Collection Black. Harcèlements Sexuels Sur Mon Lieu De Travail (4/11)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je tombe de plus en plus dans la déchéance depuis que Boby a pris la place que j’envisageais d’atteindre dans la société où je travaille d'arrache-pied.
J’ai voulu me défendre en allant voir monsieur Gandin le patron qui a pris la défense de ce noir américain que son épouse a rencontré pendant des vacances au Mexique.
Boby dès qu’il a été en poste m’a harcelé, Lionel mon mari a tendance à être dépensier et si je me retrouve au chômage, nous allons tout perdre de ce que nous avons construit ensemble.
Je n’ai que la possibilité de lui céder, me trouvant le cul entre deux chaises, car chaque fois qu’il me prend, son sexe hors du commun, me déchire, mais me fait jouir comme jamais, aucun de mes deux amants et demi ne m’a fait atteindre.
Le demi peut être bizarre, mais j’ai eu comme partenaire d’un coup, un jeune garçon qui m’avait aidé à retourner chez moi, une cheville m’empêchant de marcher seule.
Il était puceau et quand il m’a quitté, j’avais remédié à son problème pour son âge, je ne l’ai jamais revu et il ne m’a pas fait jouir.

Après la soirée de Noël, offert par notre patron où Boby m’a sauté dans les toilettes pour femmes alors que mon mari était dans les toilettes pour hommes.
Mon amant m’a promis une punition, car j’ai enfreint sa loi en ayant mis une culotte alors qu’il me l’avait interdit.
Je suis en forme après huit jours de vacances dans ma famille.
À la reprise de mon travail, je suis aussi tranquille, Boby ayant pris lui aussi des vacances, jusqu’au jeudi où je trouve dans ma voiture un carton avec une tenue en cuir très osé avec une lettre me disant de me présenter à une adresse demain soir.

J’ai pris l’habitude de mentir à Lionel et en femme pratiquante l’adultère, je trouve sans problème un motif pour être libre pour la soirée.
Après m’être changé dans le même W.C. où nous avons baisé pendant la soirée organisée pour Noël, je dois reconnaître que le contact du cuir sur mon intimité et le regard rapide sur la glace au-dessus des lavabos me renvoie l’image de la femme de mauvaise vie qu’il a souhaité faire de moi.


Que m’a-t-il réservé pour me punir de ma désobéissance, je devrais être anxieuse, mais au moment où pour me recouvrir, j’enfile mon manteau, j’ai hâte de découvrir quelle épreuve il m’a réservée ?
Je fonçais dans l’ascenseur pour me rendre à ce rendez-vous, voulant éviter de rencontrer des collègues qui verraient les profonds changements survenus en moi.

J’entre l’adresse, que Boby m’a donnée, dans mon GPS qui me conduit dans une rue peu éclairée de la capitale, un homme est là, se déplaçant pour que je puisse me garer, j’avais peur de ne pas trouver de place et d’être en retard.

• Bonsoir madame, je gardais la place, veuillez me suivre à l’intérieur de cet immeuble, votre ami vous a laissé une lettre que vous devez lire après être entré.

Sorti de la voiture, je remarque que je suis devant une porte où au-dessus était marqué Club privé, j’entre, nous sommes, dans un vestibule.

• Madame, donné-moi votre manteau, je vous le rendrais quand il sera l’heure de vous rendre votre liberté, lisez.

« Ma salope, j’ai cherché et j’ai trouvé comment te punir, j’ai compris quand nous baisions dans les toilettes le jour de la réception de nos patrons que tu avais eu peu d’amants.
Ce soir, je vais t’aider à faire monter ton compteur, passe cette porte devant toi et éclate-toi, aucun droit à refuser qui ou quoi que ce soit, l’homme qui t’a reçu me rapportera tout ce qui n’aura pas été dans ton comportement et ma punition sera terrible, j’adorerais être obligé de dire à ton mari la femme que tu caches sous tes airs de grandes bourgeoises.
Bonne soirée. »

À ces lignes, j’ignore ce qu’a voulu dire Boby, mais ce que je pense, c’est que lorsque je sortirais de cette épreuve, je serais une autre femme.
Je pousse la porte.

Une salle avec un bar vide, je dois être dans un club ayant fait faillite, car il n’y a personne semblant servir à boire, mais devant moi, je suis dans l’impossibilité de compter le nombre d’hommes nus qui sont devant moi.

Au milieu, un homme une caméra sur l’épaule est habillé.

• Entrez, belle dame, votre ami m’a sollicité pour que je vous fasse tourner votre premier gang bang en film amateur.
J’ai réuni trente acteurs qui vont les uns après les autres ou à plusieurs réaliser votre rêve.
Vous êtes prête, je commence à filmer, « action ».

Je tombe à genoux devant la première verge qu’un garçon de l’âge de celui que j’ai dépucelé et la prend en bouche, il se masturbe littéralement dans ma bouche, je lui caresse les couilles et il me décharge son sperme dans ma cavité.
Un gang bang, ce salaud me fait tourner un gang bang avec trente hommes, dans quel état vais-je être quand le cameraman dira « couper ».
Deux hommes s’avancent, me redressent avant de délasser mon short en cuir et le faire tomber, l’un me tient présentant mon intimité à l’autre qui directement entre dans ma chatte.
Je tourne ma tête et malgré le sperme que je sens couler aux commissures de mes lèvres, il m’embrasse, sa langue dans ma bouche me donne envie de vomir, car son haleine sentant la cigarette m’indispose, mais le sexe qui me fouille me permet de commencer à avoir une jouissance avant de sentir les jets de foutre m’inonder.
L’homme qui me maintenait, me repose au sol, il me fait mettre en levrette et sans me demander mon avis, me fracasse le cul.
Je suis à bonne hauteur, celle qui entre dans ma bouche est noire et d'un gabarit inférieur à Boby.
Boby, ce salaud, me regarde-t-il planquer dans un coin, livré à tous ces hommes, prend-il son pied à faire de moi une roulure, mais le temps de penser à ça, la bite dans mon cul et dans ma bouche décharge en même temps.
J’avale le sperme comprenant pourquoi je devais venir sans manger, je vais boire des litres de sperme ce soir surtout quand un peu plus tard, le cameraman tournant toujours autour de moi, c’est le noir qui m’ayant rempli la bouche vient me donner une deuxième rasade.
J’étais resté à quatre amants dont mon mari, quand je suis rentrée dans cette salle, au bout d’un moment, ma chatte me brûle, mon anus sera ouvert béant à jamais, mais le nombre doit être de vingt à vingt-cinq et dès que l’un d’eux a fini de décharger un autre prend sa place.

Je suis couverte de sperme, car certains pensant m’humilier me crachent leur sperme sur la figure, j’en ai dans les yeux, je m’essuie sommairement, mais déjà, on me soulève, on me porte sur une scène circulaire qui se met à tourner.
Combien sont-ils autour de ce tourniquet à me présenter leur bite, je l’ignore, ce que je sais c’est que depuis que le cameraman a dit « action », j’ai tout accepté, je ne sais pas comment je vais sortir de cette épreuve surtout mon corps, mais ce qu’il y a de sûr, c’est qu’il n’aura aucun motif à me punir de nouveau.
Je suce chacun leur tour, les bites qu’ils me tendent, le tourniquet étant très lent, je sens derrière moi des doigts me pénétrer, un garçon va jusqu’à entrer sa main dans mon vagin, j’ai l’impression de me retrouver le jour de mon accouchement quand Romain est sorti de mon ventre.
À ce moment ma bouche est pour une fois vide et je hurle mon plaisir à me sentir ainsi rempli, c’est l’un des nombreux orgasmes que ces hommes m’apportent, jusqu’au moment où le tourniquet ayant fait son office, la main doit sortir dans un bruit de succion.
Tour à tour, les uns et les autres, me déchargent dessus, je me sens sale, mais j’ai si bien joui et avalé du sperme que je finis par prendre mon mal en patience, j’ai allègrement franchi le cap des trente amants.
Mais, il y en a toujours un ou deux qui se sont remis en forme, l’un d’eux, se couche à mon côté me tirant sur le sein à sa portée à me faire crier avant que je m’empale sur lui.
Dans mon dos, je sens une verge assez volumineuse, venir déchirer ma rosette, je suis trop fatiguée pour tourner ma tête, Boby nous aurait-il rejoints, mais jusqu’à maintenant un seul noir semble de la partie dans ce gang bang offert par mon amant.
Que dire de ce que je subis, double pénétration, double vaginale, vers la fin, j’ai l’impression de subir un double anal, du moins c’est ce que j’entends dire par le réalisateur ?

• Super, prenez là bien en DPA.
Ça va faire bander notre client.

C’est l’une des rares fois que j’entends sa voix, mais déjà une bite est de nouveau dans ma bouche m’arrosant mes amygdales.
C’est à ce moment que j’entends « couper » pensant m’en tirer épuisée, mais satisfaite d’avoir fait monter mon compteur d’amant comme peu de femmes sont capables de le faire.

• Les gars rhabillez-vous et partez, vous recevrez vos chèques comme d’habitude, laissé-moi cette salope, je vais m’amuser un peu avec elle.
Polo vient te joindre à moi, j’ai filmé quand elle a été baisée en double anal, j’ai vu qu’elle aimait cela.

Ils s’occupent de moi encore un certain temps après m’avoir jeté sur un canapé sentant la poussière, ou je dois finir par m’endormir.
Quand, je me réveille, j’ignore l’heure qu’il est, je suis dans le noir complet, tout même l’homme qui m’a fait entrer ainsi que l’homme qui filmait ayant été mes derniers amants, sont parti.
Je marche à quatre pattes incapables de me relever tellement mes intimités me tirent, sans compter la peau de mon visage où tout le sperme que je n’ai pas au fond de mon estomac, la macule.

Ma tête tape dans le bar, j’arrive à me redresser, j’ai repéré que le vestibule était légèrement à gauche quand je suis entré, j’arrive de l’autre côté, je vois un rai de lumière sous ce qui doit être la porte.
Je l’ouvre sans penser que je suis nue, trop anxieuse d’être enfermée à clef dans ce lieu qui semble abandonné et où je risque de pourrir, sans manger et sans boire.
Heureusement, la petite rue n’est pas passagère ce qui a dû nuire au fonctionnement du club, je vois mon manteau avec mon sac et mes clefs de voiture.
Je l’enfile sur ma nudité et sans demander mon reste, laissant même la porte ouverte, je me mets au volant, par instinct, je récupère mes escarpins sous mon siège quand je suis en talons hauts, je démarre.
Je conduis comme un vrai zombi, j’arrive à un feu rouge, deux hommes dans une grosse voiture s’arrêtent à ma hauteur, d’un coup, celui côté passager à ma hauteur ouvre sa fenêtre et éclate de rire.

• Salope, tu t’es bien fait baiser…

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