La Brouette De La Mère Noël

Le lendemain de ma rencontre avec Simon, je me rendais comme convenu à sa boutique. La soirée avec mon mari, avait été aussi longue que l'après-midi, devant expliquer mon état fripé, et les marques rouges sur mes fesses, ainsi que l'inscription sur ma croupe. Je portais une robe grande taille faite pour sublimer les femmes rondes et généreuses. Fluide à porter, confortable et riche de détails, cette robe était une véritable arme de séduction mettant en valeur ma poitrine généreuse, et ma croupe féminine. XXL, elle affinait ma silhouette tout en marquant fortement mes hanches avec une encolure large et ronde permettant de dégager ma grosse poitrine. Chic et tendance en maille Milano, la robe jouait avec des imprimés noirs et blancs en forme droite, gommant mes complexes et sublimant ma féminité de bourgeoise mature de 53 ans. J'avais des bottes cavalières noires asymétriques en similicuir et intérieur fourré avec talon carré arrondi de 3 cm et bout rond à fermeture Zip sur l'intérieur. J'avais remis mes dessous achetés la veille Simone Pérele et des collants noirs.
Arrivée sur place vers midi, je garais ma voiture, et observais la boutique ainsi que la grande serre qui se trouvait derrière le premier bâtiment. L'ensemble paraissait très grand. L'endroit était désert, et après une courte hésitation, je rentrais dans le magasin, faisant retentir une petite clochette prévenant de mon arrivée. Il y avait plusieurs pièces toutes remplies de fleurs, bouquets divers et décorations florales multiples, et je m'attardais à flâner dans la boutique vide en observant les différentes compositions, dont certaines, étaient très réussies.
Au fond de la boutique, il y a avait une autre pièce dans laquelle une crèche géante était en cours installation. C'était un vrai petit monde à taille presque humaine et extrêmement détaillé. Tout y était de Marie et Joseph, aux Rois Mages, avec des lumières féeriques pour transcender encore plus cette magie de la Nuit de Noël.

Au milieu le petit jésus trôné bien que pas encore installé, posé dans une brouette ancienne en bois pleine de paille.
J'étais dans le magasin à observer les décorations depuis quelques minutes, quand la clochette retentit à nouveau. Je me retournais et vis Simon dans l'entrebâillement de la porte, qui refermait à clé derrière lui.
Bonjour ma belle, je vois que tu es très ponctuelle...
Je pense que je n'avais pas trop le choix de toute façon...
En effet, tu as raison, tu es très chic une fois de plus... Je devrais même dire très désirable dans ta robe en laine....
Oui merci, et j'aimerais bien le rester, j'ai une réunion en début d'après-midi...
Allons, allons beauté, ne sois pas vindicative... Raconte-moi d'abord ta soirée... Pas trop surpris notre ami Richard de ton état...
Bon écoute Simon, je suis venue pour dire bonjour à Dieudo, et t'aider, pas pour te raconter ma vie privée...
Il se rapprochait de moi tout en me parlant, alors que je reculais voulant éviter une promiscuité trop embarrassante... Arrivé près de moi, il m'attrapa par le bras, m'aidant à enlever mon manteau, pour mieux m'observer. Il me regardait comme un prédateur, observant sa proie, avant de l'attaquer.
Enlève-moi ce manteau que je puisse te regarder, t'inquiète pas le magasin est chauffé... Hummm, tu es magnifique... Cette robe te va à merveille. Elle te rend, comment dire... Très appétissante... Je crois que c'est le bon terme.
Merci, tu es gentil, peux, tu me dire ou est Dieudo que je lui dise bonjour, je n'ai vraiment pas beaucoup de temps...
Prends ton temps, il va arriver, il est parti faire une livraison, il ne va pas tarder... Et en l'attendant, tu vas me raconter ta soirée...
Simon, je t'ai déjà dit que je ne le souhaitais pas...
Je ne pense pas t'avoir demandé ton avis grosse pute.. Raconte maintenant !!!
Tout en élevant le ton afin de se rendre menaçant, il m'avait attrapé par le bras et attiré vers lui.
Il me plaqua contre lui, se positionnant dans mon dos afin de pouvoir me maintenir et de me parcourir le corps de ses mains gourmandes et avides de mes formes. Sa main gauche plongea entre mes cuisses relevant ma robe afin de se frayer un chemin en dessous de mes collants et ma culotte, tandis que sa main droite s'était emparée de mes gros seins... Son doigt plongea en moi, sans aucun préliminaire, alors que son visage se collait à mon oreille tout en continuant à me palper mes gros seins. Nous étions seuls dans sa boutique, debout, moi entièrement à sa merci, avec une idée très précise de ce qu'il voulait de moi... Plus je résistais, plus ses mains se faisaient pressantes... Je m'abandonnais progressivement à ses caresses...
Raconte-moi tout grosse pute, et n'omets aucun détail...
Ohhh, Simon tu s de la situation...
Dis moi ce qui s'est passé hier soir....
D'accord, mais tu me laisses tranquille après. Je suis rentré juste avant lui, et j'allais me changer à la salle de bain, quand il arriva. Hooooo, Simon... Que fais-tu .. Tes doigts ohhhhh? Quand il a vu mes vêtements froissés, il s'est douté de quelque chose, il m'a coincé comme toi en ce moment par-derrière, ohhhhhh, et m'a caressé mes gros seins au travers mon chemisier. Il m'a déboutonné, pour apercevoir les étiquettes, mais il s'est aperçu que mon nouveau soutien gorge était sale.... hummmmm.... Non ne m'embrasse pas dans le cou... Il m'a demandé ce que j'avais fait, m'a baissé mon pantalon pour découvrir ma culotte souillée de ton sperme. Quand il l'a enlevé, il a vu mes fesses encore toute rouge et ton inscription... Hooooo, Simon t'as main encore....... Il est devenu fou d'excitation. Il m'a attaché les mains avec ma ceinture en levrette sur la table et ma prise comme un animal, me claquant les fesses encore plus fort, et me traitant de tous les noms...
Alors que je continuais à raconter comment mon mari m'avait prise sur la table, après avoir découvert mon acte, Simon continuait à me caresser mes seins et me masturber la chatte, fouillant entre mes cuisses avec ses doigts, me faisant jouir.
Je gémissais tout en essayant de lui raconter, comment Richard m'avait ensuite sodomisé... Il avait baissé le décolleté de ma robe, pour libérer ma grosse poitrine, qu'il malaxait comme un fou. J'espérais qu'il aille vite avant l'arrivée de Dieudo, afin d'éviter d'être à nouveau le jouet de ses 2 hommes...
Continue, qu'est ce qu'il t'a fait ensuite...
Siiiimmmmmonnnn, ohhhh ouiiiiii, il m'a prit par l'anus et m'a défoncé comme une folle... Je me suis évanouie tant s'était orgasmique... J'en pouvais plus...
Continue ma salope...Alors que je continuais mon histoire, Simon m'avait soulevé une cuisse me maintenant debout sur une jambe, alors que sa seconde avait abandonné mes gros seins pour passer entre mes cuisses vers mon petit trou...
Tu aimes cela, tu faire prendre par le cul salope... On va voir s'il ne t'a pas trop élargi.
Je sentis son doigt me pénétrer l'anus alors qu'il me demandait de continuer de lui terminer mon histoire...
Hoooooo, Simon tu m'excites avec tes caresses... Ouiiiiii, Nonnnnn, pas la, continue à me prendre la chatte, pas mon anus.... Ohhh Simon tu es terrible..... Je lui ai dit qu'Arlette, avait organisé une surprise pour moi, et alors que je payais elle m'avait entraîné de force dans la remise pour me fouiller, car elle me soupçonnait d'avoir volé des dessous. J'ai dit que tu étais le vigile et que pour me punir, tu m'avais baissé dans la boutique, me menaçant de tout raconter à mon Mari... Haaaaaaa....
Comment il a réagi ?
Hummmmm.. Ca l'a excité encore plus. Il a joui sur ma culotte. Et ce matin... Hoooooo, nonnnnn pas ça, tu me rends folle... Il a aussi laissé une inscription sur mes fesses... "Au cas où" m'a t'il dit
Je devenais folle, haletant tout en parlant, gémissant tout en racontant mon histoire. Il continua à me masturber tout en suçant mes gros seins et me doigtant le cul pendant plusieurs minutes. Je me retrouvais en train de me faire posséder dans une boutique de fleuriste, avec la bénédiction de mon mari.
Savoir sa femme en train de se faire violer avait toujours été son plus grand fantasme... Simon me releva la robe afin de pouvoir lire le message gravé sur mes fesses
Hummmm, j'adore... Tu vas maintenant te préparer pour l'arrivée de Dieudo. Je lui ai promis une surprise, un cadeau de Noel un peu spécial. Et devine quoi, la surprise, c'est toi. Prends ce paquet et va te changer dans mon bureau et ensuite reviens je t'attends près de la crèche...
J'obtempérais, une fois de plus, docile et soumise... Dans son bureau, j'ouvrais le paquet sur lequel était inscrit "Leg Avenue" pour découvrir une Robe Mère Noël "Santa Sweetie" très féminine avec un bonnet rouge avec pompon, une ceinture large noire, des bas rayés Rouge & Blanc, un string rouge et des escarpins. J'enfilais le tout. La robe était très confortable avec son tissu velours, des manches 3/4 et un décolleté arrondi plongeant, avec l'encolure et le bas en fausse fourrure blanche, permettant de dévoiler mes atouts plantureux sans pour autant trop en montrer. Le string rouge en microfibre très douce était terriblement sensuel, ouvert sur le devant, il était complètement invisible sous ma robe. Les bas embellissaient mes jambes avec le tout rehausser par des Escarpins plateforme rouge au style chic et très raffiné avec des talons aiguilles de 13 cm et la plateforme de 3.5 cm. Pour finir une jolie paire de gants rouges aspect velours avec fourrure synthétique blanche complétait ma tenue de mère noël.
Dépêche toi de finir de te préparer, Dieudo ne va pas tarder, tu ne voudrais pas gâcher sa surprise...
Une fois prête, je rejoignais Simon prés de la crèche où il m'attendait assis dans la brouette. Dans sa main, il tenait un bâillon fetish avec boule en silicone de latex rouge, qu'il m'attacha autour du visage. Je gémissais comme pour exprimer un mécontentement inutile. Une fois en place, il me coucha sur le dos dans la brouette pleine de foin, me tirant les bras au-dessus de la tête afin de les attacher solidement à la roue. J'essayais de me débattre mais en vain, il m'avait à sa merci... J'étais son offrande pour son ami, et ils allaient tous les deux jouer de moi et m'utiliser comme un objet de toutes les façons possibles afin d'assouvir leurs fantasmes de pervers... Il fit de même avec mes jambes qui furent ligotés à chacun des bras de la brouette. Une fois entièrement restreinte, Simon se releva pour m'observer, et prendre quelques photos avec son appareil, qu'il envoya par MMS à son ami : "Le père Noel est passé et a déposé ton cadeau ... La mère Noel dans sa brouette"...
Ne t'inquiète pas, Dieudo va être la dans quelques minutes, en attendant laisse moi tester la marchandise...
Il me caressa les seins au travers de mon costume d'une main, alors que sa seconde main retourna entre mes cuisses pour me doigter à nouveau. Il me pilonna avec sa main rapidement me faisant jouir comme une folle. Alors que je gémissais sous ses caresses, j'entendis la porte s'ouvrir par le tintement de la clochette et la voie de Dieudo raisonner ... Il arriva près de nous, m'observant dans ma position restreinte couchée dans la brouette mains et pieds attachés, ouverte et offerte n'attendant que de me faire posséder...
Ouaaaaa, mais je la reconnais, c'est notre belle Patricia... Alors comme ça, tu l'as retrouvé... Je suppose que c'est mon cadeau de Noël ?
Oui, elle est pour toi, mais j'espère que tu acceptes de la partager un peu quand même.
À la regarder, j'ai l'impression que tu en as déjà un peu profité... En tous cas, elle est toujours aussi bandante, ta mère Noël. Un peu grossi depuis la dernière fois... Mais ca tombe bien, j'aime bien les femmes un peu en chair...
Sans attendre, Dieudo, plongea ses mains sur mon corps offert, parcourant chacune de mes parties, comme pour refaire connaissance. Ses doigts étaient partout, sur mes seins mes cuisses, mon vagin. Il me malaxait les miches, à grand renfort de commentaires les plus obscènes qui soient... Un homme en train de palper la bête qu'il va acheter, ou l'esclave qu'il va posséder. Simon en faisait de même. J'avais ses 4 mains courant sur mon corps partout sur moi, alors que Simon racontait notre rencontre de la vielle, ainsi que le traitement que mon mari m'avait fait subir. Cela contribua à mettre Dieudo dans un état d'excitation extrême, il se positionna entre mes cuisses attachées et écartelées aux deux bras de la brouette et dégrafa son pantalon.
Je vais te saillir ma truie.... Pendant ce temps, ma petite fiotte couche toi sur elle et colle lui ta bite dans la bouche, tu pourras aussi me sucer pendant que le baise...
Dieudo se pencha sur moi et plongea son énorme sexe en moi. J'avais oublié comme il était large et long depuis les Seychelles. Sans aucun préliminaire, il me baisa comme un animal, alors que Simon, qui m'avait enlevé mon bâillon, m'avait collé sa bite dans ma bouche me forçant à le sucer, pendant que son amant usait de mon corps... De temps en temps, Dieudo sortait sa bite de mon vagin, pour la pousser dans la bouche de Simon qui se faisait un plaisir de le sucer pour quelques secondes avant que l'autre me re-pénètre de plus belle. Il m'utilisait comme une poupée désarticulée. Je perdais toute notion de pudeur alors que des deux Bisexuel me violaient dans cette brouette, sous le regard des rois mages qui ne devait pas en perdre une goutte. Il me saccagea les hanches pendant de longues minutes, avant de venir faire une pause. Après s'être relevé, Simon prit son immense queue dans sa main et la dirigea vers ma bouche pleine de bave.
Prends sa belle queue dans ta bouche de bourgeoise et applique toi à le sucer...
Ohhhhh qu'elle suceuse... Elle butine comme une pro cette truie, j'avais oublie comme sa bouche était bonne...
Ils me palpaient mes gros seins, qu'ils avaient libérés de mon décolleté de mère Noël, malaxant ma chaire laiteuse avec leurs mains calleuses. J'avais du mal à prendre Dieudo dans ma bouche tant sa queue était grande. Simon m'avait pincé le nez, m'empêchant de respirer alors que Dieudo s'enfonçait au plus profond de ma gorge... J'étouffais, j'allais déglutir quand il ressorti son membre, pour me reprendre entre les cuisses. Il était infatigable... Un amant extraordinaire, qui me burinait comme un damné... La veille brouette grinçait sous les coups de hanches si fort, que son bruit recouvrait mes gémissements hystériques alors que Dieudo, souleva la brouette par les deux bras, me relevant plus haut tout en continuant à me baiser...
Détache-la maintenant, on va la prendre en sandwich, moi, je suis trop gros, tu vas lui prendre son anus en premier pendant que je la baise. Si ma mémoire est bonne son gros cul et bien étroit. Tu n'as pas dû oublier la dernière fois que je t'ai enculé sur le bateau la bourgeoise ?
Non Dieudo, pas cette fois, tu vas me déchirer, tu es trop gros
Sans prêter attention à mes protestations, ils me détachèrent, afin que Simon prenne ma place couché sur le dos dans la brouette. Dieudo me poussa vers lui pour que je m'allonge sur Simon, tout en lui tournant le dos. Je sentais le sexe de Simon se frayer un chemin au travers de mon string, poussant sa bitte au fond de mon petit trou, par encore dilater... Je ne pus gémir longtemps alors que je sentais son sexe au fond de moi, car il me plaqua sa main sur ma bouche afin de me bâillonner, pendant que Dieudo, toujours debout entre mes cuisses me prit par devant. J'étais prise en sandwich, par mes deux violeurs. Ils me burinèrent, pendant de longues minutes. La brouette grinçait de plus en plus. J'étais partie, ailleurs, dans un monde d'extase, ou mon corps n'était qu'un jouet, un objet de désir à l'usage de ces mâles en rut. Mes orgasmes multiples me faisaient halluciner, voyant les santons me regarder en souriant. Ils me relevèrent ensuite pour me prendre debout. Dieudo me souleva, me portant vers lui, m'obligeant à serrer mes jambes et mes cuisses autour de sa taille alors que son gros sexe replongeait en moi. Je me tenais à sa nuque, et pouvais sentir la bitte de Simon rentrer dans mon anus à nouveau, ayant écarté ce qui restait du string rouge déjà fortement saccagé. Ils me prirent debout dans la crèche, de chaque côté. Mes gros seins ballottaient à l'air libre, au rythme des coups de hanches de Dieudo et Simon... J'étais dans un autre monde, inconsciente de ce qu'ils me faisaient subir, j'enchaînais les orgasmes, ayant perdu la notion de toute pudeur et du temps qui s'écoulait sans moi. Je ressentis un liquide chaud se répandre au fond de mon anus quand Simon joui en moi, libérant mon petit trou de son sexe qui bien que moins gros que Dieudo n'en restait tout de même de bonne taille. Dieudo me reposa et me repoussa dans la brouette en levrette fesse en avant. Il aperçut enfin l'inscription de mon mari qu'il lut à voix haute.
"Ma femme est une grosse truie, son anus est à vous". Tout un programme, et bien il ne va pas être déçu quand on va te renvoyer à lui ton bonhomme...
J'étais à quatre pattes en m’appuyant sur mes avant-bras. Il me plaqua la tête dans la paille de la brouette et m'attrapa par les chevilles. Les jambes pliées ma tête enfouie dans la paille, il replongea sa grosse bite en moi. Il me baisa, tout en s'accrochant à mes bas, qu'il déchira sous une pression trop forte, me saccageant les hanches tel la machine sexuelle qu'il était. Depuis combien de temps, j'étais dans cette brouette, je ne pouvais le dire, les minutes passées, sous les accélérations de son bassin qui me démontait la croupe.
Bouge bien ton gros cul la bourgeoise...
Ohhhhh, Dieudo !!!!!
Comme c'est bien, oui t'es une bonne laitière avec tes grosses mamelles qui pendouillent.
Ouiiiiii, encore.....
Ta place est dans une étable ma belle truie...
Arrête j'en peux plus, par pitié... ahhhhhhhh
Pour te faire saillir.... Allez, grosse vache remue tes belles fesses, je sens que je vais te jouir dessus ..... Haaaaaaaaa..... Ca vient .......
Il se répandit enfin sur mes fesses, jouissant et lançant de grand jet sur mon corps et la robe de mère Noel détruite... J'étais anéantie, au bord de l'évanouissement. Je m'écroulais dans la brouette restant immobile.... Ils me laissèrent quelques minutes pour reprendre mes esprits, et Simon me porta jusqu'au bureau, ou je m'allongeais sur le Sofa afin de me reposer. Je m'endormis, pour me réveiller une heure après... Je regardais l'heure, il était 14h30H... Ils avaient joué de mon corps pendant plus d'une heure, ruinant définitivement tous mes rendez-vous de l'après-midi. Je me rhabillais rapidement et allais sortir du bureau quand Dieudo entra, me regardant des pieds à la tête...
Quel spectacle, je pense que je te préfère encore plus en bourgeoise qu'en mère Noël... Ta robe te va à merveille, une vraie beauté... Tu me donnes des idées....
Il faut que je parte, je suis définitivement en retard.
Passant prés de lui pour sortir de la pièce, il me saisit par le bras, pour me pousser vers le bureau...
Je n'en ai pas fini avec toi, ma belle, tu crois qu'après 2 mois dans ta région de merde, notre séance m'a rassasiée... Penche-toi en avant que je te finisse en levrette...
Essayant de résister avec mes bras, il s'empara des bas rouges et noirs posaient sur le bureau, et m'attacha les mains dans le dos...
Comme ca, tu vas être bien docile salope... Maintenant montre moi ce que tu as en dessous...
Il souleva ma robe, découvrant mes fesses protégées par mes collants et ma culotte Simone Perele. D'un coup sec et brutal, il déchira le nylon laissant mon gros cul à nouveau accessible... Je sentais son énorme sexe à nouveau bien dur. J'essayais de le raisonner, mais il me plaqua la main sur la bouche...
Tais-toi morue, je ne veux entendre que tes gémissements quand tu vas prendre ma grosse bite dans le cul
Non, ne me sodomise pas, tu es trop gros...
Avec un cul comme ça la bourgeoise, tu crois quand même pas que tu vas y échapper... Prépare-toi, je vais t'enculer ma truie...
Il m'encula de son sexe à nouveau bien dur. S'accrochant à mes collants déchirés, et à ma nouvelle culotte qui n'allait sûrement pas résister longtemps à la pression de ses mains-fortes. Surexciter, il déchira d'ailleurs mon achat de la veille en deux. Le bruit de la soie retenti dans le bureau alors que son sexe continuait à me démonter les fesses. Il était comme un animal, ayant à nouveau attrapé mes mamelles pour les libérer de ma robe et les faire ballotter au rythme de ses coups de reins... La scène fut brève mais tellement violente, avant qu'il jouisse dans mes collants détruits ainsi que sur ma robe.. Avant de me laisser repartir complètement détruite sexuellement. Je n'avais plus qu'a rentrer chez moi pour me laver et me changer, si je ne voulais pas subir la même chose de mon mari au vu de mon état.

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