La Femme De Mon Patron

J'ai commencé à travailler quand j'avais 18 ans. Une entreprise d'une quarantaine de personnes avec une très bonne ambiance, le patron payait même le restaurant en fin d'année à nous et notre famille. Ce qui me permis de faire connaissance avec les femmes de mes collègues. Mon patron habitait près de chez moi et comme je travaillais en équipe, je rencontrais parfois sa femme, Jacquie, quand je faisais des courses. Elle avait une cinquantaine d'année, 1m60 environ, brune aux cheveux mi long, ce qu'on remarquais chez elle en premier c'était sa grosse poitrine.
Ce jour la en début d'après midi, je croisais Jacquie sur le parking d'un supermarché qui rangeait ses courses dans sa voiture. En discutant, elle me dit :
- Veux tu passer à la maison pour prendre un café ?
- Pourquoi pas, si Gérard (mon patron) est d'accord pour que je vienne chez lui quand il n'est pas la ! Lui répondis-je.
- Oh lui tu sais, il s'en fou. Il rentre tout les soirs vers 21h et les s vers 18h. On sera tout les deux cet après midi.
- C'est d'accord, mais j'ai 2 ou 3 courses à faire.
- C'est pas grave passe dans une heure, vers 14h30 !
On se quittait et pendant mes courses je repensais à cette conversation. Pourquoi m'invitait elle ? Juste pour prendre un café ou autre choses ? En rentrant chez moi, connaissant cette femme d'une certaine classe, Je prenais une douche afin d'effacer les 8h de travail matinale.
A 14h30 pile, je sonnais chez mon patron. Quelle surprise quand Jacquie m'ouvrit ! Elle qui était en tailleur et jupe droite une heure plus tôt, portait maintenant un ensemble en cuir rouge. Un petit bustier court qui s'arrêtait à son nombril fermé par des crochets lui mettait en évidence les seins et s'arrêtant tout juste à ses tétons. Une mini jupe flottante et très, très courte qui s'arrêtait à la limite de ses fesses. Apparemment l'excuse du café n'était pas une innocente invitation ! Elle me fit entrer et m'invitait à m'installer dans le canapé du salon.

Jacquie me laissait quelques instants pour aller chercher le café dans la cuisine. En l'attendant je me disais que j'avais bien fais de prendre une douche avant de venir, mais notre différence d'âge et le fait qu'elle soit la femme de mon patron m'intimidait. Elle revint quelques minutes plus tard avec la cafetière et les tasses sur un plateau. En se penchant face à moi pour le déposer sur la table basse, je ne pouvais que regarder la profondeur de sa poitrine. Elle s'assit à côté de moi.
- Tu sais ça me fait plaisir que tu sois venu, j'espère que tu n'as rien de prévu cet après midi ? Me dit elle.
- Non, non, rien de prévu ! Répondis-je maladroitement.
C'était difficile de ne pas avoir les yeux baladeurs et Jacquie le remarquait bien, elle se rapprochait de moi et mettant en avant sa poitrine me servit une tasse de café. A cause de sa petite taille, le sucrier étant trop loin pour elle, Jacquie se leva et se plia en deux pour le saisir. La "patronne" n'avait pas de culotte ! Elle savait bien ce qu'elle faisait et se colla à moi en me tendant le sucrier. En le reposant sur la table, elle posa sa main sur le haut de ma cuisse. Je voyais bien son regard en direction de mon sexe qui gonflait tout seul. Elle me sourit. Nous buvions ce café et en reposant sa tasse elle me dit:
- Tu sais Gérard me délaisse, il ne me touche plus, on fait l'amour qu'une fois par mois et encore...
- C'est pas gentil de sa part, Tu es une belle femme ! lui répondis-je.
- Tu devines pourquoi je t'ai fais venir ?
- Heu... Je pense avoir une petite idée de ce que tu veux !
Son regard se porta à nouveau en direction de mon sexe, raide, qui formait une bosse dans mon jean. Mais je n'osais pas faire le premier pas. Elle se leva pour aller mettre de la musique et revint vers le canapé en dansant. Ses tétons commençaient à sortir tout seul du bustier. Elle s'assit à califourchon sur mes jambes, souleva sa jupe en me laissant admirer son sexe rasé, pris ma main et la déposa sur son sexe.

- Je l'ai rasé pour toi en t'attendant ! Me dit elle. Ca te plais ?
- Oui, j'adore, lui répondis-je, c'est tout doux.
Je lui caressais le clitoris avec le pouce, la main à plat sur son ventre. Elle enleva ma ceinture, ouvrit mon pantalon et caressa mon pénis au travers de mon caleçon, ce qui me fit bander un peu plus. Elle se pencha et m'embrassa. En se redressant je dégrafais deux crochet en haut de son bustier, elle me prit les cheveux et me força à plonger ma tête entre ses seins. Je les sortais délicatement de son bustier et lui mordillais les tétons pour les faire durcir.
- Hummm, oui... j'adore, ils sont très sensibles ! Me dit elle.
- Et moi j'adore tes seins , ils sont magnifique ! lui déclarais-je.
- Viens, on va dans la chambre ! Annonça t elle.
Arrivée dans la chambre je me déshabillais, Jacquie en faisait autant. Jacquie était à quatre pattes sur le lit à retourner la photo de son mari qui se trouvait sur une table de nuit, je regardais ses fesses et les lèvres de son sexe. Je me précipitais pour faire un gros bisou sur son sexe. Surprise, elle lâcha :
- Ouh, mais, qu'est ce que m'as fais ?
- Juste un gros bisou ! Répondis-je. Tu n'aimes pas ?
- Si, mais tu m'as surprise ! Prends moi en levrette. M'ordonna-t-elle.
- Ne bouges pas. Dis je.
Au lieu de la prendre comme elle me demandais, je passais ma langue sur ses lèvres.
- Oh oui, encore ! Dit elle.
Comme la position n'était pas pratique, je m'allongeais sur le dos derrière elle, ma tête entre ses jambes. Ma langue passant sur tout le contour des lèvres de son sexe, m'attardant sur son clitoris. Jacquie gémissait de plaisir, son sexe ruisselait dans ma bouche. Tout en la suçant, j'introduisais un puis deux doigts. Je regardais ses seins par dessous et, tout en m'occupant de cette couguar, je me masturbais d'une main. Elle se redressa, assise sur ma bouche, j'écartais ses lèvres pour aller plus profond avec ma langue. Ses gémissements se transformaient en cris.

- Si tu continu, je vais venir. Il va y en avoir partout ! dit elle.
J'insistais avec ma langue et en effet, elle m'inondait avec sa cyprine quelques instant plus tard. reprenant ses esprits elle me dit :
- Prends moi en levrette !
Cette fois j'obéis. Je rentrais tout seul dans son sexe trempé. Elle criait à chaque fois que je la pénétrais à fond. Je changeais de position, l'allongeais et la prenait sur le côté lui maintenant une jambe en l'air. Cette femme était vraiment en manque de sexe et se défoulait. Je la pris en "missionaire" mais je sentais que je ne pourrais pas me retenir longtemps. Jacquie ce caressait le clitoris en me regardant. Je sorti d'elle et me finis au dessus de son sexe. Je m'écroulais près d'elle et l'embrassait. Quelques minutes plus tard elle me proposait de prendre une douche avec elle.
Laver et rhabiller je la quittais en l'embrassant avant qu'elle n'ouvre la porte. Ses allaient rentrer une heure plus tard et elle devait remettre un peu d'ordre dans la maison.
Je venais de faire l'amour à la femme de mon patron !


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