La Vengeance De Sylvie

Les semaines qui ont suivi mon humiliation par les copains de Sylvie, je n’ai pas arrêté de penser à ma main posée sur le sexe de ce jeune type. Une sensation de plaisir et de honte me taraudait. Enfin c’était du passé, je ne croisais plus David, je pense que sa copine avait dû mettre les choses au point avec lui. Ça n’était pas le fait de savoir qu’il baisait Isabelle qui me gêné, c’était le fait de ne pas le voir entre les cuisses de ma femme. Je décidais de m’équiper d’un équipement de surveillance plus perfectionné, si ça se passait dans ma maison je devais au moins entendre ce qui se disait ! En passant à la brasserie plus régulièrement j’avais pu observer qu’un type, Philippe, faisait tout ce qu’il pouvait pour se rendre intéressant auprès d’Isabelle. Philippe : petit moustachu frisé et mince, fraichement divorcé d’une grande brune partie avec son meilleur ami, passait une grande partie de son temps au bar. Il noyait son chagrin dans l’alcool et avait jeté son dévolu sur ma femme.
Il la draguait grossièrement à grand recours de blagues graveleuses de troisième ordre. Isabelle ne répondait pas à ses avances, du moins pensais-je, pas sur son lieu de travail.
Un soir, je me trouvais au bar écoutant distraitement Philippe se ridiculiser devant les autres clients, pleurant sur son sort et sortant des blagues qui ne faisait rire que lui, je ne fis pas attention aux personnes qui vinrent se placer à mes côtés. Le « bonjour » que j’entendis me fit sursauter, Sylvie et le type dont j’avais tenu la queue en main étaient assis sur les tabourets près de moi.
Sylvie : Bonjour, comment ça va depuis la dernière fois ?
Moi : Heu ça va, vous n’êtes que tous les deux ?
S : oui, David travaille
M : Je ne l’ai pas revu…
S : Non j’ai du réglé le problème moi-même, comme tu n’as rien fait.
Isabelle après un bonjour froid aux deux acolytes, pris leur commande et s’en retourna la préparer sans perdre de temps, j’eu comme l’impression qu’elle n’était pas très contente de les voir.


M : Alors tout est arrangeait ?
S : Oui mais comme tu n’as pas été de le faire toi-même tu vas devoir faire quelque chose pour moi !
M : Comme quoi ?
S : Tu vas finir ce que tu as commencé avec Marc (le type entré avec elle)
M : non mais ça va pas !
S : Tu vas même le faire ce soir, sinon je fais un scandale ici !
M : Un scandale !
S : Tu veux peut être que je dise à tout le monde que pendant que ta pute se fait sauter, tu branles des jeunes ! Je suis sûr que ça va plaire à tout le monde et surtout au mec là-bas (Philippe) qui arrête pas de la draguer et à son patron.
M : Tu veux qu’on aille où ?
S : Nulle part, tu vas aller rejoindre Marc aux toilettes, c’est bien suffisant pour toi et pour ce soir !
Je n’avais pas trop le choix, je me rendais aux toilettes ou le scandale me ferais perdre Isabelle et Isabelle son boulot. Sylvie connaissait tous les détails de ses parties avec David et mon « aventure » dans la ruelle…
Marc partit dans la direction des toilettes quand Isa ramenai les consommations en lançant un « tout va bien ? » de circonstance. Un « oui » et je me levais de mon tabouret en direction des WC. Par chance ils se trouvaient au sous-sol, je me dis qu’il y aurait moins de passage…
En arrivant, Marc était devant le lavabo, il me fit signe de rentrer dans les toilettes, je m’exécutais sans rien dire. Il me suivit tout de suite en fermant la porte derrière lui.
Marc : Alors tu aimes branler les mecs, hein, allez vas-y tu vas pas être déçu, dit-il en ouvrant sa braguette. « Sors-la ! et active toi on a pas toute la soirée ! » Je glissais la main par la braguette, attrapant la queue qui durcissait déjà en sentant mes doigts autour d’elle. Je la sortis, commençait à la caresser. Mes doigts arrivaient à peine à faire le tour de cette bite qui grossissait encore au fur et à mesure de mes aller-retours. Je décalottais le gland rouge et luisant, pendant que Marc m’insultait entre deux râles.
« t’es vraiment une petite pute, une fiote, Sylvie a raison vous faites vraiment une belle paire de pute avec ta salope ! » Plus il m’insultait plus j’étais excité, sentir cette bite qui palpitait sous mes doigts allait me faire jouir dans mon caleçon. J’étais resté debout à le branler, quand je sentis qu’il allait jouir il me prit la tête par derrière pour la poser sur sa queue, j’accélérais le mouvement. Il jouit sur le mur des toilettes avant que ma tête arrive à sa queue, des gouttes de sperme chaud me tombèrent sur la joue. « Tu fais ça bien ma pute ! Allez tire-toi maintenant que je me nettoie ! » dit-il en ouvrant la porte. Le temps de m’essuyer la joue et les mains et je rejoignais Sylvie, sur son tabouret, Isa derrière son bar et Philippe qui se donnait en spectacle.
S : Alors c’est fait, t’as aimé ça, être à la place de ta pute ?
M : C’est fait, mais évitez de revenir ici….
S : On verra si ta femme cherche plus à voir David, ok…
En rentrant le soir chez moi, me demanda si tout allait bien. Oui aucun problème tout allait pour le mieux.

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