Nouvelle Vie De Charles 1

Allongé sur le transat au bord de la piscine, une pina colada fraiche sur la desserte, le soleil chauffait en ce milieu d’après-midi estival.



La villa est située près de la côte Basque, sur le village de Bassussary, dans une impasse au calme. Autour, deux villas voisines mais sans vis-à-vis. Le jardin plat légèrement agrémenté de quelques rosiers avec une pelouse tondue à ras, exposé sud-ouest, pour profiter du soleil toute l’après-midi.



La piscine, enterrée, bordée par la terrasse en tek avec une eau chauffée à vingt-huit degrés permettait de se rafraichir pendant ces fortes chaleurs de Juillet.



Il y vivait seul dans cette demeure luxueuse, une déprime amoureuse l’avait rendu amer. Tout s’était vite enchaîné ; une rupture difficile et soudaine, un gros lot à un jeu de tirage et un désir de changer de vie l’avait fait arriver dans ce village. Plus besoin de travailler, il gagnait sa vie comme rentier désormais et se consacrait à toutes ses passions. « Il », c’était Charles. Taille moyenne, svelte, un visage fin avec des yeux bleus comme l’océan.



La pina colada réchauffée, Charles se relève, passe les mules et retourne à l’intérieur de la maison. Les talons aiguilles claquaient le bois de la terrasse à chaque pas. Depuis son adolescence, il aimait toutes ses matières féminines. Des vêtements charmants et surtout sexy, des matières soyeuses qui lui caressaient son corps, il adorait se travestir. Aujourd’hui, loin de tous complexes et d’obligations, il en portait quotidiennement. Entre les chaussures, les dessous, les robes et jupes, les bas et tant d’autres de vêtements et accessoires, il avait de quoi se parer toute l’année, à toutes saisons. Ce jour-là, il gardait le bas du bikini uniquement, rouge, un triangle fin devant et une ficelle à l’arrière avec un tout petit triangle au-dessus. Il portait ses mules en cuir, noires, à talons de dix centimètres, ouvertes au bout du pied.

Il se sentait sensuel ainsi vêtu.



Charles pris un verre d’eau pour se désaltérer. Une petite envie de stimulation anale lui trottait dans la tête. Direction la suite parentale, il ouvrit la boite des sextoys et décida d’essayer le petit nouveau. Un plug anal ornementé d’un strass. Il était de taille moyenne, presque 3 centimètres de diamètre à la base du cône, long de quelques cinq centimètres. Un petit peu de lubrifiant dessus et le plug rentra directement dans son orifice rectal. Un petit gémissement sortit de la bouche de Charles. Il y avait des fonctions vibratoires dessus, contrôlables depuis son smartphone. Charles enfile son bas de maillot, la ficelle passant dans l’interstice prévue pour les doigts, le brillant du jouet étincelant. Il repart vers la terrasse avec son téléphone pour jouer avec. Il croisa la femme de ménage qui descendait de l’étage où se trouvaient les trois chambres et la salle de bain. Charles montra alors le strass qui sortait de son derrière à son employée passionnée par tout ce qui braillait. Elle le félicita pour son bel objet très sexy et partirent tous les deux à leurs occupations respectives.



Il n’y avait pas de gêne entre eux, ils s’appréciaient et savaient que l’un comme l’autre avait besoin d’eux mutuellement.



Sur la terrasse, Charles s’installe sur son transat pour parfaire son bronzage déjà bien tanné. Commence à utiliser son mobile pour émoustiller son orifice. Plein de choix possibles et même des programmes divers pour jouer en autonomie. Il règle sur le mode aléatoire et les vibrations résonnent dans son être. Il commence à aimer et son érection se fait sentir. Il navigue sur internet pour discuter sur un site de rencontre gay avec les utilisateurs disponibles. Il partage en même temps sa caméra pour montrer de temps en temps son bijou intime.



Il a de nombreux contacts sur ce site, tous très agréables mais pas tous n’ont pas les mêmes objectifs.
Certains en couple hétérosexuel, d’autres célibataires hétéros aussi, des couples homos… Charles apprécie les copinages furtifs. Il recherche uniquement à être la maitresse ponctuelle d’un homme. La plupart sont satisfaits de cela car ils peuvent faire ce qu’ils n’osent suggérer à leurs femmes respectives.



Très vite, un utilisateur se détache de la discussion, phil19act de son pseudonyme :



« Slt



‘lu



Ça va ?



Yep, tu suces ?



Si tu veux mais encules moi après !



Tiens mon numéro, appel wam »



Charles l’appelle mais personne ne répond et raccroche. Il reçoit un message aussitôt avec une photo d’un sexe en érection. Entre les vibrations et la photo, le petit anus de Charles transpire beaucoup.



La réponse est immédiate et la discussion démarre. Ils parlent de leurs fantasmes respectifs, des envies de chacun… Charles, très excité, propose à phil19act de passer à la maison quand il veut. Phil vient de Biarritz, dix minutes de voiture et le voilà arriver. A peine le temps pour Charles de passer une perruque et mettre un rouge à lèvres rouge intense.



La femme de ménage annonce Mr Philippe à Mr Charles sur la terrasse.



« ‘Tain la baraque de ouf ! C’est à toi ?



Oui, je me suis fait plaisir.



T’as dû en sucer des bites pour t’offrir ça salope !



Surtout la sodomie si tu veux savoir. »



Ils se mirent à rire ensemble. Phil se déshabille complètement avant de se jeter dans l’eau. Charles, un peu vexé de n’avoir rien fait encore, lui montre le bas du dos et lui propose de l’éponger pendant qu’il prend un bain de soleil. Phil ressort aussitôt, s’allonge sur le transat nu comme un ver et Charles commence une fellation digne d’un film pornographique.
Cinq minutes de plaisir partagé, Charles se redresse et part. Phil est décontenancé et se demande ce qu’il se passe. Une baie vitrée s’ouvre sur la terrasse, Charles reste dans l’encadrement en nuisette en dentelles noire, cuissardes en cuir, noires, et le maillot rouge toujours en place. C’est sa chambre qui donne sur la terrasse, perpendiculairement au salon. Charles indique à Phil qu’après lui avoir rendu service, Phil doit rendre la pareille et honorer la demande. Charles se met sur le lit, allongé sur le dos, les pieds sur le rebord du lit, jambes écartées.



Phil le rejoint et commence par retirer son maillot de bain. Il lui parle comme si Charles était une femme, il devient bien moins vulgaire, plus doux aussi. Il retire maintenant le bijou intime très facilement tant la transpiration interne était abondante. Phil met un préservatif qui était sur un chevet, présente son long et large sexe à l’entrée de l’orifice de Charles et commence doucement à rentrer à l’intérieur de son intimité. Les sexes sont collés, tendus l’un contre l’autre, les jambes écartées pour l’un et à genoux pour l’autre. La pénétration a commencé doucement, sans forcer quoi que ce soit. Charles, détendu, gémit doucement mais un peu plus rapidement à force que le sexe rentre. Phil en est à coller ses testicules sur les fesses de Charles et fait une petite pause pour retrouver ses esprits. Il fait le chemin inverse pour ressortir presque complètement son sexe et le rentrer à nouveau, cette fois-ci plus rapidement. De longs va-et-vient s’opèrent alors que Charles ne gémit plus mais commence à couiner. Plus de dix minutes dans cette position, une première éjaculation voilà plus de cinq minutes par Charles, et Phil se met à jouir dans le latex de la protection. Il se retire, se remet debout et titube en allant à la salle de bain. Charles retrouve quant à lui ses esprits, redescend un peu la nuisette et retourne sur la terrasse.



Phil le rejoint pour reprendre ses vêtements pliés par la femme de ménage et se rhabille.
Il est resté trop longtemps, il est en retard pour son rendez-vous. Charles est content, car il a envie de rester seul après son rapport sexuel. Phil est raccompagné à l’entrée par Charles qui le salue en lui embrassant le sexe sur le pas de la porte. Il se redresse et vois sur le trottoir son voisin promenant son chien dans la rue.



Charles, exténué, s’allonge dans le canapé pour une petite sieste réparatrice après avoir salué la femme de ménage à son tour.











La sonnette retentit. Charles se réveille, regarde l’heure : dix-huit heures. Ça sonne toujours à la porte.



Charles se lève, se rend compte qu’il est toujours en nuisette, cuissardes et avec la perruque. Il regarde discrètement par la vitre et aperçoit son voisin de tout à l’heure. Après tout, il l’a déjà vu comme ça tout à l’heure, il décide d’ouvrir la porte.



Son voisin est là, Monsieur Jacques, une quarantaine d’années, grisonnant, un petit ventre bedonnant.



« Bonjour cher voisin, je vous ai vu tout à l’heure et je voulais vous proposer de venir prendre l’apéro ce soir chez moi.



Oui avec plaisir, permettez-moi de vous faire rentrer avant.



Avec plaisir merci. »



Monsieur Jacques s’installe dans le sofa, jambes croisées pour cacher une érection naissante. Charles lui amène un verre à boire et s’installe, face à lui, dans un fauteuil en croute de cuir.



« Il est rare de rencontrer des hommes osant s’habiller comme vous le faites, je trouve ça original mais plaisant.



Je vous remercie de votre remarque, veuillez m’excuser pour ma présentation, je n’ai même pas de dessous, on voit tout sous la nuisette.



Ne vous excusez pas, bien au contraire. Et nous sommes chez vous !



C’est vrai ça, mettez-vous à l’aise aussi !



A poil ?



Si vous le souhaitez ! »



Monsieur Jacques est confus et décline la proposition. Les deux hommes échangent des banalités avant de se saluer. Monsieur Jacques indique à Charles :



« Ce soir, il n’y a ni ma femme, ni mes s. Venez ainsi vêtu si vous le souhaitez évidemment. »



Une soirée classique, chez des voisins, ainsi vêtu. Charles n’en revenait pas. C’était la première fois que ça lui arriverait. Il fila à la douche pour se préparer et se pomponner. Il allait sortir le grand jeu pour se faire plaisir. Les escarpins noirs vernis, les bas, le porte-jarretelles, le string assorti, la robe moulante à mi-cuisses, le maquillage à la limite du vulgaire, la perruque longue blonde, les grosses boucles d’oreilles aimantées. La totale pour l’occasion exceptionnelle.



Charles sortait de chez lui avec un mini sac à main pour y ranger le téléphone, un peu de liquide et un préservatif au cas où comme à chaque fois. En se regardant devant le miroir juste avant de sortir il se trouvait sacrément belle et sexy. Prit une photo de côté pour bien montrer la courbe de ses fesses et posta la photo sur un de ses compte instagram pour partager avec ses connaissances.



Charles arrive chez Monsieur Jacques pile à l’heure. Monsieur Jacques l’accueille en bermuda, chemise presque ouverte complètement et tongs.



Lui aussi a une piscine mais hors-sol celle-ci. C’est une belle villa, typique basque, blanche et rouge avec un petit jardin et un cabanon au fond de ce dernier.



Monsieur Jacques propose un tour du propriétaire et dans le cabanon Charles remarque qu’on arrive à deviner sa terrasse à travers le feuillage des arbustes. Il le fait remarquer à son hôte et lui dit, sur un ton humoristique, qu’il pourrait reluquer dans le jardin pour savoir si je suis là, pour venir boire un verre. En précisant qu’il pourrait y avoir des scènes interdites aux mineurs par moments. Monsieur Jacques est un peu gêné et change de sujet immédiatement. Charles a remarqué que son voisin avait souvent un regard insistant sur ses cuisses et un peu au-dessus. Il se dit qu’il va en jouer un peu et se montrer coquine avec lui. Monsieur Jacques propose de s’installer sur la terrasse et ramène les boissons : un verre de rosé pour lui et une vodka pour Charles.



Discrètement, pendant l’absence de son voisin, Charles remonte la robe, ce qui a pour effet de laisser apparaitre les jarretelles. La table étant en verre transparent, lorsque les deux convives sont assis, Charles se permet d’indiquer qu’il a corrigé son défaut plus tôt en mettant un string assorti au porte-jarretelles. Ca lance la conversation autour des vêtements féminins ce qui enthousiaste Charles au plus haut point. Il raconte comment cette passion lui est venue, ses envies, son rapport avec les femmes et les hommes. Charles indique qu’il adore que des hommes caressent ses dessous, et que son voisin peut se permettre s’il le souhaite. Monsieur Jacques est confus mais son sexe réagit à la conversation. Charles ne manque pas de le remarquer en voyant le bermuda gonfler à l’entrejambes. Il accentue l’excitation en lui racontant très succinctement son rapport sexuel de l’après-midi.



Monsieur Jacques, tout rouge de confusion, repart dans la cuisine pour préparer un barbecue pour le soir. Charles le rejoint dans la cuisine, la robe remontée encore plus, laissant apparaitre le rebond de ses fesses. Monsieur Jacques ne se retient pas et glisse une main sous la robe, caressant le string avec un doigt entre ses deux fesses. Charles lui caresse alors son sexe à travers le vêtement, prend une saucisse et la glisse dans sa bouche. Le message est explicite, Monsieur Jacques le comprend parfaitement bien.



Charles repart dans le jardin content de lui et attend son hôte avec ce qu’il faut pour manger.



Le barbecue se chauffe vite avec le gaz relié, Monsieur Jacques installe les saucisses et brochettes sur la grille et commencent à parler en attendant.



« Je suis désolé d’avoir essayé de vous exciter tout à l’heure. Vous êtes marié avec des s, je n’avais pas à le faire.



Vous n’avez pas à vous excuser, je ne vous ai pas repoussé, bien au contraire. Vous savez, je vais vous confier quelque chose. Une fois tous les dix jours environs, je descends en Espagne seul, sans personne, pour aller voir une nana, toute jeune, qui fait des fellations de dingues. Je ne vois pas ma femme me sucer et ensuite faire la bise à mes s. Je trouve ça dégradant pour tout le monde.



Vous aimez être sucé ? C’est marrant, moi j’adore me faire sodomiser. Sentir un sexe en moi gonfler, glisser, c’est tellement jouissif. Si ça vous dit, on pourra trouver un arrangement » Finit-il par dire sur le ton de la rigolade. Monsieur Jacques s’approche du barbecue pour retourner les saucisses. Charles le rejoint, lui caresse le sexe et lui dit qu’ils peuvent commencer immédiatement. Il a les mains prises et ne voyant pas de refus de sa part, Charles déboutonne son short. Il n’a rien en dessous et un sexe de taille correcte jaillit, déjà en érection. Il se place entre lui et le barbecue, se baisse et commence à le sucer. Son sexe grossit encore un peu plus. Il le décalotte pour laisser jaillir le gland et un énorme bout sort. Charles arrête sommairement de sucer pour lui dire qu’il aura intérêt de bien lubrifier et le doigter pour le pénétrer sinon ça ne rentrera pas. Ses paroles l’ont fait durcir encore plus. Il a un sexe énorme qui joue avec ses amygdales. Il a les mains libres et en profite pour appuyer sur sa tête. Il le regarde comme dans les films érotiques, avec des yeux de biche (ou autre chose qui s’écrit avec un « t »). Il suce sans arrêt, il sent à son sexe et son regard qu’il ne va pas tarder à jouir. Il sort son sexe et le masturbe un peu et donne des coups de langue. Lors du dernier coup de langue il jouit sur sa bouche, son visage, sa robe, ses faux cheveux. Il jouit énormément, ça sent le sperme, ça coule de son visage. Son sexe se ramollit un peu, un fil de sperme les relie. Il lèche les dernières goutes de semences et le masturbant un peu. Il a une nouvelle érection mais Charles lui dis qu’ils vont attendre un peu avant de jouir encore. Il a du sperme partout sur lui, une vraie actrice pornographique sur la fin de la scène. Il lui dit de ne pas s’essuyer car ça l’excite de le voir comme ça. Ils se préparent à manger sur la table quand il lui dit :



« Je suis embêté car j’aimerai admirer tes fesses pendant que je mange. Mais je ne peux pas te demander de manger par terre comme une chienne.



Qu’est-ce que je peux faire pour te satisfaire alors ?



Que tu me propose de rester à quatre pattes pour manger ! »



Le ton devient un peu autoritaire et ça l’excite un peu plus encore. Il lui répond « Vos désirs sont des ordres Maitre Jacques. »



Il prend son assiette qui lui est destinée, la pose délicatement par terre, s’accroupit sensuellement et relève les fesses pour qu’il puisse profiter de la vue. Charles est très excité par cette soumission, son sexe commence à durcir, prouvant l’excitation.

Il prend son assiette qui lui est destinée, la pose délicatement par terre, s’accroupit sensuellement et relève les fesses pour qu’il puisse profiter de la vue. Charles est très excité par cette soumission, son sexe commence à durcir, prouvant l’excitation.

Monsieur Jacques sort de table, s’approche de Charles et lui caresse délicatement les fesses. Il tire sur les bretelles fixant les bas, les relâchant d’un coup pour claquer sur les cuisses charnues de l’invité. Il commence à être encore plus dominant, lui donnant des fessées claquantes sur la croupe du soumis. Charles se fait insulter, maltraité, violenté pendant l’acte de soumission. Les claques fusent sans arrêt, le faisant pleurer sous la douleur mais son sexe durcit montre son excitation montante.

Monsieur Jacques retire ses vêtements, s’agenouille derrière son soumis, crache sur l’orifice pointé vers le haut après avoir écarté son string, et commence à répandre le lubrifiant improvisé sur l’anus de Charles. Monsieur Jacques, sexe tendu, commence à présenter son gland dans le trou attendant son habitant provisoire. Il force un peu mais très vite le gland rentre d’un coup, suivi de la verge complète. Aucun ménagement n’est pris et, malgré l’habitude de l’acte, Charles lâche un râle. Un long moment de besogne entre les deux hommes et le dominant jouit d’importantes quantités de liquide dans l’orifice.

Au point que le liquide déborde et coule sur les cuisses de Charles. Monsieur Jacques donne une dernière claque fièrement sur la croupe de son invité, le fait se redresser et présente son sexe gluant devant la bouche qui s’ouvre par réflexe. Charles refait une gâterie et avale le maximum de semence possible pour bien nettoyer son hôte.

La soirée se termine alors et Charles rentre chez lui, boitant légèrement, du sperme sur ses cuisses et fière d’avoir été femme le temps d’un soir.

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