La Femme De Mon Employé, Partie 4

Le lendemain matin, j’envoie un SMS à Stéphane :

‘’tu crois que tu peux passer à la fermeture ce soir ? Je sais que tu as pris une journée de congés, mais je vous paie un coup et je voudrais vous parler d’un truc à tous…’’

‘’ pas de souci, à ce soir patron ;)’’

Après la fermeture, on se retrouve tous les 5 dans mon bureau.

- Alors servez vous, y a des jus de fruits, du vin, de la bière…
- Euh Thomas, m’interrompt Charlotte. On est 5 et tu as ramené de quoi sustenter toute une équipe de rugby.
- Pas grave. Ce qui est pas ouvert vous aurez qu’à le prendre avec. Mais bon, c’est pas le sujet. Alex, y a des chances que tu ne te sentes pas trop concerné, normal, mais tu fais partie de l’équipe et à ce titre tu as autant le droit de savoir ce que j’ai à leur dire et tu n’as pas être mis à l’écart quand je paie un pot à mes employ…
- Bon, accouche, me coupe Pierre.

Je prends une grande inspiration et je me lance.

- Il y a une truc que je ne vous ai pas dit suite à la mort de Romain.

Charlotte, Pierre et Stéphane semblent se décomposer à l’évocation de leur ancien collègue.

- C’est moi qui ait annoncé sa mort à Julie et dans sa colère, elle m’a dit que c’était à cause de moi si Romain avait été tué. Aujourd’hui j’ai appris à accepter que les choses ne peuvent pas toujours être contrôlées, et que j’ai eu plus de chance que lui ce jour-là, mais quand elle m’a dit ça, je me suis senti atrocement coupable. Elle me détestait déjà avant ça, et je le méritais bien. Et là elle s’est mise à me haïr. Et je me sentais tellement coupable, que je me suis dit qu’elle avait bien raison.

Je marque une pause un instant, le temps de laisser retomber la peine qui revient à la surface quand je repense à la mort de Romain.

- Et c’est en sortant de chez toi Charlotte que j’ai réalisé qu’il fallait que je me rachète auprès de Julie.

Après l’enterrement je suis allé chez elle lui faire une proposition un peu folle. Je savais qu’elle pourrait pas garder le logement qu’elle occupait sans le salaire de Romain, alors je lui ai proposé de venir vivre avec moi… elle a d’abord refusé à cause de ce que pourrait dire les gens, puis elle a fini par accepter. Ça fait maintenant un peu plus de 3 mois qu’elle a emménagé.

Alors que je m’attends à des remarques désapprouvantes, ils accueillent bien la nouvelle.

- Tu as bien fait Thomas. Même si tu n’avais aucune raison de te sentir coupable, me dit Charlotte. Et c’est pour ça que tu as tellement changé : tu es beaucoup moins arrogant et désagréable depuis un certain temps. Tu vois Pierre, je t’avais dit que la solitude le pesait…
- En fait, pas vraiment, lui dis-je. Je sais que vous le pensez tous, et vous avez raison : j’étais un vrai con… et oui la présence de Julie m’a fait changé. Mais pas comme vous le pensez. Je suis persuadé qu’il y a eu des jours ces derniers temps où j’ai été pire qu’avant le braquage…

Ils baissent les yeux et je prends ça pour une confirmation.

- Il y a un autre truc dont je voulais vous parler. Je suis tombé amoureux de Julie bien longtemps avant qu’elle ne vienne vivre chez moi… mais elle m’avait clairement fait comprendre que je n’avais aucune chance face à Romain. Et non, je vous rassure je ne l’ai pas fait assassiner, je suis pas fou à ce point…

Ils lâchent tous un petit rire.

- Quand j’ai proposé à Julie d’emménager, c’était réellement totalement désintéressé. De 1 je savais à quoi m’en tenir vis-à-vis de ses sentiments à mon égard, et de 2 ce n’était clairement pas le moment de la courtiser. D’ailleurs je n’ai plus jamais rien fait en ce sens. Mais de vivre à ses côtés, mes sentiments pour elle n’ont fait que grandir, et y a des jours où je devenais fou, et j’étais vraiment désagréable avec les gens autour de moi. Alors je m’en excuse. Et donc là où je veux en venir, c’est que aujourd’hui, après qu’elle aie fait le premier pas Julie et moi sortons ensemble.
C’est tout frais, mais on ne veut pas se cacher…

Charlotte me saute au cou, Pierre me félicite et Stéphane me répond un « je comprends mieux pourquoi tu as laissé tomber… » avant de me serrer la main.

En rentrant, je dis à Julie que j’ai tout raconté à l’équipe et elle est soulagée que ce soit fait.

Pour l’instant, on n’a pas envie que les choses aillent trop vite entre nous, déjà que la situation est assez inhabituelle puisque nous vivons déjà ensemble… du coup, pour faire comme un jeune couple normal, nous ne passons pas toutes nos nuits ensemble, chacun rejoignant sa chambre après nos ébats. On s’envoie des SMS alors que nous sommes parfois dans la même pièce pour faire comme si nous étions séparés jusqu’à la fois suivante…

- Thomas, téléphone pour toi, me dit Charlotte depuis l’autre bout du magasin.

Je traverse la boutique et prends le combiné avant de retourner remplir un de mes rayons.

- Magasin culturel bonjour, Thomas pour vous servir.
- Pour me servir, très intéressant… dit Julie.
- Coucou bébé. Comment ça se fait que tu appelles pas sur mon portable ?
- Je voulais que tu sois surpris en attendant ma voix. Ça se passe bien au boulot ?
- Oui. Tu avais quelque chose à me demander ?
- Je voulais juste que tu saches que je n’ai rien mis sous ma jupe cet après midi pour aller bosser et que j’ai très, mais alors très envie de toi, que tu fourres ton visage entre mes jambes, que tu mordes mon clito comme tu le fais si bien, que j’ai envie que tu me prennes dès que tu passeras le pas de la porte de la maison et que rien que de penser à tout ce que tu pourrais me faire, je suis toute mouillée…

Et elle raccroche avant que j’ai eu le temps dire quoique ce soit… me voilà bien fin, bandant comme pas possible au milieu du magasin… va falloir que ça redescende vite avant que les clients ne s’en aperçoivent. Mais cette fille est vraiment surprenante. Je l’imaginais pas capable de faire un truc pareil.


En ramenant le téléphone à Charlotte, j’essaie de penser à des trucs loin d’être bandant, mais rien n’y fait, ma queue ne redescend pas.

- Charlotte, faudrait que tu ailles en rayon à ma place, s’il te plaît. Je m’occupe de la caisse.
- Y a un souci ? Me demande-t-elle.

Et avant que je dise quoi que ce soit, j’entends Stéphane rire en passant derrière moi.


- Charlotte, pose pas de question, fais ce qu’il te demande, lui répond-il à ma place en riant de plus belle.

Il vient de me sauver la mise, parce que je sais pas comment je me serais sorti de ça…

Une fois qu’elle a contourné le comptoir, je prends sa place. J’en profite pour sortir mon portable et envoyer un SMS à Julie.

‘’ tu me chauffes et tu me raccroches au nez ?! Ce n’est pas très gentil ça… ‘’

‘’ ça veut dire que je vais être punie ? ‘’

‘’ je ne sais pas encore… ‘’

‘’ moi je pense que je mérite une bonne petite correction… ‘’

‘’ puisque c’est demandé si gentiment ! J’ai hâte de te corriger alors… et si tu savais comme j’ai hâte aussi de te sauter dessus, de t’arracher des fringues, de t’entendre jouir sous les assauts de ma langue et de ma queue en toi… t’imagines même pas dans quel état ton coup de fil m’a mis… ‘’

‘’ oh, j’imagine très bien et ça m’excite beaucoup… par contre j’ai pas mal de boulot. Je vais devoir te laisser. A ce soir ! ‘’

‘’ ça roule bébé, à ce soir… ‘’


Le reste de l’après-midi me semble être une éternité. J’ai à peu près réussi à calmer mes ardeurs, mais plus l’heure de la fermeture approche et plus je me sens à nouveau à l’étroit dans mon boxer. Au moment de fermer le magasin, c’est limite si je ne fous pas mes employés dehors.

- Mais Thomas, on n’a pas fini de tout ranger ni de nettoyer, proteste Charlotte.
- C’est pas grave, je viendrai plus tôt demain matin pour le faire.
- Ouais, si tu arrives à te lever en avance ! Me lance Stéphane qui lui semble avoir compris… ce qui n’est pas le cas de Pierre, Charlotte et Alex qui nous regardent interloqués.

- Allez, rentrez chez vous et profitez de votre soirée. Et toi aussi Steph, essaie de pas rater le réveil demain, j’ajoute en voyant Oriana l’attendre sur le parking.

Je ferme tout en quatrième vitesse et fonce à la maison.

Dans l’entrée, je fais voler mes chaussures tout en jetant mes clefs et mon téléphone dans le vide poches puis j’enlève mon t-shirt en arrivant dans la cuisine.

Julie est assise au bar, jouant sur son téléphone. Je passe derrière elle et pose mes mains sur ses hanches.

- Alors, je te la donne tout de suite cette fessée ou d’abord je m’occupe un peu de ta chatte ?

Aucune réaction, elle ne quitte même pas son téléphone.

- Bébé ? OK, visiblement tu fais la gueule… je t’ai dit, c’est le fait que tu me tiennes tête qui me fait bander, pas que tu fasses la tête…

Toujours rien…

- Et je peux savoir ce que j’ai pu faire depuis notre dernier SMS pour que tu boudes ?

Elle fait glisser une photo de moi avec une fille, derrière laquelle il est écrit : ‘’Thomas je t’aime, Lucie’’ sur le bar. Et je me prends une claque émotionnelle monumentale.

- Tu n’avais pas parlé de celle là…

L’autre soir, après avoir fait l’amour, on a parlé de nos vies sentimentales et sexuelles. Elle m’a dit être sortie avec 6 garçons avant de rencontrer Romain : 3 avec qui c’était du sérieux, 3 qu’elle a qualifié d’amour de jeunesse. Elle m’a également dit avoir eu 8 aventures sans lendemain et avoir fréquenté un de ses prof de lycée, âgé d’une quarantaine d’années, de manière non officielle et ce dans le but qu’ils s’envoient en l’air alors qu’elle n’avait que 17 ans et que c’est avec lui qu’elle a découvert la plupart des pratiques sexuelles qu’elle connaît.

De mon côté, je lui ai avoué n’avoir eu que 2 relations sérieuses, que j’avais pas mal cumulé les plans cul à une période et les coups d’un soir. Je lui ai également parlé d’Oriana, des raisons qui me poussaient à l’appeler, de la façon dont je l’ai traitée, qu’elle s’était attachée à moi et que j’avais coupé court à tout ça pour ne pas la faire souffrir. Devant son inquiétude à savoir si elle tenterait de revenir dans ma vie, je l’ai rassurée en lui disant qu’elle ne m’avait plus contacté depuis que je lui avais demandé de supprimer mon numéro, et qu’à ce que je savais elle passait du bon temps avec Stéphane.

- Premièrement, saches que j’apprécie moyennement qu’on fouille dans mes affaires, dis-je énervé.
- Je ne voulais pas fouiller : j’ai oublié mon chargeur de téléphone au travail, on a le même portable et je sais que tu ranges ton chargeur dans un des tiroirs de ta table de chevet, et je me suis trompée de tiroir.
- Dans ce cas excuse moi de t’avoir accusée. Et je ne t’en ai pas parlé parce que ce n’est pas une de mes ex. C’est ma sœur jumelle…
- Pourquoi tu ne m’as pas dit que tu as une sœur ?
- Parce qu’elle est décédée.

Elle semble se décomposer.

- Je suis désolée Thomas… je voulais pas…
- T’inquiète bébé, j’aurai du t’en parlé, ça aurait été plus simple. Mais c’est un sujet que je n’aime pas abordé. J’ai perdu une partie de moi-même ce jour-là.

Je vois qu’elle n’ose pas poser la question que tout le monde se pose dans ces cas là.

- Elle a été tuée par son mec… et s’il ne s’était pas pendu après l’avoir étranglée, je l’aurais tué de mes propres mains ce connard.
- C’est arrivé quand ?
- Y a un peu plus de 3 ans, elle avait tout quitté ici pour s’installer avec lui dans une autre région, elle semblait heureuse. Mais on appris par la suite qu’il se défonçait à la cocaïne, et qu’elle faisait tout pour qu’il décroche. Visiblement un jour il n’a pas supporté qu’elle essaie de l’empêcher de sniffer et il l’a étranglée. Une fois le trip passé il a réalisé ce qu’il avait fait. Il a gribouillé quelques mots sur une feuille pour expliquer son geste et s’est pendu dans la cave…

Pendant que je lui racontais tout ça, Julie s’est tournée sur son tabouret et s’est blottie dans mes bras.

- J’imagine même pas comme ça du être difficile pour toi…
- J’ai littéralement pété un plomb : on était tellement proche et je lui en voulais de ne pas s’être confiée à moi et je m’en veux de ne pas avoir vu que quelque chose n’allait pas… je suis rentré dans une période un peu auto destructrice. J’étais en train d’ouvrir mon magasin, et avec le stress et le choc je suis devenu un vrai connard. Je m’en prenais à tout le monde. Je sortais tous les soirs, me mettant des races à coup d’alcool, j’ai eu une période où je sautais tout ce qui bougeait. Et un jour mon père m’a pris entre 4 yeux et m’a fait comprendre que si je n’arrêtais pas les conneries ou que je rentrais en ayant foutu une nana en cloque, il arrêterait de me prêter de l’argent pour finaliser le magasin. Alors je me suis calmé sur les sorties et les filles, mais j’étais toujours autant désagréable. Et puis tu es entrée dans ma vie, avec tes piques assassines sur ma façon de me comporter et tu m’as fait changer.

Elle me sourit et je l’embrasse tendrement.

- Par contre, le contexte est plus vraiment top pour te sauter dessus là…

Elle se redresse et murmure à mon oreille.

- Pourtant je n’ai toujours pas de petite culotte, et j’ai vraiment été une vilaine fille à t’allumer comme ça, et en plus j’ai fouillé dans tes affaires.

Elle passe sa main sur mon entrejambe en disant cela. Je la soulève et la pose sur le plan de travail de la cuisine. J’ouvre doucement les premiers boutons de son chemisier puis je m’enflamme.

- Oh va chier, je t’en paierai un autre… dis-je en faisant sauter les autres. J’en peux plus d’attendre pour sentir ton corps…

Je constate alors qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge non plus.

- Et en plus tu vas bosser sans soutif…

Je l’embrasse et ma langue va chercher la sienne, alors que ma main droite remonte le long de sa cuisse pour trouver sa chatte humide. Je me mets à genoux devant elle.

- Assieds toi bien au bord et écartes les jambes bébé…

Elle s’exécute aussitôt et je fourre mon visage dans son intimité.

- Attends un instant… me dit-elle.

Je me recule un peu et je la vois tendre la main vers le distributeur de glaçons du frigo tout proche. Elle en prend un et me le met dans la bouche, un sourire coquin aux lèvres.

Je reprends alors là où je m’étais arrêté, laissant ma langue glisser autour de son clitoris maintenant accompagnée du glaçon.

- Oh oui, dit-elle à 2 doigts de jouir.

Je retire alors ma bouche de sa chatte pour embrasser sa cuisse.

- T’es sadique bébé ! Proteste-t-elle.
- Pas du tout, ce n’est que le début de ta punition ma puce.

Et je suce à nouveau son clitoris. Quand elle est sur le point de jouir, je glisse 3 doigts en elle et elle crie son plaisir en tirant mes cheveux.

Je me relève et l’embrasse avec le glaçon pour qu’elle se goûte. Elle veut me le prendre mais je refuse.

Je l’att par les cheveux et les tire en arrière pour qu’elle tende son cou. Je fais glisser le glaçon le long de ce dernier avant de le passer sur ses seins, m’attardant bien sur ses tétons pour les faire pointer. Elle gémit de plaisir.

- J’ai envie que me prennes bébé… dit-elle alors que je mordille ses seins.
- Quand on est une vilaine fille comme toi, on n’a pas d’exigence, je lui réponds en souriant.

Elle entreprend alors d’ouvrir mon jeans.

- Pas touche, je lui dis en lui donnant une tape sur la main.
- Allez, s’il te plaît, dit-elle en insistant.
- Arrête ou je te fais mal ma puce…

Comme pour me défier, elle essaie à nouveau d’accéder au bouton de mon pantalon. Je lui pince alors fermement un téton et elle pousse un petit cri se plaisir.

- Tu attends que ça en fait… puisque tu as tellement envie d’être punie…

Et je la balance sur mon épaule pour la monter dans ma chambre. Je la pose debout devant mon armoire et ouvre la porte fenêtre de la terrasse. Je prends ensuite mon matelas et le mets dehors.

- Tu n’as pas perdu la tête là ?
- Absolument pas, lui dis-je en portant à nouveau sur mon épaule. Il fait beau et chaud, le soleil est en train de se coucher ce qui nous donne une vue magnifique, et c’est un toit terrasse avec aucun vis-à-vis. Alors c’est là qu’on va s’envoyer en l’air.
- Mais on peut nous entendre…
- J’en ai absolument rien à foudre que les gens savent qu’on baise …

Je la porte et l’allonge sur le matelas et ouvre la boutonnière de mon jeans avant de me mettre au-dessus d’elle pour l’embrasser. Je lui retire ensuite sa jupe et son chemisier.

- Mets toi à 4 pattes maintenant.

Elle me sourit avec gourmandise et me tend son cul avec impatience.

- Ça c’est parce que tu me chauffes alors que je suis un boulot, dis-je en lui mettant une première fessée bien bruyante, et elle gémit de plaisir. Celle là c’est parce que tu sors sans sous-vêtements.

Et je lui en donne une deuxième, elle gémit davantage.

- Et ça c’est parce que tu me tiens tête et que ça m’excite énormément …

La troisième claque encore plus fort et elle me tend une nouvelle fois ses fesses. Je sors ma queue de mon jeans et, la saisissant par les hanches, m’enfonce en elle brutalement.

- Oh oui, vas-y, souffle-t-elle. J’aime quand tu perds le contrôle.

Et je la pilonne violemment jusqu’à la faire jouir.

- Allonge toi sur le dos, me demande-t-elle.

Elle s’agenouille au-dessus de moi et se laisse glisser très lentement le long de ma queue. Elle prend mes mains et les pose sur ses seins. Pendant que je les caresse et les pince, elle ondule sur moi et caresse la base de ma queue. Je finis par jouir en elle en poussant un râle de plaisir.

Elle se laisse tomber à côté de moi et pose sa tête sur ma clavicule. Elle joue avec les poils qui partent de mon nombril jusqu’à mon pubis du bout de son index. Puis elle passe ses doigts sous l’élastique de mon boxer.

- Tu en veux encore ma puce ? Gourmande !

J’enlève mon jeans et mon boxer et Julie saisis ma queue bien en main pour me branler. Quand je commence à durcir à nouveau, elle me prend en bouche.

Après quelques minutes, elle me demande de m’allonger sur le côté et fais de même devant moi, frottant ses fesses contre mon gland.

- Et dis moi bébé, l’anal ça te botte ou c’est pas trop ton truc, demande-t-elle en plaçant ma main près de son petit trou…

En guise de réponse, je le titille avec mon index. Aussitôt elle tend les fesses vers moi et j’enfonce mon doigt. De ma main libre, je joue avec sa poitrine alors qu’elle se caresse la chatte, ondulant contre moi.

- Prends moi, chuchote-t-elle.

Elle se met à 4 pattes devant moi et je la pénètre doucement.

- Serre les jambes et allonge toi ma puce.

Je passe mes jambes à l’extérieur des siennes et elle fait ce que je lui ai demandé, et mon corps suit le sien pour que je retrouve presque allongé sur elle.

Je passe ma main droite sous elle et lui caresse la chatte tout en allant et venant dans son petit trou. Entre les câlins d’avant et de me sentir si serré dans son cul, je ne vais pas tenir longtemps avant de jouir.

Elle ondule sous mes caresses et jouit rapidement. Je me retire alors et me termine à la main sur ses fesses.

- Bouge pas bébé, je vais chercher de quoi t’essuyer.

Je file à la salle de bains prendre les lingettes et j’ai une lumière.

- Dis ma puce, elle est où la petite au fait ?
- Elle chez ma meilleure amie , sa marraine. Ça fait des mois que je ne l’avais pas vu, et Rosi aussi par conséquent. Je m’étais beaucoup renfermée quand Romain est mort. Et quand on a décidé de se mettre ensemble toi et moi, j’ai eu envie de partager ça avec elle. J’avais peur qu’elle m’en veuille mais elle a été très compréhensive. Et elle garde Rosi jusqu’à demain soir..
- Toute une nuit avec toi, pas de stress au matin pour préparer le biberon ? Je suis le plus heureux des hommes.

Je l’embrasse doucement et vais chercher une couverture. On s’installe dans les bras de l’autre et on profite de la fin du coucher de soleil avant de réinstaller le matelas dans ma chambre.

Quand je me réveille au matin, Julie n’est plus dans mon lit mais j’entends l’eau dans la douche. J’entre dans la salle de bains discrètement et me faufile sous la douche pour la surprendre.

- Bonjour Monsieur Manelli, vous êtes bien en forme à ce que je sens, dit-elle en se collant à ma queue.
- C’est vous qui me mettez dans cet état, Madame Gellati.

Elle passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse.

- Je te dis pas le nombre de fois où j’ai eu envie de défoncer cette porte pour te rejoindre dans la douche depuis que tu as emménagé ici…
- Et si tu me montrais ce que tu m’aurais fait…
- J’en meurs d’envie bébé, mais ça va être du rapide pour ce matin, je suis déjà en retard…

Et je la plaque contre le mur de la douche et la pénètre. Je passe ma main sous ses fesses pour la soulever et elle passe ses jambes autour de ma taille. J’en profite pour lui enfoncer 2 doigts dans le cul. Elle jouit rapidement et je gicle à mon tour.

Je la repose et att mon gel douche.

- Désolé ma puce, c’était du vite fait mais faut vraiment que je me dépêche.
- J’aime bien aussi un coup rapide de temps en temps. Et on se rattra.

Je me lave rapidement et fonce au boulot.

Je termine le rangement des commandes et entreprends de nettoyer les vitrines, mais je meurs de faim. Je prends mon téléphone et envoie un SMS à Stéphane qui commence une demie-heure avant les autres.

‘’ tu crois que tu peux passer me prendre un petit dej à la boulangerie en venant ? Si oui, prends en un pour toi aussi, c’est moi qui paie, utilise la carte bleue du magasin ‘’

‘’ pas de prob boss ‘’

Il arrive 20 minutes plus tard avec 2 cafés, 2 demies baguettes et un assortiment de confitures. Je me régale déjà.

- Laisse tomber la mise en place aujourd’hui, je l’ai déjà faite. Installe toi avec moi et prends le temps de manger.
- Le réveil a été dur ce matin patron ? T’as pas eu le temps de manger ?
- J’ai rien mangé depuis hier midi. J’avais d’autres projets hier soir, mais ça tu t’en doutais déjà, je lui dis en souriant. Et ce matin je n’ai eu aucun problème pour me lever, mais j’étais trop occupé pour manger.
- Ben dis donc, elle cache bien son jeu la petite Julie.
- Et toi, visiblement tu n’as pas beaucoup dormi cette nuit…
- J’avoue… Oriana est insatiable. Et elle fait des miracles avec sa bouche !
- Tu prêches un convaincu ! C’est vraiment un bon coup cette fille. Mais c’est surtout une gentille fille. Et du coup, vous deux, c’est un coup de temps en temps ou c’est plus sérieux ?
- On en a pas vraiment parlé, mais je pense que c’est plus qu’un plan cul : on s’envoie des messages dans la journée, on fait des sorties, et on se voit tous les jours.
- Je sais que je te l’ai déjà dit, mais si elle s’attache à toi, ne joue pas avec elle. Moi j’aurais du tout arrêter plus tôt, dès que j’ai compris qu’elle en voulait plus. Mais j’ai été salaud, je me suis servi d’elle pour passer ma frustration.
- Ce n’est pas dans mes intentions, Thomas, je t’assure.

Charlotte et Pierre arrivent en même temps.

- Ah ben y a en a qui se la coulent douce, dit Pierre en riant.
- Pour une fois que j’encourage un employé à rien foutre, je réponds en souriant. J’ai fait la mise en place ce matin, et j’avais la dalle alors il a ramené les petits dej. Mais faudrait qu’on s’en prenne un tous ensemble à l’occas’. J’ai conscience que j’ai pas toujours été le plus sympa des patrons. On est une équipe, on tous à peu près le même âge, autant en profiter pour que ce soit cool entre nous. Mais comme je reste votre patron, au boulot maintenant, on ouvre dans 5 minutes.

C’est une journée calme, je reste au bureau pour bosser sur l’ouverture de mon prochain magasin qui a pris du retard.

En début d’après-midi, je confie le magasin à Stéphane.

- Je ne sais pas à quelle heure je reviens, ni si je reviens.

Je me rends au cabinet comptable où travaille Julie.

- Bonjour, il faudrait que je vois madame Gellati , s’il vous plaît, c’est urgent, dis-je à la réceptionniste.

Elle semble inexpérimentée, elle ne demande même pas qui elle doit annoncer. Elle se dirige vers un bureau, dit quelque chose à la personne qui s’y trouve puis reviend vers moi.

- Suivez moi, elle va vous recevoir.

Je la suis dans le bureau et Julie me souris.

- Referme la porte derrière toi, Marie. Merci.

La jeune femme s’exécute et Julie se lève de son bureau pour se jeter à mon cou.

- Mais qu’est-ce que tu fais là ? Me demande-t-elle.
- J’avais envie de te voir et envie de toi aussi… et c’est trop long d’attendre jusqu’à ce soir.

Je me recule pour la regarder.

- Tu sais que tu es hyper bandante en jupe tailleur. Ça fait maîtresse cochonne !

Elle commence à ouvrir les boutons de ma chemise et je relève sa jupe. Elle ouvre mon jeans et le baisse légèrement ainsi que mon boxer pour libérer ma queue, puis elle me pousse sur sa chaise avant de se mettre à genoux devant moi et de me sucer.

- C’est très excitant le cliché de la secrétaire qui passe sous le bureau pour sucer le patron…

Je finis par lui demander de se relever.

- Tourne toi et penche toi sur le bureau.

Elle pose son buste sur le bois du meuble. Je lui enlève sa petite culotte et la pénètre par le petit trou. Je l’encule lentement pour faire durer le plaisir. A chaque fois que je m’enfonce en elle, elle contracte les fesses, me serrant encore plus la queue, et me procurant un plaisir divin.

Puis je me retire et m’enfonce dans sa chatte, tout aussi doucement que je ne l’ai fait dans son cul avant. Mais visiblement, ce n’est pas ce dont elle a envie.

- Fais moi mal bébé, me supplie-t-elle.

Je la saisis par les hanches et donne de grands coups de rein, m’enfonçant au plus profond d’elle jusqu’à éjaculer.

On se rhabille et je m’assieds sur sa chaise de bureau, l’attirant à moi pour qu’elle se mette sur mes genoux. Je la serre contre mon torse. J’ai encore parfois du mal à réaliser qu’on est ensemble. Elle m’a rembarré tellement de fois que j’avais par ne plus y croire.

- Ne prépare pas à manger pour ce soir, je m’en occupe en rentrant, je lui dis.
- Tu essaieras de pas foutre le feu à l’appartement cette fois, répond-elle en riant.
- Promis ma puce. Et dis moi, ce week-end, ça te dirait qu’on aille tous les 3 chez mes parents ? J’aimerais leur dire au plus vite toute la vérité sur nous 2 et j’ai hâte qu’ils rencontrent Rosi.
- Ben écoute, j’ai rien contre, mais Stéphanie m’a déjà demandé si elle pouvait prendre la petite pour le week-end. Mais on peut y aller tous les deux.
- Tu crois que si je vais chercher Rosi en fin de matinée dimanche, ça la gênera ?
- Non, je suis sûre qu’elle ne sera pas contre.
- Ça marche, j’appelle ma mère après. Allez, j’y vais, je vais te laisser travailler. Moi je vais en profiter pour aller à la salle de sport.

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