Femme Séduite Par Le Patron

Un jeune couple se rend chez le patron du gars et, après une journée de tension sexuelle entre le patron et la jeune femme, le patron la séduit, et d’elle.

Bérengère a ressenti une immense déception lorsque Guillaume lui a expliqué, en s'excusant, qu'ils devaient reporter leur voyage à Venise. Il lui annonçait que Robert, son patron, avait besoin de lui pour planifier un rendez-vous avec un client important, qui avait avancé sa venue de deux semaines. Il lui a promis qu'ils pourraient y aller le mois prochain, en essayant d'apaiser son évidente irritation.

«Je vais en avoir pour la journée entière à organiser la logistique et à peaufiner tous les détails. La bonne nouvelle, c'est que Robert m’a proposé de venir travailler chez lui plutôt qu'au bureau. Il a dit que tu pourras m’accompagner pour profiter de sa piscine pendant que je travaillerai.» 

Son patron lui avait présenté cette offre en prétendant que cela calmerait la contrariété de la jeune femme, et qu’une journée passée à bronzer au bord de la piscine rétablirait l’harmonie dans le couple.

Bérengère se résigna à reporter ses vacances, se consolant en pensant à sa journée de farniente au bord de la piscine. En cas d’imprévu, si son travail se prolongeait plus longtemps que prévu, Guillaume lui a indiqué qu'elle devrait prendre des affaires pour la nuit.

Bérengère a été accueillie chaleureusement par le patron. qui a salué Guillaume en lui serrant la main, et il a enlacé Bérengère en la complimentant sur sa beauté, avant de l’embrasser familièrement. Bérengère était vêtue de manière sexy, d’une courte jupe en tartan et d’un chemisier vaporeux, qui dévoilait son haut de bikini. Sexy et classe à la fois, la mignonne jeune femme a rougit légèrement à cause du compliment et de la manière un peu rustre du patron qui la pressait fortement contre son torse musculeux.

Robert était un véritable colosse. Puissamment bâti, très grand et large d’épaule, il se dégageait de sa personne une assurance et une estime de soi.

Il est très bel homme, pensa-t-elle.

Bérengère a observé le contraste entre Robert et son mari. Robert avait la cinquantaine, tandis que Guillaume avait la trentaine. Robert était taillé comme un culturiste, tandis que Guillaume était plutôt maigrichon, et Robert dépassait Guillaume d’une bonne tête. Robert installa Guillaume dans son bureau, et prit Bérengère par le poignet. 

«Venez voir la piscine, Bérengère» et il l’entraîna dehors. Bérengère sourit à Guillaume en agitant ses doigts vers lui.

Guillaume a regardé sa fiancée de 23 ans partir tout en organisant ses documents pour commencer son travail.

«Voilà !» annonça triomphalement Robert. «Vous pouvez bronzer sur les chaises longues, ou vous mettre à l'ombre sous le patio si vous avez trop chaud. Les toilettes de la piscine sont juste là, et vous avez des rafraîchissements ici».

Robert a laissé la jeune beauté s’installer, en rejoignant Guillaume dans la maison pour lui donner ses instructions. Restée seule au bord de la piscine, Bérengère se posait des questions sur cet hôte bizarre. Vivait-il seul dans ce grand domaine ? Sans femme, sans s, même pas un serviteur ? Il parlait à Guillaume comme si c’était son domestique, et s’adressait à elle avec douceur, comme s’il parlait à une .

Robert aidait Guillaume à débarrasser le bureau afin qu’il puisse s’installer quand soudain, il a vu sa corbeille de lotions et de crèmes protectrices et hydratantes qu’il avait préparé pour Bérengère. S’apercevant de son oubli, il a saisi sa corbeille et s’est précipité vers Bérengère pour lui proposer ses services.

Au bord de la piscine, Bérengère appliquait déjà son propre produit. Elle était maintenant seulement vêtue de son bikini, qui dévoilait ses courbes alléchantes. Ses formes parfaites confirmait les espérances de Robert. C’est en voyant la photo de Bérengère sur le bureau de Guillaume qu’il avait conçu ce plan sulfureux.

En voyant cette photo de la jeune femme sage et réservée, son sourire coquin et une lueur dans son regard lui avait fait soupçonner une nature sensuelle.
La baratinant sur la qualité des produits qu’il lui présentait, il s’est approché tout près d’elle. Voyant le doute dans ses yeux, Robert lui demanda simplement de s'allonger. 

«Allez, jeune fille, faites-moi confiance, je ne voudrais pas que vous brûliez !». 

Il prenait la direction des opérations, sans lui demander son avis, et la jeune femme abasourdie se laissait diriger. Une autre différence entre Robert et Guillaume. Là où le jeune homme demandait, suggérait, Robert lui disait quoi faire. Tel un père, ou un patron habitué à dicter ses instructions.

Elle s'allongea sur le ventre, et Robert commença à appliquer de la crème sur son dos. Ses grandes mains puissantes et chaudes massaient les chairs tendres en insistant, prétextant que le produit agissait mieux en le faisant pénétrer. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir les bruissements des papillons au fond de son ventre que lui procurait le massage.

D'abord les épaules, les bras, le dos, sans oublier de glisser ses mains sous les bretelles du soutien-gorge. Dans les reins, même processus, il a glissé ses doigts sous l’élastique de la culotte. Puis les jambes, l’une après l'autre, étalant la lotion suffisamment haut entre ses cuisses pour faire frissonner la jeune femme.

«Tournez-vous». Bérengère était déconcertée par la façon énergique dont Robert gérait la situation. Il lui disait quoi faire, et elle suivait ses ordres, subjuguée par la forte personnalité du patron. Puis, il s'est mis à la toucher si près de ses zones intimes en appliquant sa lotion, jusque sous le fragile tissu. Il la massait en pétrissant ses chairs, alors que tout homme devrait savoir que ces endroits de son corps étaient réservés à son chéri, mais il agissait comme s'il l’ignorait.

Robert a laissé Bérengère seule au bord de la piscine, avec cette tache d’humidité sous sa culotte, et a rejoint Guillaume qui était au téléphone. Il notait sa progression sur un bloc-notes, collait des post-it, suivant un cheminement rigoureux.


Robert pensa qu'il pouvait le laisser travailler, car il n’avait besoin d’aucune aide. Tout se passait bien, et il pensait qu'il serait aussi bien au bord de la piscine, avec  Bérengère, pendant que Guillaume organisait le programme.

Robert est allé se changer dans sa chambre, en arrangeant le positionnement de sa bite devant son miroir, afin que Bérengère puisse bien voir la taille de l’engin. Jetant une serviette sur son épaule, il se dirigea vers la piscine.

Bérengère regarda Robert s’approcher d’un pas décidé, en admirant sa carrure, sa musculature, sa stature. Tout son être dégageait une puissance tranquille, mais le gonflement de son slip de bain fit rougir la jeune femme, qui détourna le regard. Robert, qui la surveillait à travers ses lunettes de soleil, fut satisfait de sa réaction.

Il s’est allongé sur une chaise longue, près d'elle, de manière à ce qu’elle puisse admirer son … corps !

Bérengère était impressionnée par la taille de son sexe. Elle faisait de son mieux pour regarder ailleurs, mais mentalement, elle ne pouvait s’empêcher de comparer avec celui de Guillaume. Bien évidemment, la comparaison n’était pas en faveur du jeune homme.

Est-ce qu'un pénis aussi gros n’était gênant pour son propriétaire ? Était-ce douloureux pour sa partenaire ? Elle comprenait, en voyant son sourire satisfait, qu’il savait qu’elle avait vérifié son colis, et que toutes ces questions se bousculaient dans son esprit.

Essayant de dissimuler sa gêne, elle tentait de comprendre ses supputations grivoises, ne sachant pas si elle éprouvait de l’envie ou de la crainte d’être baisée par un tel morceau. C'est à ce moment-là que Robert a décidé de baiser cette délicate jeune femme.

«Il commence à faire chaud au soleil, venez vous baigner» dit Robert en se levant. Bérengère le regarda d'un air penaud, visiblement embarrassée : «Ne vous moquez pas de moi, mais je ne sais pas nager». Elle lui parlait en baissant les yeux, visiblement gênée.


«Venez avec moi, je vais vous apprendre» décida Robert, en soulevant Bérengère de la chaise longue comme si elle était un poids plume. Dans les bras du colosse, elle se tortillait, troublée, en agitant les jambes.

"Il est temps que vous appreniez". Bérengère s’étonnait de sa force, et se sentait en sécurité dans ses bras. Il la déposa dans l'eau. Dans cette partie de la piscine, elle avait de l’eau juste en dessous des seins, et Robert juste au-dessus de la ceinture.

«Maintenant, je vais vous aider à flotter. Utilisez vos bras et vos jambes comme je vous l’indiquerai» ordonna-t-il, passant sa main sous son ventre pour la maintenir à la surface. «Ne vous inquiétez pas, il ne vous arrivera rien» Il la soutenait en lui enseignant quoi faire.

Robert a soudain passé son bras entre les jambes de la jeune femme, son avant-bras calé confortablement dans son entrejambe, la paume de sa main sous son estomac, le bout de ses doigts juste entre ses seins. Bérengère tressaillit, surprise de sentir ainsi tenue.

Robert admirait les fesses fermes de la jeune femme, tandis qu'elle se tortillait en agitant les jambes. Il pensait qu’elle avait un petit cul parfait pour la sodomie. Ses pensées salaces faisaient palpiter son sexe qui se gorgeait de sang.

Après que Robert se soit assuré que Bérengère maîtrisait les bases, il lui a offert une pause. 

Retirant tirant lentement son bras d'entre ses jambes, utilisant la gravité pour que l’entrejambe de Bérengère reste en contact, il a glissé sa paume tout le long de son ventre, jusqu’à ce qu’elle effleure sa chatte. La pauvre fille eut beau se cambrer, rien n’y fit, et elle dû subir l’impertinente caresse du mâle dominateur.

Elle le dévisagea rapidement, essayant de déterminer si cela pouvait être involontaire. Mais ni son visage impassible, ni ses yeux cachés par les lunettes de soleil ne trahissaient ses pensées lubriques. Sortant de l'eau, Robert lui indiqua de s’allonger pour qu'il puisse remettre plus de lotion sur elle.

Bérengère hésitait, pas convaincue, mais Robert attrapa le flacon et tapota la chaise longue impatiemment. Encore une fois, elle céda. Elle se dirigea lentement vers la chaise, comme une suppliciée monte à l’échafaud. Vaincue, elle s'allongea, acceptant sa capitulation. De nouveau, elle sentit ses mains fortes et chaudes masser sa peau, les doigts pétrissait ses chairs de manière experte. 

Puis, comme précédemment, ses doigts s’infiltrèrent sous le tissu du bikini, au plus près de ses zones érogènes. Sans subtilité ni délicatesse, ses mains prenaient possession du jeune corps docile. Finalement, il a dû arrêter ses caresses, car son pénis menaçait de se tendre.

Robert s’est éloigné sous le prétexte de surveiller le travail de Guillaume. Le jeune homme n’avait besoin de rien, mais le patron, lui, avait besoin de se calmer et de laisser redescendre son niveau d’excitation. Il est allé préparer une collation pour Guillaume et pour Bérengère, qu’il leur a apporté.

Plusieurs fois, le patron a dû s’éloigner pour surveiller l’avancement du travail de son employé. À chaque fois, Guillaume jetait un coup d’œil effaré à la bosse qui gonflait le slip de bain de son patron.

À midi, ils ont mangé sous le patio, grillades et salades. Puis, Guillaume est retourné travailler, et Robert a continué ses travaux d’approche auprès de Bérengère, l’émoustillant et la troublant par son comportement indécent.

En début de soirée, sentant la griserie de sa proie au paroxysme, il lui a proposé une douche pour se rafraîchir avant le dîner. L’entraînant dans sa chambre, pour la conduire dans la salle de bain attenante, il lui a montré le fonctionnement, et lui a expliqué ce qu’elle avait besoin de savoir. Puis il l’a laissée en disant qu’il allait commander des pizzas. Il n’a pas été retenu longtemps pour passer commande.

Puis il est retourné la rejoindre dans la salle de bain. Bérengère était nue sous la douche, elle s’était savonnée et elle était en train de se rincer. C’est pour ça qu’elle ne la pas vu venir. Stupéfaite, elle a vu Robert rappliquer sous la douche, entièrement nu. Elle a bien essayé de se couvrir, lui demandant ce qu'il faisait là. Robert a rigolé en lui disant que c’était une douche à deux places, et il lui a demandé si elle avait honte de son corps.

«Ce n'est pas question de ça, je suis fiancée avec Guillaume, je ne suis pas libre» lui a-t-elle rappelé.

«Et alors, quoi, on prend juste une douche !» Il a répliqué. «J'ai déjà vu des filles nues, auparavant, et t’es pas mal foutue !» Il continuait : «Tiens regarde, t’en as déjà vu des bites comme celle-là !»

Bérengère ne put s'empêcher de rester bouche bée devant sa bite en semi-érection. L’engin pendait, trois fois plus long que celui de Guillaume, et bien plus gros. Son sexe tressaillait, indiquant l’excitation de son propriétaire.

Robert craquait devant le corps sexy de la jeune femme, sa chatte impeccablement épilée. Il était décidé à saisir sa chance, et à la forcer ici. Guillaume, dans le bureau proche, ne l’intimidait pas. C’était un être faible, veule, incapable de se rebeller. C’est d’ailleurs pour ça qu’il l’avait embauché, il l’avait à sa botte, et il le savait. Il pensait que ce garçon était un cocu en puissance, et il voulait qu’il sache qu’il lui volait sa femme, conquise par un être supérieur.

Il se retourna et lui intima l’ordre : «Frotte-moi le dos !» Bérengère était abasourdie, choquée, ne comprenant pas sa docilité face à cet individu hors du commun. Tremblante, elle a saisit l’éponge pour lui savonner le dos.

Une fois rincé, il est sorti de la douche, et l’a attendue en tenant une grande serviette déployée.

«Viens te sécher, petite» dit-il en entourant la fille nue avec la serviette chaude et en frottant son corps. Il la séchait comme un amant, massant ses seins, glissant le tissu éponge entre ses fesses et son entrejambe. Finalement, il laissa tomber la serviette et l’admira sous toutes les coutures, la faisant tourner sur elle-même. 

«Tu es très belle, Bérengère. Beaucoup trop belle pour Guillaume !»

Sans qu’elle ait eu le temps de trouver une réponse cinglante pour lui clouer le bec, juste au même instant, on a toqué à la porte de la chambre. 

«Robert ?» Guillaume appelait doucement. «Je pense que j'ai fini, si vous voulez bien contrôler mon travail»

«C’est bien, va m’attendre dans le bureau, je te rejoins sous peu»

Alors que Guillaume attendait dans le couloir, près du bureau, il vit la porte de la chambre s’ouvrir, et fut surpris de voir sortir Robert, accompagné de sa fiancée. Bérengère était enveloppée dans un peignoir et, sans regarder dans sa direction, se dirigea vers la chambre d'amis. Robert adopta une attitude nonchalante en informant Guillaume qu'il avait montré à Bérengère comment utiliser la douche. 

«Maintenant, montrez-moi votre travail» demanda Robert en changeant de sujet.

Après le dîner, Robert mit de la musique. Des musiques sirupeuses, propices aux danses langoureuses. Il invita Bérengère à danser. Guillaume regardait son patron enlacer la jeune femme, la presser contre lui, tandis que ses mains caressaient sa chair nue. Bérengère n’avait pas prévu de tenue de soirée. Guillaume lui avait dit de prévoir pour la nuit.

Elle n’était vêtue que de sa tenue de nuit, un short en pilou, et un haut coupé court qui laissait son ventre nu. Pratique pour dormir, impudique pour danser. Beaucoup de chair découverte, que le patron caressait tranquillement en dansant.

Finalement, ses mains puissantes descendirent sur le bas des reins pour presser fermement la jeune femme contre lui. Bérengère était décontenancée, elle ressentait un tourbillon d'émotions, serrée contre Robert et sa bite massive qui semblait vouloir pénétrer dans son ventre. Ce qui l'intriguait surtout, c'était l’absence de réaction de Guillaume.

Entre les danses, elle retournait s'asseoir auprès de son mari, mais chaque nouvelle danse était pour Robert, qui semblait ne pas avoir de limite dans l’impertinence

Bérengère n'était pas coutumière de se donner en spectacle. La façon dont cet homme grossier la touchait et l'attirait fortement contre lui, indiquait clairement qu'il en était le maître. Le traitement qu'elle recevait de Robert était exactement l’opposé de celui qu’elle recevait habituellement de Guillaume

Guillaume était doux et tendre avec elle, Robert était audacieux et déterminé. Elle ne pouvait s'empêcher de sentir un frisson dans son ventre, quand il la traitait comme une créature, plutôt que comme une demoiselle.

Lorsque la danse s'est terminée, Bérengère s’est dirigée vers Guillaume, mais elle a été retenue par Robert qui la fit asseoir sur ses genoux. Il s’était installé de manière à ce que Guillaume puisse voir clairement, et il a posé sans vergogne sa main sur le haut de la cuisse de Bérengère. Bientôt, tout en discutant nonchalamment du travail avec Guillaume, sa main caressait la cuisse de la jeune femme, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde.

Lorsque l’envie de danser le reprit, Robert a entraîné Bérengère pour danser près de Guillaume, posant immédiatement une main sur son cul sublime en l'attirant contre lui. Bérengère, comprenant que son fiancé ne lui serait d’aucun secours, posa sa joue sur la poitrine musclée de Robert. Ils se balançaient sur un rythme langoureux. Subitement, Robert lui pencha la tête en arrière pour l'embrasser à pleine bouche. 

Un baiser passionné, bouche ouverte, auquel elle ne résista pas. Elle savait que Guillaume la regardait répondre favorablement au baiser de son patron. Guillaume a vu son patron prendre de plus en plus de libertés avec sa fiancée. Il savait qu'il devrait au moins essayer de manière diplomatique d'y mettre un terme, mais ne voulait pas provoquer la colère de Robert. 

Lorsque Robert a embrassé Bérengère, son conflit intérieur a atteint son maximum. La réaction de Bérengère le déconcertait. Le baiser de Robert suggérait un droit, comme s'il pouvait avoir tout ce qu'il voulait, mais la manière qu’avait la jeune femme de se soumettre au baiser, suggérait-elle que Bérengère acceptait cette évidence ?

Encore une fois, à la fin de la danse, lorsque Robert installa de nouveau Bérengère sur ses genoux, Guillaume décida de ne rien dire. Bérengère passa son bras sur les épaules de Robert, et les deux tourtereaux s’embrassèrent langoureusement. Quand Robert mit fin au baiser, il regarda Guillaume droit dans les yeux, comme une provocation.

«Nous allons nous coucher. Guillaume, vous pouvez prendre la chambre d’amis.»

Il enlaça Bérengère et entraîna la jeune femme derrière lui. Guillaume regarda partir sa fiancée avec confusion, la main de Robert sur ses fesses, et le majeur qui s’insérait entre elles. La jeune femme rougissante suivait docilement le maître des lieux, sans un regard en arrière.

Guillaume restait assis, seul, médusé. Il venait de voir son patron lui piquer sa femme. De toute évidence, il allait la baiser. Ses pensées s'emballaient en pensant à ce qu'il devrait faire. Devait-il partir en abandonnant Bérengère ? Devrait-il aller la chercher et exiger qu'ils partent ensemble, immédiatement ? Mais la jeune femme n’avait pas montré de résistance, était-elle consentante ? Accepterait-elle de le suivre s’il l’exigeait ?

Il entendait des bruits venant de la chambre proche, des exclamations, puis un cri de Bérengère. Résistait-elle ? Est-ce que le couple se disputait ? Avait-elle besoin de secours ? Guillaume se leva et vint coller son oreille à la porte de la chambre. Juste pour savoir si Bérengère avait besoin de son aide, et s’il devait intervenir.

En écoutant attentivement les sons émanant de l'intérieur, il comprit que les bruits qu’il entendait n’étaient pas des bruits de lutte, ou des cris de rage, mais de doux sons féminins qu’émet une jeune femme quand on lui fait l’amour.

Il entendait clairement sa femme haleter, gémir et s’extasier. Bérengère a poussé un autre cri. De douleur ? De surprise ? D’extase ? Le ventre de Guillaume était noué, mais sa bite était bien raide tandis qu'il écoutait sa femme être intime avec un autre homme. 

Les sons qui lui provenaient étaient difficiles à interpréter, car Bérengère ne réagissait pas ainsi avec lui. Avec lui, elle restait discrète, languide, attendant calmement qu’il ait fini. Se pouvait-il qu’elle simule, afin de presser Robert à finir au plus vite ? Et venir ensuite rejoindre Guillaume dans la chambre d’amis, pour se faire pardonner ?

Ses gémissements l’ont surpris, cela ne validait pas ses suppositions, et augmentait son trouble.

Bérengère n'avait jamais été avec un mâle puissant comme Robert. Il l'a déshabillée comme si elle lui appartenait et l'a couchée sur le dos, sur le lit. Sa bite était si énorme lorsqu'il se déplaçait entre ses jambes pour lui faire minette. Elle était à la fois attirée et effrayée par l’impressionnant organe qui s’agitait entre ses jambes.

Elle était persuadée qu’il était impossible qu’un tel engin la pénètre sans causer des dégâts irréversibles. Pour éviter de penser à ce qui l’attendait, et aux souffrances possibles, elle se concentrait sur la caresse buccale que lui administrait son amant. Il avait introduit deux doigts dans son vagin, sa langue et ses lèvres s’occupaient de son clitoris.

Le résultat était étonnant, fabuleux, merveilleux. Bérengère, de nature si calme, ne pouvait retenir ses gémissements et ses cris d’extase. Les cuisses largement écartées, les jambes légèrement repliées, elle s’offrait, impudique, en ressentant les premiers émois de l’orgasme titanesque qui déjà, la faisait crier de joie.

La première étape franchie, alors qu’il rampait sur elle et déposait sa bite sur son ventre, elle dépassait facilement son nombril. Et maintenant, alors qu'il excitait sa chatte avec son gland en essayant de la fourrer, elle était sûre que ça ne rentrerait pas.

«Ne t'inquiète pas bébé, ça ira». Robert promit, tandis qu'il brossait la grosse tête lourde autour de sa chatte trempée, la poussant très doucement en elle de temps en temps. Guillaume a entendu sa femme crier, comme si elle était blessée, mais il est resté ancré sur place, ne sachant toujours pas quoi faire.

«Non, pas question, impossible, non, vous êtes trop gros, trop grand, je ne pourrais jamais ...» Puis elle hurla, un cri d’angoisse et de douleur mêlées. Robert étudiait les réactions de la jeune femme sur son visage, poussant plus profondément lorsqu’elle se calmait, se bloquant lorsque son visage prenait le masque de la souffrance. Elle tremblait de peur, d’appréhension mais la sensation que lui prodiguait ce mandrin qui l’envahissait, la surprenait.

«Putain, cette petite salope est vraiment bonne» pensait-il, en sentant cette chatte étroite le serrer comme un étau de velours.

Guillaume entendait maintenant Bérengère gémir et geindre à un rythme régulier. Il pouvait deviner la pénétration lente et progressive. Ses halètements accompagnés de petits cris de surprise et de plaisir ont provoqué chez Guillaume une érection douloureuse. Son esprit était maintenant en conflit total. Fou de jalousie, mais indéniablement surexcité en écoutant sa femme se faire baiser par son patron.

Bérengère tremblait et couinait lorsque Robert poussait son énorme bite en elle, l'étirant bien au-delà de tout ce qu'elle avait jamais connu. Elle le sentait se retirer un peu, mais pour s'enfoncer plus profondément lors de la poussée suivante.

En baissant son regard entre ses jambes tremblantes, elle découvrit qu'il n'avait même pas la moitié de son pénis en elle, même s'il était déjà plus profond, là où aucun homme n'avait jamais été. Elle s'émerveillait de la puissance brutale que dégageait ce mâle dominant, et caressait amoureusement son torse velu et ses épaules musclées.

Soudain, la violence de l’orgasme la chamboula, et elle enroula ses jambes autour des reins de son amant, comme pour l’inciter à venir en elle. Robert profita de l’instant pour pousser avec force sa grosse bite dans la chatte serrée de la jeune femme, faisant hurler Bérengère.

Guillaume sentait son sexe palpiter en entendant les cris de la jeune femme. Il devait voir ce qui se passait. L'écouter gémir et crier le rendait fou. Il devait voir, alors il tourna la poignée de la porte, et entra aussi silencieusement qu'il le pouvait. Le spectacle qui l'accueillit lui coupa le souffle. 

En regardant entre les cuisses largement écartées de sa femme, il pouvait voir la bite absolument énorme de Robert, qui remplissait et distendait la petite chatte de Bérengère au-delà de la raison.

Bien que Guillaume n’ait pas fait le moindre bruit, Robert ressentit un léger courant d’air frais sur ses fesses nues, et se retourna pour voir Guillaume planté là, les yeux écarquillés, regardant le couple en train de baiser. Il remarqua aussi qu'il frottait la petite bosse dans son pantalon. Bérengère gémissait comme un animal blessé. En rigolant, il lui dit :

«T’es venu voir comment je baise ta petite copine ?»

Bérengère ressentit une vive lueur de chagrin pour son copain, mais elle ne pouvait rien faire. Elle était déjà en pleine extase, la bite de Robert lui faisait ressentir des sensations dont elle ignorait l'existence, il était déjà bien trop tard pour arrêter et revenir en arrière. Mais Robert continua, enfonçant le clou :

«J'ai toujours su que tu étais un faible, un mou, un cocu. Enlève tes vêtements, et viens t’asseoir sur cette chaise pour assister au spectacle. Autant branler ta petite bite pendant que tu regardes.»

Bérengère regardait Guillaume ôter ses vêtements, remarquant immédiatement qu'il était en érection. «Mon Dieu, pensa-t-elle, cela l'excite ? Son patron me baise, et lui, ça le fait bander ?»

Guillaume a affronté sa honte et les vexations de son patron pour regarder ce spectacle qui le fascinait. Robert a relevé la jambe de Bérengère et s’est poussé légèrement de côté pour améliorer la vision de Guillaume. Aussitôt, il a recommencé à marteler avec plus de force la chatte de Bérengère. Guillaume était étonné de la façon animale dont elle réagissait, gémissante, couinant de douleur et de plaisir mélangés. 

Son énorme gourdin étirait et distendait sa chatte, tandis qu'il la baisait profondément. Finalement, Robert donna une forte poussée, enfouissant la totalité de son mandrin dans sa chatte martyrisée jusqu'à ses énormes couilles remplies de sperme, pour la faire crier de bonheur. Bérengère se débattait de manière insensée sous son assaut, comme une possédée, son orgasme provoquant l’incohérence et le tremblement de ses membres.

Guillaume a baissé les yeux pour regarder son sperme gicler de sa petite bite de cocu.

Mais Robert n’avait pas fini. Il a continué à marteler la petite chatte durement, tout en épiant le masque de souffrance et de plaisir de la fille qu’il honorait. Elle criait, tremblait, gémissait sous lui, jouissant à plusieurs reprises sous sa lourde charge de mâle arrogant.

Bérengère n'arrivait pas à réaliser ce que Robert lui faisait ressentir, sa grosse bite barbare la dévergondait en la faisant jouir encore et encore. Guillaume ne l'avait jamais fait jouir ainsi, sauf avec sa bouche et ses doigts, mais jamais aussi fort. Les orgasmes que Robert lui procurait étaient si intenses qu'elle pensait mourir de plaisir. 

Elle eut le réflexe de jeter un coup d'œil à Guillaume, pour le voir en train de se masturber, le regard halluciné. Brièvement, elle pensa qu’elle n’était pas protégée, et qu’elle pouvait tomber enceinte de ce macho. Il y eut une pause :

«Alors, ça te plaît ? Tu aimes me regarder baiser ta petite poulette ? Tu voudrais la voir de plus près ? Viens t’allonger ici, à côté de nous.» Robert le siffla comme on appelle un chien.

Guillaume s’est allongé sur le dos à côté d’eux, et Robert a déposé Bérengère sur lui, tête-bêche. Robert a abaissé la jeune femme en lui appuyant sur les reins afin que sa chatte soit en contact avec le visage de son fiancé.

«Comme ça, tu auras une bonne vue, cocu. Tu pourras lui lécher le clito pendant que je la baise.»

Sans plus de cérémonial, il enfourna sa grosse bite dans la chatte mousseuse de Bérengère. En réalité, Guillaume n’y voyait pas grand-chose. La mouille abondante de Bérengère lui giclait dans les yeux, et les couilles pendantes de Robert lui heurtaient le visage.

Guillaume faisait de son mieux pour lécher le clitoris de Bérengère, mais Robert la claquait si fort, et sa chatte était si distendue qu'il ne pouvait pas la lécher sans lécher aussi la grosse bite de Robert. Son visage était mouillé par les sécrétions abondantes de la jeune femme qui l’ignorait en frottant son pubis sur sa bouche. Bérengère savait que Guillaume était sous elle, mais elle était tellement sous l’emprise de la grosse bite qui la baisait, qu’elle se foutait complètement d’utiliser son fiancé dans cette posture humiliante.

«Ça suffit, cocu !» rugit Robert, soulevant Bérengère pour qu'il puisse s’écarter. «Tu peux aller te coucher dans la chambre d’amis, et fais de beaux rêves !»

Guillaume a ramassé ses affaires, tête basse, et s’apprêtait à quitter la chambre. Un dernier regard en arrière lui permit de voir Bérengère, amoureusement lovée contre Robert, et qui l’embrassait langoureusement à pleine bouche pour lui montrer sa gratitude.

Dès que Guillaume eut quitté la pièce, Robert enfourcha de nouveau la jeune femme pour la baiser vigoureusement. Il l’embrassait passionnément en la baisant, et elle s’offrait, éperdument soumise, à son amant. Fini ses craintes de tomber enceinte, elle commençait à avoir des sentiments pour ce colosse qui la rendait si heureuse. Elle répondait à son baiser en gémissant, et en suçant la langue qui la fouillait . Elle pensait qu’il lui baisait la bouche avec sa langue, et sa chatte avec sa bite.

Longtemps, Guillaume a entendu les ébats du couple dans la chambre voisine. Les gémissements de Bérengère, ses cris d’amour, les grincements du lit, Robert était infatigable, excité par la pensée de baiser la jeune et jolie copine de son employé. Il s’est branlé encore une fois pour se calmer, puis la fatigue a pris le dessus, et il s’est endormi.

Guillaume s’est réveillé tôt, troublé et grognon. Il s’est fait un café, et il est allé le boire au bord de la piscine. Les évènements de la veille l’avaient perturbé. Ravagé par la perte de sa copine, et troublé par sa propre réaction. Pourquoi cela lui avait tant plu de la regarder se faire baiser brutalement par son patron ?

Robert et Bérengère se sont levés bien plus tard. Robert soutenait Bérengère qui avait du mal à marcher et se tenait le ventre à deux mains. Elle s’est assise sur une chaise-longue près de Guillaume. Elle baissait le regard, honteuse et souffreteuse. Robert semblait gêné :

«Bon, j’y suis allé un peu fort, ce matin. Mais elle est tellement bandante !»

Il parlait d’elle à Guillaume comme si elle n’était pas là. De toute évidence, son avis lui importait peu :

«J’ai réfléchi, et je suis en mesure de vous faire une proposition. Je peux embaucher Bérengère comme assistante particulière. Lorsque les négociations avec certains clients deviennent difficiles, elle pourrait intervenir pour donner un coup de pouce. Les sortir, les divertir … Elle aura un bon salaire, et comme elle représentera l’entreprise, de belles toilettes, des bijoux, etc … Bien entendu, je ne vous oublie pas, et vous aurez la récompense que vous méritez pour votre, disons, complaisance … Nous en discuterons demain, au bureau. Maintenant, ramenez-la chez elle.»

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