La Mère Noël Et Ses Lutines (2)

Anaïs s’installe dans la voiture et je démarre pour rentrer à l’appartement. La douce chaleur dans l’habitacle la fait sombrer doucement dans une torpeur. Je ne suis pas plus frais car avec ma nuit blanche et l’activité soutenue dont j’ai fait l’objet ont fait feux de tout bois de ma résistance. Mais, le plug dans mon cul me maintient éveillé et avec les imperfections de la route, je le sens bouger en moi. J’aime beaucoup cette situation.
Je roule tranquillement et je vois qu’Anaïs dort maintenant. J’ai soudain envie d’elle. Est-ce les médicaments qui agissent encore sur moi car je commence avoir une nouvelle érection. Que j’aimerai être soumis par elle ou mieux, que nous soyons soumis tous les deux par mes Maîtresses d’une nuit. Je sers les sphincters pour mieux sentir le plug dans mon cul et si je ne me retenais pas je lui sauterais dessus.
Bientôt, je me surprends à surveiller les abords de la route afin de reconnaître la maison de mes Maîtresses. Je roule un bon moment avant de reconnaitre les environs d’où je suis tombé en panne. Je ralentis inconsciemment pour être sur de ne pas louper la maison. Oui, ça y est je la reconnais et il y a deux voitures garées devant. Des gens sont à l’extérieur, et en passant devant une femme reconnait la voiture et me fait signe bonjour de la main.
J’ai le rouge qui me monte aux joues mais je suis heureux que ma Maîtresse ai reconnu ma voiture. Ma décision est prise, si elle veut de moi j’aimerai être son soumis. Je repasserai demain après le travail afin de lui rapporter l’essence et le plug. Pourvu qu’elle veuille de moi.
Nous arrivons à l’appartement, je me gare et vais ouvrir la portière à Anaïs pour la réveiller doucement. J’ai toujours mon érection et je cherche à la cacher du mieux que je peux. Anaïs ouvre un œil et me sourit. Elle va pour sortir de la voiture et son regard se porte sur mon entrejambe.
- C’est moi qui te fais cet effet ou bien tu t’es ennuyé cette nuit.

Me dit-elle avec un sourire espiègle.
Elle sort de la voiture et elle semble tout à fait réveillée maintenant. Elle se dirige vers l’immeuble avec son sourire sur les lèvres. Nous montons et entrons dans l’appartement. Elle se retourne et m’embrasse timidement comme si nous étions à notre premier rendez-vous. Pour ma part, je suis chaud comme de la braise, je l’embrasse comme un affamé tout en lui promenant mes mains sur ses fesses. Je lui ouvre son pantalon et lui ôte sont T-shirt. Elle se retrouve en sous vêtements que je trouve maintenant trop sages. Je l’embrasse dans le cou en la poussant gentiment vers notre lit. Je la couche sur le dos et continue à l’embrasser sur les seins, le ventre et commence à promener ma bouche autour de son sexe.
- Non attends chéri, je ne suis pas propre, je vais prendre une douche.
- Je te veux maintenant. Je veux te manger le sexe et l’anus.
- C’est sale de faire ça comme ça.
- Mais non.
Pour la première fois je promène ma langue sur sa culotte et il est vrai qu’elle sent la sueur et un peu l’urine. Mais pour la première fois, je m’en moque de faire l’amour sans avoir prit de douche. Je suis toujours habillé et à genoux entre ses jambes, je sens le plug qui entre un peu plus dans mon cul car il est poussé par mon pantalon. J’ai le souvenir de mes tortionnaires dans la tête et c’est un peu grâce à elles que je suis si excité de me faire enculer pendant que je lèche le sexe de ma copine.
Anaïs, commence vraiment à gémir et elle apprécie mon jeu de langue dans son sexe. Les arômes sont forts mais c’est pour moi un aphrodisiaque. Après avoir bu autant de choses cette nuit je me mets à rêver qu’elle me pisse dans la bouche. Je lui écarte un peu plus les jambes et lui fait plier les jambes afin d’accéder à son anus.
- Non, c’est sale par là.
Je ne réponds pas et descend vers son petit trou. Je lui titille la rosette avec le bout de ma langue.
- Chéri, c’est sale.
Mais le ton n’y est pas.

Il est vrai que les arômes sont plus forts, plus musqués mais je prends mon pied à lui lécher l’anus en sentant que le mien est occupé. Elle ne se doute pas de la situation mais elle semble apprécier ce que je lui fais. Je force sa rondelle pour entrer ma langue dans son cul, elle me prend les cheveux pour m’aider à l’enculer avec ma langue. Elle commence à approcher de l’extase et ahane de plaisir. Après lui avoir bien lavé son anus je remonte vers son sexe où il reste des arômes. Elle mouille comme une folle et me communique son plaisir. Cette cyprine que je bois volontiers.
Je commence à ouvrir mon pantalon tout en enlevant mes chaussures. J’ôte mon sweat et mon caleçon. J’ai peur qu’elle s’aperçoive que j’ai un plug dans le cul mais j’espère aussi qu’elle s’en aperçoive car je suis fier d’être possédé ainsi. Je remonte vers elle en l’embrassant sur le corps. Je la pénètre tellement elle est chaude et humide. Elle n’attend que çà.
- Oh oui, prend moi fort. Fait moi jouir, c’est bon.
Je l’embrasse à pleine bouche mais elle doit prendre conscience que je lui ai léché le sexe et l’anus, elle tourne la tête me prend les hanches pour que je la possède à fond. Va-t-elle descendre les mains et s’apercevoir du plug, mais je sais que ce n’est pas dans ses habitudes de toucher à l’anus. Ce n’est pas dans ses jeux.
Je donne des grands coups depuis un moment et d’un coup je sens son vagin se contracter. Elle va jouir, nous allons jouir ensemble. Elle me plante les ongles dans le dos et cri sa jouissance.
Après un moment, je sors d’elle et descend vers son sexe pour le lécher. Comme un robot, je veux récupérer mon sperme et sa jouissance dans son sexe.
- Non chéri c’est sale…
Mais, encore une fois je ne l’écoute pas et je lui nettoie son sexe.
Calmés nous nous allongeons pour dormir mais je sens qu’elle veut me parler. Je ne lui tourne pas le dos pour ne pas lui montrer mon secret.
A notre réveil, elle m’embrasse le torse et me dit :
- Tu n’étais pas comme d’habitude.
Jamais tu ne m’as fait çà.
- Tu n’as pas aimé ?
- Ce n’est pas ça mais je n’ai pas l’habitude. Enfin, nous n’avons pas l’habitude de faire comme çà.
- Je sais, mais j’ai envie de changer nos habitudes.
- Mais nous étions bien jusqu’à présent.
- Ecoute, il faut amener de l’originalité dans notre façon de faire. Nous sommes timides tous les deux et nous vivons un train-train au quotidien.
- Pourquoi ? Tu ne m’aimes plus ou tu n’aimes plus ce que nous faisons.
- Fais-moi confiance et essayons de nous amuser. Tu ne veux pas ?
- Si. Enfin je ne sais pas c’est bizarre.
Et nous repartons sur ces belles paroles dans la cogitation chacun notre côté. Après un moment, Anaïs se lève pour allez aux toilettes. J’en profite pour enlever le plug qui me gêne un peu et j’entends son pipi couler. J’ai une érection et une grosse envie de boire à son sexe.
Mais pour çà c’est trop tôt.
La journée se passe calmement et nous ne reparlons pas de tout çà.
Le lendemain, je me rends au travail avec la ferme intention de retourner voir celle qui m’a tant transformé et à qui je pense constamment. J’ai averti Anaïs avant de partir que j’avais quelqu’un à voir à la fin de mon travail, que je ne rentrerai pas tôt. Elle m’a embrassé en me souhaitant une bonne journée, mais une de ses mains a glissé sur mon sexe en me regardant d’une façon pétillante dans l’œil. Immédiatement j’ai eu une érection qu’elle n’a pas manqué de remarquer.
- Ne tarde pas trop ce soir, mon Chéri.
- Passe une bonne journée, ma Chérie.
Je ne sais pas quoi penser, notre conversation l’a-t-elle émoustillée ou bien est-ce notre rapport sexuel qui lui a plu.
Je l’att par la nuque et lui roule un patin dont nous ne sommes pas coutumiers.
- Hum, tu m’excites Chéri.
Et sur ce, je pars car je suis déjà en retard. J’ai la ferme intention de faire l’amour ce soir et de tout faire pour la prendre par derrière.
La journée est vraiment bizarre entre les pensées vers ma copine qui est coquine aujourd’hui et l’espoir de retrouver ma Maîtresse qui me font tant fantasmer.
J’ai des érections gênantes toute la journée et je suis tenté d’aller aux toilettes me soulager. Mes collègues me demandent si j’ai la gueule de bois en rigolant car ils savent tous que je ne bois pas d’alcool.
Arrive enfin la fin de journée et je quitte mon travail pour rejoindre ma Maîtresse. Enfin, j’espère qu’elle voudra de moi comme soumis. Pour commencer, je vais voir le fleuriste l’autre côté de la rue et j’achète un bouquet de fleurs pour elle.
Je conduis en ayant la tête en l’air et j’arrive à proximité de chez elle. Je m’arrête et je fais le point. Suis-je en train de faire une bêtise ou bien c’est vraiment ce que je veux. Après mûres réflexions, il ne reste plus de doute dans ma tête, je veux la revoir. Je calme mon rythme cardiaque et j’y vais malgré tout la peur au ventre.
Je rentre sur son chemin privé, je ne vois pas de voiture. Je suis déçu et j’ai envie de pleurer. Je sors de même de la voiture et vais sonner à sa porte. Personne ne répond. J’ouvre la portière et m’apprête à monter dedans.
A ce moment là une voiture arrive et je suis come un qui a eu son plus beau cadeau. Je suis heureux de la voir. Elle descend de son véhicule, elle porte un ensemble tailleur jupe stricte et je vois qu’elle fait la même tête que le soir où j’ai sonné chez elle. Est-elle contente de me voir ?
Elle s’approche, se place en face de moi et me mets une claque sur la joue.
- Que veux-tu ?
- Excusez-moi de venir ainsi mais je voulais vous rendre l’essence, vous offrir un bouquet de fleur. Mais aussi vous rendre le plug.
- Pourquoi, il ne te plait pas ?
- Si, si je suis très content de l’avoir eu mais je ne savais pas si vous vouliez que je vous le rende.
- Mets-le dans ton cul.
- Maintenant ? Ici ?
- J’ai horreur de me répéter, salope. Et puis quand tu t’adresses à moi, tu me dis Maîtresse Jenny.
Je défais mon pantalon et baisse mon caleçon. Je mouille le plug et je me l’enfile dans le cul. C’est beaucoup plus facile maintenant que je l’ai porté toutes ces heures depuis deux jours.
- Tu te déshabilles, tu jettes tes affaires dans la voiture et tu me suis à quatre pattes.
Je fais ce qu’elle m’a dit. Heureusement que nous sommes à la campagne et qu’il y a peu de voitures qui passe nt sur la route. J’entre chez elle et nous allons dans le salon.
- Attends-moi ici.
Elle me laisse à quatre pattes au milieu du salon et face au sapin de noël. Elle revient rapidement avec deux verres. Elle s’assied sur le même fauteuil que le premier soir.
- Mets-toi à genoux face à moi.
Je me positionne face à elle. Elle me tend un verre et me sourit.
- Tiens, ton jus de pomme préféré. Bois, il y en a d’autre. Plein d’autre…
Je bois et comme je m’y attendais, c’est de la pisse.
- Tu vois, hier nous avons pensé avec mes filles que tu allais revenir. Tu ne pouvais pas t’en passer car tu es un esclave né. Donc, nous t’avons préparé une bouteille d’un litre et demi de nos urines. Je veux que tu boives tout maintenant petite pute. Elle sort la bouteille et le me l’a tend.
Je fini mon verre et me met à boire au goulot. Pendant que je bois, elle rigole à gorge déployée. Il me faut plus de 5 minutes afin de finir ma bouteille. Pendant ce temps là, elle déguste tranquillement son verre.
Un fois fini.
- Enlève mes bottes et lèche-moi les pieds.
- Oui, Maîtresse Jenny
Je lui enlève ses bottes et je révèle deux pieds gainés de bas d’après ce que je vois à la lisière de sa jupe. Je porte un pied à ma bouche. Il sent assez fort. J’embrasse les doigts de pieds puis je passe ma langue dessus.
- Je ne te demande pas de me faire un câlin mais de les lécher.
- Oui, Maîtresse Jenny
Je lèche donc le pied dessus et dessous, je m’applique. Pendant que je m’occupe de son pied, elle passe le second entre mes jambes et m’enfonce le plug dans le cul par des pressions successives. Puis je passe au second pour lequel je fais un même traitement.
Les pressions sur le plug me donnent enfin qu’elle reprenne le gode ceinture pour m’éclater la rondelle. C’est trop bon. Je gémis en léchant ses pieds.
- Tu es vraiment une chienne en chaleur. Tu aimes te faire défoncer ?
- Oh oui, Maîtresse Jenny.
- On verra un autre jour. En attendant, passe sous ma jupe et lèche moi la chatte et l’anus.
Je m’avance pour passer ma tête sous sa jupe et découvre des odeurs de femme en fin de journée. Elle ne porte pas de culotte. Je lèche sa chatte qui n’est pas très propre puis je passe à l’anus pour lui apporter le plus de plaisir possible. Elle bouge du bassin et semble apprécier mon traitement, elle pose ses mains sur ma tête et gémit très fort. Je sens qu’elle va jouir rapidement. Je repasse à son sexe pour lequel je reprends mes caresses buccales sur le clitoris. Très rapidement elle explose et m’expulse un flot de cyprine que je m’empresse de boire.
Elle me repousse, et je la vois rassasiée.
- C’est bien salope. Tu lèches bien.
- Tu vas rentrer chez toi maintenant et tu vas faire l’amour à ta compagne tous les soirs mais je t’interdis de jouir.
- Bien Maîtresse Jenny.
- Tu gardes le plug dans le cul mais pas celui-ci car je vais t’en donner un autre en prévision de nos jeux futurs.
De là, elle sort et reviens avec un plug énorme et très lourd et une bouteille avec un entonnoir.
- Mets tes épaules au sol et lève ton cul.
Je fais ce qu’elle me dit. Elle m’ôte le plug et semble me glisser l’entonnoir dans le cul et vide la bouteille. Cela fait elle me rentre le nouveau plug qui est énorme. Elle me bouche l’anus avec le liquide dedans.
- Tu le gardes dès que tu es avec ta copine. Tu ne te vides pas avant demain matin.
- Bien Maîtresse Jenny.
- Tu reviendras avec elle pour le repas du réveillon du jour de l’an. Elle doit être en robe et toi garnis du cul.
- D’accord Maîtresse Jenny.
- Ce soir là, je vais l’éduquer pour qu’elle soit ta Maîtresse et ma soumise. D’ici là, tu rases tous les poils sur ton corps et ton sexe. Je n‘en veux plus un.
- Bien Maîtresse Jenny
- Rentre chez toi mais avant note sur la feuille ton n° de téléphone ainsi que celui d’Anaïs et tes adresses courriels. Gare à toi s’il en tombe au sol.
Je sors de chez elle. Arrivé à ma voiture, je me rhabille. Je monte dedans et en m’asseyant je m’aperçois qu’il est vraiment plus gros et ce liquide que j’ai dedans me fait un effet bizarre. J’ai le cul prêt à exploser. Je me mets en route pour rentrer chez moi.
Après quelques kilomètres, il faut que je m’arrête pisser car avec tout ce que j’ai bu j’ai la vessie pleine. Quand je repense à ce changement depuis seulement deux jours. J’en suis arrivé à boire deux litres de pisse comme si de rien n’était alors que je ne pouvais sortir des toilettes sans me laver les mains tellement ça me dégoutait. Aujourd’hui, je me promène l’estomac plein d’urine et avec un plug énorme dans le cul. C’est vrai que je me suis révélé une grosse salope et j’espère que ma moitié deviendra ma Maîtresse et que je boirais sa pisse pendant qu’elle m’encule. Il faut vite que je rentre et faire l’amour avec elle. Je sors de la voiture et mon regard se porte sur le siège pour voir s’il n’y a pas de trace d’humidité.
Je monte vite en voiture et je repars aussi sec pour rentrer à l’appartement.
Sitôt garé, je sors de la voiture et je monte les étages. Anaïs m’attends la porte ouverte et je lui sautes dans les bras. Nous nous embrassons et elle me dit :
- Tu as encore une haleine de chacal ce soir.
- Excuse-moi chérie
- Tu sais, après notre conversation d’hier soir j’ai bien réfléchi et je suis d’accord avec toi. Nous devons changer notre quotidien afin de ne pas sombrer dans la monotonie.
- Je …
- Non, laisse-moi terminer. Je ne comprends pas ton changement brutal en une soirée et je pense qu’il s’est passé quelque chose le soir du réveillon. Alors, je veux que tu me dises tout. Tu n’as pas le droit de me cacher quelque chose qui a une incidence sur notre couple. Je peux tout entendre et tout accepter si tu es honnête avec moi. Commence par enlever ce truc et explique-moi.
De là, Je passe aux toilettes pour vider mon cul et je m’aperçois qu’elle m’a mis beaucoup de liquide dans l’anus avec de m’enfiler le plug. Je retourne au salon et lui explique tout de ma nuit de noël. Toute l’histoire et ce qu’elles m’ont fait.
- Tu as aimé te faire traiter comme çà ?
- Oh oui. J’ai adoré.
- Tu ne les connaissais pas avant ? Qui c’est ?
- Non je ne les connaissais, mais toi aussi tu vas les connaître car nous sommes invités pour le réveillon.
- Mais moi je ne veux pas faire tout çà. Ça me dégoute les jeux d’urine, je n’ai pas envie d’avoir des trucs dans le derrière.
- Maîtresse Jenny veut que tu deviennes ma Maîtresse à la maison.
- ….
- Que je sois ta chose aussi bien qu’à elle.


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