Collection Black. La Queue Noire. (2/3)
Fait bon voyage Robert, téléphone dès que tu arrives, tu sais que jai peur avec ces attentats.
Cest par ces mots que jai quitté mon médecin de mari parti pour Marseille à un congrès démontrant que rhume ne veut pas dire antibiotiques.
Ne trouvant pas de taxi, je prends le métro comme je le faisais dans ma jeunesse avant de devenir une bourgeoise, moi la fille dun mécanicien de Gentilly.
Dans le métro, je sens, une verge semblant assez imposante dans mon dos, regardant dans la glace de la porte, je vois un grand noir qui me quitte me laissant circonspecte.
Arrivée Place Pigalle, je vais prendre un rafraîchissement dans un bar, cest la journée des noirs, il y en a un qui minterpelle, jai des ennuis de santé, jai des moments où ma langue va plus vite que ma pensée, je lui demande sil est vrai que les noirs ont un grand et gros sexe.
Cest incroyable, lui ayant donné trop de renseignements, il vient me retrouver à lhôpital et me propose de me raccompagner vers Pigalle, quartier où mon mari a son cabinet.
Je remonte Paris sur sa Vespa vers mon domicile où mon mari est absent encore pour deux jours, mes bras autour de sa taille, mes mains sentant bien quà ma question, sur la longueur de sexe noir, il faut répondre « oui. »
Où tarrêtes-tu, jignore même ton nom alors que tu connais le mien !
Nous sommes au bas de mon immeuble, pour monter au troisième, il suffit de passer la porte à droite de ce café, il est vrai que je suis impoli, mon père me mettrait une torgnole sil savait que je tai emmené sur mon engin sans te dire mon nom, Amadou.
Amadou quoi !
Amadou cest mon nom comme toi, cest Odile, excuse, il faut le retenir, je nai pas de gourmette en or comme toi, pour me le rappeler en cas damnésie.
Tu te moques, pourquoi mas-tu arrêté au bas de chez toi, tu espères que je vais monter boire un dernier verre après que jai senti la grosseur de ta verge !
Encore perdue fifille, toujours lesprit mal placé, si je tavais demandé où tu habites, tu maurais éconduit, pourtant on a relativement le même âge.
Il me donne ma date de naissance.
Es-tu devin ?
Encore piégé, esprit dobservation, as-tu sur toi ta date de naissance.
Sur ma gourmette.
Quand tu taccrochais à mon sexe, elle était retournée et jai vu que tu étais du 12 février, moi du 13, jour de chance dans mon pays.
Doù es-tu ?
Sénégal, je suis venu en France à lâge de trois ans, justement un 13, mais juin.
Alors, tu montes boire ce dernier verre ou tasse de café.
Tu sais être persuasif.
Trois étages par un petit escalier, il ouvre sa porte, il est galant, il est passé devant moi, évitant ainsi de me mater les fesses.
Robert, quand nous montons dans notre logement au-dessus de son cabinet un peu plus haut vers la place, vient toujours derrières moi, mais cest pour me mettre la main sous la jupe et me caresser la chatte.
Il nous est arrivé plusieurs fois quil me baise dans le vestibule dès la porte franchie, il me plaque contre le mur, et me pénètre en se glissant dans mon vagin passant par-derrière.
Pas dambiguïté, par-derrière dans la position et non dans mon derrière, la sodomie très peu pour moi, Robert a essayé une fois dans notre lit, quand jétais en levrette, la gueule que je lui ai fait pendant huit jours, la dissuadé de recommencer.
Quand il me fait entrer dans un vestibule à peu près identique au nôtre, je suis sûr quil serait capable avec ses bras de costaux de me soulever comme une plume et me faire retomber sur sa verge pour que je mempale.
Je fantasme, je lui ai promis fidélité, mais quand je suis assise sur son canapé dans sa salle à manger, mon regard à bonne hauteur cherche à voir si la bosse que jai touchée en venant jusquici est toujours là.
Il tourne autour de moi me préparant un café, voit-il mon regard chaque fois que mes yeux peuvent accrocher sa braguette, je le pense quand il me dit.
Elle semble tobnubiler, veux-tu la voir.
Je savais que javais affaire à un pervers, tu fais monter les femmes chez toi pour mieux les appâter avec un café.
Préfères-tu un thé ?
Pourquoi !
Tu nauras peut-être pas limpression que je veux tappâter en te faisant du thé, tu te souviens hier au café, je tai demandé si tu avais du feu.
Pour le thé, cest non, je préfère le café.
Cela tombe bien, je nai pas de thé à te proposer.
Je comprends, il aime faire de lhumour, jespère que cet aparté mévitera de répondre à sa question.
Réponds, tu veux la voir, arrête dhésiter, tu en meurs denvie.
Joignant le geste à la parole, les autres fois, ce sont ses grosses lèvres que javais près de moi, maintenant cest une chose incroyable 35 à 40 centimètres et en tour de taille, sa circonférence est difficile à estimer, 8 à 10 de diamètre, je sais quil y a une histoire de Pi 314116 ou 3,14116, doit-on prendre le diamètre ou le rayon.
Bref, elle est impressionnante.
Prends-la en main, elle ne va pas te mordre, elle va simplement se tendre et tu la verras dans toute sa splendeur, tu auras définitivement la réponse.
Cest avec ma main et avec ma bouche où elle narrive pas à entrer, que je le masturbe dans un état second.
Contrairement à mon dépucelage, mon premier pas faisant de moi une femme adultérine, je suis dans un simple brouillard, mais mes neurones sont bien en place et je ne risque pas la gueule de bois.
Je le lèche, je donne de petits coups de succion à la pointe de son gland avant quil me redresse, me tenant dans ses bras comme je le pensais dans le vestibule, mais au lieu de me faire tomber sur ce cierge que je voudrais déjà en moi, il me conduit vers le lieu de ma déboche, son lit.
Enfin, ses grosses lèvres sont sur mes petites lèvres, vous avez lesprit mal placé, les petites lèvres de ma bouche, pas de ma chatte.
Il me pose délicatement sur le lit et me soulevant la jupe, ses lèvres quittent ma bouche pour venir se poser sur ma petite culotte, je voudrais réagir, mais je suis dans limpossibilité de raisonner.
Entre parenthèses pendant que jai encore un peu de lucidité, commencer à baiser avec cet homme noir, est-ce bien raisonnable, alors que Robert rentre demain, mais ce que je subis est si bon, cela, vos biens un petit coup de canif dans notre contrat de mariage.
Robert, qui me dit que, lorsquil quitte ses parents retournant à Sanary-sur-mer après avoir passé la soirée ensemble, ne rejoint-il pas une belle blonde pour la baiser comme je sens que je vais lêtre par la verge dAmadou.
Avec ses dents, il marrache mon string, en cela son raisonnement était juste, jaurais bien mis des sous-vêtements plus discrets, mais je nen ai pas, nai-je pas appris le luxe dans ma boutique des Champs où ces belles dames m'ont appris à les envier.
Robert gagne très bien notre vie et jaime les strings, la ficelle entre mes fesses me fait mouiller et les dents de mon amant sont assez fortes pour me larracher.
Une fraction de seconde au moment où elle lâche, je me vois tout à lheure remontant la rue, ma chatte à lair sous ma jupe et si jy prenais goût.
À lair, elle lest, mon string ultime rempart me protégeant du dernier moment où je vais basculer dans un monde quavec la meilleure volonté du monde, je ne laurais jamais envisagé en conduisant Robert hier à la gare de Lyon.
À lair pas pour longtemps, car ses grosses lèvres viennent la recouvrir avec en prime sa langue sur mon clitoris toujours si sensible.
Robert, le presque cocu qui me dit toujours que je suis clitoridienne, jignore si cela est vrai, je le crois, cest lui qui a fait des études, cest lui qui est médecin alors que je ne suis quune petite vendeuse de parfums, fusse sur les Champs-Élysées.
La vitesse, à laquelle il réagit menvoyant des décharges partout dans le corps, doit lui donner raison, mais quand il juge que je suis cuite à point, il se relève apporte sa dague à cet endroit et chose extraordinaire, il entre en moi sencastrant impeccablement.
Juste une petite douleur très fugace avant que je ressente le grand frisson, la petite mort, la jouissance extrême, les cris de bêtes que doivent pousser toutes les femelles satisfaites comme je le suis par leur mâle.
Leur mâle, je sens intérieurement que sous la poussée de ce sexe disproportionné une fracture se fait en moi, si je le peux, il y aura les moments avec mon mari certainement le soir après la fermeture de son cabinet et les moments où mon amant pourra se libérer pour recommencer, à me baiser.
Je sens que je vais minstaller dans ladultère.
Dun côté, les sentiments et les petits coups gentils mapportant du plaisir, de lautre la baise animale, lui Tarzan moi Jane.
Je sais que je vais devoir prendre des risques, mais nous navons rien sans rien dans la vie.
Je suis ravagé par le plaisir jusquau moment où il me remplit le vagin dans un flot de sperme qui me comble définitivement.
Il me prend dans ses bras, je pourrais me voir filmée par une caméra ou dans une glace, je dois être une petite plume au sein de ses bras et de son grand corps athlétique.
Ce quil y a de bien, cest quavec lui, à peine terminé quau simple frottement de sa verge sur mon cul, il rebande, me met en levrette, me repénètre avec la même jouissance, me labourant à me faire hurler de plaisir et me remplit de son sperme de nouveau.
Quand je le suçais et que je le caressais, javais bien remarqué la grosseur de ses boules, mais il est incroyable quelles soient remplies dautant de spermatozoïde bien caché au sein du sperme qui me remplit une deuxième fois.
Sachant que ma moitié nest pas chez nous, je le quitte, lui laissant comme une prise de guerre mon string, je me suis essuyée, mais au fure et à mesure que javance, je sens le liquide visqueux couler de ma chatte vers mes jambes, jévite de me retourner de peur que lon puisse me suivre à la trace.
Étant seule pour une ultime soirée, je prends ma douche, me lavant de ce que jai fait deux heures avant de retourner à la gare de Lyon.
Ne prenant aucun risque, je prends un taxi.
Est-ce volontaire ou voulant simplement ne pas voir la réalité en face, en fin de matinée, jai pris mon portable faisant le 06 donné par mon amant pour savoir si je pouvais venir, avant le retour de Robert.
Javais calculé que jaurais, le temps de franchir la petite porte près du café, gravi les étages en courant men faire mettre un petit coup et prendre le chemin pour retrouver mon mari.
Hélas, il était sur un chantier à Barbès, les pieds dans du ciment, pardon ses bottes dans du ciment sur une terrasse dans limpossibilité de me rejoindre.
Cest sans appel, jai définitivement franchi le pas, Robert va devenir un cocu heureux ignorant quil a une femme pratiquant l'adultère, jai rendez-vous dans deux jours à 14 heures avec Amadou, le cabinet fermant vers 20 heures, je pourrais une nouvelle fois constater que les noirs en ont des grandes et grosses pendant six heures
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