Mes Expériences Sexuelles. (3)

Un chantier chaud.
Cela fait presque un mois que Céline et moi avons étés invité par Sylvie, mais nous ne nous sommes pas encore décidé. C'est certainement la peur de l'inconnu qui nous incite à toujours reporter. Mais voilà que demain je dois aller chez elle avec un avec mes collègues pour placer le nouveau châssis.
« Que crois-tu qu'elle va dire ? » me demande Céline.
« Je ne sais pas ! Mais je crois qu'elle va insister pour nous revoir. »
« Je crois aussi. Alors, si elle t'en parle, dis-lui que nous viendrons samedi, si cela lui convient. »
« Tu as raison, on devra de toute façon y aller un jour. »
Le lendemain avant de partir au boulot, Céline vient vers moi.
« Chéri ! »
Elle me regarde avec des yeux qui me supplient.
« S'il te plaît... «
« Ne t'inquiète pas je serai avec des collègues. Je ne crois pas qu'elle tente à nouveau quelque chose. »
« Merci... je t'aime ! »
Je l'embrasse et pars au travail.
C'est avec Luc, 60 ans, 1m70, chauve, mais bien battit et Fabian,30 ans, 1m90, svelte, mais, selon sa femme qui est une amie, bien équipé pour s'occuper d'elle, que je me présente devant le portail de Sylvie.

Elle nous fait entrer et on commence le travail. D'abord on enlève l'ancienne baie vitrée et après avoir nettoyé l'emplacement, on va placer la nouvelle. Il fait chaud et elle a un certain poids pour ne pas dire un poids certain. Nous la posons contre le mur extérieur pour reprendre notre souffle quand Sylvie vient nous demander si nous voulons un rafraîchissement. Cette pause nous fera du bien et en plus c'est l'heure, 10 h. Elle nous installe sur la terrasse et revient avec les boissons, mais aussi accompagnée d'une jolie jeune fille. Je vous présente Kathy, c'est ma nièce et elle passe quelques jours chez nous. Kathy doit avoir environ 20 ans, peut-être un peu plus, elle vient sûrement de se lever, car elle ne porte qu'un long T-shirt qui descend à mi-cuisses.

On voit ses seins haut placés bouger au rythme de ses pas lorsqu'elle vient poser nos verres sur la table. Elle se penche entre Luc et moi et se penche pour les mettre au milieu. Dans cette position, elle offre certainement une vue plongeante sur sa poitrine à Fabian alors que Luc et moi pouvons les voir par la largue échancrure sous ses bras. Ensuite Sylvie nous sert et elles retournent toutes deux à l'intérieur.
« Wahou, bien elle est bien foutue, vous avez vu ? » nous dit Luc.
« Je ne sais pas ce que vous avez vu, mais moi j'en ai presque eu le vertige. Et si ma femme, Murielle, avait été là elle lui aurait sauté dessus. Elle ne supporte pas que l'on me drague de cette façon. » ajouta Fabian. C'est alors que je me dis : Que l'on le drague ? Je ne peux pas y croire, es-ce que Sylvie tenterait à nouveau ... Non elle ne va pas impliquer sa nièce dans ce genre de plans ! Mais dans cette tenue, elle ne devait pas ignorer qu'elle allait attirer notre attention.
« Hou hou... Patrick tu es avec nous ? »
« Je crois qu'elle l'a hypnotisé... »
« Non… Non, ça va ! Allez les mecs, on boit et puis on s'y remet, il y à encore du boulot. »
La chaleur est accablante et on transpire comme de bêtes. C'est là que je vois nos deux femmes nous observer. Luc et Fabian étant de dos, ils ne voient pas que Sylvie me fait signe. Elle me montre sa nièce et instinctivement je pose mon regard sur elle. Elle me voit, passe ses mains sous son T-shirt au-dessus de ses seins et commence à les masser.
« Hé, ho... Patrick tu avances... c'est lourd ! »
« Heu... oui, oui… ; »
Je relève la tête, elles ne sont plus là. Dix minutes plus tard, la baie est en place et on commence à la caler avant de la fixer. Le travail n'est pas encore fini que c'est la pause de midi et une nouvelle fois, Sylvie nous propose un rafraîchissement, que naturellement nous acceptons. Elle appelle Kathy et nous voyons celle-ci arriver, mais cette fois, elle est en monokini.
Ses seins sont bronzés et ne présente aucune marque, je ne suis donc pas étonné quand elle répond :
« Oui tante ? »
« Peux-tu... oh pardon tu étais occupée ? »
« Non j'allais prendre le soleil dans le jardin ! Qu'est-ce que je peux faire pour toi ? »
« Bien, heu... veux-tu bien apporter une bière à ces braves hommes ? » « Pas de souci, j'arrive tout de suite. »
Pas besoin de dire que mes collègues furent surpris et Luc avec son franc parlé dit :
« Laissez-moi vous dire que votre nièce est très jolie. »
« Je vous remercie, vous pourrez lui dire vous-même. Mais désolé si elle vous a choqué, ici on n'est pas très pudique et c'est normal pour elle de se promener seins nus dans la propriété. »
Voulant éviter que les choses ne dént comme cela c'était passé avec moi la dernière fois, je dis :
« Je comprends, mais si elle reste près de nous dans cette tenue, Ça risque de prendre du temps pour terminer le placement de la porte fenêtre. »
« Oh excusez-la, je vais faire attention ! » me dit Sylvie.
Elle se tourne à nouveau vers moi et me demande :
« Est-ce que je pourrais vous demander un petit service, quand vous aurez cinq minutes ? J'aurai besoin de votre avis ? »
Je sais qu'elle cache quelque chose, mais je me vois mal lui dire non devant mes collègues, ils se poseraient des questions et la connaissant, je ne peux pas laisser quelqu'un d'autre l'accompagner.
« Heu... si vous voulez, je peux y regarder avant de manger ? »
« Ah oui ! C'est une bonne idée ! Suivez-moi ! »
Je la suis et comme la première fois, je remarque qu'elle va m'emmener en haut. Elle me précède dans les escaliers et comme je m'y attendais, elle simule une chute pour me tomber dans les bras.
« Je vois que tu as toujours de bons reflex, ... chéri... » me dit-elle avec un grand sourire, avant d'ajouter :
« Que penses-tu de mon nouveau bikini ? Oh, je vois qu'il te fait de l'effet ! »
Effectivement, mes mains sur ses seins et ses fesses collées sur mon bas ventre ne tardèrent pas à provoquer le début d'une belle érection.

« Je ne peux pas te laisser retourner près de tes collègues dans cet état, ils se poseraient des questions ! »
Elle se redresse, me prend par la main et me tire jusque dans sa chambre. Elle me pousse sur le lit, s'agenouille devant moi et sans plus de préliminaires, elle déboutonne mon pantalon, extirpe ma bite qui maintenant à déjà une belle taille et entame une vigoureuse fellation. Je sais qu'il est inutile de résister, elle aura le dernier mot et au moment où j'allais jouir dans sa bouche, Kathy apparaît dans l'encadrement de la porte restée ouverte. Ça me coupe mes effets instantanément. Sylvie se rendant compte de quelque chose, elle se tourna et sa nièce lui dit : « Tantine, j'ai servi les boissons et comme tu l'avais prévu, je crois qu'ils sont presque à point. J'ai vu une belle bosse chez le grand et j'ai remarqué que le plus vieux avait une main sous la table. Je ne sais pas, mais je crois qu'il se branlait en regardant mon cul pendant que je servais les boissons. »
« Ah très bien ma chérie ! Je te laisse terminer Patrick, il est presque à point ! Moi, je vais finir de m'occuper des deux autres. »
Kathy entre et prend la place de sa tante, alors que celle-ci quitte la chambre en dénouant les ficelles qui retiennent sont haut, mais aussi le bas de son bikini. J'allai intervenir, mais Kathy me suçait déjà et elle appuya de tout son poids sur mes cuisses pour m'empêcher de me lever. Il est trop tard pour la rattr, d'autant que je sens ma jouissance monter et tout en essayant de retenir le plus possible mes gémissements, je finis par littéralement exploser dans sa bouche. Il doit y avoir une belle quantité, vu que mon sperme commence à couler alors qu'elle essaye de tout avaler. Maintenant il faut que j'aille voir ce qui se passe en bas, mais Kathy a de nouveau ma bite en bouche et elle en aspire les dernières gouttes de foutre. Je finis par me dégager de l'étreinte de Kathy et je me précipite dans les escaliers. J'y vois le bikini de Sylvie et arrivé sur la terrasse, il est trop tard.
Sylvie est nue et penchée en avant avec la queue de Luc en bouche et la bite de Fabian s'enfonce lentement, mais sûrement dans sa chatte.
« Hé Patrick je vois que tu as aussi eu droit à un petit extra ! »me dit Luc.
Un peu surpris, je me rends compte que dans la précipitation je n'ai pas pensé à remettre mon pantalon et il est resté dans la chambre. Alors que Fabian est enfin au fond de sa chatte, Sylvie tourne la tête vers moi et tout en continuant de masturber Luc, elle me dit :
« Ah te voilà, mon chéri ! Je leur ai tout expliquer de notre première rencontre et ils ne me croyaient pas. Alors j'ai dû trouver une solution pour qu'ils ne disent rien à ton patron. Penses-tu qu'ils vont se taire maintenant ? »
Et elle se remit à sucer la bite devant elle. Et je restais sans réaction jusqu'à ce que je sente les mains de Cathy m'enserrer par derrière et glisser vers mon sexe qui était à nouveau au garde à vous devant ce spectacle. Alors qu'elle interverti les positions, Sylvie me dit :
« Allez Patrick, laisse-toi faire. Cathy est venue ici rien que pour pouvoir baiser avec des ouvriers sur un chantier. »
Je me laisse entraîner par Cathy dans le salon alors que je laisse mes collègues aux mains de Sylvie. Cathy est nue et je peux maintenant faire attention à la perfection de son corps. Son bronzage et uniforme partout, même sa chatte ne montre de marque. Ses seins sont bien ronds et haut placé sur sa jeune poitrine bien ferme. Sa chatte en plus d'être bronzée est épilée et je peux voir qu'elle à envie d'être pénétrée par une bite tant elle est humide. Cathy se couche sur le divan, écarte les jambes et me dit :
« Vas-y, prends-moi ! Défonce-moi la chatte... »
« Non pas tout de suite, tu vas d'abord recommencer à me sucer la bite » Je ne vais pas me laisser faire, elle veut être baisée, je vais le faire, mais à ma façon. Je m'installe dans un fauteuil et elle vient se placer entre mes jambes. Elle reprend ma bite en bouche et la suce.
« Allez, salope ! Je veux que tu me fasses bander. Alors suce et fais le bien ! »
A ces mots, elle me regarde et je le soutiens, elle a comprise que c'était moi qui allais la baiser et non l'inverse. Et alors que je profite de cette fellation. Je vois que sur la terrasse Luc est couché au sol avec Sylvie qui s’empale sur sa bite et Fabian derrière elle force petit à petit son cul. Mais revenons à moi, j'ai la bite maintenant bien droite et dure comme du béton.
« Maintenant, couche-toi sur le divan et écarte les cuisses, je veux voir ta chatte. »
Cathy m’obéit et c'est à moi de lui lèche la chatte et de lui sucer le clito. Il ne semble pas qu'elle puisse longtemps résister à ce traitement et ce même si je sens bien qu'elle fait tout pour. Quand ma langue passe sur sa chatte, elle est recouverte de cyprine, je décide donc de me concentrer sur son clito avec ma bouche et c'est de la main droite que j'enfonce un puis deux et enfin trois doigts dans sa chatte. C'en est trop pour elle ce sont des cris de plus en plus bruyants qui succède aux gémissements de plaisir. Elle jouit en m'aspergeant de plusieurs jets de son jus féminin. Je la redresse et la penche devant moi appuyée sur le dossier du divan et là je la prends en levrette. Elle a à peine eu le temps de récupérer si bien qu'elle jouit une seconde fois. Et elle s'écroule sur le sofa, faisant ressortir ma bite qui lâche à cet instant deux jets de foutre qui viennent s'écraser sur ses fesses. Cathy met du temps à récupérer j'en profite pour rejoindre les autres dehors. Alors qu'elle se fait défoncer en double, Sylvie tourne la tête vers moi
« Alors tu en as finis avec Cathy ? »
« Non... non ! Je la laisse reprendre ses esprits et j'y retourne. »
« En attendant, viens ici, elle n'a pas prise soin de te nettoyer la queue. » Je m'approche et tout en se synchronisant avec les coups de butoir de mes collègues, elle me suce la bite. Elle se fait baiser par tous les trous et c'est là que Luc et Fabian, presque simultanément jouissent en elle et ainsi la font jouir dans un orgasme qui lui transperce tous les muscles du corps. Alors qu'elle se relève difficilement, elle se retrouve avec deux bites collées à son visage et qui demande à être nettoyée. Elle s'agenouille, en saisi une dans chaque main et les porte l'une après l'autre à sa bouche pour en extraire les dernières gouttes de foutre. J'en profite pour retourner vers Cathy. Elle maintenant assise sur le fauteuil, je m'approche d'elle.
« Alors tu voulais que je te défonce la chatte ? »
« Heu... oui... oui... mais je suis vidée ! »
« Moi pas encore complètement... »
Elle lève la tête et me regardant dans les yeux
« Tu veux ... »
« Oui couche-toi, je vais te baiser la chatte. Je te préviens, vous avez voulu jouer avec moi. Eh bien maintenant tu vas en assumer les conséquences. »
Elle tourne la tête cherchant de l'aide auprès de sa tante, mais celle-ci même si je pus lire dans son regard qu'elle aura bien voulu intervenir, ne peut rien faire. Elle est bloquée, Fabian continuant à se faire sucer et Luc dans un nouvel élan de vigueur la sodomise. Cathy est donc seule et se résout. Je la couche sur le tapis du sol, lui écarte les jambes, les pose sur mes épaules et pesant de tout mon poids sur mes mains située de chaque côté de ses épaules, je guide ma queue jusqu'à l'entrée de sa chatte. À peine je glisse mon gland sur son clito qu'elle sursaute, celui-ci étant encore très sensible. Je m'arrête à l'entré de sa grotte, presse mon gland et elle est tellement mouillée que je glisse à l'intérieur sans aucune résistance. Arrivé au fond, je fais marche, arrière et répète cette manœuvre de plus en plus vite et avec de plus en plus de force. Elle commence à se crisper, elle att mon cou, me tire vers elle et dans un délire dû aux orgasmes qui se succèdent, elle m'encourage :
« Oh oui... je jouis... encore ... plus vite, plus fort... continue... continue... ooouuuiiiiii !!! »
Elle hurle de plaisir alors que de l'extérieur, j'entends également Sylvie manifester un nouvel orgasme avec cris et tremblements. Mes collègues et moi nous sommes rhabillés et avons terminé le placement. Les filles quant à elle ont mis du temps à récupérer avant d'aller s’allonger sur des transats pour bronzer. La leçon n'avait pas l'air de leur suffire, car elles ont fait de l'intégrale. Nous avons rangé nos affaires, nettoyé le chantier et alors que nous allions prendre congé, Sylvie est venue vers nous pour nous donné un joli pour boire et elle me glissa à l'oreille.
« Je vous attends toujours ta charmante épouse et toi. » Tout aussi discrètement je lui répondis :
« Samedi, vers 11 h 00. »

A suivre...

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