Collection Salopes. La Faute À Ma Voiture (2/2)

J’ai l’impression d’être devenue une belle salope quand je suis devant Arsène au moment de rentrer dans notre Jacuzzi et que je le fais nue en l’absence des jumelles.
Même si c’est après un problème électrique du moteur de ma voiture devant le parking du supermarché, ou je me suis caressé devant plusieurs voyeurs en leur montrant mes seins et en me caressant le clitoris
Ils semblent être-là souvent, ce ventant même que la plupart des soirs, ce sont les maris qui amènent leur femme pour qu’elles se fassent baiser devant eux.
Je sais que sur cette terre, bon nombre de perversions existent.
Aux urgences, l’autre nuit, une femme a été amenée avec un morceau de concombre coincé dans sa chatte.
J’ai aidé Gilles, le médecin de garde après qu’il soit allé chercher un écarteur vaginal pour arriver à le récupérer.
Les femmes sont des salopes, mais les hommes sont quelquefois eux aussi dans des drôles de situations.
Je savais que les animaux surtout les chiennes pouvaient rester collés, ces deux-là l’était aussi, par la verge dans l’anus de l’autre.
Une piqure décontractante a fait débander celui qui misait, libérant le miser.
Les pompiers qui nous les ont amenés en rigole encore quand ils viennent nous amener d’autres personnes souvent des accidents de la route.
En m’exhibant, j’ai fait une bêtise, il est sûr que cela aura été la seule fois.
Espérant que mon cerveau oubliera les verges que j’ai vues sur ma vitre et mon pare-brise, je suce Arsène avant de jouir en me plaçant en levrette sur l’un des sièges de notre Jacuzzi.
Il est plus d’une heure du matin quand j’entends les filles rentrer.
Demain matin, elles seront parties avant moi, je devrais avoir une conversation avec elles pour leur rappeler leurs promesses.

Je me lève à 10 heures, je suis seule.
J’impose aux jumelles de faire leur chambre, je dois faire la mienne et partir pour mon service d’après-midi.


Je passe devant le supermarché qui grouille de monde, les masturbateurs sont bien loin de sévir.
La journée me paraît longue, je suis certaine que ce soir lorsque je rentrerais, je passerais tout droit et je remiserais l’épisode d’hier comme un doux moment bien caché au fond de ma cervelle.

Cinq cents mètres, je vois le panneau « Centre commercial », mais je continue sans lever le pied.
Arrive, la bretelle, un coup d’œil dans mon rétro et au risque de partir dans les décors, je tourne le volant en freinant et j’entre sur le parking.
J’avance, trois voitures des mecs discutant en fumant.
Je m’arrête à leur hauteur.

• Je vous avais dit qu’elle reviendrait, elles reviennent toutes quand elles ont goûté au grand frisson.
Je vous avais dit que c’était une frustrée de la chatte.

J’ai envie d’ouvrir ma fenêtre pour leur dire qu’ils se trompent, qu’hier après eux, mon mari m’a honoré dans mon Jacuzzi et que nous avons pris bien du plaisir.
L’un d’eux se met dans mes phares et me sort sa verge, je coule littéralement.
De moi-même je sors mes seins les montrant aux deux autres chacun d’eux se plaçant à hauteur de mes fenêtres avant.
Trois bites, rien que pour moi bien protégé dans mon habitat bien fermé en sécurité, le voyant de blocage est allumé.

• Soit gentille, descend ta fenêtre et suce-moi la bite, si tu t’es arrêté c’est que tu en avais un besoin impérieux.

Ma main fait mouvement vers le bouton d’ouverture.
J’ai fait de l’effet aux trois bites qui sont tendues magnifiquement.
Putain, je suis capable de faire bander trois types en même temps.
Ma main qui s’était arrêtée reprend, sa course et mon doigt appuie instinctivement sur l’ouverture.
La vitre descend, une première verge se tend à quelques centimètres de mon visage entièrement à ma disposition.
Dans un premier temps, je me recule pour rapidement avancer en ouvrant ma bouche.

Je commence ma première fellation à un autre homme que mon mari.
Je sors ma main et je le masturbe tout en pompant.
J’arrive à mes fin prête à repartir, mais ma bouche remplie, la deuxième prend sa place.
C’est là que j’entends une phrase prononcée par le troisième.

• Dépêche-toi de te vider dans la gorge de cette salope, je suis sûr que, demain on la reverra, les trois petites pétasses en Piaggio vont arriver.

Et il ajoute.

• Souvenez-vous qu’hier elles nous ont promis de nous offrir leur cul.

Des Piaggio, ce que m’a dit Arsène de mes filles hier, parti avec une copine elle-même sur ce type d’engin, me remonte au cerveau.
Je me recule recevant le sperme du garçon sur le visage et dans ma bouche.
J’embraye et je démarre avant que le troisième ait le temps de venir au contact.
Je ressors du centre commercial jusqu’au rond-point suivant.
J’ai dans l’idée de rentrer à la maison pour voir si les jumelles sont là et couchées.
Des filles sur des Piaggio il y en a des dizaines alors je continue à tourner jusqu’au panneau me permettant de retourner de là ou je viens.
Je connais les accès et il est possible de rentrer par l’arrière du Super U.
Je fais la manœuvre et coupant mes phares, grâce à mon moteur électrique silencieux je m’approche pour voir les voitures.
Plus de phares, dans la nuit sans lune, ils doivent être partis.
Je m’aperçois que j’ai plein de sperme sur mon visage, ça commence à sécher.
J’ouvre ma boîte à gants, merde la lampe s’allume, j’en sors un paquet de mouchoirs en papier refermant rapidement.
Rien, un bout de cigarette rougissant, ils sont là attendants, je commence à me nettoyer.
J’ouvre ma fenêtre pour le jeter quand un bruit de moteur de Mobylette se fait entendre.
Les phares des trois voitures s’allument et je vois nettement les trois hommes en descendre et jeter leurs cigarettes.
Hélas, ce sont bien mes filles et leur copine qui arrivent.

Je dis bien mes filles, nul doute, deux identiques ce sont mes jumelles.
Avant que je comprenne, elles enlèvent leurs casques et chacun des garçons les embrasses.
Je suis assez loin et assez rapprocher pour entendre.

• C’est bien, vous êtes de parole, passons aux choses sérieuse, vous savez tenir votre promesse.

Je vois les filles descendre de leurs engins.
Les hommes, car ils sont, loin d’être des gamins, sortir leurs bites dont j’ai encore le goût et des traces dans ma bouche et sur moi.
Mes filles commencent à leur faire une fellation.
Je vais pour les rejoindre pour casser ce jeu malsain, certes, elles ont la majorité sexuelle et savent certainement à quel jeu elles jouent.
D’un coup je réfléchis que je suis moi-même piégée, car si je m’approche, ils me feront passer pour une salope, mon chemisier jouant contre moi.
C’est vrai, je suis une salope et j’agis en salope.
Hier, mon moteur et le réseau semblait mort, là il fonctionne.
Je tape « 18 ».

• Allo la police ?
• Bonjour, pour qu’elle raison nous appelez-vous ?
• Trois hommes sont en train d’agresser trois jeunes mineurs sur le parking du Super U.
• Nous avons une patrouille à moins de cinq minutes, nous l’envoi...

J’ai déjà coupé, j’ai vu des films où les truands coupaient pour éviter d’être repéré.
Inutile que la police vienne me demander pourquoi moi-même j’étais là.
Une phrase tourne en boucle dans ma tête.
« Elles nous ont promis de nous offrir leur cul. »
Elles les sucent déjà, mais j’ai une chance de sauver leur vertu.
J’ai envie de vomir, je vois mes filles sucer des hommes et je suis dans l’incapacité d’intervenir.
J’ai peur que la police arrive en retard comme la cavalerie dans les westerns et voir mes filles couchées sur le capot des voitures se faire enfiler.
Si ça se produit, je me découvre et je crée l’irréparable pour moi.
Ouf, j’entends une sirène et le gyrophare de la police.

Je sais, je viens de livrer mes filles et leur amie à la police, mais j’ai sauvé leur vertu.
Je repars aussi discrètement qu’au moment ou je me suis approchée.
À la sortie du rond-point où j’ai fait demi-tour, je croise, une première voiture de police toute sirène hurlante et vite suivie d’une deuxième.
J’arrive chez moi, je me gare et j’entre.
Comme hier, notre jeu lui ayant certainement plu, je me laisse entraîner dans notre Jacuzzi.

• Tu as les traits tirés, tu rentres bien tard, mais merci de venir passer un petit moment avec moi ma chérie.
• Je suis en retard, car Sylvie une de mes collègues a eu une panne de voiture, c’était une panne d’essence, son mari est venu la dépanner.
J’étais la seule sans s en bas âge, c’est moi qui ai attendu une heure qu’elle arrive.

J’ai les traits tirés, car je dois avoir du sperme sur les joues et ma collègue si Sylvie existe bien, comment pourrait-il savoir qu’elle était à l’heure.
Je me dénude et je rentre dans l’eau plongeant la tête pour me redonner une apparence humaine avant qu’Arsène me pose des questions embarrassantes.
Il est dans l’eau m’ayant rejoint quand mon portable posé avec intention sur la table de la véranda sonne.

• Les filles sont dehors !
• Oui, elles sont parties avec la jeune fille d’hier.
J’ai pris des renseignements, c’est la fille du médecin, député-maire de la ville voisine, ils habitent comme nous à l’autre bout du lotissement.
• Va répondre, je suis inquiète.

Il y va, je suis vraiment cette salope que je voudrais avoir évité d’être, mais si j’étais rentré sans bifurquer vers ce maudit parking, mes filles auraient été livrées à ces hommes sans scrupule.

• Pardon, nos filles sont aux commissariats.
Quoi, pour actes sexuels sur la voix publique.
Nous arrivons.
Oui, je sais où se trouve le commissariat.

Il raccroche.

• Tu vois je te l’avais dit, ai-je bien entendu ?
• Oui, c’est impensable.
• Dépêche-toi le temps de me sécher et de me préparer, tu serais déjà presque arrivé auprès d’elles.

Moins de trente secondes pour me mettre à nu, il m’en faudrait tout autant pour me rhabiller, mais j’ai peu d’envie que les mecs reconnaissent la femme qui s’est exhibée et qui en a sucé deux d’entre eux.
C’est devant la maison que j’attends qu’ils arrivent.
Il est plus de trois heures quand les phares et le bruit des moteurs se font entendre.
Vite, elles sont devant moi.

• Allez rentrer vos engins dans le garage et apportez-moi les clefs.
Allez prendre votre douche et vous coucher, votre père et moi vous donneront les sanctions que nous avons prévues comme punissions.
Lorsque vous vous retrouvez au commissariat pour relation sexuelle sur la voie publique, à votre âge, vous allez vous en souvenir.

Elles s’exécutent la tête basse et de mon côté, je sauve ma peau.
Plus de questions, nous arrêtons là nos jeux et nous allons nous coucher. !

Voilà, j’ai sauvé ma peau et la vertu de mes filles.
D’ailleurs à quoi ça tient, une panne inexplicable d’un moteur électrique.
Au matin les sanctions, pour nous, sont tombées.
Plus de Piaggio jusqu’à leur majorité.
Suivant nos horaires Arsène ou moi les conduisons à leur lycée.
Bien sûr, plus de sortie le soir sauf si c’est avec nous.
Du côté de la police, les hommes ont eu de la chance, les filles étaient consentantes.
Mais sans le vouloir, c’est grâce à Pauline, la troisième étant fille du député-maire que tout c’est arrangé, sans vague.
Son père a préféré que les filles évitent de signer une déclaration, comme elles l’avaient faite verbalement, qu’elles allaient faire un acte sexuel sur la voie publique avec ces hommes.
Le procureur a étouffé l’affaire.

Je rentre du boulot, je passe ralentissant seulement, car après la bretelle allant vers le supermarché, le rond-point est vite là.
Je me gare devant chez nous, voyant les travaux de la piscine qui ont commencé.
L’été prochain, Arsène et moi nous lèveront un peu les sanctions.
Les filles pourront inviter des copains autour et faire des booms.
Sur le devant de la véranda, nous avons fait installer une caméra bien discrète, nous permettant de suivre ce qui se passera à l’extérieur.
Une dernière chose, le député-maire étant médecin, nous avons sympathisé et il a examiné les filles.
Ces folles allaient se faire baiser sans capote et sans contraception.
Nous pouvons contrôler beaucoup de choses, mais par précaution, elles ont une plaquette de pilules dans leur sac à main ainsi que des capotes.
Et moi, est-ce que je me sens coupable ?
Une salope peut être, mais seulement avec Arsène dans la piscine dès qu’elle est en fonction ou dans le Jacuzzi.

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