Collection Black. La Queue Noire. (3/3)

• Tu as fait bon voyage Robert, je vois que ton séjour t’a été favorable, tu me rentres tout bronzé, il n’y a pas eu d’attentats !
• Ma chérie, d’où, te vient autant d’humour, si je suis bronzé alors que je ne suis pas sorti du Palais où se tenait le congrès, peux-tu me dire, comment se fait-il que la jeune femme que j’ai quittée morose se retrouve aujourd’hui fringante ?
Aurait-elle chevauché quelques beaux destriers dans des vertes prairies ?
• Tu m’accuses de t’avoir trompé, après t’avoir quitté avant-hier, j’ai pris un taxi et je suis rentré directement dans notre nid d’amours, je n’ai rien mangé tellement j’avais peur qu’à Marseille tu ne sois agressé, et surtout les bons résultats de mon I.R.M !
Si tu vois enjouée, c’est que je suis heureuse de te retrouver et que ce soir, tu vas m’offrir un bon restaurant pour fêter ton retour.

Quand nous montons dans un taxi, Robert donne l’adresse d’un bon restaurant au chauffeur, je prends conscience que je viens d’entrer dans le monde des femmes trompant leur mari, trouvant des motifs pour cacher mon secret.
J’ai appris par cœur le numéro du portable d’Amadou, il suffit que j’envoie un simple SMS. « Merci pour tout, je rentre dans le droit chemin. »

Au contraire, je vais aux toilettes du restaurant, j’envoie.

« Je pense à toi, il me hâte de te retrouver dans notre nuit d’amour… »

Je l’arrête, s’il sonne pour une réponse, je me vois mal dire à mon mari que c’est ma copine que je n’ai pas qui répond à mon message.
Tient, c’est une idée, pourquoi ne pas m’inventer une mystérieuse amie de jeunesse que j’aurais retrouvée et ainsi me rendre vers la petite porte près du café.
Trop risqué, si un jour il demande à la rencontrer, je vois mal lui présenter Amadou, dansant aux ballets de Paris, revenue de Moscou où elle a fait partie des ballets du Bolchoï.
C’est en revenant chez nous que je trouve la solution, le taxi passe devant, la salle de fitness où je pourrais officiellement aller courir sur un tapis pendant deux heures doublées d’une inscription à la piscine de Drigny au pied de la butte, afin de me décontracter d’avoir couru.


Deux heures de l’un, deux heures de l’autre, quatre heures à m’éclater sur la queue d’Amadou, je soumets mon idée à Richard, mon cocu merveilleux.

• Je vois que pendant mon absence, tu as pris de bonne résolution, il est vrai qu’avant que je parte le médecin que je suis, t’aurais conseillé de bouger, ce n’est pas bon de rester enfermée allonger sur notre canapé à lire toute la bibliothèque de mon père.

Et voilà, deux inscriptions dans des endroits ou lorsque Amadou ne sera pas disponible, je pourrais aller faire acte de présence, les réserves d’argent de notre couple augmentant lui travaillant comme un fou ne prenant que très rarement du plaisir.

Tout marche comme sur des roulettes, plus de six mois qu’Amadou est devenu mon amant et que d’un coup de canif dans le contrat fait chez le maire et chez le curé, je suis passée à des coups de ciseaux en faisant des confettis chaque fois que sa queue noire entre en moi.
Ma chatte est habituée à son calibre, ce que j’aime le plus une fois que ma bouche l’a fait bander aspirant même ses couilles une à une dans ma bouche, ce qui lui donne de folles sensations, c’est qu’il se couche sur le dos.
Sans que ce soit routinier, je l’enjambe et je m’empale aimant le faire lentement, sentant son gros et long sexe entrer lentement jusqu’au plus profond de moi, me faisant hurler de plaisir, en faisant de même pour lui quand il se déverse.

Ce qu’il y a de bien dans cette situation, c’est que j’ai beaucoup de plaisir dans le lit d’Amadou, que j’en prends aussi à un degré moindre avec mon mari et qu’en alternance, je vais à la piscine ou bien courir sur des tapis.
Je ne m’étais pas rendu compte que l’inaction des mois qui ont suivi notre mariage avait tendance à faire apparaître des petits bourrelets disgracieux, ils ont disparu, j’ai gardé des jeans qu’il m’était impossible de mettre depuis des lustres, je peux les remettre, faisant faire des économies à notre couple, ce qui est paradoxal.

Le plus drôle, c’est un midi à table alors que dans une heure, je pars faire des galipettes.

• Chérie, ton idée de salles de sport m’enchante, tu es radieuse, si nous y allions ensemble.

Heureusement, il ajoute.

• Dimanche prochain.

Chaque fois que je vais à la salle Amadou ne pouvant pas être là, je peaufine mes alibis en saluant toutes les femmes que je croise régulièrement, certaines d’entre elles viennent seules en semaine, en couple le week-end.


« Salut Jocelyne, tu viens courir, vas-tu battre ta distance aujourd’hui ? »

Répété plusieurs fois montre que je viens ici régulièrement, comme certaines semblent en faire de même, je me demande si elles aussi ont leur Amadou et qu’elles aient besoin du même alibi devant le mari qui les accompagne, les dimanches.
Un jour que je rentre la chatte bien rassasiée de sperme, quant au repas une mauvaise nouvelle m’arrive.

• Mon cœur, je sais que les relations sont tendues pour toi avec ma mère, elle va venir passer huit jours auprès de son fils et de sa belle-fille, fais-lui bonne figure, nous habitons ici grâce à eux.

Cela est déjà arrivé une fois, hormis un après-midi où elle est partie en taxi voir une ancienne amie, je n’ai pas eu de problème, Amadou étant en déplacement pour son travail, aucun rendez-vous n’était possible.
Il y a deux jours qu’elle est là et je ne la supporte déjà plus, elle non plus d’ailleurs, elle sort tous les jours nous donnant toujours des alibis quelquefois semblant être bidons.
J’ai rendez-vous en passant par la petite porte cette après-midi, que faire, annuler, mais comme elle est part chaque jour, j’espère qu’il en sera de même, elle le fait, plutôt que d’habitude, avant manger ayant rencard avec son éternelle amie et c’est presque en l’embrassant que je la voie de notre fenêtre monter dans un taxi.
À 14 heures Amadou m’ouvre, je lui saute au cou.

• Viens, suis-moi, je n’ai pas eu le temps de te prévenir, mon père est dans sa chambre en galante compagnie, il a une maîtresse depuis plus de vingt ans, tout petit déjà il lui est arrivé de venir, je l’entendais jouir de ce côté, elle est un peu comme toi très expressive.

• Je dois m’en aller dommage !
• Non, pas question, j’ai trop envie de toi, viens, je vais nous mettre des bâillons, ils ne seront pas informés que nous baisons, non loin d’eux.

De notre côté, à part des grincements de lit que nous contournons en baisant sur la moquette, moi en levrette, position qu’il affectionne, lui derrière moi, tout se passe sans problème quand je sens qu’il veut me sodomiser.
Le bâillon m’empêche, de lui dire d’arrêter et en poussant un cri étouffé, je sens que son gland est passé.
Dans l’autre chambre, comme il me l’a dit d’une façon un peu sourde à cause du couloir qui nous sépare, la maîtresse de Kombo père d’Amadou prend du bon temps.
Une fois qu’il me libère, je m’écroule, le cul cassé, mais satisfait de l’avoir fait, malgré la grosseur de la queue de mon amant, j’ai fini par avoir un début de plaisirs, nul doute que dans les semaines prochaines, nous allons recommencer et que j’apprécierais de plus en plus.

• Merci, ma petite biche de m’avoir permis de te prendre par ta rosette, j’en rêvais, la situation m’a fait sauter le pas, dans la salle de bains, dans l’armoire au-dessus du lavabo, il y a un tube neuf de pommade, va.

Je me lève et j’oublie la présence du père et de sa maîtresse, je suis restée nue, je vais pour ouvrir la porte de la salle d’eau.

• Ciel ma belle-fille !
• Ciel ma belle-mère !

Nous sommes abasourdis, une bombe aurait sauté dans le quartier, je n’aurais pas été plus pétrifié qu’elle ne l’est elle-même, surtout aussi nue l’une que l’autre.
Est-ce l’âge qui la fait réagir la première.

• Restons calme Odile, tu es la maîtresse d’Amadou !
• Dans notre situation, il serait difficile de te dire que nous venons d’enfiler des perles.
• Comme moi, Kombo, son père est mon amant, il y a longtemps que tu trompes Robert !
• Amadou m’a dit que son père avait une maîtresse depuis plus de vingt ans, qu’elle était de passage et s’envoyait en l’air dans sa chambre au bout du couloir.

Je t’ai entendu jouir, mais dis-moi, je t’ai bien vu partir de chez-nous en taxi.
• Cela fait vingt ans, que je fais faire un tour dans Paris à un taxi que je paye et qui me dépose devant la petite porte en bas et que je rejoins mon fabuleux amant.
• Merci Josette, pour le fabuleux amant un peu vieillissant tout de même.

Cet à ce moment que je vois Kombo pour la première fois, aussi massif que son fils et la verge aussi importante que celle d’Amadou.
Ma belle-mère se déplace, la prend dans sa main et se blottit contre lui.

• Tu ne m’as pas répondu, depuis combien de temps es-tu l’amant d’Amadou ?

Je sens que l’on me prend par les épaules, je me blottis, moi aussi, dans les bras de mon amant, je lève la tête et je l’embrasse retrouvant avec délice la bouche et la langue de celui que j’aurais du mal à quitter.

• Quelques semaines, pour faire simple, c’était pendant le congrès où ton fils est allé à Marseille et où vous l’avez vu, je suis rentré dans un café et il m’a abordé, après la chose s’est fait naturellement.
• Si nous allions dans la cuisine boire un café, papa, tu es partant.
• J’allais te le proposer, j’ai l’impression que nos maîtresses sont de vraies tigresses et qu’elles viennent de rentrer leurs griffes.
• C’est vrai, Josette, tu permets que je t’appelle Josette, se retrouver les chattes à l’air l’une devant l’autre cela cré des liens.

Nous éclatons de rire.

• À mon avis, un jour tout a commencé quand Amadou est tombé et que son père l’a amené voir mon mari, je sortais sur le palier allant en ville me promener, il semble que tu sois comme moi, nous avons beaucoup d’oisiveté dans nos vies.
Amadou, souviens-toi, je t’ai pris le menton pour te dire que tu étais un garçon bien poli, car tu m’avais bousculé et que tu t’excusais, j’ai croisé le regard de ton père et j’ignore pourquoi je lui ai demandé s’il était vrai que la verge des noirs était plus développée que celle des hommes de notre pays.
• Nous sommes faites pour nous entendre, moi aussi pour faire court, c’est la même question qui m’a interpellé, j’ai adoré vérifier que c’était le cas.

Je fais un mouvement, car nous sommes assises sur les genoux de nos hommes, la bite d’Amadou me touche l’anus et j’ai un peu mal.

• Toi aussi, tu te laisses sodomiser, si tu m’as entendu hurler de plaisir, c’est quand Kombo venait de me prendre par ma rosette et toi cela fait longtemps que tu te laisses faire.
• C’était la première fois, tout à l’heure, Amadou m’a pris par surprise et j’ai un peu mal, j’allais mettre de la pommade, il y en a dans la salle de bains.
• Amadou, fait comme ton père, achète de la Vaseline, son anus sera plus réceptif, bien que je ne dédaigne pas me faire prendre à sec d’un grand coup de son sexe, il faut tout vous apprendre à vous les jeunes.

Dialogue improbable, la belle-mère et la belle-fille dialoguant sur la façon de se faire sodomiser.

• Odile, me prêterais-tu Amadou pour que je me fasse prendre en double pénétration par nos deux hommes, j’en rêve depuis des années, depuis qu’Amadou est devenu aussi puissant que son père.
• Si nos hommes sont d’accord, je voudrais, moi aussi, expérimenter cette manière de me faire baiser.
Vous nous excusez, je sens qu’Amadou est à nouveau en forme, j’ai encore une demi-heure pour me faire baiser.
• Prends ton temps ma belle, nous venons de trouver l’une l’autre notre meilleur alibi, nous allons nous couvrir, même si Richard nous voit arriver bras dessus, bras dessous.
Au fait, demande à Kombo, j’ai failli me faire prendre une fois par mon mari, j’avais du sperme aux coins des lèvres qui avait séché sans que je le voie.
Je m’en suis sorti par un pieux mensonge, je lui ai dit que je venais de manger une glace, si tu suces Amadou, essuie-toi bien le visage avant d’entrer.
• Je me souviens de cette anecdote, tu allais partir et je rentrais plusieurs semaines au pays, j’ai voulu que tu me fasses une fellation avant de partir, tu tétais mise en retard.

Je suis contente, ma belle-mère m’apparaît sous un nouveau jour, je la regarde comme la belle salope que j’espère atteindre au fils des années.
J’espère que je garderais mon amant, moi aussi, plus de vingt ans, ce qu’il y a de bien quand j’éclate sous l’assaut de la queue de mon mâle, c’est que je hurle, n’ayant pas mis de bâillon.
Il en est de même au bout du couloir de plus en plus régulièrement, l’avantage de ne pas payer le train.
Double pénétration avec ces verges gigantesques, à partir de ce jour, et jusqu’à ce que cela se produise aujourd’hui où elle est là depuis hier, il faut bien que nos fantasmes se passent.

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