Emilie Et Tamara, Suite

Suite de ‘’Emilie et Tamara, Premières fessées’’
(Voir mon dernier récit)
D’un cheveu, il s’en est fallu d’un cheveu. Les 2 filles sont debout devant moi, chacune veut gagner.
Je me lève et passe derrière elles, mes mains vont d’un cul à l’autre, et d’un coup, l’une d’elle s’abat sur celui d’Emilie. Elle sursaute et je la renvoie au coin pour la deuxième fois de la journée.
Je regarde Tamara qui a un petit sourire soulagé sur le visage. Ça fait plus de 2 heures que celle-ci a l’anus et la chatte occupés et qu’elle prend sur elle pour ne pas hurler.
Je l’allonge sur le canapé, baisse son pantalon et att son string. Je découvre alors que celui-ci est trempé, je le baisse et passe alors ma main sur sa chatte avant d’enfoncer 2 doigts à côté du gode, la respiration de la belle métisse s’accélère encore tandis que mon autre main appuie sur le jouet enfoui dans son cul. Je suis en train de la baiser avec mes doigts, Tamara prend sur elle pour ne pas alerter la brunette qui attend patiemment sa fessée dans son coin. Au bout de quelques secondes, je sors mes doigts de sa chatte et prend en main le gode. Simultanément les deux jouets vont et viennent dans les 2 orifices de la miss, ne reste que sa bouche. Ni une ni deux, j’arrache son string et le transforme en baillon, à défaut de lui enfourner autre chose... C’est fou ce qu’elle est bandante, son jean est à mi-cuisse, son string enfoncé dans sa bouche, on ne voit de son corps que les parties les plus attirantes (hormis ses seins).
Il faut moins de 2 minutes avant que je ne sente son corps se contracter et qu’émane de sa jolie bouche un très léger soupir, étouffé par le bout de tissu. Il faut dire que la partie basse de son anatomie a été très sollicitée au cours des dernières heures et que les vidéos vues précédemment ont fait monter son excitation en flèche.
Comme demandé, j’enlève et range les jouets tandis qu’elle reprend ses esprits. Une fois fait, je lui propose de choisir l’instrument de son choix pour la jumelle.


Celui ci se porte sur le tout dernier paddle, oh oh oh, ça va chauffer. Avant qu’elle n’aille chercher Emilie, je l’att par la ceinture et tire son jean vers le haut, la couture centrale vient frotter sur sa chatte, elle se retourne avec un regard interrogateur. Je me contente de lui rappeler très gentiment qu’elle n’a rien sous son jean et que je n’hésiterai pas à le lui virer et à la fesser comme jamais si elle commet le moindre faux pas avec Emilie. D’un regard, je sais qu’elle a compris et qu’elle fera très attention.
Qui plus est, elle a vu les feuilles que j’ai corrigé et les 2 ont eu des bonnes notes, 16 pour Tam, 15 pour Emilie. Je pense que la fessée ne sera pas trop appuyée et si jamais ça vient à aller trop loin, je reprends les commandes.
Je m’efface et laisse les rênes à ma belle métisse.
Tamara se dirige vers le coin et prend le bras d’Emilie, c’est inédit pour elle. Jusqu’à aujourd’hui, ça avait été soit par les oreilles soit par la culotte que je l’avais attrapée, idem pour sa sœur.
Doucement, Tam s’assoit dans le canapé et attire délicatement Emilie contre elle. D’elle-même cette dernière vient se coucher en travers des jambes d’une demoiselle encore toute émoustillée par les évènements de la journée.
D’entrée, je vois la fesseuse du jour attr le paddle et commencer à le passer doucement d’une fesse à l’autre, en claquant parfois mais en frottant souvent. Emilie dandine son petit derrière de plaisir tant Tamara manipule son instrument avec dextérité. Pendant un bon quart d’heure, les filles jouent ainsi pour mon plus grand plaisir. Quand Tamara stoppe son manège, la « punie » se relève et baisse son pantalon avant de revenir dare – dare en travers des genoux de sa « tortionnaire ».
Le shorty couvrant une bonne partie du derrière d’Emilie, Tamara appuie davantage ses coups et les fesses blanches de la jumelle n°2 retrouvent la jolie couleur rosée qui leur va si bien.
Les minutes s’écoulent, le paddle s’abat encore et encore sur le petit cul d’Emilie qui sursaute maintenant à chaque impact de l’instrument.
Je regarde celle qui a pris ma place, elle fait des merveilles et je vois bien que ça l’excite.
Arrive enfin le moment tant attendu, le déculottage. Je suis curieux de voir comment Tamara va procéder, Elle débarrasse Emilie de son pantalon de sorte qu’elle est les jambes bien dégagées et elle la raccompagne doucement au coin, c’est alors que je remarque la tâche là où était installée la fesseuse, je me retourne et voit que son jean est complètement trempé et collé à son corps.
Avant qu’elle n’achève de s’occuper d’Emilie, je la prends par la taille et l’attire vers moi en lui disant que puisqu’elle a littéralement inondé le canapé, je lui collerai une sacrée déculottée après coup.
Après tout, Emilie ne s’est pas encore rincé l’œil et je sais qu’elle aimera assister à pareil spectacle.
Elle retourne à sa besogne et enlève le shorty d’Emilie, afin de pouvoir admirer son œuvre. De mon côté, je pose une serviette sur le canapé avant de retourner à Tamara qui est toujours en train de mater la belle lune qui se trouve sous son nez. Je la retourne brusquement, fait sauter le bouton de son jean et dézippe la fermeture éclair, elle comprend alors qu’elle va fesser Emilie alors qu’elle aura elle-même le cul à l’air. Je dégage son pantalon et vient alors l’idée de lui réinsérer le petit plug dans le cul pour l’exciter une fois encore. Je lui soumets l’idée et contre toute attente, elle accepte.
J’insère le jouet, et Tam va chercher Emilie. Elle caresse doucement les fesses de cette dernière tandis que celle-ci découvre alors l’accoutrement de celle qui va lui réchauffer le derrière, à ceci près qu’elle ne remarque pas l’objet enfoui dans les fesses de sa ‘’dominatrice’’.
Les filles s’approchent du canapé et Emilie se prépare à se coucher en travers des genoux de Tamara pour conclure, mais la belle métisse a autre chose en tête. Elle fait allonger sa « punie » et relève ses jambes pour la mettre en diaper. Sur ce coup, j’avoue que Tamara m’a surpris.
En même temps, cette position n’en est que plus sympathique puisqu’elle a ainsi un visuel de premier choix sur la chatte parfaitement épilée d’Emilie. Celle-ci, quant à elle, a viré au rouge pivoine, je ne sais pas si c’est de gêne ou de désir (je penche pour la seconde option).
Tamara prend son temps, claque parfois à proximité immédiate de l’intimité de la brunette, je bande comme un âne mais fais mon possible pour rester de glace, c’est dur (dans tous les sens du terme).
Emilie, elle, gémit. Je pense qu’elle ne s’attendait pas à prendre un tel pied, sa tortionnaire aussi a l’air de profiter de l’instant présent, je la vois dandiner délicieusement son petit cul.
Au bout de quelques minutes, je vois une main claquer doucement les lèvres intimes d’Emilie, qui, chaude comme la braise, a un orgasme libérateur.
Tandis que la brunette se remet, Tamara vient vers moi et perçoit au travers de mon pantalon une importante déformation. A peine a-t-elle ouvert ma braguette que l’ami Popaul sort par l’ouverture tel un diable de sa boite. La miss se met donc à genoux et me prend en bouche tandis qu’Emilie se redresse. Tam me surprend, elle si timide et prude lors de notre première rencontre, elle se libère de plus en plus, ce qui n’est pas ment pour me déplaire. C’est à ce moment qu’Emilie aperçoit le plug, rendu bien visible par la position de la belle métisse.
Alors qu’elle est train de me sucer divinement bien, Tamara sent d’un coup le plug bouger dans son fondement et des doigts entrer dans sa chatte.
C’est dantesque, j’ai sous les yeux une beauté qui est en train de m’astiquer comme je l’ai rarement été auparavant. Cette même beauté a simultanément un objet enfoncé dans son cul et les doigts d’une autre beauté en train de lui visiter la chatte.
Autant dire que niveau excitation, on peut difficilement faire mieux. Tam me fait cracher rapidement et elle jouit également peu de temps après. J’att ensuite la demoiselle par l’oreille et m’assoit sur le canapé.
Emilie s’assoit et je commence à bien chauffer les fesses que j’ai sous le nez. A la main d’abord, puis Emilie me tend le paddle et je claque vigoureusement avec l’instrument. Elle qui avait déjà le feu au cul, je pense que j’ai contribué à lui apporter quelques degrés supplémentaires.
J’arrête au bout d’un moment et les 2 filles vont au coin tandis que je range le matériel, c’est du moins ce que je leur fais croire.
Nous nous séparons, Tamara part de son côté, pendant que j’embarque Emilie. Sur la route, elle m’avoue qu’elle a adoré cette après-midi, même si elle aurait préféré se trouver en position dominante. Je lui réponds qu’il n’y a qu’un seul moyen pour elle d’avoir le plaisir de fesser la belle métisse, c’est d’être irréprochable demain sur le test que je lui présenterai.
A la maison, nous regardons les autres vidéos que les jumelles ont réalisé, quel beau spectacle. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Léa sait de mieux en mieux y faire, et que les fesses d’Emilie sont plus souvent rouges et chaudes que blanche et froides.
Du coin de l’œil, je surveille très discrètement Emilie. J’ai beau savoir qu’elle aime ça, je suis à chaque fois surpris de son attrait pour la fessée. Tandis qu’elle s’admire recevant une raclée à la spatule, je me lève et vais chercher le monogant, les godes et le bâillon boule. J’ai dans l’idée qu’elle va apprécier le programme de la soirée.
Je viens me rassoir à côté d’elle et pose le monogant sur ses cuisses. Elle regarde sans comprendre ce que c’est. Elle s’est changée en rentrant, un vieux short un peu serré et un petit top qui a bien vécu. Une tenue qui ne craint plus grand-chose et qui est donc parfaite pour ce que j’ai en tête.
J’écarte l’ordi et fais lever la miss, je prends ses bras et les glisse délicatement dans l’accessoire avant de refermer les sangles. C’est à ce moment qu’elle comprend que la soirée va être longue mais pas ment désagréable. Je lui dis que depuis son arrivée, je n’ai pu profiter que de sa bouche mais absolument pas du reste. De plus, celle-ci n’a pas été vraiment punie par Tamara puisque cette dernière a été des plus clémentes. Avant d’aller plus loin, je lui demande si elle tient énormément à ces fringues, elle me répond qu’elle tient davantage à ce qu’il y a dessous. Curieux, je déchire son top, elle n’a pas de soutif, pas surprenant. Quand son short subit le même sort, je découvre un string en dentelle rouge écarlate avec un petit cœur blanc sur le devant. Je la fais mettre à genoux et admire cette belle jeunette, sexy à damner un saint et bandante comme c’est pas permis.
Ses tétons pointent sous l’effet du désir et je ne prive pas de les titiller avec mes doigts. Après plusieurs instants à simuler ses petits seins, j’y pose des pinces à linge qui trainaient là avant de l’allonger sur le canapé. Elle prend le bâillon en bouche et j’enlève le dernier rempart qui me sépare de ses trésors. Une fois dans son plus simple appareil, j’enfile un gode dans chacun de ces orifices afin qu’elle se sente « pleine », sa chatte bien lubrifiée permet au jouet de s’enfoncer en elle comme un couteau dans du beurre tandis qu’un peu plus de délicatesse est requise pour son cul.
Je la remets sur ses pieds et la penche sur le dossier du fauteuil. Une cuillère en bois prise dans la cuisine commence à venir caresser ses belles fesses avant de s’abattre d’un coup sur l’une d’elles. Je commence à la réchauffer alors qu’elle est remplie comme elle ne l’a jamais été. Je fais pleuvoir la cuillère pendant de longues minutes, elle remue beaucoup et essaie désespérément de s’abriter de ce cyclone. L’avantage du monogant, c’est que c’est bien plus simple de la tenir, elle est donc complètement à ma merci. Quand je lâche la spatule, ces joues sont couvertes de larmes, son cul est d’une belle teinte rouge. Je reprends le travail à la main, alors que la droite remplace la cuillère, le majeur gauche vient appuyer légèrement le gode fiché dans son arrière-train. Elle gémit à travers son baillon et dandine ses fesses, sursautant quand ma paluche tombe sur son derrière bien échaudé et appréciant le jouet qui remue en elle. Inutile de préciser qu’à ce moment, ma braguette subit une importante déformation.
Je maintiens une cadence soutenue, son cul est rouge écrevisse quand une claque tombe plus bas que les autres et la fait atteindre l’orgasme.
Ses jambes ‘’dévissent’’ et elle se retrouve en appui total sur le dossier du fauteuil.
Le seul problème, c’est que moi, j’ai toujours une énorme bosse qui déforme mon pantalon, malgré le remarquable travail fait par Tamara quelques heures plus tôt, j’ai à peine le temps d’enlever mon pantalon que ma bite se retrouve au grand air, prête pour le service.
Directement, je m’insère en cette chatte chaude et détrempée et ça fait du bien. Emilie, quant à elle, vit profondément cette double pénétration puisque mes coups de rein font bouger le gode dans son cul, ajouter à cela que j’appuie fort dessus. Elle gémit de plus en plus fort et jouit de nouveau. N’ayant pas de capote et sentant la pression monter, je me retire fissa de sa chatte, dégage d’un geste le gode et m’enfonce dans son cul que j’inonde quelques secondes plus tard.
Suite au prochain épisode
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