Collection Black. Harcèlements Sexuels Sur Mon Lieu De Travail (1/11)

Je m’appelle Joelle, je suis une jolie petite blonde de 1m56 et 48 kilos, j’ai une poitrine bien équilibrée, que je mets en valeur avec des tenues sexy, mais tout de même correctes, surtout au travail.
Je suis responsable adjoint des projets dans une entreprise de l’est de Paris, j’y suis entrée il y a presque dix ans, franchissant les échelons les uns après les autres.
Pour cela, j’ai travaillé dur pendant toutes ces années grâce à des cours du soir pour obtenir les diplômes qui vont me permettre de franchir le dernier échelon et devenir la responsable en chef des projets.
J’ai réussi tout cela avec un petit arrêt très court quand j’ai accouché de mon fils Romain, il y a cinq ans, je suis dans mon bureau quand le téléphone sonne.
J’écoute, le rouge me monte aux joues, c’est monsieur Gandin le patron qui me convoque, je prends une grande goulée d’air et rajustant ma jupe, je remonte le couloir, dans quelques jours, le bureau de monsieur Génelard, Léon pour ses intimes, qui a fait, enfin valoir ses droits à la retraite va être le mien.

Monsieur Gandin est un homme entre deux âges, un peu bedonnant, mais très jovial.

• Entrez Joelle, venez-vous asseoir, j’ai toujours évité de vous le dire, mais je vous trouve très jolie, surtout depuis votre grossesse, vous êtes une femme épanouie, vous avez toujours des tenues sexy sans pour autant être outrancière.
• Patron, vous m’inquiétez, ce serait surprenant que vous m’ayez fait venir pour me parler de la couleur de mon chemisier !
• Toujours pertinente belle Joelle.

La tournure que prend notre conversation m’inquiète, monsieur Gandin a la réputation d’être directe en affaires et là, il semble retarder le moment de m’annoncer la bonne nouvelle.

• Bien, parlons de ce qui me tracasse, vous savez que Léon a fait valoir ses droits à la retraite, à 68 ans, il était temps, comme chef des projets, il se faisait vieillissant, il faut que ça bouge dans ce secteur.


• Et vous comptez sur moi pour vous proposer des idées pour relancer le secteur exportation qui bat de l’aile.
• Oui et non, vous avez raison pour le secteur exportation, mais ce sera une autre personne qui le portera.

La foudre me tombe sur la tête, je suis venue dans ce bureau rempli d’allégresse et je sens que je vais partir en courant me couper les veines afin de mourir de honte d’avoir suggéré que j’allais m’occuper d’un secteur aussi important pour l’avenir de la société.

• Joelle, vous vous souvenez du voyage que ma femme a fait au Mexique, il y a deux mois, elle a fait la connaissance d’une amie qui lui a présenté un garçon, qui s’appelle Boby Smith, il était en transit avant de venir à Paris.
Il venait pour travailler alors qu’il a fait de grandes écoles, j’ai fait une proposition qu’il a acceptée alors que je pense qu’il était capable de trouver mieux, ailleurs.
Il sera là demain matin pour travailler avec vous et Léon et se mettre au courant, vous pouvez disposer, je sais qu’avec votre conscience professionnelle, tout se passera bien.
Si vous avez des problèmes, ma porte vous sera toujours ouverte Joelle, filée travailler !

Voilà comment le poste que je convoitais après des années de travail me passe sous le nez.
La journée est interminable avant de rentrer chez moi retrouver Lionel, mon mari et Romain mon fils.

• Chérie, que t’arrive-t-il, toi toujours enjouée, je te retrouve les yeux pleins de larmes avec ton fils dans les bras, explique-toi, quelqu’un t’a fait du mal

Je lui explique ce qui m’arrive.

• C’est loin d’être grave, l’augmentation que tu aurais eue serait entièrement allée aux impôts, tu vas travailler avec un Américain, je suis sûr que tu vas en tirer pleines de bonnes expériences pour ton avenir.

Nous mangeons et nous nous couchons, Lionel vient frotter son sexe contre mes fesses, je sais qu’il aimerait bien me sodomiser, mais je lui aie toujours refusé de me prendre par le petit, je me retourne, lui prend la queue et je l’attire dans ma chatte.

Je suis tellement en colère que pour la première fois, afin qu’il m’abandonne à mon triste sort, je simule.

• Je vois, ce soir, tu préfères le cul tourné, pourtant, tu sais quand tu es une bonne petite pute.

Salopard, il me prend pour une pute, j’ignore, comment je vais me venger, mais le baiser qu’il me donne, nous réconcilie comme d’habitude.
Il est parti au travail quand je dois aller m’occuper de moi puis de Romain avant de le déposer à deux pas d’ici chez la nourrice avant de prendre le métro pour rejoindre mon poste de travail.
J’ai particulièrement fait attention à mes habits, voulant faire bonne impression à cet Américain, bien sûr sans être outrancière
Arrivés à la boîte pour 9 heures afin d’être en salle de conférences à 15, tous les responsables sont là, nous sommes six, deux femmes, Geneviève chef comptable et moi ainsi que quatre hommes, monsieur Gandin est debout avec monsieur Léon et un homme noir de la tête aux pieds, je parle de sa peau bien sûr.
J’ai de suite la sensation de puissance qui dégage de cet homme, habillé d’un costume gris, trois pièces, une chaîne en or sortant de la poche de son gilet lui donnant la touche d’honorabilité qui construit son personnage.
Il a la carrure d’un karatéka français bien connu.

• Bonjour à tous, je vous présente monsieur Boby Smith, venu nous aider afin de développer notre entreprise, il entre chez nous avec ses connaissances américaines faîte de techniques modernes.
• Merci à tous, je pense que vous êtes Joelle, mon adjoint, monsieur Gandin m’ayant parlé de vous, j’admire les femmes qui ont du chien.
Excusez mon Français encore incertain, je l’ai appris sur les bancs de la fac, je vais très vite l’améliorer.
Retrouvons-nous dans dix minutes dans le bureau de monsieur Léon, vous avez certainement envie de poudrer votre nez, avant d’attaquer les choses sérieuses.

Les choses sont bien dites, il vient de me dire en langage châtié que je peux aller pisser un coup avant de nous mettre au travail.


• Léon, est-il possible d’avoir du café ?
• Pour vous oui, moi, je bois du jus de fruits, j’appelle Aline notre secrétaire, elle s’en occupe tous les matins, vous ferez sa connaissance.
• Son bureau est à droite, c’est la petite femme rondouillarde qui est entrée en même temps que moi dans les bureaux.
• Oui, je l’appelle.
• Inutile, je vais lui dire deux mots en tête-à-tête, j’ai besoin de sentir le personnel avec qui je vais travailler, deux cafés, un jus de fruits, à votre service.

Il part, revient avec un plateau, nous buvons et nous commençons à travailler.
Il est prévenant quand soudain Léon se tord de douleur se tenant le ventre, frappé par une grande douleur.

• Léon, avez-vous été opéré de l’appendice ?
• Non, vite, j’ai trop mal.

L’ambulance arrive et monsieur Léon nous quitte, il l’emmène à l’hôpital pour des examens.

• Joelle, maintenant que nous sommes entre nous, parlons d’un projet que monsieur Gandin m’a demandé à développer en priorité, le secteur exportation.
• Je peux vous donner des idées, monsieur Léon se désintéressait de son travail et j’ai déjà des idées, j’ai même commencé un rapport, je vais aller le chercher.

Je reviens de mon bureau, je développe le projet que j’ai créé, je suis assise face à lui, il semble investir le bureau de Léon, j’ai les jambes croisées sagement rangées côte à côte, malgré cela, je vois qu’il me reluque me mettant mal à l’aise.

• Laisse tous tes papiers sur le coin de mon bureau et parlons de nous pour mieux nous connaître, appelle-moi Boby et tutoyons-nous.
• Monsieur Léon et moi, nous nous vouvoyons, mais si tu le souhaites, je veux bien essayer.
• C’est bien, on t’a déjà dit que tu avais un joli petit cul, surtout une blonde, le patron doit bander devant-toi.

Je tombe de haut, personne dans notre entreprise depuis dix ans ne s’est permis de me dire de tels mots.


• Je te choque, je suis directe, si tu avais eu l’idée de te servir de ton joli minois et ta paire de seins pour obtenir une promotion canapé, ce serait-toi qui serais derrière ce bureau et non moi.
Le travail que tu viens de me présenter est en tout point parfait, mais comme tu sembles manquer de personnalité, j’en aurais pour deux, je vais faire de toi ma maîtresse et tu finiras par être ma pute qui va me servir pour ma carrière.
• Boby, pardon monsieur Boby, je suis marié et j’ai un fils de cinq ans, j’aime mon mari.
• Tu l’aimes, hier avez-vous fait l’amour ?

Je suis folle, je lui réponds.

• Oui.
• Il t’a fait jouir !
• Non.
• As-tu simulé ?
• C’était la première fois !
• Mais pas la dernière quand tu auras connu ma queue.

Je me lève et je quitte précipitamment son bureau pour me réfugier dans le mien ou je pleure à chaudes larmes.
Pendant trois jours, il va me faire des propositions obscènes, j’essaye d’en parler avec Lionel, mais je reste muette, je vais sur Internet.

« Harcèlements sexuels au travail, lien de subordination si c’est votre chef direct, vous fait des allusions ou propositions malhonnêtes. »

Être traité de petite pute, qu’il va venir chez moi pour me sodomiser devient mon quotidien, je me sens sale, il a raison, je m’habille comme une pute, depuis ce moment ou ma vie bascule, je simule chaque fois que mon mari essaye de me baiser.
Le vendredi, je mets un pantalon et je me coiffe avec un chignon, essayant de me rendre moche, ça devrait l’arrêter.

• Bien ton nouveau look, ça met ton petit cul en valeur, je te demanderais bien de tourner sur toi-même, mais je te sens en colère, inutile de lutter, tu auras beau tout faire, je vais rapidement te baiser.
Tient va voir le patron, tu verras, comment il va réagir, j’ai parlé deux trois fois avec lui, j’avais raison, il a envie de te sauter, mes plans étant tous autres, je t’interdis de le faire, ma vengeance serait terrible.

Une nouvelle fois, je pars en courant me réfugier dans mon bureau, seule la pensée de mon fils me permet de tenir pendant le week-end.
Le lundi, je frappe à la porte de monsieur Gandin qui me fait entrer.

• Monsieur, vous m’aviez dit de venir vous voir si j’avais un problème, permettez-moi de vous exposer rapidement ce qu’il m’arrive…

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