Collection Candaulisme. Vitre Bloquée (2/2)

C’est grâce à un chantage que je réussis à changer le cours de notre vie à Alice et moi, depuis dix ans que nous sommes mariés, je ronge mon frein, car nos rapports sexuels s’ils sont réguliers sont toujours très monotones.
Toujours dans le noir et toujours dans la position du missionnaire.
J’ai un gros avantage, je suis seul à faire bouillir la marmite et je sais qu’elle serait incapable de s’assumer seule, elle a toujours été sous la coupe des uns ou des autres, entre ses parents et moi.
Ses parents qui gardent Lionel, notre fils pendant chaque vacance scolaire près de Bordeaux, notre fils adore jouer sur la plage même en hiver.
Lors de sa naissance, j’ai eu une réaction bizarre quand j’ai vu le praticien devant la chatte de ma femme, en moi, j’ai ressenti l’envie qu’elle soit exposée à tout instant à des situations scabreuses.
Il y a peu, je lui annonce mon envie de divorce, sa réaction est celle que j’attendais, elle accepte tout ce que je veux lui proposer, baiser dans les chiotes de notre supermarché ou sucer des bites au fond du bois ou je l’ai conduite.
Elle est telle que je l’ai toujours connue, quand je lui demande de s’agenouiller sur le siège arrière et que je lui fais sortir la tête, je ferme la vitre la bloquant et par le rétro, je vois de nombreuses bites se servir de sa bouche comme s'ils la prenaient pour une vide couille.
Quand un grand noir décharge dans sa bouche, son sperme dégoulinant tellement il lui en fourre dans l’estomac, je démarre la voiture et dès qu’Alice est hors de portée de ces hommes, c’est moi qui monte à l’arrière me satisfaire.

• Que fais-tu, je sens ton gland là où il ne faut pas, non chéri, regarde, j’ai fait tout ce que tu me demandais de faire, je croyais avoir récupéré ta confiance ?
• C’est vrai, te voir te faire remplir la bouche par tous ces hommes m’a apporté la plus grande joie de ma vie hors la naissance de notre fils.
• Tu dis ça et tu es resté stoïque, tu n’as même pas regardé, surtout le noir, j’ignorais qu’il pouvait y en avoir d’aussi grande et grosse.


• Bêtasse, mon plaisir, c’est de te regarder faire ce que tu refusais de faire avant que je prenne notre couple en main, crois-tu à quoi sert un rétroviseur, je n’ai pas perdu une miette de ce que tu as fait avec ta bouche.
Tu as toujours la tête bloquée, pourquoi me priverais-je de t’enculer, de toute façon le processus que nous avons engagé est irréversible, prend en compte que tu es entièrement soumise à celui qui te donne à crouter et que ce que tu as fait ce soir n’est que le début d’un long chemin qui va faire de toi ma chienne lubrique.
Je débloque ta tête, tu peux sortir de la voiture et partir, mais ce sera définitif, à ce jour, je t’ais donné tout ce que tu as eu besoin ainsi qu’à ton fils, il est loin d'être sûr que tu trouveras un couillon comme je l’étais jusqu’à ce jour.
Il est presque sûr qu’il ne te restera que la prostitution, les escortes gagnent bien leur vie avec leurs clients, mais dans tous les cas elles doivent s’allonger pour se faire enculer avec les risques que cela comporte, car elles sont seules avec leurs clients.
Regarde dans les journaux, des femmes agressées sexuellement il y en a tous les jours.
• J’ai compris mon chéri, tu peux me prendre par l'anus.

J’ai entièrement gagné, mon gland entre doucement au début et dès que j’ai atteint le fond de ses intestins, je lui donne de grands coups.
Heureusement que l’on est à la sortie du bois, ses cris sortant par la vitre ouverte les mains accrochées à la portière se perdre dans la nuit.
Quand je décharge, une nouvelle fois, je sens le frisson partant de la base de mon dos deux fois plus fort que celui que j’ai ressenti précédemment.
De retour chez nous, je l’aide à entrer dans son bain, je lui ai préparé avec tout l’amour que je lui porte surtout depuis qu’elle fait tout ce que je lui demande de faire.
Pendant les heures qui suivent, nous baisons comme nous ne l’avons jamais fait, ce qui me plait, c’est qu'aucune fois, la lumière ne s’éteint, nous baisons même dans la journée, ce qui ne nous arrivait jamais auparavant.

Trois jours plus tard, c’est maman qui raccompagne notre fils, il nous saute au cou sans savoir que ses parents sont passés près de la rupture, si je n’avais pas trouvé mon plaisir depuis ce que je lui ai fait faire au fond du bois.

• Alice, vous êtes radieuse, c’est la première fois depuis que mon fils nous a présentés que je vois votre œil briller, c’est bon de se retrouver en couple sans avoir besoin de s’occuper des s, avec votre beau-père, nous n’avons jamais eu ce genre de retrouvailles.
• Maman, votre fils sait me rendre heureuse, j’ai épousé une perle, vous l’aviez très bien élevé.

J’ai envie de lui dire que ce changement est dû au chantage que je lui ai fait, qui aboutit à cette transformation, car nous avons profité du dernier jour seul pour faire les boutiques et changer sa garde-robe austère.

• J’adore ton ensemble, mais dis-moi, tu as raccourci la longueur de ta jupe.
• Je vieillis, maman, la longueur de mes affaires doit me permettre de rester jeune.
• Je te comprends, j’ai eu le même cheminement, hélas, on est très vite rattrapé par la vie, il faut profiter de tous les moments de plaisir, j’irais même plus loin Lionel ayant rejoint sa chambre, il faut savoir rallumer la flamme avec son mari.
Mais je connais mon fils, je suis sûr qu’il sait la maintenir toujours allumée.

Maman est arrivé ce vendredi et repart lundi matin en fin de matinée.
Le samedi matin, elle m’annonce une chose me montrant le chemin qu’elle a parcouru.

• Mon cœur, je viens de demander à ta maman si elle pouvait garder Lionel ce soir, je lui ai dit que tu voulais m’emmener au restaurant pour fêter un souvenir qui ne regarde que nous.
• Un souvenir, tu t’avances.
• Non, je me suis bien gardée de lui dire que c'étaient les huit jours depuis que, tu as mis à jour ma vraie nature, crois-tu qu’elle aurait accepté de savoir que sa bru est une grosse salope.
• Grosse ma chérie avec ta taille de guêpe.

• Tu dois bien avoir en réserve une soirée telle que celle que tu m’as fait vivre au fond de ce bois.
• Bien, sur, mais ce sera un cran au-dessus de ce que tu as fait, es-tu prête à vivre un tel moment ?
• Je veux que notre couple soit en pleine harmonie, j’ai compris que tu aimes me voir dans des situations insolites, grâce à toi, j’ai découvert que j'aime les vivre.
• Départ vingt heures.
• Ma chatte à l’air, je vais aimer être dans une salle de restaurant à diner avec toutes les bourgeoises présentes ne sachant pas quel mari hors norme j’ai épousé.

Le restaurant se passe très bien, je sens qu’elle place sa jambe sur le côté, espérant que c’est moi qu’elle aguiche.

• Je ressens ce que tu as comme plaisir à m’exhiber, je viens d’écarter mes cuisses et un homme en face de nous voit ma chatte, mon chéri, je mouille.
• Ne bouge pas, je vais aux toilettes, je veux voir ce qu’il voit.
• Dépêche, je vais mouiller les chaises recouvertes de velours.

Je passe près de l’homme qui essuie sa bouche et recule sa chaise, il me rejoint à l’étage inférieur.

• C’est votre femme !
• Oui, pourquoi ?
• C’est une jolie salope, comment êtes-vous arrivé à ce résultat, la mienne est rigide du cul.
• C’est facile, elle peut s’assumer financièrement.
• Non.
• Vous faite comme-moi, dite lui que vous divorcez, ça a marché avec la mienne, je vais l’emmener se faire baiser dans un bois que je connais et où je vais la livrer à toutes les verges qui se proposeront.
• Dommage que notre couple soit en retard sur le vôtre, je vous aurais bien accompagné.
• Un jour peut-être nous nous retrouverons et que votre couple aura fait sa mue,
• Voici ma carte, appeler si vous y arrivez, j’aurais plaisir à vous revoir.
Je souhaite sincèrement pour vous que vous puisiez vivre ce que nous vivons, excusez, si elles nous ont vus descendre, elles vont croire que nous nous suçons les bites.


Je remonte, la vision de la chatte d’Alice me fait l’effet que j’attends en voyant son intimité découverte.

• J’ai vu l’homme descendre, vous vous êtes paluché !
• Viens, il est temps que tu m’apportes le plaisir auquel j’ai droit.

Nous récupérons le chemin de la forêt et la croisée où elle a satisfait moulte salopard avec sa bouche.

• Descends et enlèves tes vêtements, pose-les sur le siège et ferme la porte.

Elle le fait, pudiquement elle met un bras sur ces seins et l’autre sur sa chatte.
J’entends qu’elle me dit avoir peur que je ne parte la laissant seule dans ce bois.
J’ouvre la vitre de son côté.

• Tu m’as parlé ma chérie.
• Oui, je te disais.
• Avance un peu, avec le moteur je n’entends rien.

Comme la semaine dernière elle avance sa tête et je referme la vitre sur sa tête.

• Que fais-tu, je n’allais pas me sauver toute nue ?

À ce moment, je laisse le moteur tourner, je descends, je contourne l’avant passant dans les phares que j’ai laissés allumer.

• Monsieur, je vois vos ombres, se déplacer, n’hésitez pas, venez baiser cette petite pute qui va aimer se faire prendre, alors qu’elle est dans l’impossibilité de bouger.
Attention capote obligatoire, j’en pause sur le capot, je serais intransigeant, pas de protection pas de baise.

Combien d'hommes viennent en elle, ce que je sais c’est qu’à un moment, le grand noir de la semaine dernière est là.

• Je peux l’enculer.
• Elle est à toi.

J’adore voir son gros membre entré dans son anus, j’ai un peu peur qu’elle soit déformée, mais les cris de plaisir qu’elle émet me rassure, ce sont des cris de plaisir intenses.
Ayant eu assez de visions pour avoir des souvenirs jusqu’à nos prochains jeux quand il n’y a plus de candidat, je sors ma verge et je l’encule à mon tour avant d’expulser des traits de spermes.
Je passe ma main par l’espace de la fenêtre me rendant compte que si elle l’avait voulu elle pouvait se libérer ce qu’elle s’est bien garder de le faire.
Je la soutiens pour qu’elle remonte en voiture et après qu’au bout du chemin elle se rajuste, on ne sait pas, maman peut avoir eu envie de boire un verre d’eau fraiche.
Après avoir pris un bain, je la porte dans notre lit, inutile d’essayer de la baiser, elle dort déjà repue de fatigue et de sexe.

Un moment passe, plein de plaisir, la flamme ne retombant pas.

• C’est Robert, l’homme du restaurant, je vous appelle pour vous dire que votre plan à marché.
• Vous faite d’elle ce que vous voulez !
• En ce moment, elle vous entend tout en me suçant la bite, je vous appelle, car j’ai eu peur de l’emmener dans votre bois, je connaissais par un ami un club échangiste, nous y sommes allés deux fois, je ne vous dis pas le plaisir que j’ai pris en la voyant se faire baiser.
• C’est vrai, merci d’avoir fait comprendre à mon mari ce que j’avais envie de lui apporter, vous venez ?

Le temps de trouver une baby-sitter, ce qui est facile grâce à Internet, Alice va pouvoir étrenner la guêpière que je lui ai acheté qui dégage sa chatte et qui relève ses seins les mettant en valeur, le tout avec gants et cuissards en cuir rouges ainsi qu’une cape pour le moment ou nous aurons à nous cacher des couples frustrés qui ne savent pas extérioriser leur sexualité.

• Bonsoir, Robert, Alice ma femme.
• Merci d’être venus, Geneviève, pour vous êtes servi sur un plateau.

Cette grande et belle femme m’ait livré menottes aux poignets, la soirée et les suivantes vont être chaudes.

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