est Sylvie?
- Elle est partie avec Khaled.
- Ou?
- Elle avait trop envie.
- Envie?
- Elle manquait de cigarettes. Elle voulait des trucs plus forts.
Il soutenait mon regard avec une espèce d’ironie narquoise.
Ses yeux brillaient d'excitation. Il ne m’était pas difficile d’imaginer Sylvie seule avec Khaled dans la fameuse chambre. Pendant un court instant, j’ai voulu les rejoindre. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne l’ai pas fait. Même aujourd’hui, il m’est difficile de reconnaître que j’avais eu peur d’affronter Khaled.
Mourad parlait toujours au jeune qui n'arrêtait pas de me dévisager en souriant. Je restais debout comme un con, le corps dégoulinant et le visage inquiet. Ils se sont levés et Mourad s’est campé face à moi, les pieds enfoncés dans le sable chaud, jusqu’aux chevilles.
- J’ai comme l’impression que ton amies va… Bien Fumer. Surtout que je suis sûr que Khaled lui plaît beaucoup. Elle a tout de suite accepté d’y aller seule avec lui… A mon avis, elle ne va pas fumer beaucoup. Rien que de les imaginer, ça me fait bander.
- Tais toi!
- Pourquoi? Ah pour lui! Ne t'inquiètes pas, il ne comprend pas le français. Il surveille la plage et s’occupe des bungalows.
Ils ont repris une assez courte conversation dans leur langue. Le môme a éclaté de rire en me regardant. Il a sorti une grosse clef toute rouillée du sac ou il rangeait ses épis et l’a tendue à Mourad. Puis il s’est assis au milieu de nos affaires et s’est mis à dessiner des arabesques sur le sable.
- Il va surveiller nos fringues. Viens avec moi.
- Ou?
- Il veut qu’on visite un des bungalows.
Le ton moqueur qu’il employait ne laisser aucun doute sur ses intentions. Au regard appuyé que me lançait le môme, j’ai compris qu’il lui avait tout raconté. Le môme savait pourquoi je devais visiter ce bungalow.
Comme je ne bougeais pas assez vite, Mourad m’a saisi par l'avant-bras pour me tirer à sa remorque.
- Allez viens. On a tout le temps. Sylvie et Khaled ne reviennent pas avant deux bonnes heures. C’est ce que Khaled m’a dit. Moi je suis sûr qu’il y arrivera plus vite. Et toi, c’est ton petit cul que tu vas me montrer.
Je me sentais sans force et comme la veille, incapable de lui résister. Je me suis laissé entraîner. Nous avons traversé la plage, croisant peu de monde.
Il y avait trois petites maisons blanches accolées à l’immeuble du casino. Toutes identiques, avec trois portes peintes en bleue clair. La peinture s’écaillait laissant apparaître le bois et les couches successives des peintures précédentes. Des gamins jouaient au football dans le sable à quelques mètres de nous. Ils connaissaient tous Mourad et l’ont salué avec un entrain juvénil.
L’arabe a ouvert la porte du bungalow du milieu. Un grand trou sombre. Une odeur prenante. Il m’a poussé vers l’intérieur en appuyant fermement sur mes fesses.
Nous sommes entrés et il a refermé la porte à double tour. Je ne voyais rien. Nous sommes restés immobiles sur le seuil à attendre que nos yeux s’habituent à l’obscurité ambiante. Le seul éclairage de la pièce, provenait des raies de lumière blanches qui passaient par le bas et le haut de la porte et par quelques planches disjointes. Il y avait aussi deux petites ouvertures en haut du mur donnant sur la plage. Il faisait chaud et humide et l’odeur m’était complètement inconnue. Un mélange d’iode et de poissons séché.
- C’est ici que viennent les fatmas qui ne veulent pas se faire niquer dans leur hôtel. Au début elles ont un peu peur et il faut les amadouer. Mais après elles reviennent. Avance vers la droite. Encore...
J'avançais lentement, bras tendus en avant et en glissant mes pieds nus sur le sol rugueux. Il y avait des tas de débris sur le sol. Les mains du jeune arabe se sont posées sur mon maillot mouillé et me poussaient pour que je continue d’avancer. Il tenait mes fesses à pleines mains et les malaxait sans répit. Il a fait entrer mon maillot entre mes fesses.
Mes tibias ont heurté un obstacle et je serai tombé si Mourad ne m’avait pas retenu par la taille.
- Voilà, c’est là.
J’ai vite compris que j’avais en face de moi, une espèce de lit de camp, assez bas, collé contre un mur. Je voyais le crépi blanc et des grandes taches noires.
- C’est là dessus qu’elles viennent se faire niquer. Des fois on est plusieurs pour la même. Elles adorent. Pendant que leurs maris sont au hammam ou jouent aux cartes, juste au-dessus d’elles au Casino. Et toi aussi tu vas aimer être traité comme ces poufiasses d’étrangères.
C’est dans cette pièce minable que j’ai abandonné toute idée de rébellion, et que cet arabe que je croyais mon ami, est devenu en réalité mon maître. J’entends encore les cris et les rires des mômes jouant au ballon, qui traversaient cette porte bleue qui nous séparait du monde extérieur. Dehors, il y avait le soleil, la plage, les vacances, du monde qui s’amusait.
Il aurait simplement suffit que je me débatte, me batte ou que je crie. Quelqu’un aurait entendu. Serait venu. Mais cela m’était impossible. Quelque chose me bloquait. Et encore aujourd’hui, je ne sais pas quoi.
Je tremblais. J’avais la chair de poule malgré la chaleur. Ma peau était encore mouillée du bain de mer. Les mains chaudes au creux de mes reins m’ont fait frissonner.
- Avec tes cheveux longs, tu ressembles vraiment à une femme. Khaled il dit que tu as le corps d’une fatma. Il a tout de suite deviné en te voyant que tu es une femelle dans ta tête. On a l’habitude de vous reconnaître.
Il me parlait à voix basse au creux de l’oreille. D’un ton grave et autoritaire. Une vraie voix d’homme qui n’avait rien à voir avec son âge. Il était sûr de lui et de son ascendant sur moi malgré son jeune âge. Il devait sentir ma passivité et en profitait.
- Ta copine, c’est une belle femme. Elle a tout ce qu’il faut ou il faut. T’en as de la chance. Et nous aussi. A l’heure qu’il est, elle doit être complètement nase et Khaled doit en profiter. Elle doit avoir un abricot superbe cette gonzesses. Et un beau cul aussi. Toi aussi tu as un cul superbe et tu vas bien m’offrir ton petit cul tout blanc. Tu vas voir, avec moi tu vas vite apprendre.
Les mots me faisaient mal. Tout combat me semblait vain. Je sentais son odeur de sueur et son haleine caressait ma nuque. Son corps chaud était plaqué contre mon dos et mes jambes. La bosse que formait sa virilité se pressait contre mes fesses. J’avais envie qu’il arrête de me parler de Sylvie. Mais lui prenait tout son temps.
- Elle a le cul plus cambré que le tien. Des fesses un peu plus larges aussi. Remarques t’a aussi un joli cul toi. Tu vas bien me le montrer, maintenant qu’il nous appartient. Je vais t’apprendre à bien nous l’offrir
Il a baissé sans difficulté mon maillot mouillé sous mes fesses pour me peloter. Ses mains très chaudes me caressaient lentement. Ses doigts ouvraient ma raie et me faisaient frissonner. Je le laissais faire.
Il m’a débarrassé du tissu collant avant de reculer, me laissant nu dans cette chambre inconnue. J’ai deviné qu’il se mettait à poil lui aussi et j’ai vite senti la pointe de son sexe, dure et chaude, parcourir mes fesses encore humides. Impossible de contrôler les tremblements dont j’étais saisi.
- Tu trembles comme une pucelle. Pourtant hier on t’a niqué sans problème. Tu fais comme hier. Tu m'obéis sagement et je serai tout doux avec toi. Assieds-toi. Aller assis !
Je me suis assis sur le bord du lit et Il resté debout en face de moi. Son corps se découpait en contre-jours dans la pénombre. Il s’est approché entre mes jambes qu’il a largement écartées.
- Comment elle suce ta copine? Réponds. Pas grave... Je suis sûr qu’elle doit bien sucer. Khaled me racontera. Il adore qu’on le suce. Moi aussi j’aime ça. Aller, au travail.
Je n’ai pas vu son sexe. J’ai juste senti une grosse pointe chaude et humide me caresser les joues avant de se poser sur mes lèvres serrées. C’était très doux et brûlant. J’ai eu un mouvement de recul qu’il a vite bloqué en me tenant la tête.
- Montre-moi comment elle te suce ta copine. Vas-y... Montre-moi. Elle doit être en train de faire la même chose à Khaled en ce moment. Chez nous, les femmes elles ne veulent pas faire la fellation. C’est très sale.
Il a et j’ai ouvert la bouche. Sensation étrange que ce corps étranger dans ma bouche. Impression d’avoir un animal vivant dans mon palais. C’est gros et j’ouvre au maximum. Je ne peux pas bouger la tête et c’est lui quoi s’enfonce le long de ma langue.
L’odeur est forte, musquée, animale, mélange d’iode et de sueur âcre. Je suis très troublé, et ne fais rien pour me soustraire au pal qui entre lentement dans ma bouche sèche. Il donne des petits coups de reins et me pistonne la bouche.
- Regarde. Tu la sens aller et venir. C’est comme ça qu’il faut faire. Serre bien avec tes lèvres autour de mon zob. Vas-y... Ouvre bien la bouche... Elle est grosse hein ! Essaye de la prendre le plus loin possible. Tu vois, ta bouche est moins profonde que ton cul. Vas-y suce bien ! Tête bien ma grosse sucette.
Au bout de quelques minutes, il lâche ma tête c’est moi qui le suce mécaniquement. Instinctivement, je trouve les bons gestes et le bon rythme. Lui, reste bien campé face à moi, bassin tendu et mains sur ses hanches.
- Applique toi bien on a tout le temps. Vas-y tête moi bien à fonds. Vas-y prends là au maximum. C’est bien. Tu vois que tu sais le faire. Bientôt tu vas sucer aussi bien que les pute de Tunis. Profite bien de mon zob. Tu dois être au service de nos zboubs apprendre à les satisfaire.
Le gland tape de plus en plus vite au fonds de ma gorge. Mes lèvres coulissent autour de la hampe bien droite. Je me débrouille de mieux en mieux. Je sens le membre palpitait contre ma langue. Le gland va tout au fond de ma gorge.
- Tu fais très bien la fellation. Continue comme ça. Lèche bien mon sucre d’orge. Lèche sur toute la longueur. C’est bien. Continue comme ça, tu te débrouilles très bien. Aspire bien mon zob. Plus fort. T’es né pour piper les bittes toi !
Je l’ai sucé pendant longtemps. Il a utilisé ma bouche autant qu’il l’a voulu. Il s’en servait comme du sexe d’une femme et me pilonnait régulièrement le gosier de la même manière qu’il l’avait fait pour mon cul la veille.
Je le laissais faire. Je participais aussi. Son sexe me semblait d’une taille imposante. Son gland m’obligeait à ouvrir toutes grandes mes mâchoires. J’entendais les bruits de succion et de la salive coulait sur mon menton. Je commençais à avoir mal aux machoires.
- C’est très bien.
Il s’est reculé et m’a libéré la bouche. Je me suis essuyé le menton d’un revers de mains. Je ne voyais que son bas-ventre devant mes yeux. La masse noire de ses poils. Celle moins sombre de ses couilles et le pal enduit de ma salive tendu vers le plafond.
- Je suis sûr que tu suces mieux que ta copine. Les hommes chez vous, ça fait mieux la fellation que les femmes. On l’a souvent remarqué.
Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de son sexe, dressé à quelques centimètres de mon visage, qui se découpait en ombre chinoise. Assez long, avec un gland comme un champignon, et la hampe légèrement courbée vers le ventre plat.
Il m’a semblé complètement incroyable que j’ai pu sucer une bitte d’homme. Et pourtant, j’avais encore envie de la sentir dans ma bouche. Et cette fois, je n’avais plus l’excuse de l’herbe.
- Allez, ma poule, couche toi maintenant. Vas-y à plat ventre.
J’ai compris ce qu’il voulait. J’ai osé lui dire que j’avais encore mal. J’avais un tout petit filet de voix et beaucoup de mal à articuler.
- J’ai rien compris. Répète. Plus fort ! N’ai pas peur.
- J’ai encore mal.
- Ou ? Ou t’as encore mal?
- J’ai encore mal.... Au..... A l’anus...
- N’ai pas peur. Comme t’es sage, j’irai doucement et t’auras pas mal à ton cul. Tu vas voir, je vais bien te niquer et tu vas adorer. Allez mets-toi à plat ventre. Ecarte bien tes jambes. Encore plus... Laisse les pendre de chaque côté du lit. Oui comme ça. Garde la position, j’adore voir ton cul tout blanc offert. Tu dois apprendre par cœur cette position. Tu vas souvent la prendre. Et d’autres encore. Tu vas devenir notre outre à foutre.
Il s’est couché lourdement sur moi, son bassin collé contre mes fesses et surtout sa queue plaquée dans ma raie. Il a mis beaucoup de salive entre mes fesses.
- Je vais bien te préparer le trou.
Ses doigts dégoulinant de salive me massaient lentement l’anus, sans chercher à entrer. Je sentais mes chairs répondre et s’ouvrir lentement.
- T’as la rondelle bien souple. Je me demande quel effet cela te fait d'être un enculé. Tu vas voir, tu vas en redemander

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